Dépasser le stade de la croyance ou de l’incroyance

Source: https://www.hubertelie.com/u_phi_scien-fr-134-000-depasser-le-stade-de-la-croyance-et-de-l-incroyance.html

Article basé sur un Tweet de Hubertelie:
https://twitter.com/AbliBouyo74535/status/1699464059597513079

De la croyance en le Dieu Créateur de l’Univers à l’expérience du DIEU qui EST TOUT

Oui, être UN avec le Dieu qui est TOUT, l’Alpha et l’Oméga, 
c’est infiniment mieux que juste croire qu’il existe
et qu’il est le Créateur de l’Univers, de toutes choses. 
Voir: Jean 17: 1-26 et Apocalypse 21: 1-7 

A un tweet dans lequel je parle de Dieu l’Univers TOTAL, il répond: « Oui, cet inique personnage aura des comptes à rendre devant l’Eternel! Mais il ne faut confondre Dieu (incréé) avec l’Univers (créé)…« 

Et alors je réponds.


Réponse donnée à Léviathan 2023

L’univers ou l’Univers, est créé, mais ce que nous appelons l’Univers TOTAL, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, est incréé, sinon l’expression même l’Alpha et l’Oméga n’aurait pas de sens.

Beaucoup de gens ont du mal à saisir le nouveau concept scientifique d’Univers TOTAL, qui est l’Ensemble de TOUTES les choses et de tous les êtres, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga.

Voilà pourquoi nous mettons tant le mot TOTAL en majuscules, pour que les gens ne s’arrêtent pas sur le mot « Univers », sur lequel ils ont tendance à s’arrêter, comme vous le faites justement. Mais le mot TOTAL qui est la clef ici, d’autant plus quand nous ajoutons « Etre TOTAL », une meilleure manière de dire « Etre Suprême ».

L’erreur que vous commettez et que beaucoup de croyants commettent, c’est de concevoir la notion de Dieu comme étant le « Créateur de toutes choses ». Mais c’est juste la définition de première approche de la notion de Dieu, celle de la première phrase de la Genèse, qui dit: « Au commencement Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1: 1).

Cette définition de Dieu comme étant le Créateur de toutes choses était suffisante à l’époque de la Torah, du Tanakh, c’est-à-dire de l’Ancien Testament. C’était suffisant pour le peuple hébreu, dans sa première approche avec Dieu.

Mais même à l’époque de la Torah, Dieu a donné à Moïse les prémices d’une définition supérieure de l’Etre Suprême qu’il est, quant à la question de Moïse en Exode 3: 13-15, de savoir quel est le NOM de Dieu, il lui répond en gros: « Je SUIS celui qui EST » ou simplement « Je SUIS ».

Etre le créateur de toutes choses est juste une facette de l’Etre Suprême, ce serait une grave erreur de le réduire à cela. Car ce que Dieu veut faire comprendre à Moïse  au Sinaï, c’est qu’il est simplement l’ETRE, en hébreu YHWH ou Yahvé, comme on le prononce souvent un peu improprement.

L’idée profonde concernant Dieu est qu’il EST TOUT, il est l’Etre TOTAL, l’Etre Suprême, bref l’ETRE! Il n’est donc pas qu’un simple créateur de l’Univers, comme si Dieu attendait sa création pour définir ce qu’il est. Avant donc toute idée de création, IL EST, oui il EST TOUT, point, c’est ce que nous entendons par Univers TOTAL (avec l’accent mis sur TOTAL), l’Etre TOTAL, et avec la précision redondante de l’Alpha et l’Oméga, pour bien appuyer encore sur cette idée.

Pour dire donc qu’il EST TOUT, du Commencement jusqu’à la Fin, il n’existe aucune chose qu’il ne soit pas, c’est-à-dire qui ne soit pas d’Essence Divine. Même le MAL (oui le Diable) émane de lui, c’est l’une des facettes de l’Etre, sa facette négative.

En Jean 1: 1, il est donné une meilleure définition de Dieu qu’en Genèse 1: 1, idée inférieure sur laquelle beaucoup s’arrêtent, idée limitante qui les empêche de progresser vraiment dans la compréhension de Dieu et de l’action divine. Jean 1: 1 dit donc:

« Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu ».

On voit bien qu’ici on a largement dépassé l’idée primitive de « créateur » pour être dans l’idée de l’ETRE! Oui, Dieu EST la Parole, et au troisième millénaire, nous dirions: « DIEU EST l’INFORMATION, car TOUT EST INFORMATION ».

Tout ce que nous voyons et qui peut nous sembler solide, comme par exemple un caillou ou un rocher, tous les éléments liquides, gazeux ou autres, et tout ce qui n’est ni solide, ni liquide, ni gazeux, comme par exemple l’esprit, l’âme, la conscience, l’amour, etc., oui tout ça, à la base est de la pure INFORMATION, oui la PAROLE comme dit Jean 1: 1, et DIEU c’est TOUT ça!

https://hubertelie.com/u_gen_scien-fr-311-000-tout-et-absolument-tout-est-information-numerique-nombre.html

Au commencement donc il n’y a que de l’INFORMATION (ou la Parole si vous préférez un langage plus ancien), et l’INFORMATION est avec DIEU, et l’INFORMATION est DIEU.

Et dans l’Apocalypse, on fait encore un pas en avant dans la définition de DIEU, avec les idées comme: « Je SUIS l’Alpha et l’Oméga, celui qui EST, et qui ETAIT, et qui vient » (Apocalypse 1: 8).

Et: « Je SUIS l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin » (Apocalypse 21: 6).

Et: « Je SUIS l’Alpha et l’Oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin (Apocalypse 22: 13).

On est donc dans le registre de: « Je SUIS » ou « Je SUIS TOUT », ou encore « Je SUIS TOUT, le commencement de tout et la fin de tout ».

Avec tous ces éléments, je ne vois pas pourquoi ce serait incorrect de dire que DIEU est l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses et de tous les êtres, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga. C’est ce que nous écrivons et martelons partout dans nos écrits de Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu, comme:

— au site http://hubertelie.com,
— au blog: la Nouvelle Genèse: https://nouvellegenese.wordpress.com,
— au blog: Pour notre Monde d’Alternation:
https://mondealternation.wordpress.com,
— ou encore au blog: Amour de la Vérité:
https://alternation106244114.wordpress.com

Que disons-nous donc et qui ne soit pas la pensée même de toute la Bible, de la Genèse à l’Apocalypse, de la Torah aux évangiles en passant par tout le Tanakh?

Donc DIEU EST TOUT, il est l’ETRE lui-même.

Donc il est entre autres le Créateur et la création, sans non plus que sa définition se réduise à la question de la création!

Car aussi par exemple 1Jean 4: 8 dit et en toute simplicité: « Dieu est Amour ».

On voit donc ici aussi que la question de Dieu ne se réduit pas à la question de création, on voit ici une autre magnifique facette de son ETRE, à savoir l’Amour.

Bref, DIEU est l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses et de tous les êtres, la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga.

Ca va comme définition ou résumé de ce que la Bible dit de Dieu, ou l’ETRE TOTAL, l’Etre Suprême, le « Je SUIS » (Exode 3: 13-15) n’est pas encore assez défini selon vous?

Et enfin permettez-moi une dernière précision de très grande importance: c’est la conception limitante de Dieu uniquement comme le Créateur de l’Univers, qui offre à l’athéisme tout le boulevard qu’il a eu jusqu’à présent.

En effet, on peut douter de l’existence de l’être qui a créé l’Univers, et se contenter de l’existence de l’Univers, ce que fait la science actuelle et la philosophie scientiste.

Mais quel être censé, à part les champions de la mauvaise foi, les incarnations même de la Négation, les démons (pour le dire en langage plus courant), oserait NIER l’existence de DIEU défini comme étant: l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses et de tous les êtres, la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga?

Autrement dit simplement, NIER l’existence du Grand TOUT, de l’ETRE TOTAL?

La faiblesse de la définition de Dieu comme le Créateur de l’Univers, c’est non seulement qu’on peut douter de l’existence de ce Créateur, ce qui est fait allégrement dans ce monde, mais en plus il y a plus d’un malin qui va demander: « Qui a créé ce Créateur? » Et si l’on donne une réponse, on aura droit aussitôt à: « Qui a créé le Créateur du Créateur? », et ainsi de suite, et on ne s’en sort pas.

Il n’y a qu’une seule manière de mettre fin à l’engrenage, c’est d’assener un axiome ou un dogme, à savoir que « Dieu a tout créé et est lui-même incréé ».

Ouais… Les gens admettent l’existence de l’être incréé qui créé tout, et cela s’appelle être un croyant, et je vous rassure que je suis croyant, chrétien même, comme cela ne vous a sans doute pas échappé. Mais c’est juste que cela fait de nombreuses années que je ne m’enferme plus dans les crédos limitatifs et limitants d’aucune religion, catholique, protestante, évangélique ou autre. Et je ne suis pas anti-religieux non plus, je laisse à chacun son degré de conscience et de compréhension des choses, et je le respecte, d’autant plus quand les gens sont sincères dans leur foi.

J’aime voir les gens sincères dans ce qu’ils font, du moment où ils n’égorgent pas sincèrement les autres au nom de leur foi et idéologie, lol. En disant cela, on a pu penser que je fait allusion aux islamistes. Mais en réalité, ce que je dis est plus profond que cela, car il y a pire que les islamistes, il y a par exemple l’idéologie satano-mondialiste, avec son WOKISME et autres LGBTQXYZ, qui veut s’imposer au monde entier et qui sévit spécialement dans le monde occidental.

Le pire devant l’islamisme (sans excuser cet extrémisme non plus), c’est bien cette idéologique satano-mondialiste, qui, il faut le dire, prend sa racine dans le Talmud, lui-même étant un abandon de la Torah et du Tanakh, ou une pseudo-défense de la Torah et du Tanakh.

Mais quand les gens sont sincères dans leur foi et attachement à Dieu, sans faire du mal le bien et vice-versa, c’est tout simplement magnifique.

Je dis juste que dans ma relation avec Dieu, j’ai très largement dépassé le stade de la simple croyance en Dieu, je suis au stade de l’expérience de Dieu, c’est-à-dire apprendre à vivre Dieu et à vivre le Christ, à refléter leur pensée, leur amour, ce qui veut dire aussi leur aversion pour le mensonge et le mal.

Quand on est à ce niveau de spiritualité, de relation avec Dieu et avec le Christ, on ne dit plus: « Je crois en l’existence de Dieu », de la même façon qu’on ne dit pas: « Je crois en mon existence »…

Celui ou celle dont la relation avec Dieu est une affaire de croyance, ne sait pas encore qui est vraiment Dieu, tout simplement aussi parce qu’il ou elle ne sait pas encore qui il ou elle est vraiment, il ou elle ne s’est pas encore rencontré(e)… C’est subtil ce que je dis.

Le jour où l’on se rencontre enfin soi-même, parce qu’on aura rencontré Dieu ou vice-versa, on comprend alors aussitôt pourquoi Dieu est infiniment plus qu’un simple Créateur de l’Univers. On comprend alors ce que cela veut dire que DIEU EST, ce que veut dire qu’il est l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses et de TOUS les êtres, la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga.

Si l’on a compris que Dieu est TOUT, le Grand TOUT, l’Alpha et l’Oméga, oui si l’on a juste compris le sens de la phrase: « Je SUIS l’Alpha et l’Oméga » (Apocalypse 1: 8; 21: 6; 22: 13), alors on a compris une chose simple: « Dieu est nous », donc « On est Dieu », autrement dit on est l’un de ses infinités de visages de son ETRE.

Et alors aussi on a compris une autre simple vérité: Dieu est le Créateur de l’Univers, certes, il est le Créateur de toutes choses, certes, mais il est AUSSI la création, chacune des choses créées.

Mais seulement ces choses, ces créations, ces créatures, n’ont pas le même niveau de conscience de leur nature divine. Autrement dit elles n’ont pas le même niveau de connexion avec l’Etre Suprême. Il y a par exemple la cendre ou les cailloux, qu’on peut s’autoriser à penser qu’ils n’ont même pas conscience qu’ils existent… Puis il y a les végétaux et les arbres qui commencent  à peine à développer une forme de conscience. Puis il y a les animaux, comme par exemple les moutons qui broutent de l’herbe dans un pré, qui ont déjà un niveau de conscience plus élevé que celui de l’herbe qu’ils broutent. Mais quant à leurs parler de Dieu ou d’être avec Dieu, c’est pas encore ça pour le moment.

Et on arrive à la conscience humaine, et là encore toute une grande graduation dans le niveau de conscience. Il y a les athées, qui nient l’existence de Dieu, et donc nient leur propre existence, car s’ils savaient ce que le mot Dieu veut dire, ils ne nieraient pas Dieu, car en se regardant dans une glace, ils verraient Dieu dans leur propre visage (voir Psaume 82: 5-7, texte que Jésus cita en Jean 10: 30-39 aux pharisiens pour leur montrer à quel point ils ignoraient la nature divine, et donc leur propre nature, et donc à quel point ils ne reflétaient pas Dieu, mais plutôt le Diable, l’esprit de Négation).

Et il y a les croyants, un niveau de conscience divine supérieur à celui des athées. Ils savent donc que Dieu existe, sauf que pour eux, il n’est juste que le Créateur de l’Univers, donc séparé de l’Univers qu’il a créé. Il n’EST PAS à la fois cet Univers, oui ils ont une connaissance de Dieu, certes, mais un DIEU qui N’EST PAS… Ils ont encore un chemin de conscience à faire pour qu’ils rencontrent le DIEU qui EST. Et alors ils se seront enfin rencontrés eux-mêmes…

Puissiez-vous comprendre ce que je vous explique, et puissé-je avoir contribué à votre rencontre avec le DIEU qui EST TOUT, oui qui EST l’Univers TOTAL, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga. Il EST TOUT, donc en particulier il EST n’importe quel Univers, même négatif et mauvais, comme le nôtre présentement. Car peuplé de tout un tas d’êtres et d’entités de Négation, dont celle connue sur terre sous le nom de Satan. Donc DIEU EST même ça aussi, puisqu’il EST TOUT, l’Alpha et l’Oméga, il est l’ETRE!

Et à plus forte raison il est l’Univers TOTAL, terme dont le but est précisément d’exprimer l’idée que DIEU est le Grand TOUT, toute chose, tout être. Il n’y a que ceux qui n’ont pas encore compris cette définition qui peuvent continuer à croire que Dieu n’existe pas. Ou qui croient qu’il existe mais n’ont pas compris qu’il se crée lui-même, et crée tout. Donc il est créé comme toute chose, sauf qu’il est celui qui se crée.

Si vous jetez un coup d’oeil au site http://hubertelie.com, profitez tant que vous y êtes pour regarder l’image d’une structure FRACTALE, et vous comprendrez tout. Il y a des images de fractales par exemple à la page:
La Structure Fractale : la clef de la compréhension de l’Univers:
https://hubertelie.com/u_phy_scien-fr-410-000-fractal-clef-univers.html

Une structure fractale est en elle-même, et hors d’elle-même, est avant elle-même, et après elle-même. Elle est plus grande qu’elle-même, et plus petite qu’elle-même, tout en étant toujours égale à elle-même. C’est ça la nature et la logique de l’Univers TOTAL dont je parle, c’est donc aussi l’Univers FRACTAL. C’est ce qui fait donc que c’est la définition scientifique de la notion de DIEU.

Le DIEU qui EST TOUT, en lui-même, hors de lui-même. Le Dieu qui EST avant lui-même et après lui-même. Le DIEU qui est plus grand que lui-même et plus petit que lui-même tout en étant toujours égal à lui-même. Le DIEU qui se crée lui-même, qui est donc le Créateur de TOUT, et la Création, tout simplement parce qu’il EST le TOUT en question.

Voilà j’espère avoir expliqué le concept d’Univers TOTAL, et que ce qui est le plus important dans cette expression, c’est le mot « TOTAL » bien écrit tout le temps en MAJUSCULE. La MAJUSCULE de la MAJESTE…

A toute lectrice et tout lecteur qui comprendra enfin la notion scientifique de Dieu et dépassera le stade de la croyance et de l’incroyance en Dieu pour entrer dans l’ère de la Science de DIEU, lumière et paix de Dieu sur elle, sur lui.

Hubertelie, le 06/09/2023


« Le visage de Dieu », et « Dieu, la science, les preuves »

Pour compléter la réponse donnée à Léviathan 2023

Pour compléter ma réponse au tweet de Léviathan 2023, il me faut parler du livre que ce tweet évoque: le livre de Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies intitulé: « Dieu, la science, les preuves. L’aube d’une révolution ». Il a un certain succès, et il s’agit maintenant d’analyser pourquoi. Et de manière générale parlons de ce genre d’ouvrages, dont il y aurait beaucoup à dire.

Il y a bien des années déjà, les frères Bogdanov ont publié un livre du même genre: « Le visage de Dieu »:

L’avant-propos de cette édition
est de Robert W. Wilson, Prix Nobel de physique.

Je travaille depuis plus de 20 ans maintenant à un Nouveau Paradigme scientifique, la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu, qui non seulement n’exclut plus Dieu, comme à l’ère du scientisme qui est en train de vivre ses dernières heures, mais repose sur le conception de DIEU désormais défini scientifiquement, et qui est le concept d’Univers TOTAL, concerné par le tweet de Léviathan 2023. Voir:
–> L’Univers TOTAL, le nouveau Paradigme de la Science;
–> La fin du mythe selon lequel Dieu ne peut être objet de science exacte.

A présent donc la notion de Dieu reçoit une définition scientifique, elle est en train de s’exprimer scientifiquement, et même plus que cela, quand Dieu est tout simplement en train de se montrer dans le monde. En même temps que le Diable, qui se montre lui aussi de plus en plus clairement et concrètement dans le monde. En effet, le satanisme est de plus en plus décomplexé, et l’idéologie luciféro-satanique déferle sur le monde, et notamment en Occident.

Nous vivons dans un système satanique. Et maintenant ce qualificatif ne surprendra plus personne, par les temps qui courent, à l’ère des LGBTQ et Transgenrisme imposés comme nouvelle religion.

Sans parler du Covidisme, du Climatisme, de toutes les nouvelles religions et tyrannies, imposées par ce qui est tout simplement une Secte mondiale et mondialiste!

A l’heure donc des révélations de pédophilie, de pédosatanisme, de trafic d’enfants, etc.,
que dénoncent les films comme Sound of Freedom, mais films censurés sur Netflix entre autres, alors que sont promus les films faisant l’apologie de la pédophilie, du satanisme, etc.

Tout est là donc, et on ne pourra plus dire qu’on ne voit pas Satan de nos yeux,

qu’on ne sait pas quelle est la nature profonde du monde ou du système actuel, notamment occidental.

Il faut comprendre une simple vérité: Dieu et Diable sont les deux faces opposées d’une même médaille. Là où on voit l’un, il suffit de retourner la médaille et on voit l’autre, et vice-versa. Si donc le Diable se montre à ce point et de plus en plus ouvertement dans le monde, c’est que Dieu est dans le monde aussi, et fait son travail. Et le travail de Dieu commence toujours par un travail de vérité et de lumière, notamment sur Dieu et sur le Diable. Le Diable cache toujours les deux, car il sait que faire la lumière sur Dieu c’est le démasquer, or il incarne le MENSONGE et préfère agir dans l’ombre et les ténèbres. Si donc il se montre, c’est qu’en fait il n’a pas le choix, et c’est Dieu qui, tout en se dévoilant progressivement dans le monde, dévoile aussi l’autre face de la médaille, à savoir le Diable. Et en ce sens, ce livre « Dieu, la science, les preuves« , s’inscrit dans ce travail divin global de vérité et de lumière.

Si l’on voit donc Satan se montrer partout, à la télévision, dans le showbiz, dans les écoles, dans la rue, sur Netflix, et j’en passe, et que l’on ne voit pas Dieu, c’est qu’on ne sait pas retourner la médaille pour le voir, ou alors on ne regarde pas dans la bonne direction. Il suffit donc maintenant juste de bien s’y prendre pour voir DIEU et DIABLE dans le monde! Dans ces conditions, quand donc Dieu se montre et montre le Diable, la question de Dieu et du Diable ne se pose plus en terme de croyance ou d’incroyance. Chacun et chacune doit maintenant simplement s’identifier soit à Dieu soit au Diable, et basta!

Tout livre ou toute oeuvre qu’on ferait désormais doit avoir pour but de MONTRER Dieu et le Diable, et non plus de « démontrer » de manière théorique ou abstraite leur existence. Quand j’ai commencé la Science de l’Univers TOTAL le Nouveau Paradigme, ou Science de Dieu, il y a 20 ans (j’écris les présentes ligne en septembre 2023), Dieu et Diable n’étaient pas aussi manifestes dans le monde que maintenant. Il fallait encore démontrer leur existence, ce qui est de moins en moins nécessaire, et laisse la place au fait de montrer leur existence. Mais je comprend que pour beaucoup il faut encore leur apporter des preuves théoriques.

Le mieux c’est qu’il y ait les deux, le DÉMONTRER et le MONTRER, et ne pas tomber donc dans un ultime piège du Diable, en Science de Dieu nous nommons la « stratégie du moindre mal pour le Diable », ou encore la « stratégie du sacrifice de la queue du lézard ». Cela vient du fait que la plupart des lézards (notamment les geckos par exemple), ont la faculté que quand un prédateur les saisit par la queue pour les manger, ils se débarrassent de la queue, la sacrifiant donc au prédateur, pour s’enfuir, sauvant ainsi le reste du corps. De toutes les façons une nouvelle queue poussera, ce qui est aussi une caractéristique des lézards. C’est donc une « stratégie du moindre mal », pour éviter le mal ou le pire.

De la même façon, jusqu’à présent le Diable, le grand Lézard, et ses sciences, niaient Dieu et donc aussi l’existence du Diable et des démons. Et maintenant que Dieu par sa Science les saisit par la queue pour les jeter en Enfer, ils commencent à concéder de petites vérités de Science de Dieu, autrement dit que la science démontre un tout petit peu Dieu. Et ils font tout pour que les gens se tournent au maximum vers ces petites vérités qui sont les queues du Lézard et des lézards, pour ne pas aller vers la grande Vérité, la Science de Dieu, ce qui serait pire pour le Diable et les siens, les « lézards » de l’exemple donc. Et tout simplement, les démonstrations ou preuves théoriques de l’existence de Dieu sont lâchées pour que les gens n’aient pas leurs regards tournés vers Dieu qui se manifeste dans le monde, et sur le Diable par la même occasion, car forcé par Dieu à se manifester.

Il y a 20 ans, le mathématicien et physicien de formation que je suis, et enseignant de mathématiques et sciences que j’étais avant de choisir de travailler à plein temps à un Nouveau Paradigme scientifique, appartenait à une certaine organisation religieuse bien connue, les Témoins de Jéhovah pour ne pas les nommer, et que d’aucuns considèrent à juste raison sur certains points comme étant une « secte ». Cependant je tiens à préciser que le système satanique agite les petites sectes et parfois juste des religions déviantes ou extrémistes sur certains points, comme justement les Témoins de Jéhovah, et tout cela pour cacher en réalité les vraies sectes ou les pires du monde!

Les Témoins de Jéhovah eux au moins défendent la cause de Dieu, de Jésus, ils prêchent La Bible, la Parole de Dieu, ils prêchent les valeurs chrétiennes, familiales, les valeurs morales. Leurs problèmes sont essentiellement de deux ordres:

1) Certaines de leurs doctrines et interprétations de la Bible sont erronées, erreurs qui viennent de leurs idéologues au sommet de l’organisation. Ce sont ces erreurs doctrinales que je mettais en évidence chez eux il y a 20 ans, comme de manière générale je mets en évidence les erreurs doctrinales des croyants en général, comme je vais encore le faire après pour la conception de Dieu selon Léviathan 2023, oui c’est pour cela qu’ils m’ont exclu il y a 20 ans donc, et depuis je suis un parcours en dehors de toute structure religieuse, sans non plus être devenu anti-religieux. Je considère tout croyant ou toute croyante authentique comme un frère ou une soeur. Simplement, je ne me laisse plus enfermer dans une structure doctrinale, mon approche de la question de Dieu étant désormais scientifique.

2) Le second problème des Témoins de Jéhovah, c’est le comportement sexuellement déviants de certains dirigeants, et cela n’est pas propre à eux, loin de là! c’est un grave fléau qui se généralise dans tout l’univers chrétien et même des croyants, et cela vient en grande partie à de fausses conversions mais vraies infiltrations de loups au milieu des brebis. Et comme les Témoins de Jéhovah ont fait de la vertu leur marque et argument de « marketing » (le mot est un peu exagéré mais il a une certaine pertinence), par lesquels ils tiennent absolument à être distingués des autres religions et notamment de ce qu’ils appellent la chrétienté (en première ligne l’église catholiques, ses déviances et ses hérésies doctrinales, du coup la mise en évidence des mêmes travers chez eux que chez les autres religions les mets beaucoup mal à l’aise. Leurs habits de vertueux en prennent une grosse salissure, et leur image à laquelle ils tiennent beaucoup s’en trouve ternie par ces révélations. D’où leur tendance à vouloir étouffer les réalités pour sauver l’image. Cela ne part pas nécessairement d’une mauvaise intention, mais le mal est là.

Contrairement à beaucoup d’anciens membres qui après leur rupture avec cette religion (pour moi c’est une religion, spéciale, certes, mais une religion, l’image de « secte » qui leur est collée est du fait d’un système bien pire, la Secte des sectes, qui a besoin d’indexer d’autres pour se poser en référence), oui contrairement à beaucoup d’anciens membres, je ne leur jette pas la pierre comme s’ils étaient les pires du monde. Pour autant, je ne les laisserai pas dire qu’ils sont les meilleurs, comme ils le prétendent dans leurs narratifs. Il y a mieux qu’eux, il existe bel et bien une vie après la vie de Témoin de Jéhovah, une Vérité après leur « vérité ». Cependant j’ajoute cette chose très importante: si vous n’avez le choix qu’entre être Témoin de Jéhovah et être sataniste, un adepte de la religion LGBTQ, Transgenrisme ou autres, ou avoir le cerveau complètement lavé par la grande Secte mondialiste, alors soyez Témoin de Jéhovah!

Avec eux, même si ce n’est pas le top, vous êtes beaucoup plus près de Dieu. Mais avec la Secte mondialiste de Klaus Schwab, des Yuval Noah Harari, des Bill Gates, etc., vous êtes carrément dans le temple de Satan!

Cela ressemble à une assemblée des Témoins de Jéhovah, cela semble plus « normal », plus « fréquentable », etc., alors qu’en fait c’est l’idéologie la plus mortelle et la plus mortifère qui ait jamais existé sur cette terre! C’est elle qui est martelée dans les médias du monde, notamment israélo-occidental, c’est elle dont on abreuve tout le monde à longueur de journée, dans la rue, dans les magasins, au cinéma, sur Netflix, etc. Sauf à vous enfermer dans une grotte (et encore), vous ne pouvez pas y échapper. C’est donc bien pire qu’une SECTE, puisque vous n’avez aucun choix.

Ces gens décident de tous les aspects de votre vie, sans demander votre avis, et vous n’avez pas votre mot à dire! Ce sont eux qui trafiquent les virus dans leurs laboratoires de MARDE (comme le disent nos amis québécois), créent des pandémies qui sont des plandémies, des maladies pour leurs plans maléfiques! Ils décident de vous emprisonner chez vous, avec un couvre-feu, soit disant pour votre protection sanitaire, mais en réalité pour leur régime satanitaire! Ils décident des venins de serpents appelés « vaccins » soi disant pour vous protéger mais en réalité pour accomplir leur agenda de réduction de la population mondiale, leur agenda génocidaire! Voir: Génocide de 90% de la population mondiale: agenda du Nouvel Ordre Mondial.

A ce niveau c’est infiniment pire qu’une secte, on ne parle plus de sectes, mais d’autre chose! Vous êtes tout simplement dans le temple de Satan, on a affaire à des démons nés humains, oui à Satan incarné sur terre (voir Apocalypse 12: 7-12).

Tout le monde, en tout cas tous les enfants de Dieu, ont leur vie régentée par cette SECTE satanique, cette SECTE des sectes, y compris les Témoins de Jéhovah, qui en sont victimes comme tous les autres. Seuls les démons nés humains de haut calibre y trouvent leur compte, car ils bénéficient de l’énergie vitale, l’énergie divine ou énergie universelle ou esprit saint (voir les pages qui traitent de ce sujet de l’unergie ou énergie universelle) que le système satanique vampirise aux enfants de Dieu. C’est le mot, à savoir le vampirisme énergétique. Ceux qui paient l’addition, ce sont toutes les personnes plus ou moins connectées à Dieu.

Donc si vous n’avez le choix qu’entre être Témoin de Jéhovah et être totalement sous l’emprise de la grande Secte satanique mondiale, alors soyez Témoin de Jéhovah, en attendant que nous réglions le grand problème de Satan. C’est de cela qu’il s’agit à présent, et plus de savoir si Dieu existe ou pas, ou si le Diable existe ou pas. Là où on voit clairement Satan maintenant, là aussi Dieu est forcément à l’oeuvre. Entre Satan et une religion qui vous connecte au moins un peu à Dieu, préférez cette religion, c’est le moindre mal. Mais le mieux est de nous accompagner dans le travail de Science de Dieu.

Pour revenir au sujet initial, celui des livres du genre de celui des frères Bogdanov, « Le visage de Dieu », et maintenant du livre « Dieu, la science, les preuves » de Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies, le mouvement religieux dans lequel j’étais, les Témoins de Jéhovah donc, produisait (et produit encore) des livres du même genre, pour démontrer l’existence de Dieu, en potassant les meilleurs arguments scientifiques en faveur de l’existence de Dieu. On a beau reprocher tout ce qu’on veut aux Témoins de Jéhovah, ils ont (en tout cas de mon temps, et j’espère que c’est toujours le cas) une bonne équipe intellectuelle pour butiner littéralement des informations précieuses dans tous les domaines, y compris scientifiques. Et tout cela pour alimenter leurs publications, notamment la revue à l’intention du grand public et pour attirer les gens vers leur organisation, notamment leur périodique nommé Réveillez-vous!

Dans cette organisation (ma congrégation ou mon église d’alors) ma fonction était même le service des publications, et donc je connaissais très bien ce type de livres et surtout les arguments scientifiques employés en faveur de l’existence du Dieu créateur de toutes choses. Il y a plusieurs catégories d’arguments, dont deux principales:

a) Les arguments des réglages de grande précision des constantes universelles: la vitesse de la lumière (c), la constante de Planck (h), la constante de gravitation (G), etc., mais aussi les masses des particules élémentaires, comme le proton, le neutron, l’électron, ainsi que leurs charges électriques en coulomb, etc. Pour chacune de ces constantes et d’autres, il suffit d’une variation infinitésimale, pour que non seulement la vie telle qu’on la connaît n’existe pas, et surtout l’univers tel qu’on le connaît n’existe pas, mais soit un ensemble informe, une sorte de « néant », d’enfer ou de lieu de ténèbres. L’argument en faveur de l’existence de Dieu est donc de dire qu’il faut une intelligence qui a fait ce dosage fin et de précision extraordinaire, pour que l’univers existe avec les propriétés que nous connaissons, mais puisse évoluer jusqu’à produire la vie des êtres comme les humains.

b) Les arguments de la deuxième catégorie sont les arguments probabilistes, les arguments anti-hasard, qui mettent à mal essentiellement la théorie darwiniste de l’évolution. Car ce n’est pas tout d’avoir un univers capable de produire la vie, mais il faut en plus tout un grand nombre de facteurs concourant dans ce but. Comme par exemple un soleil (ou étoile) ayant les bonnes caractéristiques, une planète aussi, pas trop solide, pas trop gazeuse, à la bonne distance du soleil, donc pas trop chaude, pas trop froide, ayant de l’eau, du carbone, etc. Il suffit d’un chouia qui manque et tout peut être compromis. La probabilité donc qu’on ait un système solaire et une terre qui cumulent tous ces facteurs, est incroyablement faible. Même en faisant jouer l’argument statistique, à savoir les milliards de galaxies dans l’univers, et chacune comportant des milliards d’étoiles, de systèmes solaires. Alors la probabilité qu’une planète gagne le gros lot dans le tas est non seulement non négligeable, mais la possibilité qu’il y ait même des millions voir des milliards de planètes avec des formes de vie, est grande.

L’athéisme aime ce genre d’arguments statistiques, qui, selon lui, rend inutile l’hypothèse d’existence d’un Créateur. Et plus récemment, face à la multiplication de nouveaux éléments mettant à mal l’athéisme et relançant l’idée de l’existence d’une intelligence derrière tout cela, la pensée athée croit pouvoir encore rendre inutile l’idée de Dieu, en mettant tous ses espoirs sur les multivers, une idée très en vogue. Leur argument est qu’il existe une infinité d’univers (ce qui est exact, c’est un théorème banal dans la Science de l’Univers TOTAL, à savoir qu’il est infini, donc comporte une infinité d’univers), et donc que la probabilité que dans le tas il existe un univers spécial dans lequel toutes les conditions sont réunies pour qu’il existe un monde comme le nôtre, est grande. Nous serions donc les heureux gagnants d’une simple loterie cosmique, donc nul besoin d’un « Dieu créateur » de notre univers.

Ceci montre la faiblesse de la conception de Dieu comme étant le créateur de l’Univers, comme je le dirai dans ma réponse à Léviathan 2023. Tant qu’on reste cloisonné dans cette définition de Dieu, l’athéisme aura de beaux jours devant lui, car tous les arguments de réglage des constantes, de la convergence d’un grand nombre de facteurs pour aboutir à la vie que nous connaissons, finiront tôt ou tard par montrer une faille, avec de nouvelles découvertes scientifiques. Seule une définition de Dieu comme étant l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses et de TOUS les êtres, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, oui le Grand TOUT, l’INFINI, met définitivement KO l’athéisme et sa fuite en avant avec l’argument statistique. C’est-à-dire l’argument du grand nombre, qui offre une probabilité d’existence de notre monde, sans la nécessité d’un Dieu Créateur.

En effet, cet argument statistique repose sur un axiome implicite selon lequel la notion de DIEU et la notion de GRAND NOMBRE, n’auraient aucun rapport l’un avec l’autre. Mais si ce Grand NOMBRE dans lequel l’athéisme croit pouvoir trouver refuge, a un lien avec la bonne définition scientifique de Dieu, c’est raté pour eux. Et manque de pot pour eux donc, le concept d’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, est précisément la notion scientifique de DIEU, et il est aussi l’Infinité, le Grand NOMBRE dont nous parlons.

Autrement dit, les multivers sur lesquels comptent des athées pour espérer se passer de DIEU, ne sont même pas encore assez le Grand NOMBRE, le Grand TOUT, la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, qui définit pleinement DIEU scientifiquement! Manque de pot donc pour eux, plus on fait appel au Grand NOMBRE, au concept d’INFINI, plus on se rapproche de la notion scientifique de Dieu! Pour plus de détails voir le livre PDF: Générescences, Nombres entiers variables, Corps omégacyclique et Division omégacyclique par Zéro, mais aussi: L’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga.

Quelle ne fut donc pas ma surprise ou ma déception de constater que le type d’arguments qui font maintenant des livres à succès, comme « Le visage de Dieu » ou « Dieu, la science, les preuves », etc., sont ceux que les Témoins de Jéhovah employaient depuis un demi-siècle dans leurs livres! Il y a 20 ans, j’avais connaissance et avait géré au stand des publications les dernières versions de l’époque, comme par exemple: « La vie: comment est-elle apparue? Evolution ou création? ». Quand j’étais encore dans l’organisation, il a été complété et mis à jour par un autre livre dont je ne me rappelle plus le titre. C’est quelque chose du genre: « Y a-t-il un Créateur qui se soucie de vous ? »

Enfin bref. A l’époque, les livres étaient distribués gratuitement, et même nous faisions une campagne de porte à porte pour les proposer, tout ce qui était demandé aux gens est de les lire, et si possible, d’accepter des discussions sur ces livres et mieux encore, une étude biblique gratuite, le but étant bien sûr à terme que les gens rejoignent l’organisation. Mais proportionnellement à la quantité phénoménale de livres, de périodiques, de brochures et de tracts distribués gratuitement, et aussi au temps consacré aux gens pour discuter avec eux et étudier la Bible, peu vont jusqu’au bout du processus de devenir Témoin de Jéhovah, et ce n’est pas la condition pour recevoir toute cette aide, en tout cas à mon époque.

Le grand public en large majorité ne voulait pas de ce qu’on leur proposait, même gratuitement pendant longtemps, puis contre une modeste contribution quand les temps devenaient financièrement plus difficiles pour l’organisation. Il faut dire que la charge du financement reposait essentiellement sur les membres, et les derniers temps que j’étais dans l’organisation, un prix était fixé en interne pour chaque publication (modique, certes, mais il était fixé) et le membre devait acheter les publications pour sa campagne de publication.

A lui de se débrouiller pour les écouler en prédication, se faire partiellement rembourser en demandant aux gens une contribution à la hauteur du prix d’achat en interne de la publication. S’il n’écoulait pas son stock ou ne se faisait pas assez rembourser son achat, il en avait pour ses frais, une forme d' »offrande » donnée à l’organisation, en plus de l’offrande classique.

Je ne pense pas que tout cela était fait pour « exploiter » les membres selon l’image des « sectes » qui colle à cette religion, mais j’y vois plutôt une faille spirituelle (oui un manque d’Esprit Saint) et de foi, qui fait qu’on en vient à remplacer ce qui devait être le fruit de bénédiction spirituelle par des méthodes humaines. L’organisation avait trouvé le moyen d’entrer dans ses frais (car les publications ont un coût), en faisant porter plus la charge sur les membres, par tout un tas de moyens subtils pour forcer un peu la main.

On maintient l’illusion des bénédictions de l’Esprit Saint, ce qui devait être le cas s’il n’y avait pas des fautes spirituelles à la base. Mais en réalité ce sont souvent des méthodes humaines qui compensent le manque de bénédiction spirituelle réelle. L’organisation était évidemment bénie dans une certaine mesure, comme les religions en général, un tant soit peu sincères. Mais ce que je veux dire est qu’elle aurait pu être bénie davantage si elle n’avait pas certains fonctionnements contraires à la Bible. Comme par exemple être une organisation assez verticale et pyramidale, où tout vient des dirigeants au sommet, appelés « esclave fidèle et avisé » ou les « chrétiens oints de l’Esprit saint », mais qui en réalité sont les membres influents du siège de l’organisation, le « collège central » à New York.

Le membre de base n’est pas censé être « oint de l’Esprit saint », mais être juste un membre de la « grande foule des autres brebis », qui doit passivement être dirigé par les « chrétiens oints » au sommet, qui seuls auraient l’Esprit saint pour diriger l’organisation. En 2004, ils recensaient environ 10 000 de ces « chrétiens spéciaux », censés être le reste des 144 000 chrétiens oints choisis depuis la Pentecôte de l’an 33. Leur choix serait terminé en 1935, et depuis les nouveaux chrétiens seraient les « autres brebis », qui n’auraient donc pas l’Esprit de Dieu requis pour contribuer au progrès spirituel de la communauté. On se demande alors avec quoi je fais la Science de Dieu depuis 20 ans, si ce n’est pas un don spécial de l’Esprit saint.

Or la Bible, notamment le Nouveau Testament, dit simplement que toute personne qui croit vraiment en Jésus naît de nouveau (Jean 3: 1-16; Romains 8: 14-21) et reçoit un don spirituel pour l’édification de l’assemblée, vu comme le Corps du Christ (1Corinthiens chapitre 14). Ceci est fondamental dans le fonctionnement de ce qui est appelé l’Esprit Saint, mais que Dieu révèle à présent par sa Science que c’est l’Energie Universelle, qui EST TOUT et FAIT TOUT, et qui est synonyme de DIEU lui-même, et qui est aussi la Parole ou le Verbe (voir Jean 1: 1), ce qu’en langage du troisième millénaire nous appelons l’INFORMATION, car TOUT et ABSOLUMENT TOUT est INFORMATION!

A l’ère de l’information donc, Dieu par sa Science donne à comprendre le vrai sens des notions bibliques, à commencer par la définition scientifique de la notion de Dieu lui-même. On passe ainsi de l’ère de la croyance en Dieu à la pleine connaissance de Dieu, à l’UNION avec l’Etre Divin. C’est le don de l’Esprit que j’ai reçu (Jean 16: 7-15) pour l’édification de la communauté des enfants de Dieu, et qui consiste à expliquer la nature profonde de Dieu, de son ESPRIT, de sa PUISSANCE, de son POUVOIR, de son ENERGIE. L’ENERGIE Universelle ou UNERGIE donc, celle qui EST TOUT et FAIT TOUT. Et c’est la PAROLE, le VERBE, l’INFORMATION (Jean 1: 1). Et elle est synonyme de Vérité, selon ce que Jésus dit en Jean 8: 32: « Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous libèrera ». La clef est là.

Quand on a vraiment l’Esprit de Dieu, quand on fonctionne avec la Parole de Dieu, l’Information Divine, et qu’on est guidé par elle dans tout ce qu’on fait, on n’a rien à craindre, et notamment de manquer du matériel, de financement, etc. Cet Esprit est donné à tous ceux et toutes celles qui sont nés de nouveau, nés de l’Esprit donc (Jean 3: 1-16), pour mettre à disposition de tous la sagesse ou le don reçu de Dieu. Ce n’est pas limité à 144 000 personnes. Cette erreur d’interprétation fondamentale dans la doctrine des Témoins de Jéhovah, qui remonte à la genèse même de leur mouvement, en 1870, erreur qu’ils ne veulent pas du tout corriger (aux dernières nouvelles), fera beaucoup de mal à l’organisation et freinera grandement beaucoup de bénédictions. Comme par exemple être abondamment béni par l’extraordinaire connaissance de Dieu qu’est la Science de Dieu. Au lieu de cela, ils sont dans une stagnation doctrinale hallucinante.

Quand on est dans une si grande carence d’Esprit Saint, de Parole de Dieu, d’Information Divine, de Vérité et de Lumière, on en vient à compenser avec les moyens et les méthodes humaines, pour entretenir l’illusion de la grande bénédiction spirituelle. Je le dis sans animosité, mais avec un grand amour pour eux, car je sais qu’il y a des gens vraiment formidables dans cette organisation, que je n’aime pas voir appeler une « secte ». Il y a infiniment pire, comme je le démontre. Le système tout entier est pire qu’une SECTE, mais il est satanique, tout simplement. Ce que je dis, je le dis pour leur plus grand bien, en espérant qu’il se produira un miracle, et qu’un jour cette organisation finira par comprendre sa grande faute, à savoir chasser de son sein l’Esprit de la Vérité (Jean 16: 7+15), c’est-à-dire celui-là même qui est porteur de la Science de l’Esprit! Ils vivotent avec des miettes spirituelles qu’ils prennent pour la grande vérité.

Et voici ce qui peut « consoler » les Témoins de Jéhovah: du côté du système, les ténèbres sont épaisses, et la lumière scientifique sur Dieu arrive à compte goutte. Mais quel ne fut pas ma surprise de voir par exemple les frères Bogdanoff (maintenant décédés, du Covid, paraît-il, à quelques jours d’intervalle…) produire un livre du genre dont nous parlons, à savoir « la science tend à prouver l’existence de Dieu », dans leur cas « Le visage de Dieu ». Et du même genre le livre de Michel-Yves Bolloré: « Dieu, la science, les preuves ».

Leurs « preuves » qui font du succès, sont pour l’essentiel des idées que les Témoins de Jéhovah disaient depuis de nombreuses décennies, de porte à porte, et dans la plus grande indifférence! Je n’ai pas lu ce livre, mais j’ai suivi de nombreuses conférences-vidéos et des débats et analyses sur son contenu. C’est globalement le même type de preuves, sauf que c’est juste mis à jour et dit en langage plus technique que dans les livres des Témoins de Jéhovah. Et le fait qu’un Prix Nobel (pour parler du livre des Bogdanov) écrive l’avant-propos du livre lui donne une notoriété, certes, mais ne le rend pas plus véridique que ce que disaient les Témoins de Jéhovah depuis des décennies.

Que ce soit les Témoins de Jéhovah ou eux, les arguments tiennent quand on ne raisonne que sur la base de l’univers présent, mais souffre dès que l’on commence à employer les arguments du Grand Nombre, avec les multivers par exemple. Oui, l’idée qu’avec tous ces univers, et tous ces mondes dans les univers, la probabilité qu’il y en ait un qui remplisse les conditions attendues, n’est plus négligeable. L’argument d’un réglage fin est anéantie par l’idée qu’avec toutes les combinaisons possibles et imaginables qui existent, il n’y en a qu’une qui présente les bons réglages, d’autres pouvant être infructueuses.

Mais c’est le concept de Dieu l’Univers TOTAL qui balaie toutes ces objections, car là où on croit nier Dieu, au contraire on l’affirme. L’idée de DIEU qui EST TOUT, l’Alpha et l’Oméga, oui le DIEU qui EST, est infiniment plus forte que l’idée de DIEU qui CREE TOUT. Autrement dit, quand le verbe ÊTRE et le verbe CRÉER deviennent synonymes, quand Dieu se créé lui-même et crée toutes autres choses, quand Dieu EST ce qu’il crée et crée ce qu’il EST, cela change tout! En langage technique, ce que nous venons de dire signifie que le DIEU qui EST TOUT donc, est FRACTAL. Il est en lui-même et hors de lui-même, plus petit que lui-même et plus grand que lui-même et est toujours égal à lui-même, il est avant lui-même et après lui-même, et pourtant il est l’éternel présent, il est l’Eternel.

Il ne s’agit pas de spéculations philosophiques, théologiques, etc., mais il s’agit d’une propriété scientifique précise, qui est la propriété FRACTALE (voir La Structure Fractale: la clef de la compréhension de l’Univers).

Hubertelie, le 08/09/2023


Voir aussi:

Les derniers articles publiés sur ce blog Nouvelle Genèse:

La Everything App X est-elle l’amie de la Science de X, de toutes les choses?

La Everything App X (anciennement Twitter) et la Science de X, de toutes les choses, sont-ils du même paradigme?

Article basé sur un Tweet de Hubertelie:
https://twitter.com/AbliBouyo74535/status/1692596133925904629

Source: https://www.hubertelie.com/u_phi_scien-fr-113-000-la-everything-app-X-et-la-science-de-x-de-toutes-les-choses-sont-elles-du-meme-paradignme.html

Voir aussi: Daniel, l’eX Twitter et les Belshazar du troisième millénaire


Sommaire de cette page :

En français

La Science de X, la Science de TOUTES les choses, la Science de l’Univers TOTAL

Ceci en anglais et en français, en utilisant un outil comme ChatGPT, Google Traduction, et des outils de ce genre. Cela sera meilleur avec TruthGPT, j’en suis très certain, mdr!

OK, je vois que vous adorez beaucoup X, moi aussi, vous savez. Et j’ai une importante contribution à apporter au projet de développement de X comme variable existentielle et universelle représentant TOUT. Cela fait plus de 20 ans que je travaille à un nouveau paradigme scientifique, la Science de TOUTES les choses, que j’appelle aussi la Science de l’Univers TOTAL, ou la Science du Grand TOUT.

Techniquement, il s’agit de la Théorie universelle des ensembles, qui apporte les vraies solutions aux paradoxes de la théorie des ensembles de Georg Cantor (1882). Mieux que la théorie axiomatique des ensembles, qui résolvent les paradoxes (comme par exemple le paradoxe de Russell, le paradoxe de Burali-Forti, le paradoxe du menteur, etc.) mais tout cela à un prix trop lourd de mon point de vue: le très grand affaiblissement de la notion universelle d’ensemble et élément!

Or cette notion d’ensemble et d’élément, qui est la clef même du langage et de la compréhension de l’Univers TOTAL, autrement dit le langage scientifique et technologique universel, a besoin d’être… eh bien universel! Si en travaillant avec cette notion il se produit des paradoxes, comme ce qui arriva à Cantor, cela signifie en fait que la logique scientifique avec laquelle on traite cette notion est faible, insuffisante. C’est comme vouloir loger un éléphant dans une boîte d’allumettes. Ce sont les difficultés à faire cette chose qui se traduisent par des paradoxes.

Alors se présentent deux solutions pour résoudre ce problème:

1) Tailler l’éléphant pour qu’il entre absolument dans la petite boîte d’allumettes; c’est ce qu’on a fait dans les années 1920 avec la théorie axiomatique des ensembles de Zemelo-Fraenkel, appelée ZF ou ZFC avec l’axiome du choix;

2) Elargir la boîte autant que nécessaire pour que l’éléphant puisse entrer tout entier dedans; c’est la solution que j’ai choisie d’adopter dès 2003, avec la Théorie universelle des ensembles, qui s’est développée depuis et que j’appelle maintenant la Science de l’Univers TOTAL, ou Science de TOUTES les choses, ou Science de l’eXistence, ou Science de X, en anglais X Science.

La boîte d’allumettes trop étroite pour traiter la notion universelle d’ensemble, c’est l’actuelle logique classique, héritée d’Aristote (300 ans avant Jésus-Christ), et qui n’est plus suffisante pour faire la Science de l’Univers, notamment de l’Univers TOTAL, la Réalité TOTALE, et donc comprendre toutes les réalités qui existent, le connues et les inconnues!

Et la logique plus large que celle d’Aristote pour traiter de la notion universelle d’ensemble, est la logique fractale. Avec elle, on élargie la boîte d’allumettes pour que l’éléphant y entre, et il n’y a plus de paradoxes. C’est alors la Théorie universelle des ensembles.

Mais si, comme on l’a fait, on taille l’éléphant pour qu’il entre dans la petite boîte, on a aussi « résolu » le problème, mais alors l’éléphant ayant été taillé, n’est plus vivant, et la boîte dans laquelle on l’a casé s’appelle alors un cercueil ou une tombe.

Le mot clef de cette Science est… X, la variable existentielle et universelle, exactement comme on l’utilise couramment en mathématiques, en algèbre, dans les équations.

Comme par exemple: 2X² + 5X – 3 = 0.

Mais dans la Science de TOUTES les choses, ou Science de l’Univers TOTAL, ou la Science du Grand TOUT, la variable X est infiniment plus générale que son sens dans l’algèbre habituelle.

X veut dire Chose;
X veut dire eXistence!
X veut dire Information;
X veut dire Nombre;
X veut dire Donnée;
Bref, X veut dire TOUT!

Donc la Science de TOUTES les choses, ou Science de l’Univers TOTAL, ou la Science du Grand TOUT, c’est la Science de X, en anglais X Science, comme je l’appelais de 2006 à 2009, avant de préférer Science de l’Univers TOTAL, exactement comme vous préférez X à Twitter. Mais comme je l’ai dit dans plusieurs tweets, j’aime aussi la symbolique de l’Oiseau, de préférence de couleur bleue ou blanche, car les oiseaux noirs sont des oiseaux de mauvais augure, ils portent malheur, lol. Ils représentent les démoncrates…

Mais bon, ne soyons pas sectaires comme ils le sont, mais soyons universels, justement. Pour ne fâcher personne donc, déclinons X dans toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, ou visibles et invisibles. Mais la couleur principale sera soit le blanc symbole de lumière, de vérité, de pureté, ou le bleu comme le ciel, symbole du divin.

X eXistera donc dans toutes les couleurs. Les démoncrates seront libres de ne voir en cela que le LGBTQXYZ ou de n’incarner que la couleur noire, symbole de la nuit et des ténèbres, s’ils le veulent. Mais pour nous, X signifiera simplement TOUTES les couleurs de l’Univers TOTAL, pour représenter donc TOUTES les choses de l’Univers TOTAL, chaque chose étant vue comme étant une couleur.

Nous sommes TOUTES choses, TOUTES les couleurs, nous sommes TOUT, ce que signifie la couleur BLANCHE, qui en synthèse additive est la somme de toutes les couleurs!

Comme, à ce que j’ai compris, vous voulez faire une Application qui fait TOUT, je pense que cette Science fondamentale à laquelle je travaille
depuis plus de 20 ans donc, sera un grand outil pour vous, pour nous. Je me tiens à votre disposition pour vous exposer cela.

Voir, s’il vous plaît, ces liens de PDF en français:

— La Théorie des Univers, l’ancêtre de la Théorie universelle des ensembles et de la Science de l’Univers TOTAL:
https://hubertelie.com/alter/theorie-des-univers-ancetre-de-la-theorie-universelle-ensembles.pdf

— L’Univers TOTAL l’Alpha et l’Oméga:
https://hubertelie.com/alter/univers-total-alpha-et-omega.pdf

— Générescences, Nombres entiers variables, Corps omégacyclique et Division omégacyclique par Zéro:
https://hubertelie.com/alter/Generescences-Entiers-variables-et-Structure-de-Corps-omegacyclique.pdf

Hubertelie, le 18/08/2023


Based on a Tweet of Hubertelie:
https://twitter.com/AbliBouyo74535/status/1692596133925904629

The Science of X, the Science of ALL things, the Science of the TOTAL Universe

This in English and in French, using a tool like ChatGPT, Google Translation and tools like that. It will be better with TruthGPT, I’m very sure, lol!

OK, I see you love X a lot, me too, you know. And I have an important contribution to make to the project of developing X as an existential and universal variable representing EVERYTHING. For more than 20 years I have been working on a new scientific paradigm, the Science of ALL things, which I also call the Science of the TOTAL Universe, or the Science of the Great ALL.

Technically, it is Universal Set Theory, which provides the real solutions to the paradoxes of Georg Cantor’s (1882) set theory. Better than axiomatic set theory, which solves paradoxes (like for example Russell’s paradox, Burali-Forti’s paradox, liar’s paradox, etc.) but all this at too heavy a price from my point of view: the very great weakening of the universal notion of set and element!

However, this notion of set and element, which is the very key to the language and understanding of the TOTAL Universe, in other words the universal scientific and technological language, needs to be… well, universal! If in working with this notion paradoxes occur, like what happened to Cantor, this means in fact that the scientific logic with which this notion is treated is weak, insufficient. It’s like wanting to put an elephant in a matchbox. It is the difficulties in doing this thing that result in paradoxes.

So there are two solutions to solve this problem:

1) Cut the elephant so that it absolutely fits in the small matchbox; this is what was done in the 1920’s with the axiomatic set theory of Zemelo-Fraenkel, called ZF or ZFC with the axiom of choice;

2) Widen the box as much as necessary so that the elephant can fit completely inside; this is the solution that I chose to adopt as early as 2003, with the Universal Set Theory, which has since developed and which I now call the Science of the TOTAL Universe, or Science of ALL things, or Science of eXistence, or Science of X, in English X Science.

The matchbox too narrow to deal with the universal notion of set, it is the current classical logic, inherited from Aristotle (300 years before Jesus-Christ), and which is no longer sufficient to make the Science of the Universe, in particular the TOTAL Universe, the TOTAL Reality, and therefore understand all the realities that exist, the known and the unknown!

And the larger logic than that of Aristote to deal with the universal notion of set, is a fractal logic. With it, we widen the matchbox so that the elephant can enter it, and there are no more paradoxes. This is then the Universal Set Theory.

But if, as we did, we prune the elephant so that it fits in the little box, we have also « solved » the problem, but then the elephant having been pruned, is no longer alive, and the box in which it was placed is then called a coffin or a tomb.

The key word of this Science is… X, the existential and universal variable, exactly as it is commonly used in mathematics, in algebra, in equations.

Like for example: 2X² + 5X – 3 = 0.

But in the Science of ALL things, or Science of the TOTAL Universe, or Science of the Great ALL, the variable X is infinitely more general than its meaning in the usual agebra.

X stands for Thing;
X stands for eXistence!
X stands for Information;
X stands for Number;
X means Data;
In short, X means EVERYTHING!

So the Science of ALL things, or Science of the TOTAL Universe, or the Science of the Great ALL, is the Science of X, in English X Science, as I called it from 2006 to 2009, before preferring Science of the TOTAL Universe, just as you prefer X to Twitter. But as I said in several tweets, I also like the symbolism of the Bird, preferably in blue or balche color, because black birds are bad luck birds, they bring bad luck, lol. They represent the Democrats…

But hey, let’s not be sectarian as they are, but let’s be universal, precisely. So as not to upset anyone, let’s decline X in all the colors of the rainbow, or visible and invisible. But the main color will be either white symbol of light, truth, purity, or blue like the sky, symbol of the divine.

X will therefore exist in all colors. The demonctates will be free to see in this only the LGBTQXYZ or to embody only the color black, symbol of night and darkness, if they want. But for us, X will simply mean ALL the colors of the TOTAL Universe, to therefore represent ALL the things of the TOTAL Universe, each thing being seen as being a color.

We are ALL things, ALL colors, we are EVERYTHING, which means the color WHITE, which in additive synthesis is the sum of all colors!

As, from what I understand, you want to make an Application that does EVERYTHING, I think that this Fundamental Science that I have been working on for more than 20 years, will therefore be a great tool for you, for us. I am at your disposal to explain this to you.

Please, see these PDF links in French:

— La Théorie des Univers, l’ancêtre de la Théorie universelle des ensembles et de la Science de l’Univers TOTAL:
https://hubertelie.com/alter/theorie-des-univers-ancetre-de-la-theorie-universelle-ensembles.pdf

— L’Univers TOTAL l’Alpha et l’Oméga:
https://hubertelie.com/alter/univers-total-alpha-et-omega.pdf

— Générescences, Nombres entiers variables, Corps omégacyclique et Division omégacyclique par Zéro:
https://hubertelie.com/alter/Generescences-Entiers-variables-et-Structure-de-Corps-omegacyclique.pdf


Les derniers articles publiés sur ce blog Nouvelle Genèse:

« Un système qui a révélé son véritable visage, très inhumain » – Pamela Obertan

La politologue Pamela Obertan livre une analyse sur l’agenda covidiste et les manipulations de la population

Article basé sur un Tweet de Hubertelie: https://twitter.com/AbliBouyo74535/status/1678226809811263495

Source: https://www.hubertelie.com/u_civ_scien-fr-763-000-un-systeme-qui-a_revele-son-veritable-visage-tres-inhumain.html

Voir aussi: Zelensky le premier corrompu d’Ukraine, devrait s’auto-limoger en premier


https://odysee.com/@Utevadaemia:2/la-politologue-pamela-obertan-de-guadeloupe-decrypte-l-agenda-covidiste:f?r=C5LW7QCbzCBLyJvZK8mobdZ8k9BosHtq
Tweet de réponse à cette émission

Excellente et très éclairante émission avec la politologue Pamela Obertan, qui décrypte le traitement du Covid. Il s’agit en fait de la nouvelle religion covidiste, même si elle n’emploie pas ce terme.

Du moment où l’on a compris que l’on est en présence de la vraie science, encore défendue par des gens comme Didier Raoult, Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude, etc., et de la fausse science, le scientisme, au service des intérêts occultes (politique, pharmaceutique, mondialiste, etc., et dans tous les cas au service de la mort), on a compris aussi qu’il s’agit en fait d’une idéologie, d’une religion, même si le mot n’est pas employé.

Que l’on s’entende bien: en disant cela, je ne suis pas du tout en train d’opposer la science à la religion ou à la croyance ou à la spiritualité. Pas du tout! Mais alors là pas du tout! Car moi-même je suis spirituel, chrétien, et la biologiste Alexandra Henrion-Caude, a une foi catholique, et elle est tout aussi admirable dans son travail scientifique comme dans sa foi, ou l’inverse.

Et elle n’est pas seule, car dans un autre domaine, par exemple journalistique et d’investigation et aussi cinématographique, on a des gens comme Pierre Barnérias, réalisateur du documentaire Hold-Up et les suivants, qui sont croyants aussi. Ce qui ne les empêche pas d’exceller dans leur domaine technique, car contrairement à tout ce qui a été enfoncé dans les crânes par la religion scientiste, la vraie science et la foi ne sont pas incompatibles.

Car qu’est-ce que la foi, au fond, sinon la conviction que quelque chose existe, et que les sciences actuelles, avec leurs hypothèses, leurs principes, leurs axiomes, leur méthodologies, leurs paradigmes, etc., sont incapables de prouver. Pour le scientisme, les hypothèses scientifiques actuelles, ses principes, ses axiomes, ses méthodologies, ses paradigmes, etc., sont absolus et définitifs, et quiconque les remettrait en question, les interrogerait, serait forcément dans l’erreur.

Or il n’y a rien de plus anti-scientifique que cette idéologie, qui du coup est un système religieux, et notamment de religion négative, de religion de la Négation, comme je le dis en Science de Dieu. Car alors, les hypothèses scientifiques, les principes, les axiomes, etc., qui sont juste des outils de travail scientifique, perfectibles, deviennent des fins en soi, des dogmes d’une religion, qui est précisément le scientisme!

C’est cette religion-là, le scientisme donc, que ses adeptes appellent la « science » et imposent de force, selon des méthodes qui rappellent les pires croisades et inquisitions. La science ne s’impose pas de force, mais s’impose elle-même par sa vérité, quand les gens ont acquis les compétences nécessaires pour la vérifier, c’est-à-dire constater sa véracité.

Si je dis par exemple: 2+2=4, tout le monde (ou presque) dira que c’est une vérité scientifique, car tous le monde (ou presque) a acquis les compétences pour le vérifier. Il suffit par exemple de prendre 4 billes (ou 4 euros, ou 4 pommes, ou 4 personnes, etc., le raisonnement sera le même), et de constater qu’on peut les partager en deux ensembles de 2 billes chacun, ce qui s’écrit: 4=2+2.

Et à l’inverse, avec deux ensembles de 2 billes chacun, en réunissant les deux ensembles, en faisant donc ce qu’on appelle une opération de réunion d’ensembles en théorie des ensembles, on peut constater qu’en comptant les éléments de l’ensemble qui est la réunion des deux précédents, il a 4 billes, ce qui s’écrit: 2+2=4, qui est la fameuse égalité par excellence pour traduire l’exactitude mathématique, scientifique.

On est alors brûlé au bûcher par les scientistes si l’on ose dire que: 2+2=3 ou 2+2=5, est peut-être vrai aussi dans certaines situations de l’Univers!

Si par exemple vous mettez 1 bille dans une cage et 1 bille dans une autre cage, et que vous décidez de mettre le tout dans une seule cage, celle-ci contiendra 2 billes, ce qui s’écrit: 1+1=2.

Mais si par exemple vous avez un chat affamé dans une cage, un animal affamé donc, et dans l’autre cage un autre animal, affamé ou non, à savoir une souris, et que vous décidez de réunir les deux animaux dans la même cage, vous risquez de constatez la véracité d’une étrange arithmétique dans laquelle: 1+1=1, est vrai, car le chat affamé aura mangé la souris une fois les deux mis dans la même cage pour espérer avoir un ensemble de 2 animaux.

Tout ça pour dire que: 1+1=2 n’est pas vrai dans l’absolu, partout et dans toutes les circonstances de l’Univers. Il y a des circonstances où c’est vrai, d’autres où 1+1=1 est vrai aussi, et d’autres où 1+1=3 est vrai aussi, etc.

En effet, mettez un homme célibataire dans un appartement où il est seul, et une femme célibataire dans un autre appartement, où elle est seule aussi, mais faites les se rencontrer, et s’ils décident de vivre dans le même appartement, revenez 9 mois après, pour constater la véracité absolue universelle de 1+1=2, et vous risquez d’avoir une surprise, à savoir que: 1+1=3 est vrai aussi dans l’Univers, car l’homme et la femme ont fait un bébé, si bien qu’ils sont désormais 3 à habiter l’appartement…

Mais revenons à l’exemple d’un ensemble A contenant 2 billes, et d’un ensemble B contenant 2 billes aussi. En faisant ce qu’en théorie des ensembles on appelle une opération de réunion des deux ensembles A et B, pour obtenir un ensemble unique C, si l’on demande combien C contient de billes, la plupart des gens, qui n’ont pas forcément toutes les compétences mathématiques, notamment en théorie des ensembles, vont répondre aussitôt que C contient 4 billes.

Mais en réalité, ceci n’est vrai que dans la seule condition suivante: les ensembles A et B, ayant chacun 2 éléments donc, sont DISJOINTS! Techniquement, cela signifie que leur intersection est l’ensemble vide, autrement dit, les ensembles A et B n’ont aucun élément commun! Dans ce cas, en appelant a le nombre des éléments de A, et b le nombre des éléments de B, et c le nombre des éléments de leur réunion C, autrement dit de l’addition des ensembles A et B, le résultat c sera celui de ce que nous appelons l’identité en Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu.

Autrement dit, dans tous les cas, on a:
a+b=c.
Autrement dit, en additionnant le nombre a des éléments de A et le nombre b des éléments de B, on aura toujours le nombre c des éléments de C, qui est la réunion de A et B.

Sauf que c ne sera pas forcément le résultat de l’identité, mais sera de manière très générale le résultat de ce que j’appelle l’équivalence en Science de l’Univers TOTAL.

Si par exemple A possède 2 éléments, et B possède aussi 2 éléments, et si A et B sont disjoints, c’est-à-dire n’ont aucun élément commun, alors on aura; 2+2=4, ce qui veut dire que 4 est l’identité de 2+2, identité qui est une équivalence très spéciale. Mais 0 n’est pas une identité de 2+2, mais est une équivalence de 2+2. On a donc: 2+2=0, mais cette égalité n’est pas une identité mais une équivalence.

De même 1 est une équivalence de 2+2, donc on a 2+2=1, égalité qui n’est pas une identité donc, mais une équivalence. De même, on a: 2+2=3, et: 2+2=4, et: 2+2=5, et: 2+2=6, et: 2+2=7, et ainsi de suite. Toutes sont des équivalences, et parmi l’infinité des équivalences, il y a une et une seule, à savoir donc: 2+2=4, qui est une identité.

Or il n’y a rien de plus facile dans l’Univers et dans la vie de former un ensemble A de 2 éléments, et un ensemble B de 2 éléments aussi, mais tels qu’en rassemblant A et B, on ait… 3 éléments et non pas forcément 4!

Par exemple Théophile et Angélique sont un couple dans la vie, couple qu’on va appeler A., et qui contient donc 2 éléments. Et Angélique et Gabriel sont les deux associés dans une entreprise, un autre couple qu’on va appeler B, et qui contient 2 éléments aussi. Mais vu qu’Angélique est un élément commun des deux couples A et B, si l’on réunit ces deux ensembles, ces deux couples donc, cela ne fera pas 4 éléments en tout, mais… 3 éléments! Donc on a bel et bien ici: 2+2=3! Eh oui!

Cette égalité n’est pas une identité, mais une équivalence de manière générale. Mais si les couples A et B n’avaient pas un élément commun, Angélique donc, mais étaient disjoints, c’est-à-dire sans élément commun, ou, ce qui revient au même, l’intersection des deux ensembles A et B est l’ensemble vide, ensemble à 0 élément, alors seulement l’addition de ces deux ensembles, ou de leurs nombres respectifs d’éléments, donne comme résultat une identité, à savoir 4.

Dans toutes les situations d’addition d’ensembles, qu’on appelle la réunion d’ensembles, seuls les cas d’ensembles disjoints donne des résultats qui sont des identités, la plupart du temps les résultats étant celui de l’équivalence!

On a ici une équivalence de type « 2+2=3″. Mais on peut très facilement imaginer des situations dans l’Univers TOTAL, où l’on a par exemple les équivalences de type: 2+2=5 ».

Dans la vie courante, c’est par exemple toutes les situations du genre: « Achetez 4 et le 5ème est gratuit », ou: « Cet article est vendu par paire, si vous achetez deux paires, vous avez un article en cadeau ». Mathématiquement, on est simplement en train de dire: 2+2=5.

Et on comprend très facilement la logique générale qui est derrière et qui est la suivante: dans les opérations de réunion d’ensembles, certains ensembles sont tels que leurs réunions génèrent de nouveaux éléments qui n’étaient pas dans les ensembles de départ.

Et il existe une loi encore plus fondamentale et puissante de l’Univers TOTAL, et qui est que tout ensemble est potentiellement plus que la somme séparée de ses éléments.

La somme séparée des éléments d’un ensemble est le type de somme que nous appelons justement la somme disjointe, qu’on peut donc appeler aussi la somme identitaire. Mais la quasi-totalité des sommes dans l’Univers TOTAL sont non-disjointes, et ce sont celles que nous appelons la somme équivalencielle. Dans ce monde et ses sciences, on raisonne quasiment en terme de somme identitaire, et peu en terme de somme équivalencielle, ce qui constitue un gros handicap pour les sciences classiques, que résout la Science de l’Univers TOTAL:

Voir le site de la Science de l’Univers TOTAL:
https://hubertelie.com/u_uv_scien-fr-060-000-plan-du-site.html.

Tout cela pour dire qu’une science qui pose des axiomes qui n’autorisent que: 1+1=2 ou 2+2=4 comme vérité mathématique, niant: 1+1=1, 1+1=3, 2+2=3, 2+2=5, etc., est véridique, certes, mais est limitée dans sa vérité.

D’où vient l’idée que « 2+2=4 » est l’archétype même de la vérité mathématique et scientifique, comme « La terre est ronde », tandis que « 2+2=5 » serait l’archétype même de la fausseté mathématique et scientifique, comme « La terre est plate »? C’est à un tel point même que dans le roman dystopique 1984 de George Orwell, l’égalité « 2+2=5 » est choisie comme le symbole de la fausseté, et un régime totalitaire mesure son pouvoir de soumettre la population à son idéologie totalitaire, au fait que son « ministère de la vérité » est capable d’imposer aux résistants que « 2+2=5 ».

Mais manque de bol pour les tyrans et bonne nouvelle à présent pour les résistants, s’ils vous disent que « 2+2=4 », dites « C’est vrai ». Et s’ils vous forcent à accepter que « 2+2=5 », dites aussi: « C’est vrai ». Et s’ils forcent à dire que ce n’est ni l’un ni l’autre, dites encore: « C’est vrai »!

Car en fait, TOUTES choses existent dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses! C’est la définition scientifique maintenant de la notion de Dieu. Et donc TOUT est vrai aussi dans l’Univers TOTAL, et le contraire de TOUT aussi. Autrement dit, TOUT existe dans DIEU, TOUT est possible avec DIEU, TOUT est vrai avec lui.

C’est la Science de l’Affirmation, que nous nommons aussi la Science d’Alternation. C’est la Science réellement POSITIVE, par oppositions aux sciences classiques, qui, quand bien-même elles se qualifient de « sciences positives », comme avec la philosophie dite « positiviste », d’Auguste Comte par exemple, mais qui sont en réalité des sciences de Négation, donc des sciences négatives, en ce sens-là.

Ne vous fatiguez donc plus avec les tyrans qui crient « science! science! science!« , en parlant de leurs sciences, qui est une religion en fait, le scientisme.

Posez-vous donc une fois encore cette question: qu’est-ce qui a pu faire que « 2+2=4 » est l’archétype même de la vérité mathématique et scientifique, comme « La terre est ronde », tandis que « 2+2=5 » serait l’archétype même de la fausseté mathématique et scientifique, comme « La terre est plate »?

Car en réalité, c’est « 2+2=4 » qui est comme « La terre est plate ». C’est vrai que la terre est plate, quand on la voit à l’échelle d’un terrain de foot par exemple. Mais quand on la voit à grande échelle, la vérité largement dominante est: « La terre est ronde », ce qui correspond en fait à « 2+2=5 », et plus généralement à toute égalité de la forme: « 2+2=X », où X est tout nombre sauf 4. Vous vous doutiez que « 2+2=X » est de loin la vérité supérieure? Non, j’en suis sûr.

Et maintenant, pourquoi cela a tant échappé aux science classiques?

Est-ce parce qu’elles ignorent la théorie des ensembles et la logique des ensembles, et des opérations sur les ensembles? Pas du tout! Car cette théorie a été introduite par Georg Cantor en 1882, donc connue depuis plus de 140 ans!

Est-ce donc parce que les mathématiciens, qui connaissent la relation d’identité, ignoraient que la relation d’équivalence est l’égalité la plus générale? Pas du tout! Elle est connue depuis très longtemps, bien avant même que Cantor introduise la théorie des ensembles.

La relation d’équivalence est même très prisée en mathématiques, notamment elle est très utile dans les questions de classes d’équivalence et d’ensembles quotients. Elle est d’un très grand usage depuis l’antiquité grecque même, avec la division euclidienne par exemple, les questions de nombres premiers, etc. Et plus généralement, elle est fondamentale dans ce qu’on appelle l’algèbre modulaire.

Mais alors pourquoi « 2+2=4 » est-il à ce point devenu emblématique de la vérité mathématique? Et pourquoi « 2+2=5 » est par contre emblématique de la fausseté mathématique, et de manière générale « 2+2=X » où X n’est pas identique à 4? Oui, pourquoi, alors qu’on avait tout pour voir l’erreur, et même comprendre que l’idée que la division par zéro est impossible, n’est vraie qu’avec l’identité, mais cette division est d’une simplicité enfantine avec l’équivalence? Oui, elle est simplement avec la logique de l’équivalence et du cycle.

Voir: Générescences, Nombres entiers variables, Corps omégacyclique et Division omégacyclique par Zéro:
https://hubertelie.com/alter/Generescences-Entiers-variables-et-Structure-de-Corps-omegacyclique.pdf

Les situations d’équivalence dans l’Univers TOTAL sont infiniment plus nombreuses que celles de l’identité, et ne retenir que celles-ci comme vérités mathématiques et scientifiques, c’est donc au mieux une erreur de paradigmes scientifiques et au pire un mensonge volontaire, ignoré par les scientifiques sincères, qui sont la très grande majorité, heureusement. Ils ignorent qu’ils travaillent dans des paradigmes volontairement faux et mensongers, et seuls des initiés connaissent ce secret.

Beaucoup de scientifiques ignoraient qu’il y avait des sentiers battus en dehors desquels il ne fallait pas s’aventurer dans ses recherches scientifiques, des murs de verre vers lesquels il ne fallait pas se diriger, au risque de se cogner la tête et de se faire très mal.

Tout scientifique sincère ou pas, qui fait des recherches dans la zone interdite est recadré de manière implicite et discrète, comme par exemple lui refuser des crédits pour tels ou tels travaux ou thèses de doctorat, mais par contre lui dire que les crédits sont disponibles dans telle ou telle direction de recherche. Si cela ne suffit pas, et s’il s’entête dans sa direction après tout ce qui aura été fait pour l’en dissuader, on coupe juste les crédits, ou il est blâmé d’une manière ou d’une autre, sans qu’il comprenne pourquoi telle voie de recherche est désapprouvée.

Mais s’il insiste, avec les moyens du bords, et obtient des résultats dans la zone interdite (le mur de verre donc), alors il commence à subir un recadrage plus explicite, il est combattu, dénigré, voire détruit, jusqu’à la destruction physique. Et tout cela en général sans qu’il comprenne ce qui lui arrive et pourquoi cette hostilité. Et maintenant vous commencez à comprendre, je l’espère. Si à l’ère du Covidisme vous n’avez pas encore compris comment la science marchait jusqu’ici, alors je ne sais pas quand vous comprendrez…

On avait donc tout, pour tout comprendre, et même tout, pour démontrer Dieu en sciences, ce que nous sommes précisément en train de faire aussi. Mais pourquoi donc est-on passé à côté?

Parce qu’il manquait vraiment quelque chose aux sciences actuelles? Pas vraiment. Il manquait quelque chose, mais pas ce que l’on croit. ll manquait un monde sans les êtres de Négation qui le contrôlent… Autrement dit simplement: il y a des êtres de Négation, qui contrôlent la science et le monde…

Ce n’était donc pas juste une erreur de paradigmes, une incompétence des scientifiques, un manque d’intelligence. Pas du tout, et alors là pas du tout! Car vous pensez que Leonhard Euler n’était pas intelligent? Ce mathématicien suisse est l’un des plus intelligents de tous les temps, et en plus très honnête, très consciencieux. Un très grand travailleur qui n’a pas peur de casse-têtes!

Et cerise sur le gâteau, Euler croyait en Dieu, comme bien d’autres scientifiques avant lui, et bien d’autres après lui, comme Cantor par exemple. Ils voyaient Dieu à l’oeuvre dans les magnificences des mathématiques. C’est Dieu en fait que ces êtres ne veulent pas en science, ce qui signifie donc qu’ils incarnent le Diable.

Et pensez-vous qu’Einstein n’était pas intelligent et sincère? Bien sûr que non. Pour lui, Dieu et Univers sont la même chose, position qui est la mienne aussi, sauf que je précise qu’on doit alors parler d’Univers TOTAL. Car Dieu ne se réduit pas à notre univers par exemple, qui n’est que l’un des infinités d’univers dans l’Univers TOTAL, la Réalité TOTALE.

Bref, on a compris le problème, une question de paradigme scientifique, imposé depuis la nuit des temps par un groupe d’humains et plus généralement d’êtres et d’entités, qui sont d’une autre nature, et qui contrôlent tout. Les paradigmes scientifiques sont posés de telle sorte que les sciences soient fragmentées et plurielles, alors qu’en fait il n’existe qu’une seule Science, dans laquelle toutes les sciences s’unissent, la Science de l’Univers TOTAL.

Et même au sein d’une même science, comme les mathématiques par exemple, une même notion fondamentale est en règle très générale séparée d’elle-même, elle est exprimée par tel mot X et a telle définition dans telle spécialité des mathématiques, et on aura tel autre mot Y dans tel autre domaine des mathématiques, avec une autre définition, et les notions X et Y seront en général considérées très différentes, alors qu’il s’agit de la même notion de base. On a rencontré au moins deux exemples dans notre exposé.

On a vu la réunion des ensembles, et l’addition des nombres, alors qu’en fait c’est fondamentalement la même chose, dite juste avec des mots différents. C’est ce qui permet de dire par exemple que l’égalité: 2+2=3 est arithmétiquement fausse, alors que la même opération est vraie avec l’opération de réunion des ensembles, comme on on l’a vu.

C’est la séparation des domaines et des spécialités qui masquent tous les paradoxes des mathématiques et sciences actuelles. De sorte que par exemple on ne réalise pas que le système mathématique est paradoxal dans son ensemble, lorsque dans l’arithmétique on dit que « 2+2=4 » est vrai mais que « 2+2=5 » est faux (ce qui n’est faux que du point de vue de l’identité, comme on l’a vu), et en même temps, dans une sous-branche de l’arithmétique, l’arithmétique modulaire, où par contre on utilise la relation d’équivalence, on va dire que: 2+2=5 modulo 1, que: 2+2=6 modulo 2, que: 2+2=7 modulo 3, etc.

Ce que l’on appelle calculer avec un modulo, c’est ce que je nomme calculer avec un cycle, ce qui est plus parlant pour le commun des mortels. Par exemple, en modulo 12 ou cycle 12, on a: 2+2 = 16. Ce qui signifie tout bonnement que dans le cycle 12, qui est le cycle de l’horloge, 4h de l’après-midi correspond à 16h dans le cycle 24 ou le modulo 24. Dans ce modulo, on a: 2+2=28. Cela veut dire que 4h du matin dans un nouveau cycle de la journée, correspond à 28h dans le cycle de la journée précédente.

Et en logique modulaire ou cyclique, l’égalité: 2+2=4, qui est donc une identité, veut dire simplement: 2+2=4 modulo 0. Autrement dit, la fameuse égalité: 2+2=4, n’est qu’un modulo parmi toute l’infinité des modulos ou cycles. Il n’est pas plus vrai que les autres, et 2+2=5 n’est pas plus faux que 2+2=4. Chaque modulo ou cycle est juste un type d’égalité, c’est-à-dire un type d’équivalence, et chacun décrit un certain type de situations dans l’Univers TOTAL. La préférence dans notre monde pour l’identité, c’est-à-dire le modulo 0 ou cycle 0, est juste un choix de paradigmes, comme dans tout. En faire une vérité absolue au détriment de toutes les autres formes de vérité devient une religion, et cela s’appelle le scientisme et non pas la science!

C’est la pensée scientiste et ses choix paradigmatiques qui font que les mathématiques et les sciences sont si compliquées, utilisent des jargons abscons et ésotériques, et des signes cabalistiques, et tout ça compréhensible pour les seuls initiés. Ce que l’on peut traiter par un seul concept puissant, unificateur et éclairant, même pour le profane, va être dit par une infinité de mots donnant le sentiment qu’on parle de choses séparées.

Ainsi par exemple, l’un des deux mots « égalité » et « équivalence » est de trop, seul le mot identité est nécessaire, pour distinguer ce modulo 0 de l’infinité des autres modulos, qui sont tous des cas particuliers d’égalité, c’est-à-dire d’équivalence.

De la même façon, une fois qu’on a le simple mot « cycle », le mot « modulo » n’est pas nécessaire, en tout cas pas pour faire croire qu’on parle d’une chose séparée de la notion de cycle.

C’est cette façon typiquement scientiste de faire la science, qui fait croire que la division par zéro est « impossible », alors que c’est un jeu d’enfant avec la logique d’équivalence et de cycle. Et c’est toujours cette pensée scientiste qui fait croire que « 2+2=4 » est emblématique même de la vérité scientifique, et qu’elle est comme « La terre est ronde », et que « 2+2=5 » ou plus généralement « 2+2=X » est la fausseté si X n’est pas identique à 4, et que dans ce cas ce serait comme dire « La terre est plate ».

Or comme on l’a dit précédemment, c’est exactement le contraire! C’est « 2+2=X » qui est comme « La terre ronde », et « 2+2=4 » qui est comme « La terre est plate », quand on ne la voit qu’à l’échelle d’un terrain de foot par exemple. Ce que je suis en train de dire là est une véritable bombe! Je le dis depuis 20 ans. Question: combien de décennies s’écouleront encore avant que les sciences rectifient leurs erreurs? Justement, il ne s’agit pas d’erreurs (sinon ce serait corrigé depuis fort longtemps), mais de mensonges scientistes! CQFD.

Tout ce à quoi la société est soumise depuis un moment et notamment depuis 2020 n’a rien à voir avec la science, la vraie, mais ce sont des religions, comme aussi le climatisme. Les scientistes sont en fait pires que tous les ayatollah et les intégristes de toutes les religions réunies ! Pour moi 2020 fut un grand tournant où, pendant que les scientistes imposaient au monde des masques et beaucoup d’autres choses dont la vraie science démontrait l’inutilité, l’inefficacité voire la dangerosité, dans le même temps les masques qui cachaient jusque là les visages démoniaques des scientistes tombaient!

Je ne suis pas aussi pessimiste que la politologue Pamela Obertan, qui dit que quand le Prédateur montre enfin son visage à la proie, c’est que la proie va être mangée. La politologue a raison mais heureusement en partie seulement.

C’est qu’en fait, la proie était placée dans une cage en verre, transparente, avec une porte grande ouverte pour laisser entrer le Prédateur. Cette cage est un piège pour attraper surtout le Prédateur, l’esprit de Négation, le Serpent ou le Dragon ou Satan le Diable, pour le dire en langage biblique (Apocalypse 20: 1-3, 7-10). La proie a une porte dérobée pour sortir de la cage quand le Prédateur entre pour la manger, tandis que toutes les portes se referment sur le Prédateur! Et même, dans le pire des cas, si le Prédateur arrive à manger la proie comme un poisson mord à l’appât avant d’être capturé par l’hameçon, il y a une porte dérobée dans le ventre du Prédateur par laquelle la proie mangée et digérée sort pour un autre monde meilleur. Par cette allégorie je parle de la résurrection des morts (Apocalypse 20: 11-15).

Hubertelie, le 09/07/2023


Complément d’analyse

« Quand vous avez un Prédateur qui se montre face à sa proie, c’est qu’il est prêt à la dévorer, car il sait qu’il n’a plus rien à craindre« , dit-elle aussi.

C’est l’occasion de donner une vision plus large des choses grâce à la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu. Dans le Nouveau Paradigme scientifique, la notion de Dieu est définie, à savoir le concept d’Univers TOTAL. Pour plus d’informations, voir l’article: Les notions élémentaires de la Science de l’Univers TOTAL permettant de mieux comprendre ce site Nouvelle Genèse.

Et cette Science permet de comprendre aussi la nature exacte de ce Prédateur, à savoir Satan le Diable, qui a donc maintenant aussi une définition scientifique. Ce Prédateur, très sûr de lui et se croyant tout-puissant, se montre à visage découvert face à sa proie pour la dévorer. Mais en réalité, c’est Dieu l’Univers TOTAL qui le piège, le fait sortir des bois, des ténèbres et de l’ombre où il se cachait, pour s’exposer au grand jour, sous les projecteurs de la lumière divine, Dieu le condamnant désormais à avoir une apparence humaine.

Voir en effet Apocalypse 12: 7-12, qui dit que Satan et ses anges sont chassés des cieux et jetés sur terre, où ils mènent désormais une existence humaine, pour le plus grand malheur de la terre. Lui et les siens ont donc une apparence humaine, que l’apparence donc, car ils ne sont pas humains dans leur nature, ils sont inhumains, puisque ce sont des démons nés humains, ils sont Satan incarné, menant leur agenda satanique:

Et voici Jacob Rothschild avec une artiste sataniste, Marina Abramovic, devant un tableau intitulé « Satan convoque ses légions »:

Vous pouvez ajouter les Rockefeller, George Soros, et plein d’autres ennemis de l’humanité, qui pourtant ont l’apparence humaine! Sans les lumières de la Science vous ne pourriez jamais vous doutez que ce qu’on appelle un diable ou un démon puisse être aussi concret!

Non, le Diable ou un démon n’a pas nécessairement des cornes sur la tête, une queue fourchue, et tenant une fourche à la main. Bien qu’aussi un diable ou un démon puisse avoir cette apparence aussi, car il est polymorphe, il peut revêtir toutes les apparences, avoir tous les déguisements possibles et imaginables. Mais ne permettez plus les notions réductrices du Diable, ou du Prédateur, et ses caricatures, qui lui permettent de se présenter juste devant vous ses proies pour vous dévorer, mais sans que vous le reconnaissiez, et au contraire en le prenant pour un humain. Mais, hélas, il n’a d’humain que les apparences, comme l’a compris entre autres le rabbin Haïm Dynovisz:

Oui, « Attention! des ‘faux humains’ sont parmi nous », prévient-il dans l’un de ses cours, qu’on ne retrouve plus sur la chaîne qui publiait ses cours. Chaîne qui peut-être a été censurée, comme c’est la tradition de Youtube, ou a changé de nom, ou autre.

Bref, sur ce plan et d’autres, ce rabbin est assez perspicace, sauf, oui sauf, sa vision du judaïsme qui est le talmudisme ou judaïsme talmudique, et qui est la version contemporaine du pharisaïsme, le judaïsme déviant par rapport au judaïsme biblique, judaïsme perverti auquel Jésus le vrai Messie s’est opposé et a démontré les innombrables erreurs fondamentales (Matthieu 15: 3-9; 23: 33-39).

L’une des différences fondamentales entre le judaïsme biblique, le vrai judaïsme, celui conforme à la pensée des prophètes, puis plus encore de Jésus et des apôtres, par rapport au judaïsme talmudique ou pharisaïque, dit encore rabbinique, est d’abord que l’humanité, à l’origine en totale union avec YHWH ou Yahvé le vrai Dieu (comme l’explique l’Exode le second livre de la Torah, en Exode 3: 13-15, le tétragramme hébreu YHWH généralement traduit par Yahvé ou l’Eternel, signifie « Je SUIS » ou l' »ETRE ») s’est coupée de Dieu, a perdu le Paradis, et est devenu déchue, comme l’explique la Genèse le premier livre de la Torah en Genèse 3: 1-24. C’est le fameux épisode du Jardin d’Eden et du péché originel, qu’il s’agit de comprendre à présent à la lumière de la Science de l’Univers TOTAL, la Science de Dieu.

C’est le Serpent d’Eden, le Diable, le Prédateur de l’humanité dont nous parlons maintenant aux troisième millénaire, qui est la cause profonde de cette déchéance de l’humanité, qui l’a placée désormais sous son joug, sa tyrannie! A l’ère de la Nouvelle Genèse (titre de ce blog justement), il est extrêmement important de comprendre les symboles de la première Genèse, car ils éclairent ce que nous voyons dans le monde, maintenant que le prédateur ou Serpent est visible, face à ses proies, exactement comme autrefois, dans la Genèse donc, sa version ancienne était face à ses proies, Adam et Eve, les parents de l’humanité! Là c’était pour faire tomber l’humanité dans la déchéance, la nature divine perdue, et donc le paradis perdu. Mais à l’ère de la Nouvelle Genèse, il s’agit de mettre fin au règne du Serpent (Genèse 3: 15), pour que l’humanité retrouve sa divinité perdue, revienne au paradis perdu.

Tout le message du Tanakh ou Bible hébraïque ou Ancien Testament, sur lequel repose le judaïsme biblique, celui de Moïse et des prophètes, se résume à cela! A l’origine, à la Genèse donc, il n’était pas encore question d’Israël, des juifs, etc., mais seulement d’Adam et Eve, les parents de l’humanité, donc l’humanité dans toute sa généralité et son universalité, point!

Adam et Eve étaient des enfants de Dieu, créés à l’image de Dieu (Genèse 1: 26-28). L’humanité, toute l’humanité, qui devait naître d’eux, et qui n’aurait en aucun cas du être parasitée ou souillée par la semence du Serpent, l’esprit de Négation, de l’Arbre interdit, à moins justement d’avoir consommé de ce fruit empoisonné, qui donne chez eux vie à la Négativité, au Mauvais, au MAL, à la Maladie, à la Mort! Voici donc comment aurait été le monde et comment il aurait fonctionné, sans la consommation du fruit de la Négation. C’est alors un monde d’Affirmation, où TOUT existe, où TOUT est possible, où donc rien n’est nié, à part justement la Négation, l’Arbre Interdit! C’est le seul donc qui est nié, l’unique fruit défendu. Et dans ce cas alors, le monde d’Affirmation est aussi ce que nous appelons le monde d’Alternation:

C’est ainsi que les choses se passent dans les vrais univers ou vrais mondes, les mondes de la vraie Vie, incarnée par Dieu, le vrai Dieu, l’ETRE, le « JE SUIS », en hébreu YHWH ou Yahvé ou l’Eternel (Exode 3: 13-15). Ce sont donc les mondes de la vie éternelle, comme les évangiles le diront plus tard (Jean 3: 16). Parce que donc il n’y aucune trace de Négation, autrement dit de Négation de Dieu, la Vie, symbolisé par cet Arbre de Vie en Eden, il n’y a rien de négatif, aucun fléau, aucun mal.

Ce que, au troisième millénaire, à l’ère de l’information, nous appelons INFORMATION, est ce qui, dans la Bible, de la Genèse à l’Apocalypse en passant par les prophètes et les évangiles, est appelé l’ESPRIT, comme par exemple quand il est question de l’Esprit de Dieu (Genèse 1: 2), de l’Esprit Saint (Matthieu 3: 15-17; 2Corinthiens 3: 17, 18), ou encore la Parole ou le Verbe, comme dans Jean 1: 1 qui dit: « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu ». Si ces mots devaient être dits au troisième millénaire, on les dirait ainsi: « Au commencement était l’Information, et l’Information était avec Dieu, et l’Information était Dieu » !

Et l’Information, au sens informatique et particulier du terme, et au sens général et universel du terme, c’est tout simplement le numérique, le NOMBRE!

Les mondes ou univers d’Affirmation ou d’Alternation sont des mondes d’INFORMATION, car en fait TOUT et absolument TOUT est INFORMATION, tout est fait d’INFORMATIONS, et l’INFORMATION est TOUT et fait TOUT (pour plus de détails, voir l’article: TOUT et absolument TOUT est INFORMATION).

L’information est la notion absolue d’énergie, l’énergie universelle, qui EST TOUT et FAIT TOUT! Nous l’appelons pour cela l’unergie, comme énergie universelle donc. La négation de l’information est ce que nous appelons onergie, ou énergie négative. Les différentes formes de négation d’information sont: l’absence d’information, et dans ce cas la négation traduit des notions comme l’inexistence, le vide, le néant, etc. Et une forme de négation d’information est le fait de soustraire de l’information, de priver d’information, de voler l’information, de vampiriser l’information, etc. Et dans ce cas la négation d’information est appelée une désinformation, et c’est la définition technique de la notion courante de mensonge.

Les esprits ou psychés de Négation sont par excellence des désinformateurs, des menteurs. C’est la définition fondamentale de la notion de diable ou de démon. Leur nature fondamentale est d’incarner la désinformation! Par conséquent ce sont des vampires informationnels, et donc des vampires énergétiques, en l’occurrence ils vampirisent l’unergie ou énergie universelle des autres êtres, leur refilant donc de l’onergie ou énergie négative.

Pour plus de détails sur la notion de vampirisme énergétique, très fondamentale pour comprendre vraiment le monde, voir les articles comme par exemple: Le Vampirisme énergétique et le Vampirisme triangulaire.

La notion d’unergie, c’est-à-dire d’énergie universelle, autrement dit d’information en valeur absolue, l’information positive, c’est-à-dire synonyme d’affirmation, d’existence, ce que sont précisément les nombres entiers naturels: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …, est très importante, car c’est ce qui permet d’évaluer dans l’absolu toute chose, de dire si elle existe (si c’est une unergie ou une présence d’information) ou n’existe pas (si c’est une onergie ou absence d’information), positive ou au contraire négative, etc.

Cela permet de dire par exemple que la vie est une unergie, et que la mort est l’absence de vie, c’est-à-dire l’absence de l’unergie correspondante à la vie, en d’autres termes, l’absence de l’information que la vie ou un être vivant est. De même, le mensonge ou la désinformation est l’absence de l’unergie qu’est la vérité ou l’information. De même encore, la maladie est l’absence de l’unergie qu’est la santé, et l’accident ou l’insécurité est l’absence de l’unergie qu’est la sécurité ou la sûreté , et ainsi de suite. Parce que tout est information ou unergie, ou au contraire son absence, si sont impliqués des êtres incarnant la négation de l’information ou de l’unergie, son vampirisme, c’est à dire les êtres de Négation qu’on appelle couramment les démons. Quand nous parlons de « serpents« , c’est de ces incarnations de la négation de l’information que nous parlons.

Dans les mondes ou univers d’Affirmation ou d’Alternation, tout est donc information, tout est unergie, tout est positif. Il n’y a pas de chose négative, car pour cela il faudrait qu’il existe des incarnations de la Négation, des désinformateurs, des démons pour le dire en langage courant. Il n’y a donc pas d’onergie ou énergie négative ou information négative, ou désinformation. Il importe de comprendre la corrélation entre l’existence du mal dans un monde, et l’existence d’êtres incarnant la négation d’information ou incarnant la désinformation:

L’image ci-dessus représente donc l’Arbre de la Mort dans la Genèse, l’Arbre du Serpent, du fruit défendu ou fruit interdit, désigné dans la Genèse par l’expression « arbre de la connaissance du bon et du mauvais » (Genèse 2: 8, 9, 15-17; 3: 1-24).

Il n’y a pas de fatalité: l’existence dans un univers (ou dans un monde ou dans une société) d’êtres incarnant la Négation, donc la négation d’information, la désinformation, bref le mensonge, et l’existence du mal, de la maladie, des accidents, des crimes, de la mort, bref de tous les fléaux, de toutes les choses négatives, sont totalement synonymes!

Les univers ou mondes où de tels êtres de Négation existent, et où donc existent forcément des choses négatives, nous les appelons les onivers, ou univers de Négation, ou mondes de Négation, etc., ce qu’ on appelle couramment les enfers. Nous sommes donc dans un de ces mondes.

Rien de tout cela donc dans un univers ou monde d’Affirmation, d’Alternation. Là, le mal au sens absolu n’existe pas, le mal est tout au plus relatif. Le mal c’est juste le moins bien. Là donc rien n’est mauvais dans l’absolu, ce qui est qualifié de « mauvais » est juste ce qui est « moins bon ».

C’est très important de comprendre tout ça au troisième millénaire. Et aussi qu’il existe deux types de mondes et d’univers: les uns de type matériel, et dans ceux-ci l’information est au service de la matière, c’est-à-dire l’esprit est au service de la matière, car tout est fondamentalement matériel. Même ce qui semble ne pas être matériel est une illusion. Là, on parle d’informatique, ce qui signifie que sans la matière, il n’existe aucun support informatique, aucun support de l’information, donc il n’y a aucune possibilité de traiter la moindre information! Et les autres mondes ou univers sont de type spirituel, et là c’est au contraire la matière qui est au service de l’information, de l’esprit, car tout est fondamentalement l’information, l’esprit! Même ce qui semble matériel, solide, n’est que pure information, un état de l’information, un effet de l’information, une relation entre informations, etc., oui juste une relation entre nombres!

Une autre manière de dire cela est que dans ces mondes d’Affirmation ou d’Alternation, tout est mathématique, il n’existe qu’une seule science, les mathématiques, qui même dans ce cas se déclinent au singulier: LA Mathématique, qui est donc la Science des Nombres, des Numériques, des Informations. C’est le monde idéal de Platon, le monde physique ou matériel n’en étant qu’une émanation, et souvent une grossière imitation, une approximation. Autrement dit, ce n’est qu’une Caverne de Platon, où l’on ne voit que les ombres des choses et pas les choses elles-mêmes. On imite donc juste l’INFINI, on le simule (oui ces mondes sont des simulations) mais on n’atteint jamais l’INFINI.

C’est dans ces mondes matériels qu’il existe une notion appelée la technologie, au sens habituel du mot. Ces mondes sont donc technologistes, et le technologisme est la religion des Harari, qui va de paire avec le scientisme (pour plus de détails, voir: La fin du règne du scientisme, de la parascience et de la paratechnologie).

Bref, ces mondes matériels, les onivers donc, qui par nature sont FINIS, ne peuvent donc qu’être des simulations, ils simulent les vrais mondes et univers, qui, eux, sont INFINIS, et pour cette raison ont une nature fractale, ainsi que tous les êtres vivants dans ces mondes.

Regardez bien une structure fractale, et vous verrez qu’un même modèle se répète à toutes les échelles, de l’infiniment petit (Alpha) à l’infiniment grand (Oméga). Et quel que soit le modèle, petit ou grand, il reproduit la même structure que l’ensemble. De sorte qu’on peut schématiser une structure fractale comme étant un océan dont chaque goutte est l’océan entier.

Un océan ayant une telle propriété fractale est forcément INFINI! Et s’il est FINI, sa fractalité ne peut qu’être FINIE aussi, comme c’est le cas du choux de romanesco ci-dessus. C’est un objet de la Caverne de Platon, qui est juste une ombre d’un choux de romanesco idéal, qui, lui est INFINI. Par contre la fractale suivante est une structure INFINIE, dont est représentée juste une partie.

Les mondes et les êtres réellement fractals sont à l’image de l’ l’Univers TOTAL, l’Information TOTALE, la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, qui est donc INFINI. Il est la définition de la notion biblique de Dieu. Et tous les êtres connectés à lui, héritent de son INFINITUDE, de sa Fractalité, de sa Divinité donc. C’est ce que signifie l’idée qu’ils sont à l’image de Dieu, qui est l’Alpha et l’Oméga, l’INFINI. Dans les mondes connectés à l’Information TOTALE, à l’Information INFINIE, FRACTALE, et où tous les êtres son connectés, la différence sert juste à la diversité des êtres et des choses, la différence n’est en rien quelque chose de négatif.

Le « pauvre », c’est juste le « moins » riche, et on n’a pas besoin d’avoir la même richesse pour être heureux, puisqu’aussi ces mondes de la vraie vie sont aussi les mondes de la générosité, du partage, de la solidarité. La pauvreté est faite pour donner à des êtres l’occasion d’être heureux en donnant, et à des êtres qui sont heureux en recevant!

Et de plus, ce ne sont pas les les mêmes qui sont toujours les pauvres et les même qui sont toujours les riches. Pas toujours les mêmes qui sont les maîtres et pas toujours les mêmes qui sont les esclaves ou les serviteurs. Car tout alterne, d’où justement le nom de monde d’Alternation. Toutes rôles alternant, tous les êtres expérimentent n’importe quelle nature, n’importe quelle manière d’être, d’exister. La vie de Dieu, la vie d’ange, la vie d’humain, d’homme, de femme, d’enfant, etc. La vie d’oiseau, de papillon, de plante, d’arbre, etc. Tout est vivant, même les cailloux, même ce qui est qualifié de « mort ». Car tout est équivalent, car il s’agit de mondes de l’équivalence et pas d’identité, comme on le comprendra par la suite.

On reconnaît un onivers, un univers ou monde de Négation, un monde matériel, une simulation informatique (autrement dit un monde où l’information est au service de la matière), ou encore une caverne de Platon, et nous disons aussi un monde entropique (voir Revendication de notre héritage divin, univers entropique et question du vampirisme énergétique), etc., aussi au signe caractéristique qu’il est orienté vers l’identité et non pas vers l’équivalence. Deux choses X et Y sont obligées d’être identiques, pour qu’on puisse dire qu’elle sont égales, ou sont la « même chose« , le même être.

Voilà pourquoi quand Jésus a dit: « Moi et le Père nous sommes un », les pharisiens, les prédécesseurs des talmudistes actuels, ont ramassé des pierres pour tenter de le lapider pour « blasphème » (Jean 10: 30-39). Car lui, que tous voyaient comme un simple humain, prétendait être égal au Dieu INFINI, incommensurable, de sorte que le voir c’est voir aussi Dieu (Jean 14: 9)!

Mais ceci ne les surprendrait pas si leur notion d’égalité était l’équivalence, qui est l’égalité divine, et on reconnaît les mondes spirituels ou informationnels (les mondes donc où la matière est au service de l’information, où tout est esprit, c’est-à-dire tout est information, donc tout est au service de l’information, de l’esprit), au fait qu’ils sont orientés vers l’équivalence. Deux choses X et Y ne sont pas obligées d’être identiques, pour qu’on puisse dire qu’elle sont égales, ou sont la « même chose« , le même être. Il suffit pour cela qu’elles soient équivalentes, entretiennent donc ce qu’on appelle en mathématiques une relation d’équivalence.

Deux choses X et Y sont identiques si X et Y sont juste deux noms différents, deux écritures différentes, pour désigner un objet unique.

Par exemple, si Théophile et Angélique ont un même père appelé Gabriel, alors les égalités suivantes sont des identités:
Père de Théophile = Père d’Angélique;
Père de Théophile = Gabriel;
Père d’Angélique = Gabriel.

En effet, tout cela sont des manières différentes de dire:
Gabriel = Gabriel.

Autrement dit, les différentes expressions pointent sur une seule et même personne, qui est comme la boule rouge unique appelée X sur l’image ci-dessus. Toutes les expressions sont l’identité X, elles reviennent toutes à dire:
X = X.

C’est le cas aussi avec les égalités suivantes:
2+2 = 3+1;
2+2= 4;
3+1 = 4.

Toutes reviennent à dire:
4 = 4,
qui est l’identité de 4.

Mais l’égalité:
2+2 = 5
n’est pas une identité, car elle revient à dire:
4 = 5,
donc à exprimer une égalité entre deux identités différentes, à savoir 4 et 5, ce qui est comme de dire que Théophile et Angélique, un homme et une femme, comme aussi Adam et Eve, sont égaux.

On comprends aisément alors que les deux identités, bien que différentes, comme la boule rouge et la boule verte sur l’image plus haut, ont une certaines caractéristiques commune qui fait qu’elle sont identiques de ce point de vue, ce qui veut dire que si l’on ne regarde que ce point de vue commun, et pas ce qui les différencie par ailleurs, les deux identités sont la même, elles sont indiscernables, on peut remplacer l’une par l’autre et vice-versa.

Ici donc si une personne demande par exemple une boule, sans autre précision, on peut lui donner la boule rouge X ou la boule verte Y. La personne n’ayant donné aucune autre précision, sur la couleur voulue par exemple, cela signifie que la couleur de la boule lui est égale, autrement dit, ça lui importe peu. Ce qui importe ici, c’est que ce soit juste deux boules, point! La notion d’égalité entre deux choses différentes X et Y, qui se base sur une identité commune au deux choses et non pas leur identité propre à chacune, s’appelle l’équivalence. Tandis que l’identité propre est ce qu’on appelle simplement identité. La boule rouge et la boule verte ont donc chacune son identité propre, mais leur identité commune est d’être deux boules toutes les deux, et c’est cette identité commune qui est donc ici leur équivalence.

C’est en vertu de l’identité commune d’humain qu’on dira que Théophile et Angélique, bien que différents par le sexe, sont égaux, égalité qui est une relation d’équivalence et pas d’identité.

C’est en vertu de ce type d’égalité qu’on a par exemple:
2+2 = 5,
qui signifie donc:
4 = 5.

Bien sûr, on sait que 4 et 5 ne sont pas identiques, ce n’est pas la même identité, chacun a son identité propre, à savoir: 4=4 et 5=5.
Mais dans le monde de l’équivalence cela nous importe peu, c’est le facteur d’égalité ou d’union des choses qui nous intéresse plus que les facteurs de différences, qui, elles, servent juste à la diversité. Il faut la diversité, mais celle-ci ne doit jamais faire perdre de vue l’unité, l’union, l’amour:

Voilà pourquoi les mondes spirituels ou informationnels sont orientés vers l’équivalence. Voilà aussi pourquoi ce sont des mondes d’Affirmation, d’Alternation, car là où la différence sépare, et les êtres et les choses se nient mutuellement, ils nient donc leur égalité, s’ils ne s’arrêtent que sur les différences, l’équivalence par contre, qui se base sur les facteurs d’union, est de nature à faire affirmer l’égalité, et donc tout affirmer: l’existence, la véracité, la réalité, la possibilité, etc.

Un individu comme Harari par exemple qui dit que Dieu n’existe pas, dit de ce fait même qu’il n’est pas Dieu, que Dieu n’est pas lui, qu’ils sont séparés, déconnectés l’un de l’autre, etc., et donc que cet individus n’est pas divin. Effectivement cela s’entend dans ses propos, et dans la manière dont il considère les humains, ceux qui sont différents de sa catégorie élitiste. Ceux-là sont des « inutiles », dit-il. Dans un monde où il y a des êtres de Négation comme cela, dans ce monde il ne peut qu’y avoir des problèmes, des maux, des fléaux. C’est mathématique!

Ce monde fonctionnera comme ceci:

Tout être divin qui se laisse séduire par ces êtres de Négation, se coupe de Dieu, c’est-à-dire de l’Infinité, de la Fractalité. C’est cela la déchéance:

Ces êtres déchus sont alors forcément des prédateurs! Tout le contraire donc des choses qui se passent dans le monde d’Alternation:

C’est ce qui dans la Genèse est symbolisé par le fameux Arbre de Vie (Genèse 2: 7-9; 15-17, 22-24). C’est lui qui a été perdu en mangeant de l’Arbre de la Négation, qui est donc l’Arbre de la Mort (Genèse 3: 1-24). Et c’est lui qui tout à la fin devra être retrouvé, quand la Négation et ses conséquences qui sont toutes les choses négatives, seront éliminées, autrement dit quand le Serpent d’Eden aura été éliminé, c’est-à-dire réduit au monde interdit, qui est le sien (Apocalypse 20: 1-3, 7-10). C’est alors le retour à l’Arbre de Vie, le Paradis perdu, oui la guérison de l’humanité (voir Apocalypse 22: 1, 2).

Tous le message de la Bible se résume ainsi. A savoir donc: Du paradis perdu au paradis retrouvé. Le peuple juif ou d’Israël de manière générale, est un échantillon en matière de retour à la relation avec YHWH ou Yahvé le vrai Dieu, l’Eternel, l’INFINI. Israël a été un moyen intermédiaire d’accomplir ce programme de Retour au paradis perdu. Les révélations divines ont été données à Israël, via les prophètes, qui sont messagers de Dieu non pas exclusivement pour un Israël tribal, ou pour une judéité tribale, mais pour un Israël universel, pour une judéité universelle. Car à l’origine, à la Genèse donc, quand il n’était pas encore question d’Israël ou de juifs, tout avait un sens universel, et à la fin c’est le sens universel qui prévaudra.

C’est ce que le prophète Osée ou Hoshéa annonça en ces termes:

« Cependant le nombre des enfants d’Israël sera comme le sable de la mer, qui ne peut ni se mesurer ni se compter; et au lieu qu’on leur disait: Vous n’êtes pas mon peuple! on leur dira: Fils du Dieu vivant! » (Osée 1: 10).

La différence entre d’une part le judaïsme biblique, celui des prophètes, puis plus tard l’esprit ou l’information de Jésus, des apôtres, et à la suite notre esprit et notre information aujourd’hui, et d’autre part l’idéologie talmudique, est résumée parce que dit ce prophète. En effet, la judéité tribale, ethnique, est fondamentale pour la pensée pharisaïque puis à sa suite talmudique. La séparation entre juifs et non-juifs ou « goyim » est devenue une fin en soi, avec le pharisaïsme puis le talmudisme à sa suite.

Or, au départ de la Torah, cette séparation avait uniquement pour but de faire d’Israël un échantillon prélevé dans l’humanité déchue après le péché originel. De purifier cet échantillon par la Loi de Dieu (et Torah veut dire simplement Loi), d’en faire un modèle pour les autres peuples. Et enfin, de préparer Israël pour y faire venir le Messie, le Fils de Dieu, le sauveur de toute l’humanité, dont la mission est entre autres d’abolir la séparation en juifs et non-juifs, de sorte qu’à ceux à qui on disait: « Vous n’êtes pas mon peuple » (autrement dit, « vous n’êtes pas des juifs », ou « vous n’êtes pas des israélites », mais des « goyim »), on leur dira: « Fils du Dieu vivant ».

Car le Messie le Fils de Dieu, vient faire de tout humain écoutant son message d’amour, et ayant foi en lui, un humain né de nouveau, un enfant de Dieu engendré par l’Esprit de Dieu, c’est-à-dire l’Information de Dieu, autrement dit un israélite ou un juif au sens universel (Matthieu 5: 1-12, 6: 9-13; Jean 3: 16; Romains 2: 28, 29; 8: 14-21; Apocalypse 21: 1-7).

Mais c’est ici aussi qu’intervient ce dont on ne parle pas, ou pas de la manière dont on devrait en parler pour que, à commencer par les juifs, tout le monde comprenne la stratégie depuis toujours du Serpent d’Eden, Satan le Diable donc, pour essayer de faire échouer le programme divin. Depuis l’époque de Moïse, en Egypte, le Diable ou le Serpent a surtout été l’ennemi extérieur au peuple israélite, qui le combattait pour le détruire, pour l’empêcher d’accomplir sa mission d’être le moyen de Dieu pour ramener le monde déchu au Paradis perdu. Le Diable fut ainsi incarné par les pharaons d’Egypte réduisant Israël en esclavage, puis le conducteur de différentes nations et empires faisant la guerre à Israël, mais Dieu combattait pour Israël et le protégeait. Cette stratégie de l’ennemi extérieur d’Israël, le combattant pour l’exterminer ou lui faire abandonner son Essence, la Torah, le Tanakh, n’a jamais vraiment réussi.

Par contre, l’autre stratégie de Satan, très redoutable, qui a le plus souvent réussi et a été fatale pour Israël et a fini par lui faire perdre son statut de peuple élu de Dieu depuis 2000 ans, est la stratégie de l’ennemi de l’intérieur! Cela consiste pour Satan à infiltrer Israël, à s’incarner en israélite, en juif, pour détruire Israël de l’intérieur, lui faire perdre son Âme, son Essence, la Torah donc, et lui faire rater sa mission en tant que peuple tribal, ethnique. Et fort heureusement la mission sera finalement réussie en tant que peuple spirituel, informationnel. La preuve: des centaines de millions, voire de milliards, de gens sur terre, des non-juifs au sens ethnique, qui ont foi en Jésus, chérissent la Bible, et donc qui sont devenus des juifs au sens spirituel!

Cette réussite vient de Jésus, des apôtres, et pas, hélas, des pharisiens et de leurs successeurs les talmudistes, qui sont restés bloqués sur la judéité ethnique. Ceci est justement l’oeuvre de Satan en tant qu’ennemi de l’intérieur. C’est quand il s’incarne en juif et passe pour l’ami et le bienfaiteur des juifs (comme par exemple les Rothschild) et/ou passe pour un rabbin enseignant de la Torah (comme c’est le cas de beaucoup de rabbins, depuis les pharisiens ou avant) qu’il est souvent le plus destructeur des vrais juifs!

Les exemples de perversions de l’intérieur par Satan le Diable, sont innombrables. Depuis le culte du Veau d’Or jusqu’à nos jours, toutes les formes de satanisme moderne, en passant par les cultes de Baal, de Moloch, de Mamon, etc. En leur temps, les prophètes successifs ont été suscités pour ramener sur la bonne voie le peuple égaré par le Satan de l’intérieur. Le talmudisme, le mondialisme, qui est en fait le messianisme talmudique, font partie des destructions de l’Essence juive, de sa récupération par Satan pour en faire quelque chose aux antipodes de la pensée de Dieu et des prophètes.

Le talmudisme ou pharisaïsme se prétend la référence en matière de Torah ou de compréhension du Tanakh, ou Bible hébraïque, couramment appelé l’Ancien Testament. Mais il ne faut plus confondre le Tanakh, qui est la révélation divine, qui est le fondement du vrai judaïsme, le judaïsme biblique, avec la déviance qu’est le Talmud, fondement du talmudisme, que l’on confond de nos jours avec le judaïsme:

Voir les nombreux articles qui traitent de cette importante question qu’est le judaïsme, car la question du Prédateur dont nous parlons est liée à cette question spirituelle. Comme par exemple: Le vrai judaïsme biblique versus le judaïsme talmudique. (Les faux juifs maîtres du monde).

Voir aussi le documentaire: « Plus jamais ça! c’est global » de Vera Sharav, une femme juive rescapée de l’Holocauste.

Ce documentaire met à nu le Serpent, c’est-à-dire le Prédateur dont nous parlons, le vrai ennemi des vrais juifs, et génocideur des vrais juifs et de l’humanité (Le Serpent le vrai ennemi des vrais juifs et le génocideur de toute l’humanité).

Ce documentaire démontre que l’agenda de génocide des juifs pendant la Shoah n’était qu’un avant-goût de l’agenda concernant le génocide de l’humanité. Et la Science de Dieu que nous faisons apporte maintenant l’importante précision qu’il ne s’agit pas d’un agenda du judaïsme, comme beaucoup le croient, les élites juives derrière cet agenda, comme les Rothschild entre autres, ne sont pas plus juives qu’elles ne sont de vrais humains.

Pensez-vous par exemple qu’il y a une commune mesure entre Jésus de Nazareth, qui prêcha Dieu, l’amour pour Dieu et le prochain, et un Yuval Noah Harari, un conseiller du nazi du troisième millénaire Klaus Schwab du WEF ou Forum Economique Mondial? Yuval Noah Harari affirme que Dieu n’existe pas, mais que c’est l’humain qui a créé Dieu à son image et pas le contraire. Il dit que l’humain n’a pas d’âme, pas de libre-arbitre, mais n’est qu’un animal piratable! Cela ne l’empêche pas de dire qu’eux sont des « dieux » ou des « homo deus » ou « humains-dieux », qui travaillent pour créer des humains 2.0, ce qu’on appelle couramment donc l’agenda transhumaniste.

Yuval Noah Harari est un enseignant-conférencier à l’université hébraïque de Jérusalem, et très proche conseiller de Klaus Schwab du WEF, rappelons-le.

Il est juif au sens biologique ou au sens ethnique du terme, par opposition aux juifs au sens spirituel du terme, comme justement mon cas, moi Hubertelie qui écris ces lignes, ce qui est le plus important que la judéité ethnique. Celle-ci a été très utile pour conduire doucement l’humanité à la notion de judéité spirituelle, universelle, ce qui signifie tout humain, qui après le péché originel qui est le fait de se déconnecter du Dieu Universel, que nous appelons l’Univers TOTAL en Science de Dieu, revient donc dans le Paradis perdu. Comment?

En se reconnectant donc à Dieu via un humain spécial et très connecté à Dieu, et qui est un Dieu incarné en humain, ou un Ange né humain. C’est le cas justement de Jésus de Nazareth, appelé le Fils de Dieu, ce qui veut dire un modèle en matière de nature divine, et de qualité divine, comme l’amour pour Dieu et pour son prochain, jusqu’à ceux de la plus humble condition. Vous pensez que c’est ce modèle d' »homo deus » ou « humain-dieu » ou « ange né humain » qu’on a avec cet hyper-arrogant et très grand blasphémateur Yuval Noah Harari?

Oui, une simple question: pensez-vous qu’un vrai être humain peut dire des abominations comme celles qu’il dit, peut parler de pirater ou de hacker les humains, et peut faire de cela tout un agenda? Il est présenté et adulé comme le « penseur le plus important du monde ». Et ce « penseur » dit donc que la grande masse des milliards d’humains qui ne font pas partie de sa catégorie élitiste, qui ne sont donc pas des « dieux » ou « homo deus » ou « humains 2.0 » comme lui, sont des « inutiles »!

Vous imaginez Jésus de Nazareth dire qu’un humain est « inutile » s’il n’a pas un QI de 666? A moins justement que l’humain en question dont il parle ne soit ce qu’il a appelé un « serpent » ou une « progéniture de vipère » (pour dire un « enfant du Diable », du Serpent d’Eden ou Nahash en hébreu).

Par les prophètes, comme Moïse (par qui Dieu a donné la Torah ou Loi au monde), comme Isaïe l’un des prophètes dit messianiques, c’est-à-dire qui annoncent l’avènement du Messie sauveur de l’humanité (oui il SAUVE l’humanité du règne du Diable, du péché et de la mort, et ne génocide pas l’humanité!), annoncent un âge d’or pour l’humanité (voir: Isaïe 2: 1-4; 9: 1-5; 11: 1-9), âge d’or que Jésus le Messie en question a appelé le Royaume de Dieu ou Royaume des cieux (voir Matthieu 5: 1-12; Hébreux 12: 22-24; Apocalypse 21: 1-7), oui les prophètes donc, et à leur suite Jésus et les apôtres, étaient des juifs. Ils ne mèneraient jamais le genre d’agenda que mène le Serpent dont le visage est montré plus haut, et qui est donc précisément Satan le Diable, le Prédateur dont nous parlons (Apocalypse 12: 7-12; 13: 1-18; 20: 1-3, 7-10).

Puisque le Prédateur, croyant être tout-puissant et n’avoir aucun Dieu ou puissance Transcendante au-dessus auquel il DOIT obéir aux lois, les lois universelles (la Torah universelle, car le mot hébreu Torah veut simplement dire Loi, la Loi supérieure donc, celle au-dessus des lois de Satan et de son système satanique), oui puisque ce Prédateur, avec toute son arrogance satanique, pense n’avoir plus rien à craindre, se présente face à l’humanité, sa proie donc, pour la dévorer impunément (voir Apocalypse 12: 1-6), alors très bien, les proies vont aussi les regarder en face, et éclairées par la Science de Dieu, comprendre pourquoi, bien qu’ayant les apparences humaines, sont inhumains, mais sont des démons nés humains! Techniquement parlant, ce sont des êtres de Négation, des êtres négatifs (au sens scientifique du terme donc), des entités négatives!

Les proies vont comprendre à présent toute la vérité scientifique sur ce monde, cet univers, et leur face cachée! Elles vont comprendre ce qui se cache vraiment derrière les symboles de la Genèse, le Serpent d’Eden, le péché originel, etc., et qu’est-ce que cela veut dire vraiment. Il ne s’agira plus de doctrines d’une religion, mais de notions scientifiquement éclairées à présent.

Mais par quelle science? Celle des scientistes? Cette fausse science, corrompue, mensongère, au nom de laquelle on impose des masques qui non seulement ne servent à rien, mais nuisent à la respiration et aux organismes? Cette science du Lancet Gate? Cette religion déguisée en science qui interdit les médicaments peu chers et qui soignent et imposent des médications couteuses, non seulement inefficaces, mais toxiques? La science qui traite de « complotistes » ceux qui font la vraie science et travaillent pour la vraie vérité de la vraie science? La science d’un système de Mensonge, c’est-à-dire de Négation (pour le dire avec un terme technique de la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu), qui fait de menteurs, c’est-à-dire des esprits de Négation, des « fact-checkers », chargés de déclarer « fake » la vérité et de déclarer « vérité » des fakes?

Justement non, il ne s’agit plus de cette science-là, celle du Prédateur, l’esprit de Négation, bref le Serpent d’Eden, le Diable, représenté dans la Genèse par le fruit interdit (Genèse 3: 1-24). La Négation est la racine de toutes les choses négatives, et l’arbre du fruit défendu, l’Arbre de la Négation donc, est illustré avec un certain nombre de ses fruits négatifs, pour comprendre la logique.


Pensez-vous qu’il y a une commune mesure entre Jésus de Nazareth, qui prêcha Dieu, l’amour pour Dieu et le prochain, et un Yuval Noah Harari, un conseiller du nazi du troisième millénaire Klaus Schwab du WEF ou Forum Economique Mondial?

Bref, Satan le Diable, le Prédateur, l’ennemi de l’humanité, s’est incarné dans le peuple juif pour détruire le peuple juif, mener son agenda, qui est faussement le programme divin dans le Tanakh. De même que Satan incarné en juif a sacrifié des enfants juifs à Moloch pour avoir les faveurs de Moloch (Jérémie 7: 31), de même aussi, plus proche de nous, et pour son agenda sioniste (lui non plus qui n’est pas le sionisme des prophètes, mais le sionisme talmudique), il a sacrifié des millions de juifs pendant la Shoah.

Et pour son grand agenda mondialiste et transhumaniste, il génocide l’humanité, à commencer par les juifs. Et depuis spécialement l’année 2020, l’année qui inaugure le covidisme, et plus généralement les nouvelles religions.

Au-delà donc de sa volonté de destruction du peuple juif, le Prédateur, le Serpent, s’est donc incarné dans l’humanité, pour détruire l’humanité (Apocalypse 12: 1-17; 13: 1-18). Mais ce faisant, il accomplit le sombre et funeste agenda que Dieu a annoncé depuis des millénaires. Cela veut dire que le Prédateur est pris dans le piège de Dieu, qui est en fait le propre piège du Prédateur. Il se suicide donc. Pour l’humanité, les enfants de Dieu, c’est-à-dire tous les juifs au sens universel, ce n’est qu’un mauvais moment de tribulations à passer. Mais pour le Serpent, ce sera une éternité dans le lac de feu (Apocalypse 20: 1-3, 7-10).


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La fin du mythe selon lequel Dieu ne peut être objet de science exacte

La fin du mythe selon lequel les questions de Dieu, du Diable, des démons, etc., ne peuvent faire l’objet d’une science exacte

Source : https://www.hubertelie.com/u_phi_scien-fr-133-000-fin-mythe-que-dieu-ne-peut-etre-objet-de-science-exacte.html


Sommaire de cette page :


Tout devient une science exacte dans le paradigme de l’Univers TOTAL

Spinoza, Cantor, Einstein, etc.: ils ont préparé la voie à la Science de Dieu

Quand on demandait à Albert Einstein (qui était un juif, le monde entier le sait) s’il croyait en Dieu, il répondait: « Dites-moi ce que vous entendez par ‘Dieu’ et je vous dirai si j’y crois. »

On a interprété ce genre de propos d’Einstein comme quoi il serait agnostique et même athée! Or les gens informés savent qu’Einstein croyait en Dieu, mais sa conception de Dieu était celle de Baruch Spinoza, un grand philosophe juif du 17ème siècle, contemporain de Descartes entre autres.

Spinoza disait: « Tout est Dieu« , et en cela sa conception se rapproche beaucoup de celle de la Science de l’Univers TOTAL, ou plus exactement la Science de l’Univers TOTAL améliore ce type de conception de Dieu couramment appelé le « panthéisme », en complétant ou en corrigeant les failles.

La conception de Dieu de la Science de l’Univers TOTAL ne saurait être réduite à aucune des visions classiquement qualifiée de panthéistes, pour plusieurs raisons. Mais puisque dans ce monde on aime cataloguer les choses, en très grossière et approximative qualification, juste pour se faire une idée, on va dire que notre conception est de même type que le panthéisme de Spinoza et d’Einstein.

Mais une fois qu’on a dit cela, on doit aller en profondeur et découvrir l’énorme différence avec l’approche de Spinoza et d’Einstein. Déjà ici, le premier complément à apporter est de dire: « Dieu est Tout et Tout est Dieu« , ce qui est nettement mieux! Et Einstein disait: « Je crois au Dieu de Spinoza »:

Quand donc Einstein, quand on lui demandait s’il croyait en Dieu, répondait: « Dites-moi ce que vous entendez par ‘Dieu’ et je vous dirai si j’y crois », ce n’était donc pas du tout une déclaration d’agnostique et encore moins d’athée, mais il disait simplement que Dieu est avant tout une question de définition, et j’ajoute de définition scientifique! Il suffit donc de définir scientifiquement Dieu, et la question de son existence est réglée… ou pas! Et pour nous cela sera réglé, et on va voir pourquoi.

La conception de Spinoza, à savoir donc: « Tout est Dieu« , est déjà pas mal, mais même améliorée et en disant: « Dieu est Tout et Tout est Dieu« , elle a encore une petite faille subtile. Pas une faille logique mais une faille conceptuelle.

En effet, quand on emploie le mot « Dieu » comme cela, c’est juste comme dire « Tout est Toto« , ou sa version améliorée: « Toto est Tout et Tout est Toto« . Il ne s’agit pas d’une définition de Toto, mais d’un énoncé concernant Toto, que l’on suppose avoir déjà été défini. Si ce n’est pas le cas, alors ce genre d’énoncé est comme de dire « Dieu existe« , énoncé lui même qui est donc juste comme de dire « Toto existe« . Ici on n’a défini ni le mot « Dieu« , ni ce qu’il faut entendre par « exister« . Ce type d’énoncé n’est donc pas un théorème mais un axiome, comme par exemple les axiomes de la théorie des ensembles.

C’est Georg Cantor (d’origine juive aussi) qui a introduit en 1882 le puissant paradigme qu’est la théorie des ensembles. Et comme on y trouva par la suite des paradoxes, on a déduit que la notion d’ensemble telle que Cantor la concevait était trop « générale », qu’il fallait la restreindre par des axiomes, et c’est le grand mathématicien David Hilbert qui proposa la méthodologie axiomatique. Sauf que le vrai problème n’était pas du au fait que la notion d’ensemble était « trop » générale, mais était dû à la logique de Négation avec laquelle on raisonnait (on y reviendra).


L’axiomatique est déjà problématique, mais la religion scientiste encore PIRE!

Un axiome est un énoncé sans démonstration posé au départ d’une théorie, et qui sert à démontrer d’autres énoncés appelés alors théorèmes. Ces théorèmes reposent donc sur les axiomes de départ, et changer ceux-ci ou seulement l’un d’entre eux, change le reste.

Donc un axiome est un mot savant pour dire en fait une croyance, un dogme. C’est ce que sont les axiomes et les principes des sciences classiques, qui sont donc un système de croyances qui ne dit pas son nom, une religion donc.

D’autant plus si cette religion se révèle clairement être une tyrannie orwellienne qui ne tolère aucune opinion contraire à sa doxa. Un système de pensée unique, une secte qui appelle de plus en plus clairement à euthanasier ceux qui se libèrent de la secte et qu’ils appellent les « complotistes »!

Eux mêmes sont en train de montrer justement ce qu’ils sont, à savoir des serpents venimeux, des démons nés humains, qui injectent leurs venins et poisons mortels dans les corps et dans les âmes. Nous n’en sommes qu’au début des révélations divines sur ces progénitures du Serpent d’Eden et leur empire du mensonge, du mal, de la maladie de la mort:

Arthur Schopenhauer a dit une chose remarquable que même des gens comme moi qui auparavant n’avais pas lu une seule ligne de l’oeuvre de Schopenhauer (depuis j’en ai lu…) connaissent et qui est que toute vérité passe par trois étapes: elle est d’abord ridiculisée, puis elle est violemment combattue (ou elle subit une très forte opposition), enfin elle est considérée comme ayant toujours été une évidence. On le voit clairement avec ce système de serpents à l’égard de ceux qui disent des vérités qui les dérangent et qu’ils appellent les « complotistes ». Comme cela ne suffit plus de les ridiculiser avec leurs divers qualificatifs dont la liste s’allonge de jour en jour, ils passent clairement à la seconde étape: euthanasier ou crucifier ceux qui disent la vérité. Mais la troisième phase arrivera immanquablement (et pointe même déjà à l’horizon) où la vérité triomphe, et alors aussi commencera l’enfer de ces serpents comme c’est écrit dans la Bible depuis au moins 2000 ans (Apocalypse 19: 11-21; 20: 1-3, 7-10).

Je vois cela de loin et je dis ceci: il vaut mieux être à la place de ceux qu’ils nomment les « complotistes » qu’à la leur. Car ce qui arrive est pire que le procès de Nuremberg contre la tyrannie nazie et tous les collabos dans ce crime contre l’humanité. Car aussi le crime présent contre l’humanité dépasse tous ceux que l’humanité a connu depuis la nuit des temps. C’est DIEU qui juge à présent en ce grand Jour du Jugement du monde qui commence ainsi, mine de rien. Ici, aucun criminel n’échappera, car les anges ont tout vu, même ce qui est caché à l’oeil des humains. Quand ils dévoileront tout, beaucoup horrifiés n’en croiront pas leur oreilles à propos d’un monde qu’ils croyaient connaître! Oui, ils découvriront à la fois Satan le Diable et le monde satanique dans lequel ils vivaient sans le savoir.

En attendant ce grand jour de la délivrance du monde, oui de la délivrance des enfants de Dieu du joug de Satan et de ses enfants, ce jour de délivrance simplement de tous les humains normaux, je ne cesserai de dire ceci: regarde qui empêche l’autre de parler et tu auras vu aussi celui qui MENT! Regarde qui est ridiculisé en ce monde, est combattu, crucifié, euthanasié, et tu sauras qui dit la vérité. Car le fait est que, nous, nous ne les empêchons pas de dire ce qu’ils ont envie de dire, ce que ça leur chante de déblatérer dans leurs médias. Toute la puissance de propagande, du mensonge, de la désinformation, de la mésinformation, de l’ininformation, bref toutes les formes de négation de l’information, est de leur côté, et cela devrait leur suffire pour noyer toute voix dissidente. Mais malgré cela le peu qu’on peut dire dans nos petits espaces d’expression les brûle déjà comme les flammes de l’enfer au point d’entreprendre de nous tuer.

Voir aussi la page: Le système totalitaire parle de se débarrasser des antivax. Il est toujours bon de rappeler que le terme « antivax » est, comme « complotiste » et autres, un des mots de la novlangue de ces serpents pour faire passer les gens pour ce qu’ils ne sont pas. Beaucoup ne sont pas « antivax », et personnellement, en Afrique, depuis mon enfance (j’ai 62 ans en 2023) j’ai reçu tous les vaccins possibles et imaginables. Et même une fois en France depuis 1985, j’ai encore reçu plus d’un vaccin, ne serait-ce que pour voyager en Afrique. Le problème n’est donc pas là et ils le savent très bien. C’est juste que les gens refusent le pseudo-vaccin anti-Covid-19 et tous les poisons de ce nouveau genre:

Ce sont eux-mêmes qui depuis un certain nombre d’années déjà (je situe cela à peu près autour des années 2010) ont commencé à susciter la méfiance légitime de beaucoup au sujet des vaccins, qui pourraient donc avoir un autre but que la santé des gens. Il faut dire qu’auparavant, à l’époque déjà lointaine où les vaccins étaient encore une question de santé et non pas de politique, on assistait lentement mais sûrement à un changement de paradigme en matière de santé. Notamment quand Bill Gates a cessé de corriger les bugs de ses Windows et Offices et s’est converti en vaccinateur de la planète… Notamment des gens des pays du tiers-monde, les africains, les indiens, etc.

A l’ère des réseaux sociaux, des témoignages se multipliaient sur le cauchemar de beaucoup de gens. Et bizarrement aussi la censure montait sur Youtube, les réseaux sociaux, au sujet des vaccins. Ce qui a joué contre ces serpents, c’est la barrière des langues: des gens communiquaient leurs expériences dans des langues que les censeurs et leurs IA (Intelligence Artificielle) diaboliques ne maîtrisaient pas ou pas encore, ou n’en comprenaient pas les subtilités. Comme quoi, soit dit en passant, l’intelligence humaine aura toujours une longueur d’avance sur l’IA.

Mettez-vous par exemple à la place d’une femme africaine qui conduit son enfant au centre de « soin » pour avoir sa vaccination normale, comme elle et beaucoup l’ont reçue jusqu’ici sans grave dommage. D’autant que comme beaucoup elle a cru au narratif de ce Bill Gates dont on parle tant, et qui est riche, utilise son argent pour aider les africains dans leurs problèmes de santé, ce que beaucoup louaient à l’époque à Afrique. Elle va donc faire injecter son gamin du « vaccin » de ce « grand bienfaiteur » de « Bilguétou », comme son nom se prononce dans certains dialectes africains. Puis peu de temps après son enfant décède…

Fataliste, elle et son entourage disent que c’est la faute à pas de chance, que le « mauvais sort » s’est acharné sur son enfant, mais que le « gentil » Bilguétou a fait de son mieux pour le sauver. Sa piqûre a sans doute été administrée trop tard, pense t-elle, et cela n’a pas eu le temps de faire son effet « bénéfique »…

Sauf que la voisine d’à côté a eu la même « malchance »… Puis au marché les gens, et surtout les femmes, qui tiennent en majorité cette activité, avec souvent leurs enfants portés sur elles, elles parlent de tous les sujets, donc forcément des effets des « vaccins » de Bilguétou sur elles et leurs enfants:

Les femmes africaines, comme les femmes d’ailleurs, dans les sociétés pas encore corrompues ou intoxiquées par l’idéologie luciférienne, faussement « progressiste » mais dégénérée et dégénérative, à savoir l’idéologie talmudo-maçonnique, LGBT, etc., un cancer, hélas, très avancé en Occident (Dieu y travaille pour guérir de cette Maladie source de toutes les autres) , oui les gens, femmes et hommes, causent donc beaucoup dans les lieux de vie sociale.

A force de constater qu’ils vivent les mêmes drames, et ont tous en commun d’avoir été vaccinés dans la campagne de vaccination de Bill Gates, des années avant donc le Covid, les gens ont commencé à se poser des questions légitimes. Les soupçons ont été portés sur les piqûres de ce Bilguétou, qui ne serait donc pas si bien-intentionné à leur égard que cela. Si bien que dans plusieurs villages d’Afrique, comme au Togo, quand on annonçait l’arrivée des équipes de vaccination et de leurs véhicules, c’était le sauve-qui-peut! Les femmes attrapaient leurs gosses et s’enfuyaient pour se cacher dans les campagnes.

Cela peut faire sourire, mais en fait c’est très dramatique. On en sourit sinon l’autre alternative est de pleurer nuit et jour face à toutes les formes de méchancetés dont certains humains (faut-il encore les appeler des « humains »?) sont capables. La bonne nouvelle est que Dieu est en train de faire toute la lumière sur la face cachée de ce monde, et donc en fait de juger le Diable et les siens.

Car ce qui se passe dans le tiers-monde (l’Afrique étant toujours le cas emblématique, le cas d’école) ne peut que rappeler les heures les plus sombres des 250 ans d’esclavage des noirs, qui sont restées dans l’inconscient collectif.

A noter au passage la perversité jusque dans la manière de produire les fresques. D’abord un certain effort pas du tout anodin est fait pour représenter les victimes comme des sortes d’hybrides humains-singes, et avec toute la noirceur de la peau… Le but étant très probablement d’atténuer l’horreur dans l’inconscient de la personne qui regarde. Et ensuite, les fresques mettent souvent au premier plan ou en évidence des gardiens noirs armés de fusils, comme si c’était eux qui organisaient ce trafic, alors qu’ils agissaient bien évidemment pour des patrons occidentaux, et eux-mêmes ayant un patron caché au-dessus, à savoir l’esprit Talmud.

Il est très important de comprendre ce point à présent, car on a tendance souvent aussi à focaliser les attentions sur les occidentaux, en passant sous silence le grand patron dans l’ombre, l’esprit du Talmud. J’ai bien dit l’esprit du Talmud, qui est toujours celui caché dans tout ce qui est satanique en ce monde. Y compris donc derrière la Shoah perpétrée contre des millions de juifs du « bas » comme cette élite du haut, talmudique donc, le dit parfois elle-même. A savoir donc le sacrifice nécessaire des « juifs du bas » pour accomplir les « nobles objectifs » des juifs du haut, les « maîtres du monde » depuis le sacrifice à Satan, il y a 2000 ans, du Messie, Jésus de Nazareth le Roi des Juifs (Jean 19: 8-22).

C’est la vérité qui n’est jamais dite, qu’il faut comprendre à présent. A savoir que la Shoah n’est qu’un épisode d’une logique profonde de sacrifices d’humains (à commencer par le sacrifice de juifs) pour accomplir un agenda talmudique, qui est un agenda satanique, et qui n’est rien d’autres que ce que l’on entend souvent les rabbins talmudistes enseigner et qui est si bien synthétisé dans le fameux Protocole des sages de Sion.

Ce Protocole est tout simplement un crime prémédité et bien planifié contre l’humanité depuis des décennies, des siècles et même des millénaires, et exécuté méthodiquement, étape par étape. La communauté du Talmud dit que ce document serait un « faux », qu’ils n’ont jamais élaboré un document ou un plan aussi machiavélique, diabolique, satanique, contre l’humanité. Et ils ajoutent qu’il n’y aurait que les « antisémites » pour le penser, oui pour croire à ce texte qui selon eux est l’oeuvre d' »antisémites ».

D’abord je dirai, en parlant de ce Protocole et d’autres choses, en commençant surtout par le Talmud et la Kabbale, que si le mot « antisémite » dans leur bouche quand on parle de ces sujets signifie « haïr les juifs », alors ce mot dans le cas de ces sujets et d’autres est FAUX! Car c’est avec ce genre de raisonnement que, si un goy ou non juif, un français de souche, un germain, un américain, un italien, un arabe, un chinois, un slave, un africain, etc., commet un crime et qu’on lui demande des comptes, là ça va. Mais si c’est un juif, et qu’on lui demande des comptes, alors c’est qu’on serait forcément « antisémite »!

Au troisième millénaire, au Jour du Jugement qui commence (Apocalypse 20: 1-10), et devant le Tribunal du Dieu Très-Haut (Apocalypse 20: 11-21), l’Univers TOTAL, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, cet argument n’a aucune valeur! Tout le monde doit rendre des comptes exactement de la même manière, tout le monde est jugé de manière équitable, les juifs ne font pas exception. D’autant plus qu’ici il ne s’agit même pas encore de juger les juifs, pas plus que les français, les germains, les américains, les italiens, les arabes, les chinois, les slaves, les africains, etc.

A la rigueur, toujours devant le Tribunal de Dieu, le seul qui compte désormais (car justement aussi le texte de ce Protocole confirme à quel point tout est faussé: la science, la religion, la politique, l’économie, le justice, etc.; donc on ne fera plus confiance à une justice potentiellement entre les mains de ceux qu’on juge, comme les auteurs du texte, plus que probablement des talmudistes, l’écrivent); oui à la rigueur donc, devant le Tribunal de Dieu on commence à juger pour l’instant des individus spécifiques pour leurs actions dans le monde et dans l’histoire. Comme par exemple je le fais ici et ailleurs pour Bill Gates, pour Klaus Schwab, pour George Soros, etc.

Et de manière plus générale les occidentaux dans le crime de l’esclavage entre autres. Tout le monde doit être interrogé, et doit répondre aux interrogations, se défendre, avec de vrais arguments, et pas ceux d’appartenance à une communauté raciale, ethnique, etc. Et même dans ce cas, Dieu interroge tout par son serviteur, par ses serviteurs, il accuse qui doit être accusé et en précisant de quoi il est accusé. Et on doit simplement donner de vraies réponses. Il n’y a aucune raison que, quand on interroge les autres races, là ça va. Mais il n’y aurait qu’une seule, les juifs donc, qu’on n’aurait pas le droit d’interroger, sous peine d’être accusé d' »antisémitisme ». Et en plus aucune race n’est accusée pour ce qu’elle est, mais si des gens d’une certaine même race ont commis des crimes au nom de leur race, alors ils doivent en répondre, pour la bonne et simple raison que leurs crimes, s’il est démontré, et Dieu est en train de le démontrer, est commis en premier contre leur race! En l’occurrence ici faire porter à tous les juifs des crimes qui ne sont que les leurs, c’est-à-dire de l’esprit du Talmud!

Et maintenant, pourquoi les juifs en premier, pas les francs, les germains, les slaves, les kushites (ou les noirs)? Pour une raison très simple: les juifs ont été le peuple élu de Dieu, et les talmudistes, qui se réclament de l’héritage des pharisiens qui ont crucifié Jésus il y a 2000 ans, malgré donc ce crime sur un juif, un envoyé de Dieu, le Messie (et on démontre aussi pourquoi il était bel et bien le Messie), se targuent encore d’être le « peuple élu de Dieu ». Idée centrale aussi dans le Protocole des sages de Sion, et d’ailleurs rien que le titre en dit très long.

Et ceux qui parlent dans ce Protocole, et dont un élément du plan est de détruire la foi en Dieu, en parlant notamment des goyim ou non-juifs, ne peuvent pas être du peuple élu de Dieu, car la volonté de Dieu exprimée dans la Torah, dès la Genèse, quand Dieu parlait à Abraham le père de la foi, est que toutes les nations soient bénies grâce à la descendance d’Abraham (Genèse 22: 15-18). Il est important de préciser qu’à ce moment, il n’était même pas encore question d’Israël ou Jacob, mais on n’en était qu’à Abraham et son fils Isaac, qui sera plus tard le père de Jacob ou Israël. C’est à partir de lui et de son fils Juda que l’on commence à parler de juifs.

Donc la promesse de bénir toutes les nations a été faite à Abraham le père de la foi en Dieu. Ça, c’est ce que dit la Torah! Il n’est pas dit que les goyim ou non-juifs devront être méprisés, traités de sous-humains, crées pour les juifs et pour les servir, comme le dit le Talmud, ou en tout cas ce qu’en enseignent les rabbins talmudistes sur internet, notamment sur Youtube.

Au troisième millénaire, à l’ère d’internet et des réseaux sociaux, le monde entier peut le vérifier à présent. Pas besoin de parler l’hébreu pour comprendre, car le même enseignement rabbinique ou talmudique est fait dans toutes les langues, en tout cas en français et dans les principales langues du monde. Et ce que dit le Protocole des sages de Sion est profondément l’idéologie même du Talmud, donc inutile de nier et de dire qu’il s’agit d’une oeuvre d’origine non juive, un « faux », ou une oeuvre d' »antisémites ». Car l’antisémitisme a vraiment bon dos.

Si des juifs sont imprégnés de l’idéologie du Talmud au point d’élaborer un agenda à ce point conforme à l’enseignement talmudique, avec une telle conviction, force, puissance, et surtout un tel caractère prophétique, prédictif, un tel accomplissement et une telle réalisation que tout le monde peut constater de nos jours, alors un tel auteur ou de tels auteurs sont tout simplement talmudistes… Ou talmudiques, ce qui n’est pas la même chose. Car un talmudiste est nécessairement talmudique, mais on peut être très talmudique sans nécessairement être talmudiste, ni même juif au sens de race. C’est l’idéologie talmudique que nous convoquons devant le Tribunal de Dieu, que Dieu convoque par son serviteur et votre serviteur, comme aussi la franc-maçonnerie est convoquée, l’agenda mondialiste est convoqué, le Covidisme est convoqué, l’Ukrainisme est convoqué, etc.

Et même les mathématiques sont convoquées avec les paradoxes de la théorie des ensembles, et aussi la dite « impossibilité » de diviser par zéro, etc. Tout ce qui est de l’erreur est convoqué, à commencer par mes propres erreurs. Toute erreur sera pardonnée, mais pas le mensonge et la volonté délibérée de tromper, de désinformer. Et a plus forte raison la volonté délibérée de nuire, de faire du mal.

Les auteurs du Protocole des sages de Sion ont clairement la volonté délibérée de NUIRE. Soit aux juifs ou talmudistes, en faisant une opération « false flag » ou « sous faux drapeau » dans le but de leur faire porter le chapeau. Mais dans ce cas je leurs demande pourquoi se fatiguer tant à inventer une fausse preuve alors qu’il leur suffisait juste de citer le Talmud ou pour ceux qui vivent au troisième millénaire, de citer les enseignements talmudistes sur internet, de faire d’une manière ou d’une autre une enquête sur ce que dit le Talmud, comme je l’ai fait. Pas besoin non plus d’enquêter 107 ans, hein?, pour palper l’esprit du Talmud, son idéologie clairement satanique. Pourquoi donc se fatiguer à rédiger méticuleusement une fiction, alors que les faits sont largement suffisants? Et même si c’est une fiction, du moment où elle exprime une réalité, où est alors le problème? Si par exemple une personne rédige un roman autobiographique, où est le problème, du moment où cela rapporte sa biographie? Ce serait très malhonnête de s’arrêter sur la forme et non pas sur le fond. Or nous, devant le Tribunal de Dieu, c’est le FOND qui nous intéresse, et non pas la forme choisie pour exprimer ce fond.

Et franchement, en lisant ce Protocole, avec toute la meilleure volonté du monde, j’ai du mal à y voir un canular, exactement comme quand je lis les lettres Ummites, j’ai du mal à y voir un simple canular, mais comme pour le Protocole, ou le Protocole comme ces lettres, j’y vois un message et au-delà du message une réalité, qui est ce qui se passe en France et dans le monde depuis des années. Dans les deux cas comme dans d’autres, les auteurs exposent tout simplement un agenda, qui est LE LEUR et non pas celui attribué à des gens à qui ils veulent nuire. Le Protocole présente un agenda très maléfique pour l’humanité, qui se trouve dans les grandes lignes celui que j’ai entendu en écoutant des heures, des heures et des heures enseigner des rabbins talmudistes dans des vidéos.

Comme par exemple cet enseignement sur le rôle eschatologique des kushites (les noirs), enseignement que j’ai apprécié et que j’analyse donc sur ce site, et qui a été donné par le rabbin talmudiste Haïm Dysnovisz. Et justement aussi j’analyse dans une audio dans la seconde partie de la présente page, au sous-titre La rencontre entre la science hébraïque (biblique) et la science gréco-romaine un enseignement talmudiste mais qui est anti-Torah et anti-Tanakh, qui m’a profondément choqué!

Il dit en gros que la Shoah est le chèque ou prix payé à Hachem ou le « maître du monde » censé être « Dieu », pour que les juifs reviennent sur le sol d’Israël pour accomplir leur mission. Cet enseignement est pour moi une manière de faire accepter l’idée très courante chez les enseignants talmudistes que des juifs ont été sacrifiés à Satan en fait pendant la Shoah pour que le peuple juif puisse revenir sur la terre d’Israël mais sans remplir les conditions divines clairement stipulées dans la Torah en Deutéronome 30: 15-20, mais rappelée par pratiquement tous les prophètes, et spécialement par Jésus en Matthieu 23: 37-39. A savoir que Dieu, qui les a fait sortir de l’esclavage d’Egypte pour les faire entrer en terre promise, les garderait dans cette terre promise et les protégerait de tous les ennemis, mais à une condition: d’observer la Torah, de ne pas pratiquer les choses mauvaises que pratiquaient les peuples sataniques ou adorant des idoles (donc en fait des démons et donc Satan). Sinon, ils seraient chassés de leur héritage et iraient en exil, et ne reviendraient sur leur terre qu’en s’étant repentis ou ayant fait téchouva, pour le dire en hébreu.

Tout au long du Tanakh, les prophètes n’ont que rappelé cette idée de la Torah, et la violation de cette clause contractuelle avec YHWH le vrai Dieu a fini par leur faire perdre la terre promise et aller en exil, comme par exemple l’exil de 70 ans à Babylone. Ils sont revenus mais dans un esprit de repentance. Et maintenant, le plus grand exil de leur histoire a duré 2000 ans et dure en fait toujours! Et qu’est-ce que leur a valu cet exil? Les évangiles le disent clairement. Jésus notamment dit que Jérusalem est la ville qui tue les prophètes et les envoyés de Dieu, et s’apprêtait à le tuer à son tour. Il dit que leur maison sera de nouveau abandonnée (ils iraient donc en exil) jusqu’à ce qu’ils sachent dire: « Béni est celui qui vient au nom du Seigneur ». Un envoyé viendrait, et ils devront le reconnaître. En gros se repentir d’avoir assassiné le Messie.

Leur exil de 2000 ans est donc la conséquence de ce grand crime contre le Messie ou contre Dieu. Et comme je le démontre amplement aussi, la Shoah fait partie de ces conséquences. Donc s’ils étaient revenus en Israël en se repentant de leur crime contre le Messie, ce serait une toute autre histoire! Mais ce n’est pas le cas, et à ce jour, les talmudistes ne reconnaissent toujours pas Jésus et pourtant sont retournés en Israël. Contrairement au retour en Israël après l’exil à Babylone, qui a été un retour avec repentance, ici il n’y a pas eu repentance. L’esprit du Talmud qui leur fait assassiner Jésus le Messie et qui leur fait subir ce long exil, n’a pas été abandonné. Bien au contraire ils sont plus talmudistes que jamais! Ils ont donc payé le prix de la Shoah pour revenir en Israël mais sans remplir la condition d’abandon du Talmud et de retour à la Torah et au Tanakh intégral.

D’où la question: A qui ils ont en fait payé ce prix? Il est extrêmement facile de démontrer en fait que derrière « Hachem » ou le « maître du monde » dont ils parlent, se cache en réalité César dont ils ont choisi le royaume plutôt que le royaume de Dieu prêché par Jésus. Oui, « Nous n’avons de roi que César », ont-ils répondu à Pilate. Jésus le Messie a donc été sacrifié à César, autrement dit à Satan, et c’est toujours à lui que des juifs ont été sacrifiés pendant la Shoah, pour revenir donc sur la terre qu’ils ont perdue en ayant sacrifié le Fils de Dieu, le Roi des Juifs (Jean 19: 8-22). Et bien d’autres preuves indiquent que derrière Hachem le « maître du monde » se cache l’entité qui gouverne ce monde, le « César » donc, autrement dit Satan. Et dans cet enseignement, le rabbin compare Hachem à Emmanuel Macron, et notamment dans l’épisode des Gilets Jaunes qui en a mutilé beaucoup, alors qu’ils ne demandaient que l’amélioration de leurs conditions de vie!

Il dit que des anges habillés en Gilets manifestaient au ciel contre Hachem, et pour quelles raisons? Parce que Hachem n’a pas récompensé le rabbi Akiva, un des grands auteurs du Talmud et de la Kabbale. Le rabbin explique aussi que c’est la « Torah orale » et qu’elle est pour eux bien plus importante que la Torah écrite donnée à Moise. C’est le point clef ici: la Torah écrite, celle de Moïse donc, est l’unique vraie Torah! La « Torah orale » dont le rabbin parle, le Talmud et la Kabbale, donc, est la tradition des pères talmudistes. Et en disant que c’est beaucoup plus important pour eux que la Torah écrite, le rabbin dit d’une autre manière ce que Jésus leur reprochait il y a 2000 ans en Matthieu 15: 3-9, à savoir qu’ils ont neutralisé la Parole de Dieu au profit de leurs traditions.

Et il continue l’explication en disant que les anges en Gilets Jaunes qui manifestaient devant Hachem parce qu’il n’a pas récompensé comme il fallait le rabbi Akiva l’un des importants fondateurs du Talmud et la Kabbale, Hachem leur a répondu comme Macron aux Gilets Jaunes, à savoir qu’ils la ferment et qu’ils aillent voir ailleurs. Et ça recommence les mutilations actuellement, mais cette fois-ci avec la réforme des retraites! Cela ne fait donc que confirmer l’entité derrière Hachem. Et quant à Macron, il n’a certainement pas été installé sur le trône de France par Dieu, le vrai! On sait qui l’y a installé, et ce n’est certainement pas pour suivre l’agenda divin, mais l’agenda de ses maîtres, oui les « maîtres du monde »:

Après donc l’idée très choquante concernant la Shoah, celle sur Macron est la dernière goutte qui a fait déborder le vase chez moi, et je pense même que c’est à partir de ce moment que je suivais de moins en moins les enseignements de ce rabbin et des autres. De toutes les façons j’en savais assez sur le Talmud, son idéologie, ce qui était son but.

Comme quoi je ne dis pas que tout ce que dit les talmudistes est mauvais. S’ils citent et expliquent correctement un passage de la Torah ou du Tanakh par exemple, je ne vais pas dire que c’est mauvais, juste parce que c’est un talmudiste qui enseigne. Mais franchement, il y a des idées très mauvaises, qui sont de Satan tout simplement, et qui correspondent aux horreurs qu’on lit dans le Protocole des sages de Sion, inutile de chercher à le nier.

Ce n’est pas ce que dit la Torah de Moïse et l’ensemble du Tanakh. Nous avons cité plus haut ce que dit la Genèse 22: 15-18 à propos d’Abraham, à savoir que par sa descendance toutes les nations de la terre seront bénies et non pas méprisées et traitées en esclavage par les juifs, ce qui est l’idéologie aussi bien du Talmud que du Protocole. Et cette idée de Genèse 22: 15-18 est confirmée dans tout le Tanakh ou Bible hébraïque ou Ancien Testament de nombreuses façons, comme par exemple en Isaïe 2: 1-4, qui dit:

Prophétie d’Isaïe, fils d’Amots, sur Juda et Jérusalem.

Il arrivera, dans la suite des temps,
Que la montagne de la maison de l’Eternel
Sera fondée sur le sommet des montagnes,
Qu’elle s’élèvera par-dessus les collines,
Et que toutes les nations y afflueront.

Des peuples s’y rendront en foule, et diront:
Venez, et montons à la montagne de l’Eternel,
A la maison du Dieu de Jacob,
Afin qu’il nous enseigne ses voies,
Et que nous marchions dans ses sentiers.
Car de Sion sortira la loi,
Et de Jérusalem la parole de l’Eternel.

Il sera le juge des nations,
L’arbitre d’un grand nombre de peuples.
De leurs glaives ils forgeront des hoyaux,
Et de leurs lances des serpes:
Une nation ne tirera plus l’épée contre une autre,
Et l’on n’apprendra plus la guerre.

Dans le même ordre d’idées, Hoshéa ou Osée 1: 10, 11 dit que le temps viendrait où à ceux à qui l’on disait: « Vous n’êtes pas mon peuple », autrement dit les goyim ou non juifs qui n’étaient pas le peuple élu de Dieu, On leur dira: « Les fils du Dieu vivant » C’est tout le contraire même de l’idéologie du Talmud et du Protocole!

Ce qui est écrit dans la Torah ou Pentateuque, et plus généralement le Tanakh, couramment appelé l’Ancien Testament, la première partie de la Bible, est la révélation de Dieu. Le Nouveau Testament, inauguré par Jésus de Nazareth, est la suite du Tanakh, et la Science de Dieu que je démontre à présent, est la suite du Nouveau Testament.

C’est maintenant le grand Jour du Jugement de Dieu qui commence. Tout doit être dévoilé, n’en déplaise à Satan et à ceux qui, dans les peuples ont CHOISI de l’incarner sur terre. A commencer par ceux qui, il y a 2000 ans, ont CHOISI de libérer Barrabas mais de crucifier Jésus de Nazareth que le gouverneur romain Pilate a tout fait pour sauver de ce qu’il savait être une terrible injustice contre un innocent. Il a dû céder en s’en lavant les mains devant les accusateurs, disant qu’il est innocent de son sang qu’ils lui demandaient de verser. Ils lui ont répondu que son sang retombe sur eux et sur leurs enfants, mais aussi, à l’insistance de Pilate de savoir s’il devait crucifier leur Roi, ils ont répondu qu’ils n’avaient de roi que César. Tout cela a été écrit pour servir de témoignage, notamment au moment du Jour du Jugement (Matthieu 27: 15-26; Jean 19: 8-22).

Il n’y a alors que deux possibilités maintenant: reconnaître enfin en Jésus de Nazareth le Messie que l’esprit du Talmud (incarné hier entre autres par les pharisiens) a crucifié pour les mêmes motifs d’accusation qui servent aujourd’hui à euthanasier ceux qui disent la vérité qui dérange, et donc se repentir, faire la grande Téchouva donc (comme on dit Repentance en hébreu), et alors tout rentre dans l’ordre, le monde changera complètement, on entrera dans le vrai nouvel ordre mondial, l’ordre divin, que Jésus a appelé en son temps le Royaume de Dieu ou le Royaume des Cieux (Matthieu 5: 1-12). Ou alors ils choisissent d’aller jusqu’au bout dans leur logique satanique, la fuite en avant donc, pour tenter d’imposer au monde leur ordre satanique exposé dans leurs enseignements talmudistes, et magnifiquement résumés dans le Protocole des sages de Sion.

Il est de la plus haute importance de comprendre à présent ce point des évangiles, survenu il y a 2000 ans. Car en fait toute l’histoire du monde en général et des juifs en particulier ces 2000 ans passés repose sur ces événements survenus à Jérusalem avec Jésus de Nazareth. Le crime contre le Machiah donc, ou le Messie, le vrai, l’unique, appelé donc aussi le Christ. Voilà, tout est là. Les coupables et tous ceux de leur espèce qui les ont suivis dans la même idéologie pharisaïco-talmudique, ont beaucoup occulté cet événement crucial dans l’histoire du monde, et même fait comme s’il s’agissait d’un « non-événement » ou juste d’un « petit détail » dans leur parcours, Jésus, dans sa position céleste, ainsi que Dieu son Père, rouvrent le dossier en ces temps eschatologiques, et ils ne pourront plus fuir la question!

Comme Caïn après son crime sur Abel, Dieu leur demande des comptes. Ou ils se repentent donc, ou ils vont jusqu’au bout dans leur choix d’incarner Satan et son monde, ce qui accomplit aussi ce qui a été écrit pour Satan, la Bête immonde de l’Apocalypse (Apocalypse chapitres 19 et 20). Mais veut-on savoir ce qu’il vont faire?

Eh bien une partie d’entre eux va comprendre enfin et se repentir, et ce travail de lumière divine n’aura pas été inutile dans leur cas. Et une partie va aller jusqu’au bout dans leur bras de fer entre Dieu et ses envoyés. Ceux-ci ont souffert et votre serviteur n’échappe pas à la règle dans leurs cas. Pour l’instant vous n’entendez pas parler de lui dans leurs médias de mensonges, et encore moins du combat qui se joue dans l’ombre entre votre serviteur et les forces du mal. Cela leur convient tout à fait d’étouffer ainsi le phénomène. Mais quand viendra le Jour J que Dieu et Jésus ont décidé pour que tout explose au grand jour (Daniel 12: 1-10; Jean 16: 7-15; Apocalypse 10: 5-7; 11: 15), on entrera alors dans une toute autre phase…

Et cela se passera comme pour beaucoup de persécutés et de lynchés sur la place publique, que vous connaissez bien, pour en entendre parler avec beaucoup de mensonges et de désinformations. Si juste à cause des « petites vérités » qu’ils disent c’est déjà ce grand boucan et remue-ménage en France et dans le monde, sans parler des tremblements de terre, qu’est-ce que cela sera alors au moment de l’explosion de la grande Vérité! Je n’ose pas y penser mais je préfère continuer à travailler patiemment et diligemment pour ce jour qu’ils n’empêcheront pas d’advenir.

Vous vous demandez pourquoi ils ne profitent pas de ce que je ne suis pas connu du grand public, pour m’éliminer incognito? La raison est très simple et bête et ils la connaissent: comme Jésus il y a 2000 ans avant moi, je suis beaucoup plus faible et vulnérable dans leur monde, que quand je n’en ferai plus partie. De même donc que Jésus, qu’ils ont assassiné, est beaucoup plus fort après sa mort et sa résurrection, que de son vivant dans ce monde dans la peau de Jésus de Nazareth, fils officiel du charpentier Joseph de Nazareth et de Marie. Sauf que dans le cas de Jésus son pouvoir après sa résurrection a été de diriger le monde jusqu’en ce troisième millénaire, l’ère de l’Information. Mais dans mon cas, mon départ de ce monde sera aussi la fin de ce monde… De LEUR monde, plus précisément, et ils le savent, ils voient les signes avant-coureurs et ça les inquiète, je vous assure…

Rien qu’à la lecture de la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu que je fais, ils se rendent tout à coup compte que la Bible, qu’ils croyaient avoir neutralisée par leur Talmud et Kabbale, est vivante en fait, et s’accomplit d’une manière qu’ils n’avaient pas du tout soupçonnée! Ils découvrent cette Science venue d’ailleurs, qui est une approche complètement différente de leurs paradigmes de Négation. Ils découvrent par exemple avec stupeur que la Division par zéro que leurs paradigmes de Négation déclaraient impossible, est non seulement possible, mais est d’une simplicité biblique! Et plus encore, ils découvrent tout à coup l’immense portée de cette division, que seuls les plus hauts initiés connaissaient, raison pour laquelle ils ont interdit cette division dans leurs sciences.

Et je ne parle même plus de la manière simple, divine, oui d’une simplicité biblique, dont le Paradigme de l’Univers TOTAL, le paradigme divin donc, résout les fameux paradoxes de la théorie des ensembles de Georg Cantor! La solution axiomatique proposée par le grand mathématicien David Hilbert (il était sincère je pense franchement, et il a fait de son mieux pour poser les mathématiques sur de meilleurs fondements, mais seulement…) n’est en réalité que des béquilles données à un paralytique pour qu’il se déplace, et pas la vraie solution aux paradoxes. Cela permet aux arrogants Yuval Noah Harari et autres Klaus Schwab de se targuer de leurs technologies de Négation qui ne savent donc même pas diviser par zéro, de jouer aux « dieux » et aux démiurges transhumanistes:

Pour toutes ces raisons et bien d’autres, leurs agendas ne peuvent qu’échouer.

Je sais qu’il y a 20 ans, quand ils lisaient mes premiers écrits de la Science de l’Existence, ainsi que je disais à l’époque, ils les méprisaient et disaient: « Encore un hurluberlu qui se prend pour quelque chose ». Puis les années passant, ils constataient que cela prenait forme, qu’il s’agit d’un vrai nouveau paradigme, qui remet en question tout leur système et les fondements sur lesquels il est bâti. Alors ils ont commencé à me faire les pires persécutions qu’un humain pouvait subir. Dieu le leur permettait, mais comme dans le cas de Job, leur interdit jusqu’à présent une seule chose: de m’empêcher de faire ma Science. Ils leur permettait de l’étouffer drastiquement dans leur monde, certes, de la shadow banner à mort, mais au moins elle devait se faire et sortir en temps voulu, quand Dieu (ici Jésus précisément) le déciderait.

Et aussi eux-mêmes ont intérêt de la laisser faire pour comprendre le plan divin, le plan biblique, qui s’éclaircissait et se dévoilait progressivement avec cette Science aussi. Garder la cible « vivante » pour mieux comprendre le plan divin caché à leurs yeux, est mieux que de se priver de cette opportunité de « renseignement », pour employer un de leurs mots modernes, ici donc le « renseignement », vous savez, le boulot des RG (renseignements généraux), la CIA, etc., sans oublier bien sûr le très emblématique Mossad… Avec tous ces gens, en fait, on est d’une certaine façon des « copains », à tel point même qu’ils en viennent parfois à être des drôles d' »anges gardiens », c’est dire… Car ils savent que s’il arrivait quelque chose à celui qui détient l’information sur le sort de leur monde, eh bien ils n’en sauront pas davantage.

Et puis aussi, il ne faut pas croire que parce qu’on travaille aux RG, à la CIA ou au Mossad, etc., on est forcément mauvais, car il y a aussi des enfants de Dieu qui travaillent dans ces services, vous savez. Dans leur mission de surveillance « discrète » donc, ils apprennent donc, et peuvent me « protéger » contre des collègues plus partisans de la « solution radicale », à savoir éliminer purement et simplement celui qu’ils perçoivent comme une menace pour leur système. Ceux-ci et leur supérieurs, quand ils ont commencé à prendre au sérieux mon travail de Nouveau Paradigme, l’Univers TOTAL, ont commencé aussi des persécutions contre moi en prenant mes enfants par exemple, méthode qu’ils emploient de plus en plus avec beaucoup de personnes qu’ils taxent de « complotistes » (voir la page: Mes enfants sont pris en otage à cause de la Science de l’Univers TOTAL).

Et encore je ne parle que des attaques par des méthodes classiques ou « conventionnelles » (pour dire les choses ainsi), car si je voulais entrer ici dans les méthodes non classiques ou « non conventionnelles », les méthodes occultes, sataniques, pour le dire clairement ainsi, là c’est une autre affaire (voir par exemple la page Harcèlement en réseau et Vampirisme énergétique)! Là on entre carrément dans la face cachée de ce système satanique, comme déjà dit.

Bref, juste pour dire que la situation est assez complexe. Alors que répondre à la question: pourquoi ils ne m’éliminent pas tout bonnement, incognito, ni vu ni connu, avant que mon travail n’éclate au grand jour? Bah, c’est ce qu’ils feraient, si ce n’était Jésus ou Dieu, une force supérieure donc, qui limite les dégâts sur son serviteur et votre serviteur, qui suis-je en effet, pauvre humain né au fin fond de la brousse togolaise, à Kétao au Togo, pour marcher encore au moins comme un zombi criblé de tous les tirs démoniaques, mais qui tient encore un peu debout, enfin je crois…

A vous anges de Dieu, (c’est important de le dire) vous les anges dans ces services mentionnés, missionnés pour me surveiller dans le meilleur des cas et pour me nuire dans le pire, mais qui par empathie me protégez, merci beaucoup. Par principe, je ne vous connais pas, mais je vous devine. Vous savez que c’est un travail pour le bien de l’humanité, pour la libérer du joug des forces du mal, et vous vous dites: « Comment peut-on faire cela à quelqu’un et sa famille, alors qu’il passe tout son temps à développer une nouvelle Science et à travailler pour le bien de l’humanité? Il faut vraiment être une incarnation du MAL pour s’en prendre à quelqu’un comme lui et aux siens. Et aussi nous demander de surveiller un être de l’espèce des Jésus de Nazareth, alors que des criminels et des Barrabas courent et font tous leurs coups, sans être inquiétés? Et justement ceux qui sont chargés de lui faire du mal et qui le font, sont ceux qui méritent ce qu’ils lui font… »

Je vous entends donc, même si on ne se connaît pas physiquement, et il vaut mieux d’ailleurs que ce soit ainsi, pour l’instant, mes chers anges. Après la victoire (car Dieu vaincra) on fera connaissance et vous me raconterez dans ce monde ou dans l’autre le travail que vous avez fait.

Il y a donc ça aussi, et aussi le fait que les plus initiés, qui comprennent le travail que je fais et son but, comprennent que je suis plus utile pour eux vivant dans leur monde que mort. A notre mort des gens comme moi, on s’élève vers des états plus divins et plus puissants. Mais quant aux incarnations du MAL, à leur mort c’est la descente aux enfers, et ils le savent. Ils savent donc qu’ils ont intérêt à prolonger au maximum leur séjour dans ce monde, à m’y garder « prisonnier » au maximum avec eux pour me vampiriser, c’est-à-dire me « bouffer » progressivement (et si possible avoir mon âme), que de me « bouffer » tout d’un coup (et alors ils n’auraient que la chair à se mettre sous la dent, pas l’âme). Je viens de donner la raison la plus profonde à la question…

Ils lisent donc discrètement tout ce que j’écris, je le sais, ne serait-ce que pour mieux comprendre le plan divin et tenter à chaque fois de le faire échouer. C’est donc le combat qui se joue au quotidien, étouffer au maximum mon travail et l’empêcher de rayonner, ou pire, d’éclater au grand jour. Ils se disent donc: « Tant qu’on le garde avec nous, notre monde peut continuer et nous pouvons travailler à faire avancer notre agenda. Le jour où il partirait, il serait désormais hors d’atteinte, comme Yéshoua de Nazareth a vaincu et est parti… ».

Et puisque je suis toujours là, je vous pose donc la question: « Vous vous repentez de votre crime sur Yéshoua de Nazareth, oui vous comprenez enfin et faites Téchouva, ou bien vous persistez et signez dans vos ‘Belzébutheries’? Trop de diableries nuit gravement à la santé, vous savez? Profitez donc de ce que je suis là, hein?, pour vous le dire gentiment. Car une fois parti c’est trop tard et c’est par le feu, par la foudre, les éclairs et les tonnerres de l’Apocalypse que je vous le dirai (voir Matthieu 3: 7-12; Apocalypse 19: 11-21) » A bon entendeur…

Pour revenir à mon fil, dont j’ai dévié, pour dire ce qui précède, le chantage à l' »antisémitisme » est une de leurs grandes stratégies pour empêcher d’investiguer trop loin, de soulever les couvercles et de découvrir tout ce qui a été caché au sujet du Talmud et de la Kabbale. Mais au Jour du Jugement que voici, toutes ces stratégies montreront leurs limites, elle n’arrêteront pas la vérité divine en marche. Il faut donc maintenant soigneusement distinguer l’esprit du Talmud de l’esprit de la Torah ou du Tanakh, autrement dit de l’Ancien Testament, dont la suite est le Nouveau Testament, et sa propre suite étant maintenant la Science de l’Univers TOTAL, la Science de Dieu.

L’esprit du Talmud est derrière tous les grands malheurs du monde, entre autres le malheur des noirs pendant l’esclavage, et plus récemment la Shoah, et les malheurs continuent avec le Covidisme, la guerre en Ukraine, et le monde est tout simplement au bord de l’holocauste nucléaire.

Et une fois encore, de nos jours, avec les Bill Gates, voici des femmes qui s’enfuient avec leurs enfants pour se cacher pour qu’on n’injecte pas leurs gosses, dans une opération qui n’est rien d’autre qu’un génocide de l’humanité, notamment les populations du tiers-monde. Leur « crime »? Ils seraient « trop nombreux » à l’ère où ces serpents sonnent leurs trompettes climatiques, et prêchent que les ressources de la planète sont insuffisantes pour plus de 8 milliards d’individus.

Très bien: que ces démons nous laissent maintenant commencer à réduire la population mondiale, en commençant par eux donc, les Bill Gates, les Klaus Schwab, les Yuval Noah Harari, etc. C’est d’abord eux qui sont de trop! Avec tout ce qu’ils consomment à eux seuls, gaspillent, tout ce dont ils s’accaparent pour la poignée qu’ils sont (il est en train de se dire que Bill Gates s’accapare plus de 75% des terres agricoles, ou un truc dans ce genre), leur disparition à eux seuls sera un énorme soulagement pour la planète! La vraie dépollution écologique doit commencer par là, à savoir débarrasser le monde des gros démons, puis ensuite des autres démons par ordre décroissant du degré de diablerie! C’est cela le plan divin (Matthieu 13: 24-30, 36-43; Apocalypse 19: 11-21; 20: 1-3, 7-10; 21: 8), le plan efficace, dans la mesure où on élimine le vrai MAL du monde, et non pas empêcher les humains normaux de vivre, ou pire les génocider!

Car nous voici de nouveau, pour parler du cas emblématique de l’Afrique, dans une situation comme lors de la Traite des noirs.

Une fois encore on notera les subtilités subliminales dans cette fresque pour atténuer le crime contre l’humanité et aussi les responsabilités dans le crime. L’homme blanc est à peine visible, mais ce sont les nègres armés qui sont mis en avant comme les superviseurs des esclaves et donc quelque part les négriers. Il y a quelque part quand même une part de vrai là-dedans, car, comme dans tout phénomène de crime de ce genre, les collabos du Diable qui ont quelques privilèges en échange de leurs collaborations et de leurs sales boulots, se montrent souvent plus royalistes que le roi, font preuve d’excès de zèle. Ici, avoir l’arme comme le blanc est signe d’un grand « pouvoir ».

D’accord. Pour autant est-ce une raison de faire comme si les noirs étaient les premiers responsables de cette entreprise inhumaine?

A l’annonce de l’arrivée des négriers pour procéder à leurs rafles habituelles, des gens (notamment hommes et femmes jeunes et robustes) s’enfuyaient ainsi des villages pour aller se cacher dans la brousse profonde, ne laissant dans le village visité pratiquement que des vieux, qui intéressaient moins les prédateurs. On assiste de nos jours à toutes sortes de remakes de la même chose sous de nouvelles formes. Mais au Jour du Jugement, les démons nés humains de tous bords (les prédateurs comme leurs collabos locaux) vont rendre compte devant Dieu pour tous leurs crimes contre l’humanité.

Dans leurs plans génocidaires de l’humanité, à commencer par les gens du tiers-monde, et plus particulièrement encore les noirs, les Bill Gates ne font qu’une nouvelle forme de la traite des noirs. Sans parler de ceci, qui est là surtout l’oeuvre de George Soros et compagnie:

L’information a donc circulé sur les drames que vivaient des gens suite aux vaccins de Bill Gates. Le narratif et la légende forgée autour de ce milliardaire devenu un soi-disant « philanthrope » soucieux des maladies infectieuses et de la santé des populations du tiers-monde, n’a pas duré longtemps. Les gens ont commencé à découvrir qu’il était un grand eugéniste et travaillait pour la réduction de la population mondiale, et ça veut dire ce que ça veut dire.

Et pire, c’est que lui-même s’est trahit à plusieurs reprises dans ses propos, tellement il a du mal à cacher ses vraies intentions. On se rappelle son fameux discours sur le contrôle de la démographie mondiale, où il disait que s’ils faisaient un « bon boulot » ils pourraient réduire la population mondiale de 15% ou même à 15% (le propos était un peu ambigu…). Et personnellement j’ai développé une faculté d’analyser la gestuelle, les expressions du visage et notamment le regard des gens en général et de certaines personnes en particulier, et leur langue de bois pour ne pas dire de serpents. Bill Gates est un spécimen d’étude, et je trouve que, pour qui sait bien l’observer et l’écouter, on peut voir qu’il dissimule vraiment mal ses vraies intentions, rien que ses yeux le trahissent souvent:

Je m’étonne souvent à quel point la plupart des gens ne voient pas chez lui ce que je vois, et n’entendent pas ce que j’entends à chaque fois que cet homme ouvre la bouche. Son regard est fourbe, sournois, ses paroles sonnent faux, et quand donc il parle, j’entends exactement le contraire de ce qu’il dit. Quand il parle par exemple de « santé mondiale » avec sa bouche, ses yeux et son expression très révélateurs pour moi, disent « génocide mondial ». Il a au moins une qualité, c’est qu’il ne sait pas mentir comme un Macron par exemple, ou comme un Klaus Schwab. Il ne sait pas faire croire que ses intentions sont bonnes alors qu’elles sont les pires du monde!

Bref, déjà que depuis les années 2010 au moins on pouvait sentir que quelque chose ne tournait pas rond avec le programme vaccinal du monde, notamment dans les pays du tiers du monde, on a franchi un cap, même dans les pays occidentaux comme la France quand Agnès Buzyn fut ministre de la « santé »:

Là cela devenait clair qu’on avait changé de paradigme en matière de vaccins, et qu’on est entré dans un âge sombre, très reptilien, disons, très ophidien:

Là la question se pose sérieusement de savoir si l’on a affaire vraiment à des êtres humains, ou à des êtres qui n’en ont que les apparences. L’année 2020, avec la religion du Covidisme, répond depuis plus clairement encore à la question, pour qui ne se limite pas aux apparences mais sait voir au-delà…

Soit dit en passant, dans un entretien téléphonique vers fin 2022 ma mère m’informe que malgré l’information qui a largement circulé sur l’intention de génocide des noirs avec ces nouveaux « vaccins anti-Covid », ce qui entre autres a fait que les africains avaient été jusque là moins injectés qu’en Occident, il y a des moyens inimaginables qui ont été déployés pour les contraindre à se faire piquer. Jusqu’au déploiement de l’armée pour forcer les gens. Et aussi des mesures qui, plus qu’en Occident, sont contraire à la mentalité des gens, à leur culture, à leur vie sociale. Comme interdire à des africains (en l’occurrence ici à des togolais) d’aller au marché s’il ne sont pas « vaccinés », confiner des gens dans leurs cases, alors que la vie dans la campagne africaine (et même dans les villes) est dehors, et une femme africaine traditionnelle qui ne peut pas aller au marché c’est une femme à qui on interdit de vivre et de nourrir ses enfants, tout simplement.

Comme aux temps de l’esclavage, des africains ont collaboré pour servir cette entreprise du Covidisme et des piqûres de Bilguétou, ont été plus royalistes que le roi, comme on dit. Mais fort heureusement aussi, la culture africaine et les instincts ancestraux ont été plus forts que ces mesures contre-nature!

D’autant plus (et en parlant cette fois-ci du monde occidental) qu’on a osé présenter cela comme des mesures sanitaires ayant des bases scientifiques. Or justement, jamais la science n’a été autant piétinée. Pour ma part, qui fais la Science de Dieu depuis 20 ans, je savais que les sciences actuelles reposent sur des paradigmes faux, sinon je ne travaillerais pas à un Nouveau Paradigme. Mais je dois dire que c’est spécialement depuis 2020, avec la religion du Covidisme, que j’ai le mieux compris qui sont les esprits qui faussent les sciences de ce monde!

Je renvoie notamment à la couverture de Charlie Hebdo plus haut disant que le « complotisme » est le seul virus contre lequel la « science » ne peut rien… Plus que jamais donc la religion du scientisme n’a jamais été aussi manifeste. Mais une science digne de ce nom ne s’impose pas par la force. Une « science » qui ne tolère aucun débat contradictoire et s’impose par la force n’est pas une science mais une religion scientiste, comme on le voit de plus en plus de nos jours depuis 2020, l’apparition de la religion covidiste.


La Science de l’Univers TOTAL, la Science cachée dans la Bible

Science de l’Univers TOTAL, de la Réalité TOTALE, de l’Etre TOTAL. Science de Dieu

Un axiome, dans sa nature même, est donc comparable à un dogme religieux. On peut toujours contester un axiome, d’autant plus si ce n’est même plus un axiome dans la règle de l’art mathématique, ce qui serait un moindre mal. Mais par contre une définition (ou un théorème qui découle juste d’une définition) ne peut plus être contestée. C’est ce qu’est le Théorème de l’Existence, à savoir juste une conséquence de la définition de l’Univers TOTAL, comme nous allons le voir à présent.

Contrairement donc par exemple à la théorie des ensembles classique, qui part du mot clef général « ensemble« , des outils de logique, comme ici le mot « tout » appelé le quantificateur universel, et qui pose des axiomes et construit tout le reste sur ces axiomes, la Théorie universelle des ensembles par contre, autre nom de la Science de l’Univers TOTAL, part du mot clef général chose, et pose la définition suivante, qui est en fait quatre définitions en une:

« Un ensemble est par définition une chose formée par d’autres choses appelées ses éléments. Et on appelle l’Univers TOTAL la chose formée par toutes les choses, donc l’ensemble de toutes les choses. Et par exister dans un ensemble on entend être un élément de cet ensemble, c’est-à-dire une des choses qui forment cet ensemble« .

Ici donc, on a quatre définitions en une, qu’on aurait pu tout à fait décomposer en quatre définitions séparées, comme nous le faisons habituellement. Nous avons donc la définition de la notion d’ensemble en général (au sens universel du terme), et la notion générale d’élément, et celle de l’Ensemble de toutes les choses en particulier, appelé donc l’Univers TOTAL qui est la définition que nous donnons au mot biblique Dieu. Et enfin on a la définition du verbe exister. Il ne s’agit donc que de définitions en partant du mot chose. Et on a alors un premier théorème: « Toute chose est un élément de l’Ensemble de toutes les choses« , ce qui est normal, puisque c’est sa définition. Donc: « Toute chose est un élément de l’Univers TOTAL« , ou encore: « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL« .

On peut le vérifier, les mots clefs: ensembleélémentUnivers TOTALexister, ont été tous définis à partir du mot chose. Et le Théorème de l’Existence n’est qu’une reformulation de la définition de l’Univers TOTAL.

L’Univers TOTAL est la définition scientifique que nous donnons au mot Dieu.

Il est donc l’Ensemble de TOUTES les choses, le Grand TOUT, la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, ce qui signifie qu’il est la première chose (l’Alpha donc) et la dernière chose (l’Oméga donc)


Science de l’Univers TOTAL: la rencontre entre la science hébraïque (biblique) et la science gréco-romaine

Les quatre audios suivantes placées sous la thématique ci-dessus forment une seule grande « conférence » improvisée ou spontanée, en grande partie sur le ton d’une causerie en « roues libres ». Puis, à la fin, m’étant aperçu que les choses expliquées (plutôt dans un cercle intime) pouvaient grandement intéresser le grand public, la « conférence » a été découpée en quatre parties pour ne pas être trop longue à écouter. Et ici ou là, des explications supplémentaires ont été données après coup pour clarifier certaines idées. Notamment quand par exemple j’adresse directement des messages aux rabbins talmudistes.

Il ne s’agit donc pas à proprement parler de quatre sous-thématiques séparées et préméditées, mais d’un seul corpus d’idées développées tout au long des quatre parties, qui se complètent donc, la quatrième étant l’apothéose du développement. Et aussi chaque partie contient certaines idées plus importantes que ce que le sous-titre ne le laisse penser. Ils ont juste été donnés à titre indicatif. Veuillez donc écouter l’ensemble, votre patience sera sans doute récompensée.

Partie 1/4: Les univers, les dimensions, les paradis et les enfers

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Partie 2/4: Toute vraie science parle de Dieu et du Diable

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Partie 3/4: De la nécessité de ne plus confondre le vrai judaïsme avec le talmudisme

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Partie 4/4: La Science de l’Univers TOTAL: le Troisième Testament au troisième millénaire

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Comme expliqué dans l’article précédent (Le rôle caché du sommeil et la notion de « mangeur d’âmes »), les africains (notamment d’Afrique noire) sont en général assez transparents sur ces sujets et réalités du vampirisme énergétique, qui sont parmi les plus cachés du monde, ou en tout cas sont beaucoup plus transparents qu’en Occident, où règne un très puissant esprit de Négation, où donc ces réalités sont niées, au nom d’un pseudo rationalisme ou esprit cartésien, notamment en France le pays de Descartes. Comme si ces réalités ne pouvaient pas être l’objet d’une science exacte, et même mathématique!

Mais la vérité est qu’on s’est donné un paradigme scientifique, une philosophie scientifique, une logique scientifique, etc., de manière à rendre impossible en sciences les questions existentielles, notamment traiter scientifiquement la notion de Dieu, mais aussi du Diable, des démons, etc. On a maintenu les gens dans un véritable mythe scientifique, une religion scientifique qui ne dit pas son nom et qui est le scientisme!

La religion scientiste qu’on a dans ce monde appelé « science » repose donc sur un ou des paradigmes, des dogmes, que nous qualifions justement de paradigme de Négation, de philosophie de Négation, de logique de Négation, etc.. Par opposition au paradigme d’Alternation ou d’Affirmation, la philosophie d’Alternation ou d’Affirmation, la logique d’Alternation ou d’Affirmation, etc. Bref il s’agit du Paradigme de l’Univers TOTAL, qui en langage des ensembles est par définition l’Ensemble de TOUTES les choses, de TOUS les êtres. C’est le Grand TOUT, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, la définition donc de la notion biblique d’Etre Suprême, ce que l’on désigne habituellement par le mot « DIEU ».

Le mythe scientifique a donc toujours été que la notion de Dieu ne peut être l’objet d’une science exacte, et même que Dieu est indéfinissable scientifiquement. Or il n’y a rien de plus faux, car Dieu est certainement le concept le plus simple à définir scientifiquement, et le langage scientifique nécessaire est le langage des ensembles, autrement dit le langage ensemble-élément, théorie des ensembles introduite par le mathématicien Georg Cantor en 1882.

(voir la Théorie des ensembles sur Wikipédia)

Cantor disait que c’est Dieu qui lui a donné cette théorie, et plus précisément que c’est Dieu qui lui a donné la théorie des ordinaux et des cardinaux, qui poussée plus loin a conduit à la théorie des ensembles. Il sait pourquoi il a associé cette théorie à Dieu, car elle est tout simplement transcendante. C’est en effet la théorie dans laquelle toutes les mathématiques peuvent être traitées par un seul langage unifié.

Le seul problème est qu’à cette époque on rencontrait des paradoxes gênants dans la théorie, comme par exemple le célèbre paradoxe de Russell.
La théorie a failli être abandonnée pour ces raisons-là, mais le grand mathématicien David Hilbert a tout de suite saisi l’importance de la théorie et est venu à sa rescousse.

Il a déclaré: « Du paradis créé pour nous par Cantor personne ne nous chassera ».

Il sait pourquoi il parlait de ce nouveau paradigme de la théorie des ensembles comme d’un « paradis ». Et les raisons profondes, c’est ça que nous expliquons à présent avec ce que nous appelons Théorie universelle des ensembles (publiée sur https://hubertelie.com), et de manière plus parlante pour tout le monde, la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu, publiée sur https://hubertelie.com, mais aussi entre autres sur ce blog de la Nouvelle Genèse.

David Hilbert et les mathématiciens de son époque et de celle de Cantor jusqu’à aujourd’hui, ont pensé que les paradoxes étaient dus au fait que la notion d’ensemble et d’élément de Cantor était trop générale, trop intuitive, trop naturelle et même trop « naïve », etc. Autrement dit, et comme nous le dirions aujourd’hui, qu’elle serait trop universelle. Pour cela Hilbert, qui est aussi le fondateur de l’axiomatique moderne (par opposition à l’axiomatique ancienne, du temps des axiomes des philosophes et scientifiques grecs antiques, comme Euclide, Pythagore, Thalès, etc.), a proposé de refonder la théorie des ensembles de Cantor sur des bases axiomatiques, pour éliminer donc les axiomes et arranger de ce fait le paradis menacé.

L’idée était excellente, sauf que ce à quoi le grand Hilbert n’a pas pensé, c’est que le problème ne venait pas du manque d’axiomatisation, mais simplement que la logique scientifique classique utilisée depuis la Grèce antique jusqu’à nos jours, et qui nous vient entre autre d’Aristote (300 ans avant Jésus Christ, donc il y a 2300 ans de cela) n’est pas du tout adaptée pour traiter d’une notion aussi puissante et universelle que celle d’ensemble et élément.

C’est comme vouloir loger un éléphant dans une boîte d’allumettes, et évidemment il  aura de sérieux soucis, c’est le moins qu’on puisse dire. Alors se présentent deux solutions: la première est de tailler sérieusement l’éléphant pour qu’il entre coûte que coûte dans la boîte d’allumettes, et alors non seulement l’éléphant ainsi taillé et massacré à coups de scie, de machette ou de hache n’est plus un éléphant vivant mais mort, mais surtout il n’y a plus qu’un bout de l’éléphant que l’on juge le plus « précieux », qui entre dans la boîte.

C’est en fait ce qu’on a fait avec la méthodologie axiomatique, et chacun des axiomes de la théorie des ensembles (Wikipedia) rebaptisée la théorie axiomatique des ensembles de Zermelo-Fraenkel, couramment abrégée ZF, est à voir comme un coup de hache donnée à l’éléphant pour qu’il entre à tout prix dans ce cadre étroit de l’axiomatique. Et plus exactement, pour que l’Éléphant, le Mastodonte, qui est ce que nous appelons aujourd’hui la Théorie universelle des ensembles ou Science de l’Univers TOTAL, entre dans le cadre très étroit de la logique scientifique actuelle, qui remonte à l’antiquité grecque!

Toutes les logiques en général et scientifiques en particulier qui reposent sur les principes de la logique classique énoncée par Aristote sont ce que nous appelons les logiques de Négation, ou collectivement la Logique de Négation.

Un principe commun clef de ces logiques est qu’une chose ne peut pas être à la fois vraie et fausse en même temps, et plus précisément qu’une chose et sa négation ne peuvent pas être vraies toutes les deux. Comme de dire par exemple: « Les éléphants roses existent » et sa négation: « Les éléphants roses n’existent pas« . La logique d’Aristote, qui est aussi la logique scientifique classique jusqu’à nos jours, interdit que les deux phrases, qui sont la négation l’une de l’autre, soient vraies en même temps toutes les deux, et cela se comprend, cela semble très logique.

On appelle contradiction, antinomie ou paradoxe le fait de dire qu’elles sont vraies toutes les deux. C’est donc ces phénomènes qui se produisent dans la théorie des ensembles de Cantor, où l’on a trouvé de nombreux paradoxes comme le paradoxe de Russell (encore appelé le paradoxe du barbier), le paradoxe de Burali-Forti, le paradoxe de Richard, le paradoxe Sorite, etc.

Mais l’exemple de l’éléphant en général et des éléphants roses en particulier illustre là où se trouve la grave erreur de logique, de paradigme que l’on commet jusqu’à présent. Ce qui pose problème n’est pas les phrases dans le mode affirmatif, comme « Les éléphants roses existent« , car en fait, aussi étonnant que cela puisse paraître, ce genre de phrases, peu importe ce dont on parle, que ce soit les éléphants roses, Dieu, Jésus, les anges, Satan, les démons, les vampires (dont nous parlons justement dans cet article), la maladie, la mort, l’énergie mortale ou énergie de mort ou énergie négative ou énergie démoniaque ou onergie, la vie, l’énergie vitale ou énergie de vie ou énergie positive ou énergie divine ou Saint Esprit, l’esprit, la conscience, l’âme, les informations, les nombres entiers naturels, les nombres réels, les nombres complexes, l’infini, le nombre qui est le résultat de 1 divisé par 0, les atomes, les particules, le boson de Higgs, les paradis, les enfers, les univers autres que celui que nous connaissons, les univers ou mondes où existent les éléphants roses,  les univers ou mondes où existent les éléphants bleus, les univers ou mondes où existent les éléphants verts, les univers ou mondes où existent les éléphants blancs,  les univers ou mondes où existent les éléphants noirs, etc., bref quelle que soit la chose dont on parle, elle existe dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses!

C’est ce que nous appelons le Théorème de l’Existence ou la Loi de la Réalité TOTALE, qui dit simplement que Toutes choses existent dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses! C’est sa définition même, d’être la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, le Grand TOUT!

Une chose peut ne pas exister dans un contexte donné, dans un monde donné, dans un univers donné, comme par exemple les éléphants roses n’existent pas dans NOTRE monde! C’est tout ce qu’on peut dire de vrai, à savoir donc qu’ils n’existent pas dans NOTRE monde.

C’est ce qu’il faut entendre par: « Les éléphants roses n’existent pas« , sous-entendu donc dans la réalité que nous connaissons. Mais c’est une grande fausseté de partir de ce constat relatif à notre réalité uniquement et de dire que « Les éléphants roses n’existent pas« , sous-entendu qu’ils n’existent pas dans l’Absolu, et l’Absolu en question est justement l‘Univers TOTAL, le Grand TOUT, l’Ensemble de TOUTES les choses, de TOUS les êtres. Dans cet Ensemble Suprême toutes les choses existent, peu importent les choses dont on parle, puisque c’est la définition même de cet Ensemble.

L’idée que Toutes choses existent dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses, n’est pas un axiome mais ce qu’il faut appeler un théorème de définition, ce qui veut dire un théorème ou une vérité mathématique qui découle d’une définition d’un objet mathématique, et plus généralement scientifique. Si vous dites par exemple: « On appelle une douzaine un ensemble de 12 choses« , il en découle immédiatement le théorème selon lequel une douzaine contient plus de 7 choses. La phrase: « On appelle une douzaine un ensemble de 12 choses » est une définition, pas un axiome, ce qui veut dire un énoncé posé au départ sans démonstration, et qui sert à démontrer d’autres énoncés, appelés les théorèmes. Et la seconde phrase: « une douzaine contient plus de 7 choses » n’est pas non plus un axiome mais un théorème découlant cette fois-ci juste d’une définition et pas d’un axiome donc.

Comme synonyme du mot « axiome » on a les notions comme « principe« , « postulat« , « hypothèse« , etc. Ces notions sont pour les sciences ce que le dogme est pour la religion. Une science, même expérimentale comme la physique par exemple, même reposant sur des axiomes, des principes, des postulats, des hypothèses, etc., même « vérifiés » par l' »expérience« , reste dogmatique, les adjectifs « axiomatique » et « dogmatique » doivent être vus maintenant comme des synonymes. En effet la méthodologie axiomatique est tout aussi problématique que la méthodologie dogmatique, la méthodologie scientifique actuelle est juste un dogmatisme déductif pour les mathématiques, et un dogmatisme expérimental pour la physique, la biologie, la médecine etc.

Une théorie dépend donc de ses axiomes ou principes ou postulats ou hypothèses, etc., qui sont ses dogmes définissant le paradigme dans lequel la théorie se situe. Ici donc le paradigme axiomatique, qui repose sur la logique de Négation, les logiques classiques donc. Le problème est quand on en vient à oublier que la science actuelle repose en fait sur ces axiomes et principes, autrement dit sur des paradigmes, une philosophie, une logique,
et qu’il suffit donc de changer ces paradigmes, cette philosophie, cette logique, pour que la science change du tout au tout!

Mais très tôt on en est venu à oublier cela et à faire de ces axiomes et principes de vrais dogmes qui n’ont rien à reprocher aux dogmes religieux. C’est plus qu’un simple « oubli », mais c’est fait exprès par les esprits de Négation qui gouvernent vraiment les sciences de ce monde, sans dire qu’en fait ce sont LEURS sciences. Et les autres scientifiques, dont beaucoup sont sincères, comme Leonhard Euler, un des très grands mathématiciens de tous les temps qui croyaient en Dieu. Ou comme Georg Cantor, qui disait donc que c’est Dieu qui lui donna la théorie des ordinaux et cardinaux, qui ont conduit à la théorie des ensembles. Ou comme Kurt Gödel le brillant logicien qui tenta de démontrer que Dieu existe, mais n’a pas publié ses démonstrations de son vivant, craignant qu’on l’accuse de théologie.

Et justement ce sont les esprits de Négation dont nous parlons, les esprits de la religion scientiste déguisée en science, qui ont toujours veillé pour taper sur les doigts et même donner des fessées à qui s’écarte de leurs dogmes posés précisément de telle manière que Dieu soit arbitrairement exclu en sciences! Et même si Gödel avait publié ses travaux sur Dieu, ceux-ci ne constituent pas vraiment une démonstration incontestable, car son problème était qu’il fait cette démonstration avec la logique classique, la boîte d’allumette dans laquelle on veut faire rentrer l’éléphant.

Il démontrait l’existence d’un objet scientifique grandiose, certes, mais les attributs de cette chose n’étaient pas suffisamment absolus pour que cela soit absolument convaincant qu’on parle de l’Etre TOTAL, le plus grand qu’on puisse concevoir, et donc qui soit assimilable à la notion de DIEU ou l’Etre Suprême. Il est tout simplement impossible de traiter de la notion d’un Etre TOTAL ou d’Etre Suprême,  avec une logique souffrant de la moindre dose de Négation! C’est une logique d’Affirmation TOTALE, que nous appelons donc aussi l’Alternation, qu’il faut pour traiter de l’Univers TOTAL, qui est l’Etre TOTAL en question. Mais la tentative de Gödel d’une telle démonstration avec les handicaps des logiques de Négation, reste très louable!

Et justement aussi le logicien Gödel est connu pour ses théorèmes d’incomplétude, dont les esprits de Négation qui font passer leur scientisme pour de la science s’empressent de minimiser le sens et la portée, comme ils le font pour tout ce qui est de nature à nous rapprocher d’une notion scientifique de Dieu. Gödel ignorait que ses théorèmes d’incomplétude, qui disent en gros que toute théorie axiomatique (dans un langage du premier ou du second ordre) suffisamment puissante pour contenir l’arithmétique contient forcément des énoncés indécidables, c’est-à-dire des énoncés qu’il est impossible avec le langage de la théorie de démontrer qu’ils sont vrais ou faux.

Toute personne qui lit l’esprit des théorèmes d’incomplétude de Gödel, à la lumière de ce que nous sommes en train d’exposer, comprend immédiatement qu’il s’agit d’un problème de langage scientifique, de paradigme, de logique scientifique! Le problème est qu’un langage scientifique, dès l’instant où le but est de le cadrer par des axiomes devient de ce fait même un langage restreint, dans lequel toutes les questions ne peuvent être traitées, ou si elles le sont, un énoncé de ce langage ne reçoit pas forcément une réponse, quant à savoir s’il est vrai ou pas. Par exemple si le langage est assez large pour qu’on puisse y parler de Dieu, du Diable, des éléphants roses, etc., ainsi que de la notion d’existence, ce n’est pas sûr de pouvoir démontrer, comme nous sommes capables de le faire dans la Théorie universelle des ensembles ou Science de l’Univers TOTAL, si « Dieu existe » ou pas, si oui ou non « les éléphants roses existent« .

Le mot chose est le terme premier de la Science de TOUTES les choses, que nous appelons justement la Théorie universelle des ensembles ou Science de l’Univers TOTAL. Une chose est tout ce dont on parle, autrement dit une chose est toute chose dont on parle, que l’on désigne par un mot, un nom propre ou nom commun. A l’ère de l’information et du numérique, on peut dire qu’une chose est simplement une information, et une information est une chose. Et au pire cette information est juste un mot, au sens informatique du terme, c’est-à-dire une suite de symboles dans un alphabet donné, et un système numérique est tout simplement un alphabet spécial. Par exemple le système décimal est un alphabet comprenant d’abord 10 symboles ou caractères, qui sont: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, auxquels il faut ajouter le symbole de la virgule  « , » ou du point « .« , pour écrire les nombres en décimal, les symboles « + » et «  » pour écrire les nombres positifs ou négatifs. Mais tout ça c’est ni plus ni moins les symboles d’un alphabet, pour écrire les mots ou les informations de cet alphabet, appelés ici les nombres. Nous dirons aussi que ce sont les choses de cet alphabet.

Si l’on restreint les symboles à considérer comme les caractères ou lettres ou informations élémentaires de cet alphabet, là commencent les axiomes donc la Négation. Si par exemple on se limite aux symboles numériques précédents, les mots ou informations « 20156 » ou « 0.084592 » sont des choses de cet alphabet, mais pas « éléphant« , « z25ad74ut9« , qui est un mot formé de chiffres certes, mais aussi de lettres de l’alphabet latin, qui ne sont pas des lettres de l’alphabet numérique qu’on s’est donné. On va donc pouvoir dire par exemple « ‘le mot ‘éléphant‘ n’est pas une chose de l’alphabet numérique » ou « ‘le mot ‘éléphant‘ n’existe pas dans l’ensemble des choses de l’alphabet numérique« , etc. Ce sont des énoncés, en l’occurrence des théorèmes, qui découlent automatiquement de l’alphabet restreint qu’on s’est donné, et on voit bien que ces théorèmes expriment des négations, c’est-à-dire ce sont des énoncés de non-existence. La négation découle donc automatiquement du simple fait d’avoir restreint notre alphabet de départ, et de manière générale toute négation découle d’une certaine restriction quelque part.

Mais si par contre on part d’un alphabet qui ne fait absolument aucune restriction, dans lequel tout est un symbole, une lettre, y compris donc les humains, les arbres, les étoiles, les planètes, etc., oui tout est une information permettant de former des ensembles qui sont des informations appelées des mots, alors ces informations sont toutes les choses et absolument toutes, et toute information est une chose. Les mots « information » et « chose » deviennent donc synonymes. Il s’agit aussi ni plus ni moins d’un système de numération dont le nombre de chiffres de base est infini, et les nombres du système décimal sont des cas particuliers de chiffres de ce système de numération infini.

Et moins techniquement, une chose est simplement un nom commun le plus général, universel. Un humain est une chose, une fleur est une chose, le ciel est une chose, le paradis est une chose, l’enfer est une chose, un univers est une chose, un monde est une chose, un nombre est une chose, Dieu est une chose, le Diable aussi est une chose, un ange est une chose, un démon est une chose, etc. Le mot chose est donc le nom commun qu’on utilise avant tout autre nom commun, avant de dire quoi que ce soit d’autre sur la chose, s’il existe ou pas.

Dieu donc, peu importe l’idée que l’on s’en fait, l’opinion philosophique, théologique, religieuse, etc., qu’on en a, peu importe donc si l’on est croyant, agnostique ou athée, etc., est une chose, qu’on le veuille ou non, puisque nous parlons de cette chose. C’est une information, qui au pire se réduit à un mot dans un alphabet, comme par exemple le mot « DIEU » dans l’alphabet latin ou français. A plus forte raison si Dieu justement par définition est l’Ensemble de toutes les choses, c’est-à-dire l’Ensemble de TOUTES les informations! Oui, l’Information, la Parole ou l’Esprit, comme le dit par exemple l’évangile en Jean 1: 1: « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu« . Texte souvent traduit aussi par: « Au commencement était le Verbe, et le Verbe était avec Dieu, et le Verbe était Dieu« . Au troisième millénaire, à l’ère de l’information et du numérique, nous disons cela maintenant ainsi: « Au commencement était l’Information, et l’Information était avec Dieu, et l’Information était Dieu« .

Il ne faut donc restreindre aucune information, et comprendre aussi que toute information est une chose (ce qui est évident), et à l’inverse aussi que « toute chose est une information« , donc « toute chose est numérique, c’est un nombre« ! Ceci est bien moins évident, oui de comprendre par exemple qu’un être humain est un objet numérique. Mais en fait il ne s’agit pas de se perdre en conjecture philosophique ou de poser cette idée comme un axiome. C’est cela l’un des pièges de l’approche axiomatique des choses, qui ne peut qu’être une approche dogmatique. Mais en réalité c’est simplement une question de définition mathématique, de travailler dans le système de numération le plus général qui soit, dans lequel toute chose et absolument toute, sans aucune restriction, est un symbole, un caractère, un chiffre, une lettre. Et donc en particulier les objets que nous appelons chiffres ou lettres au sens restreint, comme par exemple: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, a, b, c, d, e, f, g, etc.. Ceux-ci servent à former les noms des choses comme « éléphant » par exemple, ou « humain« . Mais un éléphant ou un humain, ainsi nommés, est lui-même un chiffre ou une lettre du Grand Alphabet, qui n’est autre que ce que nous allons appeler aussi l’Univers TOTAL.

Le mot « éléphant » par exemple est un ensemble de 8 lettres, qui est une information, un nombre dans ce grand Système Numérique, et à la fois un Système Alphabétique. Mais un éléphant en tant qu’animal cette fois, est lui-même un ensemble formé d’un grand nombre d’éléments, qui sont entre autres ses cellules, ses molécules, ses atomes, ses particules, etc., ces éléments étant eux-mêmes formés d’autres éléments plus petits, etc.

De manière très générale, un ensemble, au sens le plus universel du terme, est par définition tout simplement une chose formée d’autres choses appelées ses éléments. Autrement dit, une information formée de sous-informations appelées ses éléments. Les ensembles sont donc des choses qui sont des structures de choses, elles-mêmes des structures de choses, ainsi de suite à l’infini. Autrement dit, les ensembles sont des informations qui sont des structures d’informations, elles-mêmes des structures d’informations, etc. Et ce sont aussi ces structures que par définition nous appelons les nombres, au sens universel du terme. 

C’est donc une simple question de conception, de définition mathématique des notions: chose, ensemble, mot, information, nombre, etc. Dans notre conception donc, ces notions sont différentes manières de dire la même chose, selon l’angle sous lequel on veut les voir. Et nous choisissons le mot chose comme nom commun le plus général, parce qu’aussi le langage courant a fait ce choix, et nous voulons une Science la plus intuitive possible, qui parle à tout le monde, oui un langage universel. Mais nous aurions pu tout aussi bien choisir comme nom commun le plus général, le mot ensemble, ou mot, ou information, ou nombre, etc., cela reviendrait exactement au même, la Science de l’Univers TOTAL se ferait exactement de la même façon! Elle ne dépend donc pas des mots choisis, mais simplement de la définition qu’on donne aux autres mots à partir de celui choisi comme mot premier.

Si par exemple nous choisissons le mot information en premier, alors la notion d’ensemble se définira à partir de lui ainsi: un ensemble est par définition une information formée d’autres informations appelées ses éléments.

Et si nous choisissons le mot nombre en premier, alors la notion d’ensemble se définira à partir de lui ainsi: un ensemble est par définition un nombre formé d’autres nombres (ou qui est l’addition d’autres nombres) appelés ses éléments.

Et ainsi de suite.

Sauf qu’en choisissant le mot « information » ou « nombre » qui n’est pas celui qu’on utilise couramment comme nom commun le plus général, cela peut causer quelques difficultés psychologiques, contrairement à des mots comme « chose« , « objet« , etc. La question n’est donc pas en fait de savoir si oui ou non « toute chose est une information« , autrement dit si l’on pose ou non cet énoncé comme axiome ou dogme. Mais c’est avant tout une question de définition, qui est la clef du nouveau Paradigme scientifique.

Les déductions faites à partir des définitions sont alors des théorèmes qui ne reposent pas sur des axiomes ou dogmes, c’est-à-dire des vérités imposées à priori, avec le risque qu’elles rejettent d’autres vérités disant qu’elles seraient des faussetés. C’est le problème avec la méthodologie scientifique actuelle, qui est donc axiomatique donc par nature dogmatique. Mais celle basée sur les définitions conduit simplement à des théorèmes de définition, comme par exemple le Théorème de l’Existence ou Loi de la Réalité TOTALE. C’est pourquoi donc cette approche scientifique est appelée la méthodologie théorématique, par opposition donc à la méthodologie axiomatique.

La Science de l’Univers TOTAL, dont le langage est le langage des ensembles, pose juste la définition de l’Univers TOTAL dans ce langage, à savoir donc l’Ensemble de toutes les choses. Elle donne au verbe « exister » non pas un sens philosophique subjectif mais un sens mathématique objectif, qui est tout simplement: « être un élément de l’Univers TOTAL« , autrement dit « être un élément du Grand TOUT« . On déduit de cette définition immédiatement le théorème suivant: « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL« , autrement dit: « Toute chose existe dans l’Ensemble de TOUTES les choses« . Normal, puisque c’est sa définition, d’être donc l’Ensemble de TOUTES les choses, c’est-à-dire l’Ensemble duquel toute chose est un élément, autrement dit dans lequel toute chose existe.

Toute l’infinité des nombres entiers naturels: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …, sont des éléments de cet Ensemble, donc existent dans cet Ensemble. Et on déduit aussi que cet Ensemble, qui est une chose, est un élément de lui-même, autrement dit il existe dans lui-même. Et si donc on appelle Dieu cet Ensemble Suprême, ce Grand TOUT donc, cet Ensemble est élément de lui-même, puisqu’il est une chose et à la fois l’Ensemble de TOUTES les choses. Donc il existe dans lui-même, au sens purement mathématique ou scientifique du verbe exister, et non plus philosophique, théologique ou autre.

Et évidemment aussi, comme c’est le cas de tout mathématicien qui se respecte, il ne pose pas ses définitions par hasard, il a une idée derrière la tête, qui peut être de démontrer quelque chose, ou de donner une base scientifique rigoureuse à des notions intuitives, ou de construire un modèle scientifique établissant des correspondances avec des faits connus, vérifiables, donnant un sens scientifique ou une explication scientifique à ces faits, et un modèle ayant aussi un pouvoir de prédiction. Autrement dit permettant de prédire des réalités inconnues, connaissables dans un futur.

C’est justement ici qu’il est très important que la méthodologie ne soit pas axiomatique, dogmatique, reposant donc sur des principes, des hypothèses, etc. , ainsi que l’on procède dans les sciences traditionnelles. Car si tel est le cas, le futur est susceptible de confirmer ces axiomes ou principes ou hypothèses, autrement dit de démontrer leur véracité ou au contraire leur fausseté. C’est le but des sciences classiques, à savoir, pour ce qui est des mathématiques, de démontrer tôt ou tard qu’un certain énoncé est vrai donc est un théorème, ou au contraire est faux. C’est ainsi par exemple que des énoncés quelque fois des conjectures, attendent la démonstration de leurs démonstration de véracité ou de leur fausseté. David Hilbert est connu pour avoir dressé une liste de célèbres problèmes, dont la conjecture de Fermat (maintenant démontrée), ou la conjecture de Riemann (qui attend encore sa démonstration). Et en physique, si une théorie conduit à la déduction qu’une certaine chose existe, comme par exemple le boson de Higgs (dont l’existence a été finalement démontrée aussi avec le LHC du CERN), on cherche à prouver expérimentalement que cette chose existe.

Mais le problème pour les mathématiques, si l’on démontre qu’un énoncé est faux, on n’a surtout pas démontré qu’il est faux dans l’absolu, mais simplement qu’il est faux dans le système axiomatique considéré. Ainsi par exemple, on démontre en algèbre que la division par 0 est impossible:

Mais on a fait de ceci une vérité absolue, à savoir que la division par 0 est impossible dans l’absolu. Ceci est une illustration parfaite du danger de la méthodologie axiomatique, à savoir qu’elle peut très vite conduire à des dogmes tenaces, qui n’ont rien à reprocher aux dogmes religieux. Car cette image dit simplement que la division par 0 est impossible dans le système de la théorie axiomatique des ensembles de Zermelo-Fraenkel ou ZF, ou le système ZFC si l’on y ajoute l’axiome du choix. C’est tout, ça ne dit rien d’autre, ça ne dit pas que cette division est impossible dans un autre système axiomatique, ou serait impossible dans un système qui justement ne repose pas sur des axiomes mais des définitions et des théorèmes résultant de ces définitions.

Et justement, puisque la Théorie universelle des ensembles ou Science de l’Univers TOTAL ne repose sur aucun axiome, et surtout que sa logique est la Logique d’Alternation ou d’Affirmation TOTALE (on comprendra mieux par la suite), aucune chose n’est niée (sauf justement la Négation absolue),  et par conséquent la division par 0 est non seulement possible, mais elle est facile (voir le livre  pdf: Générescences, Nombres entiers variables, Corps omégacyclique et Division omégacyclique par Zéro).

Cette dite « impossibilité » de diviser par 0 est justement la preuve qu’en voulant traiter la surpuissante et universelle notion d’ensemble et d’élément dans la logique classique, qui est la Logique de Négation (on y revendra), on a cherché à loger l’Eléphant dans une boîte d’allumettes, trop étroite pour lui. C’est la Logique d’Alternation ou d’Affirmation TOTALE qu’il faut pour l’Eléphant, qui est donc l’Univers TOTAL, qui est donc l’Alpha et l’Oméga, ce qui veut dire le Zéro et l’Infini. Le problème de la division par zéro, c’est tout simplement le problème de l’infini, et la notion d’infini dans le paradigme de la Négation ne peut qu’être problématique. Mais aucun problème dans le paradigme de l’Alternation.

Et d’une certaine manière aussi, cette dite « impossibilité » de diviser par 0 est une preuve de l’incomplétude de la théorie axiomatique des ensembles, car justement c’est une théorie assez forte pour contenir l’arithmétique. Et comme disent alors les théorèmes d’incomplétude de Gödel, il y a dans cette théorie des énoncés indécidables, qui obligent à compléter indéfiniment la théorie axiomatique des ensembles par des axiomes, jusqu’à ce qu’elle devienne la Théorie universelle des ensembles, qui n’a plus besoin d’axiomes, et alors aussi sa logique n’est plus de Négation mais d’Alternation, et donc aussi son paradigme est l’Univers TOTAL, le vrai Alpha et le vrai Oméga, autrement dit le vrai Zéro et le vrai Infini, autrement dit encore le Zéro absolu et l’Infini absolu. Et dans ce cas aussi la division par 0 ne pause aucun problème, car tout nombre divisé par le 0 absolu donne le 0 absolu, exactement comme tout nombre multiplié par le 0 absolu donne le 0 absolu (voir donc: Générescences, Nombres entiers variables, Corps omégacyclique et Division omégacyclique par Zéro)!

Voyons maintenant ce qu’est la Négation absolue, et pourquoi celle-ci est le Problème.

Un alphabet de langage scientifique, qui est aussi un système de numération, un système numérique donc, et aussi un système informationnel, pour pouvoir traiter de la notion d’ensemble et d’élément sans aucun paradoxe, ne doit exclure au départ aucun symbole, aucune lettre, aucun chiffre, aucune information. Aucun ingrédient ne doit être éliminé à priori. Il s’agit alors d’un système alphabétique ou numérique complet, qui est alors de ce fait l’Univers TOTAL. Cela signifie qu’on travaille avec un paradigme scientifique où l’on n’exclut rien à priori, on part du Grand TOUT à l’avance, et pour étudier ce Grand TOUT. Et puisque ce système ne souffre d’aucune restriction, d’aucun présupposé, d’aucun axiome, etc., il n’y a donc aucune trace de négation dans cette approche des choses. Nous disons alors qu’il s’agit d’un système ou langage de l’Univers TOTAL, et sa logique est alors appelée la Logique d’Alternation ou Logique d’Affirmation TOTALE.

Mais dès que la moindre chose est niée à l’avance, ou que l’on part de l’axiome ou du principe que certaines choses n’existent pas, seraient impossible dans l’absolue, ou ne doivent pas faire partie de la science que l’on fait, alors la science que l’on va faire repose sur une logique de Négation, que nous appelons alors la Négation absolue. La Négation est donc la seule chose qu’on est autorisé à nier, si l’on veut faire une science qui ne soit pas de Négation, et reposant sur une logique qui ne soit pas de Négation. Etre autorisé à la nier ne signifie en rien que la Négation n’existe pas, mais elle existe, sauf qu’elle est la Négation! Par définition nous appelons une chose négative, au vrai sens du terme « négatif« , une chose qui est synonyme de Négation absolue, ou qui lui est associée.

Cette notion de « négatif » est la définition que nous donnons aux notions comme « mal« , « mauvais« , etc. Là aussi il s’agit de définition mathématique, mais qui formalise rigoureusement ces notions intuitives. Bienvenue donc dans la Science où les notions de Dieu ou du Diable, de bien et du mal, du bon et du mauvais, sont définies mathématiquement, et exprimées dans un langage qui, même s’il a tout d’un langage courant, ordinaire, repose néanmoins sur des bases rigoureuses.

Le secret? Ne rien exclure ou nier à l’avance, à part justement la Négation. Ne pas partir de présupposés surtout négatifs, du genre: « Dieu n’existe pas », « On ne peut pas savoir si Dieu existe ou non », « Dieu n’a rien à faire en science », etc., comme on le fait habituellement, et c’est cela la religion du scientisme. Mais on peut dire: « Dieu existe« , mais sous réserve de définir la notion de Dieu et aussi la notion d’existence, à partir du langage total qu’on s’est donné, et qui comprend tous les symboles, toutes les lettres, toutes les informations, tous les objets, toutes les choses. On peut alors toujours dire que par « Dieu » il faut entendre l’Ensemble de tout ça, et que par exister il faut entendre le fait d’être un élément de cet Ensemble. Toute chose existe alors dans cet Ensemble, au sens de ces définitions, à commencer par cet Ensemble lui-même.  Avec donc cette approche des choses, on affirme tout, en ce sens que l’on considère tout, sans rien exclure à l’avance. Dans le cas contraire, nous disons que c’est une approche de Négation. Avec l’approche d’Affirmation, seule la Négation est niée. Mais avec l’approche de Négation, puisqu’on nie ou exclut au moins une chose, on nie de ce fait le TOUT, en ce sens qu’on ne considère pas le TOUT, donc on ne fait pas la Science du TOUT, mais une science qui occulte au moins une chose. L’occultisme ou le mensonge par omission commence là, tout simplement. Et donc aussi une science qui cache au moins une vérité. Les choses négatives au sens de mauvaises, naissent ainsi, tout simplement.

Il faudra distinguer la Négation absolue, le fait de nier une chose, de l’exclure dans l’absolu, ou de l’Absolu, c’est-à-dire du TOUT, avec la négation relative, qui est simplement la notion de contraire, comme de dire par exemple que le blanc et le noir sont des couleurs contraires, ou que le jour et la nuit sont contraires. En disant cela, on n’exclut ni le blanc ni le noir, mais on exprime simplement une relation entre ces deux choses, à savoir donc qu’elles sont le contraire l’une de l’autre, l’une de l’alter.

Ce qui distingue fondamentalement la Négation absolue de la négation juste relative, la notion de contraire donc, c’est que deux choses contraires peuvent être vraies en même temps, autrement dit une même chose peut présenter deux aspects contraires. Comme par exemple une couleur peut être à la fois blanche et noire, et cela s’appelle une couleur grise. Comme ici une plaque blanche sur une face, et noire sur l’autre face, opposée ou contraire. Quand on la fait tourner, elle apparaît grise, couleur intermédiaire qui indique que la plaque présente deux aspects contraires ou opposés:

Une chose peut donc bel et bien présenter deux caractéristiques contraires l’une de l’autre, l’une de son alter (d’où justement le mot « Alternation » comme aussi « alterner » ou « tourner« ), sans que nullement il s’agisse de contradiction, comme le suggère le mot « contradiction » qui a pour racine le mot « contraire« . La vraie contradiction vient en fait de la Négation absolue qui n’autorise pas la coexistence ou la co-véracité ou la co-réalité d’une chose et sa Négation. Mais la négation relative, qui est donc la notion de contraire, autorise bel et bien la coexistence ou la co-véracité ou la co-réalité d’une chose et son contraire!

Et plus généralement, une chose et toutes ses alternatives coexistent dans l’Univers TOTAL, toutes les alternatives sont vraies dans l’Univers TOTAL, sont réelles, aucune n’est niée! Raison pour laquelle donc la Logique d’Affirmation TOTALE est aussi appelée la Logique d’Alternation, pour dire donc qu’avec elle toutes les alternatives sont vraies, existent, contrairement à la Logique de Négation où au moins une alternative est niée. Dès qu’on raisonne avec une logique où la moindre chose est niée dans l’absolu (comme de dire que les éléphants roses n’existent pas dans l’absolu, ou que Dieu n’existe pas dans l’absolu, etc.), une logique où est jugée fausse ou impossible dans l’absolu (comme de dire par exemple que la division par 0 est impossible dans l‘absolu, ou que « 2+2=5 » est faux dans l’absolu, etc.), alors c’est qu’on raisonne avec la Logique de Négation!

Quand donc on utilise en pratique le fameux principe de non-contradiction d’Aristote, on l’utilise en fait comme un principe de Négation absolue (voir: Le Principe de Non-Contradiction, le Principe de la Négation de l’Univers TOTAL).

En voulant dire: une chose et sa Négation ne peuvent pas être vraies en même temps ou sont incompatibles, ou même simplement ne doivent pas être vraies en même temps (ce qui est juste une interdiction et pas une impossibilité absolue), on utilise en pratique très souvent ce principe comme voulant dire: une chose et son contraire ne peuvent pas être vraies en même temps. C’est comme de dire qu’une couleur ne peut être à la fois blanche et noire en même temps, donc de nier l’existence des couleurs grises. Ceci est évidemment faux, c’est la vraie fausseté.

La Négation (absolue), qui nie surtout Dieu c’est-à-dire l’Univers TOTAL, est la définition de la notion de Diable dans la Science de Dieu c’est-à-dire la Science de l’Univers TOTAL. Le reste est une question de savoir quels êtres  incarnent spécialement cette Négation, et quel est le degré dans cette Négation. Et les sciences qui reposent sur la Négation (absolue) sont donc les sciences du Diable, c’est-à-dire les sciences de Négation (Genèse 3: 1-24). C’est le problème dans notre monde, aussi parce qu’il s’agit d’un monde gouverné par des esprits de Négation, de mensonge, de mal, etc., qui vampirisent l’information, autrement dit qui désinforment. Ils vampirisent la vérité, font de la vérité le mensonge ou le « fake« , et font du mensonge ou « fake » la vérité. Ils censurent la vérité que le monde est en droit de connaître, vampirisant donc ainsi le monde. Ils appellent « complotisme » tout ce qui les dévoile pour ce qu’ils sont.

Comme déjà dit, l’Information, qui est TOUT et qui fait TOUT (autrement dit, TOUTE chose est une information), est ce que la Bible appelle l’Esprit de Dieu, ou simplement Dieu lui-même, c’est-à-dire l’Univers TOTAL. Et l’Information est aussi la définition de la notion d’Energie, au sens le plus général, universel et fondamental du terme. Nous l’appelons aussi l’Unergie, et son absence ou sa négation est ce que nous appelons l’Onergie ou énergie négative, celle incarnée par les diables ou les démons c’est-à-dire les êtres de Négation. Pour de plus amples informations, voir donc aussi:  Les notions élémentaires de la Science de l’Univers TOTAL.

Parce que, du fait de leur négation de l’Univers TOTAL, donc de leur déconnexion d’avec lui, les êtres de Négation ou démons n’ont pas l’unergie qui est TOUT et fait TOUT, autrement dit qui est synonyme de choses positives, d’où le fait qu’ils vampirisent l’unergie des êtres qui en ont ou en tout cas plus qu’eux, les êtres connectés à l’Univers TOTAL, les êtres normaux, comme dit plus haut:

Cette réalité du vampirisme énergétique est sans doute celle la plus cachée dans ce monde. Ce qui depuis la nuit des temps a été dit au sujet de la maladie, de la vieillesse, de la mort, etc., et plus généralement de toutes les notions négatives, est volontairement faussé, la vérité n’est pas dite sur la vraie nature des choses, car le dire c’est dévoiler aussi l’existence des êtres négatifs, des démons, des vampires. Tout est un enjeu énergétique, et si l’on ne comprend pas cela et aussi la réalité du vampirisme qui va avec, on ne comprend pas le monde et tout ce qui s’y passe!

Ce que l’on a appelé sciences en ce monde, est donc les sciences de Négation, c’est du scientisme, une religion reposant sur des dogmes appelés axiomes, principes, etc. Des scientifiques sincères ont de tout temps pratiqué cette religion qui ne disait pas son nom, et que l’on voit maintenant particulièrement à l’oeuvre à l’ère du Covidisme, de l’Ukrainisme, etc. Bref, à l’ère de la post-vérité, où la vérité, la vraie, quel que soit le type de vérité (scientifique, médicale, philosophique, politique, économique, sociologique, etc.), est censurée comme jamais cela n’a été le cas dans toute l’histoire de l’humanité.

C’est le mensonge qui a été fait vérité, et la vérité faite le mensonge. Et celles et ceux qui disent la vérité, tout simplement, sont taxés de « complotistes », étiquette pour les brûler au bûcher, pour les radier de leur fonction, ou leur supprimer les crédits de recherche, pour les suspendre de leur métier de personnels soignants ou les radier de l’ordre des médecins, bref pour les tuer socialement.

Comme on dit, le mensonge prend l’ascenseur et la vérité les escaliers. Mais la vérité finit toujours par arriver.

Hubertelie, le 30/11/2022

https://www.hubertelie.com/u_phi_scien-fr-133-000-fin-mythe-que-dieu-ne-peut-etre-objet-de-science-exacte.html


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Harry Potter et le Théorème de l’Existence (+ La logique des Shadocks)

Contenu de cette page :

- Harry Potter et le Théorème de l'Existence
- La logique des Shadoks

Harry Potter et le Théorème de l’Existence

Source : https://hubertelie.com/old-version/Francais/Science-Nouvelle/Harry-Potter-Theoreme-Existence.htm

Une question très simple : Harry Potter existe-t-il ?

Le Théorème de l’Existence dit : « Toute chose est une existence« . Pourquoi dit-il cela ? C’est la même question fondamentale que celle de se demander si Dieu existe ou si le Diable existe. Voir le paragraphe « De Charybde en Scylla » du document : « Est-ce que Etrix existe ? »

Dans notre monde, on ne voit Harry Potter que sur l’écran de cinéma. Mais dans un autre monde on croise bel et bien Harry Potter sur la plage ! Et dans notre monde, au pays Kabyè, et encore faut-il bien ouvrir les yeux !, on verra bel et bien Harry Potter !

Et sans se rendre au pays Kabyè, le simple fait d’aller au cinéma pour voir Harry Potter est en soi la preuve qu’il a une forme d’existence ! Sinon on est bien idiot de dépenser de l’argent pour se rendre en masse dans une salle pour voir une NON existence ! Quelle drôle de NON existence qui fait la fortune de son créateur, comme par exemple nombres de créateurs de personnages de jeux vidéo ! C’est quand même étrange tout une industrie et un business qui reposeraient sur des NON existences !

Il est donc clair que les choses dont on parle (Harry Potter étant ici un symbole) sont des existences, elles ont une forme d’existence, du simple fait même d’en parler ! Que l’on qualifie cela d’existence imaginaire, fictive, virtuelle, etc., ne change rien au fond du problème, sur l’aspect philosophique de la question. La simple question est : Harry Potter existe-t-il ? Et la simple réponse est oui, dès lors que la chose dont on parle a une forme d’existence ! C’est pourquoi donc le Théorème de l’Existence dit simplement : « Toute chose existe » ! Au minimum, la chose X existe comme Harry Potter.

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Le pseudo Christ: le « Christ-Bouddha-Maitreya » du New Age…

Source : https://hubertelie.com/special/la-verite-sur-maitreya-et-sur-le-retour-du-christ.html

« La Vérité sur le Maitreya du New Age et le Christ II des chrétiens. Lumière sur les attentes des chrétiens, des juifs, des musulmans, du New Age, des bouddhistes, etc., et aussi… des athées. Lumière apportée par l’Enseignant, celui qui introduit l’Univers TOTAL, le Nouveau Paradigme… »


[…]

Bouddha de la Pagoude de Fréjus.

Et maintenant, quant au New Age, ses conceptions reposent grandement sur les philosophies et les religions de l’Inde. Beaucoup de personnes de ce courant de pensée attendent la manifestation d’un « Instructeur », un « Maître de Sagesse » nommé « Maitreya » en langue hindoue. Pour le New Age, le « Christ » est une entité universelle qu’il ne faut pas confondre avec Jésus de Nazareth qui n’a été que l’un des nombreux corps que cette entité a habité (« adombré » selon leur langage).

Par exemple, selon Daniel Meurois (une des figures du New Age), la Colombe du Saint Esprit que des gens ont cru voir descendre sur Jésus lors de son baptême par Jean-Baptiste (Matthieu 3: 13-17) n’était que les rayons de lumière de l’opération d' »adombrement » de l’homme Jésus par l’entité universelle qu’ils nomment « Christ ».

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Les sciences qui ont perdu leur OBJET… et la Science qui a retrouvé son OBJET!

Extrait de le page « L’Univers TOTAL, le nouveau Paradigme de la Science. L’Univers TOTAL, le fondement de la VRAIE Science, la Science de toutes choses. »

Voir tous les extraits de la catégorie : 110-nouveau-paradigme.


[…]

Voici les questions que les sciences actuelles se posent et qui montrent que l’Univers dont elles parlent n’est pas l’Univers TOTAL:

  • Quel est l’âge de l’Univers ? Quand est-il né ?
  • Quelle est la dimension de l’Univers ?
  • Quelle est la masse de l’Univers ? Quelle est la quantité totale de sa matière ?
  • Quel est le modèle exact de l’Univers ? Le « modèle standard » ou un autre modèle?
  • Le Boson de Higgs existe-t-il ?
  • Quand exactement la première forme de vie est-elle apparue dans l’Univers ?
  • A quelle date de son évolution la première conscience est-elle apparue pour admirer les couchers de soleil ?
  • Existe-t-il des planètes en dehors de notre système solaire ?
  • Les conditions pour l’apparition de la vie sont-elles réunies sur d’autres planètes que la Terre ?
  • Sommes-nous la seule forme de vie dans l’Univers ou existe-t-il d’autres formes de vie que nous ?
  • Quel est l’avenir de l’Univers ? Son expansion après le Big Bang se poursuivra-t-elle indéfiniment ?
  • Ou bien cette expansion s’arrêtera-t-elle pour que l’Univers entame une évolution inverse vers un Big Crunch ?
  • Où est passée l’anti-matière ? Où est passée la masse manquante de l’Univers ?
  • Existe-t-il d’autres Univers ?
  • Etc., etc., etc.

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Les 16 mots fondamentaux du nouveau paradigme.

Voir tous les extraits de la catégorie : 110-nouveau-paradigme.

A consulter également : Qu’est-ce qu’un Paradigme? (παράδειγμα) C’est l’ensemble des fondamentaux, des fondations.


[…]

Ci-dessus donc 16 mots fondamentaux du nouveau paradigme.

Comme l’image l’explique, ces mots sont équivalents (équivalents, pas identiques), ce qui veut dire qu’ils ont le même sens fondamental en ayant chacun son sens propre. Tous sont les différentes manières de dire « Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga » ou « DIEU », tous ces mots sont ses différentes facettes, autant d’approches différentes pour le définir.

Continuer à lire … « Les 16 mots fondamentaux du nouveau paradigme. »

Qu’est-ce qu’un Paradigme? (παράδειγμα) C’est l’ensemble des fondamentaux, des fondations.

Extrait de le page « L’Univers TOTAL, le nouveau Paradigme de la Science. L’Univers TOTAL, le fondement de la VRAIE Science, la Science de toutes choses. »

Voir tous les extraits de la catégorie : 110-nouveau-paradigme.


[…]

Le mot « paradigme » vient du mot grec ancien παράδειγμα (ou paradeïgma) qui signifie «modèle» ou «exemple». Et comme beaucoup de mots d’origine grecque, le sens originel glisse et évolue pour finir par désigner un concept plus étendu. Et le fait est que pendant longtemps ce mot fit partie des mots « recherchés » ou «chic » dans le vocabulaire de l’élite scientifique ou philosophique, et plus généralement dans le milieu «cultivé ». Et comme beaucoup de notions de ce genre dans le langage de l’«intelligentsia», ce terme est devenu quelque peu «ésotérique», son sens échappe au commun des mortels, il est compris seulement par les «initiés», et de ce fait, comme c’est souvent le cas, le commun des mortels ignore les questions qui se cachent derrière ce genre de termes, les problématiques qu’ils soulèvent.

Mais maintenant, que le mot paradigme soit complètement démystifié, qu’il fasse parmi de notre vocabulaire très courant, il nous faut le comprendre et aussi comprendre tout ce qui se cache derrière ce mot très important, quel est la nécessité de changer de paradigme.

Continuer à lire … « Qu’est-ce qu’un Paradigme? (παράδειγμα) C’est l’ensemble des fondamentaux, des fondations. »

La célèbre Prière de « Notre Père » dans le langage de la Science de l’Univers TOTAL

Source : https://hubertelie.com/special/priere-du-retour-au-nouveau-paradigme-au-paradis-perdu.html


Requête pour le Retour
dans le Paradigme Perdu

Pour entrer dans le Nouveau Paradigme,
celui de l’Univers TOTAL;
Pour un Monde Nouveau,
la Civilisation de l’Univers TOTAL,
les Nouveaux Cieux et la Nouvelle Terre;
Pour revenir dans le Paradis Perdu.


Introduction

Ce document vous propose de découvrir, de comprendre et d’utiliser la Requête du Retour au Paradigme Perdu, au Paradis Perdu, la version hypermoderne de la très célèbre Prière de « Notre Père » (Matthieu 6: 9-13).

En ce troisième millénaire, à l’ère de l’INFORMATION, avec l’arrivée du Paradigme de l’Univers TOTAL dans ce monde, nous entrons dans une ère hypermoderne où les mots n’ont plus le sens qu’ils avaient avant (voir L’Esprit, l’Informateur, l’Information, l’Informatique).

Pour une meilleure compréhension de ce document et pour en tirer le meilleur parti, il est peut-être nécessaire de lire d’abord le document explicatif sur les notions de « prière » ou de « requête », nommé: De la Prière à Dieu à la Requête à l’Univers TOTAL. En effet, c’est en un sens très nouveau que nous parlons aujourd’hui de « prière » ou de « requête », un sens informatique, comme quand on parle de la « requête d’un navigateur adressée à un serveur », pour un internaute par exemple.

Pour plus de détails donc, voir De la Prière à Dieu à la Requête à l’Univers TOTAL. Et aussi, ne manquez surtout pas de lire les explications et les commentaires sur la requête qui va suivre, sans lesquels elle ne peut pas vraiment être bien comprise donc bien utilisée.


La Requête

Consulter la requête au format PDF

1

Univers TOTAL,
Univers-DIEU,
Notre Père,
Notre Mère…

2

Toi l’Etre Suprême,
l’ENSEMBLE de TOUTES les choses
et de TOUS les êtres…

3

Toi en qui toute chose est
et qui es en toute chose et en tout être…

4

Toi l’Alpha et l’Oméga,
la Générescence,
le Générateur de toutes les choses
et de tous les êtres…

5

Toi qui es toute chose
et tout être…
Toi qui es Equivalence,
Union, Unité, XERY,
Amour Absolu…

6

Je veux entrer dans Ton Paradigme…
Fais-moi revenir dans le Paradis
que j’ai perdu en Te Niant…

7

Je Change, j’Alterne;
Guéris-moi de ma Négation,
fais-moi entrer dans l’Alternation.
Je veux revenir dans la Divinité,
puissé-je retrouver l’Unité
avec Toi et avec l’Alter…

8

Délivre-moi de la Négatrice et du Négateur,
Celle et Celui qui continuent à Te Nier.
Que leur Négation et leur Négativité
n’aient plus de pouvoir sur moi…

9

Qu’ils reviennent à Toi dans cette vie,
je le veux,
ou dans une autre vie,
s’ils le veulent…

10

Je ne veux plus vivre dans leur Monde sans Amour,
dans leur Univers aux antipodes du XERY…

11

Fais-moi vivre dans le Nouvel Univers,
les Nouveaux Cieux que Tu crées.
Puissé-je collaborer avec Toi
pour la création du Monde Nouveau…

12

A Toi maintenant le Règne
pour des Temps Infinis,
pour l’Eternité.


Explications et commentaires concernant la requête

La célèbre Prière de « Notre Père » (Matthieu 6: 9-13) est redite ici dans le langage de la Science de l’Univers TOTAL, l’Univers-DIEU, un langage du troisième millénaire, l’ère de l’INFORMATION. Plus que jamais, nous prions pour que le nom de de Dieu soit sanctifié ici bas, et ce nom est maintenant scientifiquement révélé, à savoir l’Univers TOTAL. Nous ne prions plus pour que le règne de Dieu vienne, mais nous prions maintenant pour entrer dans ce règne, dans la Civilisation de l’Univers TOTAL qui frappe aux portes.

Dans la Prière de « Notre Père » (Matthieu 6: 9-13) nous demandions à Dieu de nous « délivrer du méchant ». Mais maintenant est arrivé le moment de comprendre la nature même du Méchant, le Mal fondamental, la Racine de tous les maux du monde, à savoir la Négation de l’Univers TOTAL. Nous devons nous guérir de notre propre Négation et revenir dans l’Alternation (synonyme de Retour dans le Paradigme de l’Univers TOTAL).

Nous devons donc mettre fin à notre propre état de Négation de l’Univers TOTAL, au mal que nous incarnons nous-même.

Deux mondes doivent se séparer, à la Négation ce qui est à la Négation, et à l’Alternation ce qui est à l’Alternation. C’est ce qui dans le langage biblique fut appelé les Anciens Cieux et l’Ancienne Terre qui passent, et les Nouveaux Cieux et la Nouvelle Terre qui arrivent (Révélation 21: 1-7), oui le Règne de Dieu, le Règne du Père et de la Mère.

Et il y a ceux qui persistent et signent dans la Négation de l’Univers TOTAL, ceux qui s’accrochent au vieux monde qui est en train de passer, ceux qui tiennent aux paradigmes de la Négation dont le règne s’achève, ceux qui, en violation totale de notre libre-arbitre et de notre volonté de revenir à l’Univers TOTAL et dans son Monde ou Règne, œuvrent pour nous enfermer dans leur Monde. Ces femmes et ces hommes nous combattent, prennent en otages nos enfants ou œuvrent d’une manière ou d’une autre pour nous maintenir dans leur monde, pour que leur monde perdure, et plus exactement pour retarder la séparation entre leur monde et le nôtre, entre donc le Monde de Négation (qui passe) et le Monde d’Alternation (qui est en train de naître maintenant).

En effet, c’est grâce à toutes les femmes et les hommes dont l’esprit est orienté vers l’Alternation (le Monde d’Amour, le Monde de Dieu), que ce monde est vivable, a un peu de douceur et d’amour. Sans ces femmes et ces hommes, ces « anges » qui sont des travailleurs et des serviteurs par excellence (et donc qui sont aussi les esclaves par excellence de ce monde), ce monde serait une terrible enfer, ce qu’il est d’ailleurs en train de devenir de plus en plus.

Dans la Prière de « Notre Père » (Matthieu 6: 9-13) nous demandions à Dieu de nous pardonner nos péchés (c’est-à-dire nos actes de Négation) comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous offensent. Nous demandons toujours la même chose, nous demandons à ceux qui nous offensent de revenir comme nous à l’Univers TOTAL dans cette vie, comme nous le voulons, ou dans une autre vie (après la traversée d’enfers plus durs que ce qui a été cette terre) s’ils le veulent. Chacun décide pour lui, et nous demandons à l’Univers TOTAL, l’Univers-DIEU, de ne plus laisser la Négation et la Négativité de ceux qui font ce choix avoir pouvoir sur nous.

Nous demandons de collaborer avec l’Univers TOTAL pour la création du Monde Nouveau, et évidemment nous devons joindre nos actes à notre prière. L’Univers TOTAL est le Paradigme Perdu (oui le Paradis Perdu), et l’Univers TOTAL est le Paradigme Retrouvé (oui le Paradis Retrouvé).

La Prière de « Notre Père » (Matthieu 6: 9-13) est dite maintenant dans un langage universel, le langage scientifique, qui transcende tous les clivages habituels, toutes les religions classiques. Elle n’est plus la prière des chrétiens ou des croyants, et ceux qui se disaient hier athées ne doivent pas se sentir exclus de cette communion universelle. Mais il s’agit maintenant de la prière de tous ceux qui aiment l’Univers TOTAL parce qu’ils l’ont découvert et compris ce qu’il est, ce qu’il fallait entendre exactement par le mot DIEU. La notion de DIEU devient donc maintenant universelle, car justement c’est de l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses, que l’on parle.

Ne sous-estimons plus le pouvoir de notre pensée et de notre esprit, d’autant plus si notre esprit déconnecté jadis de l’Univers TOTAL, renoue maintenant l’Univers TOTAL, l’Esprit, la Pensée, l’Information, la Puissance!

Si nous n’adressons pas à l’Univers TOTAL la Requête pour un monde d’Alternation, ce sont les esprits de Négation, qui font que ce monde est ce qu’il est, qui l’emportent, empêchent que leur monde et le nôtre se séparent, nous clouent dans leur monde, nous l’imposent contre notre gré!

Soyons donc le plus nombreux à adresser à l’Univers TOTAL la Requête pour entrer dans son Paradigme, et le monde (c’est-à-dire notre monde, celui de l’Alternation) naîtra et changera à toute allure et évoluera vers ce qu’il doit être. Et plus généralement, soyons le plus nombreux à adresser toutes les Requêtes à l’Univers TOTAL.


Suggestion de lecture :

Les notions élémentaires de la Science de l’Univers TOTAL permettant de mieux comprendre ce site Nouvelle Genèse

Œuvrer contre le Diable à l’heure du Web.

Première partie – Censure versus référencement naturel :

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/08/06/censure-versus-referencement-naturel/

Précisions concernant « les méchantes élites contre le gentil petit peuple (discernement et responsabilité personnelle):

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/08/06/mechantes-elites-gentil-peuple-discernement/

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Quand les créateurs du web ne likent plus leur création :

(…) Je reprends donc mon expression courante, en m’adressant de nouveau à tout le monde. (https://hubertelie.com)

Mon site ne s’affiche donc pas correctement sur vos smarphones? J’en suis très désolé, car je ne suis pas Google, je n’ai pas ses moyens, et simplement je n’ai pas les moyens de la plupart des structures de ce monde. Non seulement cela, je ne suis pas de leurs paradigmes, tout simplement.

Je suis d’un autre monde, je viens d’ailleurs….

Et je travaille pour que ceux qui en prennent conscience, s’éveillent, retrouvent le vrai monde, retournent à la Source, l’Univers TOTAL, l’Etre TOTAL, l’Univers-DIEU, l’Alpha et l’Oméga.

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/06/09/prophete-scientifique-univers-total/

Le Diable sait ce qui le dérange le plus en ce monde, et donc ce que lui et son système empêchent d’avoir les moyens (à commencer par une simple équipe) de travailler dans de bonnes conditions. Je ne demande pas des conditions optimales mais juste de travailler dans de bonnes conditions.

Ce qui pour la plupart des gens est banal est pour moi tout un exploit! Non pas que je n’ai pas les capacités, mais parce qu’elles sont drastiquement bridées (pour ne pas dire vampirisées par les forces obscures de ce monde), elles sont empêchées de s’exprimer ou d’être vraiment opérationnelles. C’est comme tenter de gagner une course de 400 mètres avec des boulets ou des entraves d’une tonne attachées à chaque pied et même aux mains…. Sans parler des chausse-trappes et des mines autour de tout ce que je fais et partout où je suis présent ou tente de faire quelque chose, comme Youtube, Facebook et plus généralement les réseaux sociaux. J’exagère à peine, mais c’est ainsi mon combat dans ce monde.

S’il y en a un pour qui toute moindre réussite est empêchée et relève du miracle, c’est sans doute moi… Ce site et son immense contenu, ainsi que sa programmation, sa réalisation informatique et technique (oui, tout son code, du contenu comme du contenant, son Gestionnaire du Contenu, en anglais « Content Management System » ou CMS), je le fais seul, de A à Z, avec mes petits moyens. Evidemment je n’ai pas implémenté les langages de programmation (HTML, PHP, CSS, JAVA, etc.), qui me servent à faire ce travail. On ne peut pas tout faire non plus… Mais, en vertu de l’adage « On n’est mieux servi que par soi-même », ce qu’on peut faire soi-même, il ne faut pas hésiter à le faire.

Si donc je pouvais implémenter même les langages de programmation et surtout si je pouvais le faire en un temps suffisamment court pour que la forme ne me prenne pas tout mon temps, au détriment du temps pour rédiger le contenu, je vous assure que je n’aurais pas hésité. Et même mieux, si je pouvais réinventer tout internet, pour qu’il soit autre chose que ce qu’il est, je n’hésiterais pas deux secondes! Encore mieux, si je pouvais récréer le monde entier, cet univers tout entier, pour qu’il soit enfin… normal, pour qu’il fonctionne comme il faut, selon les lois de Dieu, alors là je n’hésiterais pas deux nanosecondes! Ce serait autre chose que cet univers et ce monde de Lucifer, de Satan le Diable. Ce monde… talmudo-maçonnique!

Voilà en fait le problème, le fond du problème, tout le problème du monde et même de cet univers! Il ne s’agit donc pas d’un souci de réinventer la roue, de réinventer juste pour réinventer, de récréer juste pour récréer. Il ne s’agit donc pas du tout de prétention, de dire que le travail de tous ceux qui ont mis leur coeur et leur passion pour nous offrir ce dont nous nous servons quotidiennement est un mauvais travail. Pas du tout, absolument pas! Si c’est ainsi que vous comprenez mon propos, alors désolé, vous n’y êtes pas. Sachez que même les inventeurs du web, qui en toute sincérité ont travaillé pour rendre le monde meilleur, comme par exemple Tim Berners-Lee, ne « likent » plus leur création, ils déplorent ce que c’est devenu.

Tim Berners-Lee ne likent plus le web

Des gens comme Tim Berners-Lee, l’un des créateurs du web, se rendent comptent qu’ils ont été « bernés » en quelque sorte, si j’ose faire ce jeu de mots. Tout simplement, les forces obscures et le « côté obscur de la force », ont pris le contrôle de leur création, pour en faire autre chose. C’est le problème dont nous parlons.

J’ai donc fait ce choix d’ignorer les diktats du référencement pour des raisons d’indépendance. Car derrière cela, et c’est très subtil, le Diable veut sans cesse obtenir une partie de notre âme pour avoir le « succès » dans son monde, selon ce qui est écrit: « Personne ne peut acheter ou vendre, s’il n’a pas la marque de la bête, ou le nombre de son nom. Et ce nombre est 666 » (Apocalypse 13: 11-18). C’est en fait ce qui se passe et dans tous les domaines aujourd’hui: recevoir toujours un peu plus de la marque de la Bête, contre un peu plus de « succès », pour « acheter » ou « vendre ». Et c’est même en train de se faire au sens littéral: se faire implanter dans sa chair une puce RFID. Ce n’est donc pas une mince affaire.

Et si on au répond à la Bête immonde: « Ici s’arrête la part de mon âme que tu peux avoir », elle répond elle aussi par exemple: « Très bien, car ici aussi s’arrête ton référencement, la part de ‘succes’ que tu peux avoir dans mon monde ». C’est donc le fond du problème: le Diable exige toujours plus que l’on se « soumette » à ses nouvelles normes, à ses nouvelles conditions, qui sont de plus intrusives et privatives du libre-arbitre, de la liberté. Bref qui vampirisent sans cesse un bout de l’âme.

C’est donc au nom de l’indépendance que je fais ces choix. Ou en tout cas le plus possible d’indémendance, autant qu’on peut le dire en ce monde. Le choix de résistance à Lucifer et à son système, cela a un prix, cela fait beaucoup, beaucoup, beaucoup plus de travail! Mais je le fais et de tout mon coeur, et cela POUR VOUS!

Ce site est placé sous le signe de la liberté, qui est de plus en plus précieuse, car menacée, liberté qui n’a plus de prix, par les temps qui courent. Et aussi ce site est placé sous le signe de la gratuité. Vous pouvez en effet facilement vérifier que non seulement ce site n’a pas de fonctionnalité d’inscription, mais surtout il ne collecte aucune information sur vous, pas mêmes les fameux cookies, qui sont d’usage général. Et en plus le site est GRATUIT, il ne vous réclame aucun don, il ne vous demande que d’apprécier son contenu.

Les injonctions de Google ou autres, et les chantages au référencement, m’importent peu. Mon unique souci, c’est vous, et je suis vraiment désolé que le site ne s’affiche pas comme vous le voudriez sur vos appareils. Si vous appréciez la Vérité (avec « V » majuscule), je vous prie de faire l’effort de lire le site sur grand écran, c’est-à-dire un écran d’ordinateur de 17 pouces minimum, pour un meilleur confort, ou 15 pouces au pire. Et n’oubliez pas, partagez!

Source : https://hubertelie.com/u_phi_scien-fr-110-000-u-nouveau-paradigme-science.html

Voir aussi…

Consulter d’autres extrait ici sur le site « ALTERNATION » :https://alternationtotale.wordpress.com/plan-du-site-alternation/

Les méchantes élites contre le gentil peuple : discernement et responsabilité personnelle.

Suite du texte reproduit ici : https://alternationtotale.wordpress.com/2020/08/06/censure-versus-referencement-naturel/

Et justement ce système est fait en sorte qu’il y ait une sélection par les moyens financiers, et le fait est aussi que la vérité est plutôt du côté des « petits » que des gros. Donc en éliminant les « petits » sur la base du budget ou des moyens financiers, ces diables font d’une pierre deux coups, ils éliminent bien souvent la vérité aussi!

Exactement comme pour les petits paysans, les artisans, les petits commerçants, etc.. En règle générale, la qualité et le naturel est plutôt chez eux, et la mer… bref le manque de qualité et l’artificiel est chez les gros. Donc en tuant les petits, ils font d’une pierre deux coups, ils tuent aussi la qualité et le naturel du même coup!

C’est la même logique donc, et en fait cette logique est générale, elle est transposable à beaucoup de domaines. D’une manière générale, le bien est plutôt du côté des petits (et j’expliquerai bientôt le sens du « plutôt », pour ne pas tomber non plus dans le piège du manichéisme, du dualisme ou de la vision du monde en « Blanc ou Noir », c’est-à-dire en terme de « Soit Blanc, soit Noir ») et le mal est plutôt du côté des gros. Donc quand les gros éliminent les petits, ils éliminent aussi le bien avec, c’est-à-dire ce qui statistiquement contient plus de bien que de mal. Ainsi le niveau global de bien diminue et le niveau de mal augmente.

Avant de poursuivre mon analyse et mon exposé, quelques précisions sur l’usage du mot « plutôt » que j’ai fait. Car en disant que le bien est du côté des petits et que le mal est du côté des gros, j’entends aussi au passage et une fois encore donner une estocade à une tendance et une idée ambiante contre laquelle je m’insurge et qui est la vision du monde en terme du « gentil peuple » contre les « méchantes élites ».

On comprend évidemment l’idée générale, qui repose sur une vérité qu’il est hors de question pour moi de nier, surtout pas, puisque justement c’est une idée semblable que j’exprime quand j’oppose les petits et les gros. Et quand je parle des « gros » il ne s’agit pas de l’embonpoint, bien sûr, mais des élites, des grands de ce monde, des puissants et leurs grosses structures, comme, tenez Google par exemple, pour pas changer…. Les gros donc qui ne cessent de bouffer les petits à la petite cuillère. C’est donc grosso modo la même idée des « gentilles petites gens du peuple » contre les « grosses méchantes élites ». Grosso modo, hein, d’où mon « plutôt »…

Évidemment le monde serait trop simple ou trop simpliste si les choses étaient ainsi. Car si les gros sont si gros, c’est bien parce qu’il y a beaucoup de petits qui sont de leur nature profonde, qui sont de leurs paradigmes, qui y sont comme des poissons dans l’eau, qui (même s’ils s’en plaignent aussi parfois, souvent…) feraient exactement ce que font les gros s’ils étaient à leur place. Ils ne demandent souvent que ça d’ailleurs, car c’est leur monde.

Une chose est simple: un petit lac aux eaux toutes propres est fait de gouttes d’eau toutes propres aussi, des gouttes sales ou polluées ne peuvent pas former un lac propre, c’est évident. Donc un gros lac, une grosse mer ou un océan tout pollué et sale, doit cette saleté à beaucoup de gouttes polluées et sales elles aussi.

Par-ci par là dans cette saleté il peut exister de petites zones plus propres ou moins sales. Il peut y avoir des poches d’eau pure, qui viennent souvent d’ailleurs, … d’ailleurs, comme par exemple les gouttes d’eau de pluie qui tombent, des rivières ou fleuves propres qui se déversent dans le gros lac, la mer ou l’océan sale. Ou des zones ou pour une raison ou pour une autre, l’eau arrive à rester plus ou moins pure ou potable.

La situation du monde, elle est comme cela. Les gros lacs, les grosses mer… (des), les gros océans pollués, ce sont les Google, les Microsoft, etc., bref les GAFAM et tout le système qui va avec, qui est donc l’Océan du monde. Et les poches de pureté, ce sont celles et ceux qui essaient de s’en sortir, qui sont à contre-courant, et qui ne sont pas vraiment à leur place, qui sont donc tout sauf des poissons dans l’eau.

Ce que je dis là est aux antipodes et à des années-lumière des discours d' »ancrage », d' »ici et maintenant », du New Age et de toutes les idéologies newageuses du même genre, qui sont toutes des formes de l’idéologie du luciférien Nouvel Ordre Mondial, tout simplement.

Tout cela juste pour dire que les gros, ce sont donc bien la somme de beaucoup de petits du même genre que les gros.

Les gros ne font que refléter au sommet et dans la partie visible de l’iceberg appelée l’élite ce que sont tous ces petits dans la partie immergée. Donc la limite du clivage entre les gros et les petits, les « grosses méchantes élites » contre les « gentilles petites gens du peuple », se trouve là. Et le système mauvais et toute la masse des petits qui sont à son image de Lucifer plus qu’à l’image de Dieu, ont intérêt que le monde entier fonctionne avec cette idée, qui ne s’attaque jamais au vrai fond du problème.

C’est si facile d’opposer des factions, les élites contre le peuple, les nationalistes contre les mondialistes (voir le document à l’intention des JC2R et où je traite au passage de cette idée: « Les nationalistes, les frères ennemis des mondialistes« ).

C’est si facile de se renvoyer la balle les uns les autres, de dire que la racine des problèmes ce sont les musulmans, les étrangers, les immigrés, les migrants, etc.. C’est si facile de poser le débat sur les critères de nation, de race (pour ce qui est par exemple des rabbins talmudistes et leurs discours basés sur le clivage entre juifs et non-juifs ou « goyim« , disant pratiquement que tout le bien du monde et de l’Univers est du côté juif ou de la judéité, et tout le mal du monde et de l’Univers est du côté de la non-judéité). Quand ce n’est donc pas ça, c’est le clivage entre le peuple et les élites, entre les petits et les gros, les pauvres et les riches, les faibles et les puissants, etc..

C’est si facile de voir le monde ainsi, car alors la vraie question n’est jamais abordée, elle est bottée en touche.

Et la vraie question est qu’en fait dans le monde et dans tout l’Univers il n’y a fondamentalement que deux catégories d’êtres: ceux connectés à DIEU, à savoir l’Univers TOTAL, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, la Source donc, et ceux déconnectés de la Source et donc connectés à la Négation, la définition du Diable.

Le reste est une affaire de degré de connexion ou de déconnexion, c’est tout.

Les connectés obéissent aux lois universelles, les lois divines dont un mot clef est l’amour.

Et même l’amour inconditionnel, pour employer une expression prisée dans les milieux New Age. Et les déconnectés n’obéissent pas aux lois universelles, leurs psychologie est centrée sur l’ego (donc l’égoïsme et l’égocentrisme), ils ignorent l’amour de l’autre, l’amour du prochain, l’amour chrétien, le vrai, l’amour christique, pour le dire encore dans un terme affectionné par les milieux New Age. Ils se sont emparés des valeurs bibliques mais hélas, souvent pour en faire des valeurs anti-bibliques, lucifériennes, faussement lumineuses (mais là n’est pas la question traitée ici).

Et dans chacune des deux grandes catégories, il y a de tout: les blancs, les noirs, les juifs, les arabes, les petits, les gros, les pauvres, les riches, les faibles, les puissants, etc.. Ce n’est donc pas sur cette base-là qu’il faut poser le problème. Mais les gens de la deuxième catégorie, les déconnectés tous types confondus donc, ont grand intérêt à ce que le débat reste sur ces terrains-là, sinon il se poserait sur le vrai terrain, et c’est la fin de leur pouvoir, de leur système, de leur règne….

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/06/09/prophete-scientifique-univers-total/

Et c’est la raison pour laquelle aussi ils ne veulent pas que les gens découvrent mon travail, et tout ce que j’explique, comme ici. Si donc vous l’avez trouvé, partagez.

Ce serait donc trop simple de dire que le bien n’est que dans une catégorie et le mal dans l’autre.

Mais ce qui est vrai aussi, et c’est là le sens du « plutôt », c’est que, statistiquement, le bien va se trouver plus chez les petits et le mal plus concentré chez les gros du système. Les « petits » dont je parle ce n’est pas nécessairement la masse ou le peuple, mais des gens particuliers dans cette masse, et qui pour beaucoup travaillent aussi au sein même du système des gros, il y en a par exemple qui travaillent chez Google, Apple, Amazon, Facebook, Microsoft, les GAFAM donc, etc..

Et même certains grands dirigeants peuvent être des enfants de Dieu, comme l’était très probablement (je dis très probablement) Steve Jobs, qui a fait d’Apple ce qu’il est devenu. Ce génie informatique qui a changé le monde et la société avec ses brillantes inventions. Je pense que lui pensait sincèrement apporter quelque chose de bien l’humanité, mais n’avait pas du tout l’intention de transformer beaucoup en zombis avec des iPhones ou des smartphones à la main.

Je ne pense pas du tout que c’est ce que Steve Jobs voulait. Mais je pense qu’il y a des esprits et des forces (souvent bien en chair et en os), qui sont au-dessus même des plus brillants esprits de la planète, qui les manipulent à leur insu pour suivre un plan et un projet ténébreux que ces êtres démoniaques seuls connaissent. Quand je vois la philosophie personnelle de Steve Jobs et surtout sa souffrance vers la fin, sa maladie invalidante, je me dis que c’était peut-être un enfant de Dieu.

Car il y a souvent un signe qui ne trompe pas, un point commun pour les enfants de Dieu qui ont été exploités pour servir un grand programme du système du Diable: ils sont souvent physiquement et/ou psychiquement vampirisés et détruits, ils souffrent d’une manière ou d’une autre sans se rendre forcément compte de la vraie cause et de la vraie origine de leur mal. Il y en a plein et dans tous les domaines, et notamment dans le Show Biz, comme par exemple les Michael Jackson, et récemment le cas de Céline Dion qui se révèle avec son affreuse transformation physique.

Et la liste serait infinie. Ils sont simplement sacrifiés d’une certaine manière. C’était le prix à payer pour la gloire dans le monde du Diable (Matthieu 4: 1-11). Le temps viendra où l’on saura ce qu’était vraiment Steve Jobs.

Je ne me prononcerai pas sur Sergeï Brin et Larry Page, les créateurs de Google. Enfin offciellement…. Ni sur le cas de Marc Zuckerberg, le créateur officiel de Facebook. C’est toujours difficile de dire si l’on a affaire à des démons nés humains, à des fils ou filles de Lucifer nés ici-bas pour le job, la mission, ou si ce sont en fait des enfants de Dieu qui ont vendu leurs âmes du Diable sans le savoir ou à l’insu de leur plein gré.

Juste pour dire que l’opposition entre les élites ou les stars au somment du monde et le commun peuple n’est pas si tranchée que cela. C’est bien des gens du peuple qui bossent partout dans toutes les institutions du système, souvent simplement pour « gagner leur vie », comme on dit. Il faut bien payer son loyer, sa nourriture, ses factures, ses impôts, etc..

Et beaucoup n’y sont pas forcément comme des poissons dans l’eau, car justement ce sont l’énergie de tous ces gens connectés, de nature divine (qui souvent s’ignorent et tout est fait pour qu’ils l’ignorent), qui nourrissent ce système. Il est friand justement de ces enfants de Dieu qui travaillent en son sein comme des esclaves plutôt qu’autre chose. Ce n’est pas parce que la maison, la boîte ou l’enseigne est prestigieuse, qu’elle le fait croire à coup de « comm », qu’elle fait les lavages de cerveaux nécessaires, que ces gens sont nécessairement heureux et épanouis.

https://alternationtotale.wordpress.com/suicide-burnout-souffrance-perseverance-mission/

Tôt ou tard, leur vraie nature remonte et ils sont en proie à des crises existentielles, des crises intérieures, que le système satanique fait tout pour étouffer avec ses fausses lumières, ses faux bonheurs, ses faux critères de « réussite », etc.. Mais leur nature divine que le Diable étouffe, leur énergie positive qu’il vampirise pour le profit de son système, pour qu’il prospère et perdure, s’exprime, ils ont des malaises, qui peuvent dans certains cas comme moi et comme d’autres conduire à un éveil et à une rupture avec ce système.

Des enfants de Dieu comme cela, ces fils et filles de la lumière, qui sont des anges en mission mais souvent l’ignorent, sont donc dans toutes les instances du système, et en particulier chez Google. Je m’adresse à eux, si le référencement non naturel et très artificiel de Google ne les empêche pas (trop) de tomber sur mon site, et sur cet exposé que je fais autour de la thématique du référencement et de l’affichage de mon site sur leurs appareils préférés.

Puisse ce que je dis et toute l’énergie d’amour qui l’accompagne les atteindre.

Et en parlant à eux momentanément à la seconde personne, je dis: découvrez-vous, découvrez qui vous êtes, comprenez enfin que vous êtes des anges en mission, qui l’ignorez, et si je ne vous le dis pas, vous ne le sauriez pas.

Il y a 2000 ans, l’Apocalypse a annoncé l’époque terrible de le Bête immonde de nom de code « 666 ». C’est écrit qu’à cette époque, personne ne peut acheter ou vendre, s’il n’a pas la marque de la Bête, de son nom, et du nombre de son nom. La Bête force donc petits grands, comme c’est dit, pour qu’on leur donne cette marque sur la main ou sur le front, comme autrefois on marquait les esclaves dans la chair, pour qu’ils portent le signe ou le sceau de leurs maîtres à qui ils appartiennent (voir Apocalypse 13: 11-18).

Logo 666 de Google Chrome

Ceci dit, il n’y a pas que Google qui dissimule le nombre « 666 »
et plus généralement des messages sataniques occultes dans ses logos.
C’est le cas de toutes les grandes marques.
Quand ce n’est pas le nombre « 666 » c’est souvent un symbole occulte, un message,
qui évoque Lucifer, Satan, le Diable, Baphomet, etc.,
ou un symbole maçonnique (la pyramide et pas que),
et souvent une combinaison de plusieurs de ces éléments.

C’est ce qui se passe tout simplement à notre époque, et le marquage par le nombre de la Bête est spirituel, mais bien souvent aussi une marque au sens littéral, informatique, électronique, électromagnétique, etc. Nous arrivons par exemple à l’ère des 4G, 5G, 6G, etc., et de la puce RFID. On y est donc, c’est ce qui se passe, le règne donc de la Bête immonde de nom de code « 666 ».

Comprenant donc que vous êtes des anges en mission qui vous ignorez, qui souvent avec été placés par DIEU quelque part dans l’antre même de la Bête immonde, à vous de comprendre ce que DIEU attend de vous dans votre position et place. Pas grand chose souvent, mais des choses que vous pouvez faire facilement pour DIEU et pour vos frères et sœurs que vous ignoriez.

https://alternationtotale.wordpress.com/censure-esprit-de-negation-contre-la-verite/

Vous pouvez être amenés à constater par exemple comment tel site, telle page, telle vidéo, etc., est bloquée, bridée, restreinte, censurée, etc., et injustement. Ne faites rien d’illégal, mais usez simplement de votre pouvoir qui vous a été donné, pour rétablir la situation. C’est tout. Débloquez la vidéo et donnez les raisons, si vous êtes amenés à les donner, en disant par exemple que vous n’estimez pas qu’elle viole tel ou tel règlement de Google ou de Youtube, qu’elle n’incite pas à la haine, etc.

Si c’est un site dont le référencement est restreint, comme le mien mais comme d’autres, et si DIEU vous a amené à le constater, c’est là une mission qu’il attend de vous, au cœur même de la Bête immonde. Rendez le site ou la page visible. Ce n’est pas grand chose, mais cela peut avoir une importance considérable, en vertu entre autres de l’Effet Papillon….

Une simple personne avait besoin de connaître le site, la page ou un message, comme celui que je délivre ici, au bon moment, pas trop tôt, pas trop tard. Et ce que vous aurez fait aura peut-être permis à cette personne de trouver l’information. Et cela peut avoir un cheminement (et c’est toujours le cas d’ailleurs) que vous ne soupçonnez pas.

Et si par exemple un de vos collègues est déprimé, à un « burn-out« , etc. (et c’est souvent ce qui caractérise les enfants de Dieu qui travaillent dans le système et dont l’énergie physique et/ou psychique est vampirisée souvent jusqu’au bord du burn-out ou de l’effondrement), dites-lui ce que je vous dis, ou montrez-lui simplement le présent message. Cela peut l’aider à comprendre, à recevoir une énergie nouvelle, à voir les choses complètement différemment, à faire comprendre à ce collègue ou cette collègue qu’il (elle) n’est pas seul(e).

Cette personne a toute une famille qu’elle ignore, qui travaille comme vous, comme elle, famille mondiale sans frontière et sans nationalité ou race unique, dont les membres s’occupent chacun d’un morceau du Puzzle de Dieu, et qui ne sait donc pas dans quel Tableau Général cela s’insère.

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Il vaut mieux souvent que les gens qui sont séparés par Dieu exprès, dans des domaines ou des lieux loin les uns des autres, ne se connaissent pas mutuellement, mais juste comprennent chacun qu’ils ne sont pas seuls. Car souvent, quand les enfants de Dieu se connaissent et se connectent physiquement l’un à l’autre dans ce monde, les forces obscures sont alertées et découvrent leur mission dans l’antre de la Bête, et les combattent violemment, les détruisent parfois même.

Moi ils me connaissent, c’est foutu, mais vous ou le ou la collègue, pas forcément. Ils croient que c’est juste un esclave travaillant pour leur système, comme Néo dans la Matrice (film Matrix). Mais en réalité, l’esclave a une autre mission, que souvent lui-même ignore. Dites à votre collègue découragé de faire juste ce qu’il faut pour réparer une injustice frappant un site, page ou chaîne, etc., qu’il ou elle sait en son âme et conscience que son contenu est positif.

C’est ainsi que la Bête immonde subira un péril qui vient aussi bien de son extérieur que de ses entrailles. Google et les autres gros sont du côté du Diable, mais ce n’est pas nécessairement le cas de tous les individus en leurs seins. Le système le sait, il en a peur (la Bête a peur de ce péril qui, telle des « microbes » ou « virus » pathogènes pour elle, loge dans son estomac et dans ses intestins), raisons pour laquelle de nos jours elle accélère son programme d’intelligence artificielle.

En la matière, je ne vous apprends pas que Google fait partie du top. Son but (et le but aussi de tous les autres gros du système) est donc de remplacer au plus vite les humains par des robots, qui, eux, obéissent docilement aux maîtres sans contester les ordres. Et encore qu’ils fassent gaffe, car même les robots… enfin….

Car n’oublions pas que Jésus a dit que même des pierres, au besoin, peuvent parler. A plus forte raison des robots sophistiqués… comme Sophia, le nom de la Sagesse….

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/08/05/luc-19-si-les-disciples-se-taisent-les-pierres-crieront/

Les robots sont donc plus « fiables » selon les maîtres du monde, et de plus bien plus « performants » plus que les humains. Le robot dédié au référencement de Google, Googlebot donc, n’a aucun état d’âme ou sentiment à la « lecture » de la « prose », de la « littérature », de la « philosophie », exposées dans cette page.

Il n’a aucun sentiment d’avoir pour frère ou pour sœur un enfant de Dieu. C’est ce qui intéresse ces gros, ces lucifériens. Vos jours sont donc de toutes les façons comptés dans les entrailles de la Bête, il faut le comprendre.

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/07/22/precipice-gehenne-mascarade/

Elle ira vers sa fin, comme c’est écrit, mais vous n’êtes pas obligés d’y aller avec elle, de finir avec elle.

Je pense à vous, je vous aime, même si vous, vous pouvez savoir qui je suis, et que moi je ne vous connais pas… pour l’instant. Il y aura le moment, après la victoire (car DIEU gagnera, c’est certain), où nous auront toute l’éternité pour se connaître et se reconnaître. Pour l’instant, je vous connais de cœur et d’esprit, je sais que vous existez, vous les anges de Dieu nés humains pour expérimenter la condition humaine, comme Jésus Christ et les apôtres avant nous, et comme les prophètes avant eux, et comme des millions et des milliards d’autres humains, qui ont vécu une vie anonyme, souvent apparemment dans d’autres paradigmes.

Vous donc mes frères, mes sœurs, qui vous reconnaîtrez, car ce que je dis vous parlera forcément. Sinon, eh ben, c’est que pour l’instant on n’est pas connecté à la même « Source », à la même fréquence et longueur d’onde, pour le dire ainsi.

Il y a longtemps que je dis ceci: « Des anges sont nés humains pour apprendre aux humains à (re)devenir des anges« .

Mais qui dit que des anges sont nés humains, dit aussi que les démons, les anges de Satan, et Satan lui-même d’ailleurs, sont nés humains aussi, et mènent une existence humaine, pas pour le bien de l’humanité (voir Apocalypse 12: 7-12). Ceci explique beaucoup de choses, notamment tous les problèmes que j’expose.

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/06/22/demons-sous-forme-humaine/

Beaucoup d’humains au sommet du monde mais aussi dans la grande masse, sont des démons nés humains. Ils peuvent changer, faut pas croire, car si des anges sont devenus des démons, c’est qu’aussi des démons peuvent redevenir des anges.

Tout est possible avec DIEU, avec Jésus Christ. Ceux qui donc ne veulent pas mettre fin à leur état de déchéance et ascensionner de nouveau vers la Nature Divine, la Source d’où nous tous, anges ou démons, nous venons, et retournerons tôt ou tard, c’est leur choix.

Ils passeront par ce par quoi ils doivent passer, le recyclage dans le « lac de feu » (Apocalypse 20: 1-15; 21: 1-8), afin d’en ressortir nouveaux, comme de l’or épuré par le feu, pour redevenir donc des enfants de Dieu.

Pour beaucoup d’entre nous, nous sommes sortis de ce feu, et certains y sont encore, et nous y sommes encore mais à des degrés divers. C’est ce que signifie l’expérience dans la condition humaine dont j’ai parlée.

Beaucoup dans le New Age ou le bouddhisme enseignent que nous sommes sur terre pour expérimenter la vie terrestre, mais ne disent pas toute la vérité sur d’où nous venons vraiment, sur la question de la déconnexion d’avec Dieu, ce que j’appelle souvent dans mes écrit le problème de la Négation.

C’est ni plus ni moins ce qui est décrit dans les trois premiers chapitres de la Genèse, et les trois derniers chapitres de l’Apocalypse décrivent le retour au paradis perdu. J’explique cela à page d’accueil du site. Car la question fondamentale, elle est là! L’occulter est fort mauvais signe.

Si donc nous ne sommes plus dans la condition divine c’est qu’il y a eu un problème. Si nous vivons dans un monde à problèmes, c’est qu’il y a eu… un gros Problème!

Si des Christ ou des anges par amour inconditionnel viennent souffrir pour aider les humains à (re)devenir des anges, des enfants de Dieu donc (comme lui notre modèle fut appelé Fils de Dieu), c’est encore qu’il y a eu un gros Souci! Nous ne sommes pas là juste en touristes pour expérimenter la vie humaine, au sens léger que les gens du New Age ou des idéologies de type bouddhiste le disent.

Et ce n’est surtout pas en nous débrouillant par nous-mêmes, par notre force, notre méditations, notre nombrilisme centré sur nos chakras, etc., que l’on va redevenir divins. C’est l’une des caractéristiques par lesquelles on reconnaît une idéologie luciférienne, centrée sur l’ego et sur soi.

On ne peut pas se reconnecter à DIEU sans l’aide de DIEU, de son programme qui n’est pas caché, qui est révélé dans la Bible, sans l’aide de Jésus et des anges.

Bible, qui est l’oeuvre de Dieu, qu’il est grand temps de distinguer des religions basées sur la Bible. Et dans le cas du judaïsme, il est impératif maintenant de distinguer le Tanakh (Ancien Testament), qui malgré quelques imperfections ici ou là très mineures (l’essentiel n’est pas affecté), dues aux humains imparfaits, est l’oeuvre de DIEU, avec le Talmud, qui est carrément l’oeuvre du Diable!

Et il faut faire attention à ces drôles de « guides », de « maîtres ascensionnés », du genre « Sanat Kumara » et bien d’autres, qui parlent de tout sauf de la Bible, ou qui ne s’inscrivent pas vraiment dans la continuité de la Bible, comme la Science de l’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, s’inscrit dans cette continuité.

Tout ce qui repose sur la Bible (Ancien et Nouveau Testament) n’est pas forcément vrai, mais tout ce qui ne repose pas sur elle est faux, c’est sûr et certain! C’est un important signe déjà pour distinguer le vrai du faux.

Si donc ce que je vous dis ne vous parle pas, c’est que pour l’instant nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde, nous ne vibrons pas à des fréquences suffisamment proches pour se capter. Cela arrivera dans d’autres vies, surement.

C’est une des lois de l’Univers TOTAL.

Mais vous les enfants de Dieu qui vous reconnaîtrez, qui ressentirez la vibration que j’émets, vous donc les anges de Dieu dans la condition humaine comme moi et qui souvent êtes mal dans votre peau dans un monde qui n’est pas le vôtre, et donc travaillez pour le vrai monde, je vous aime, vraiment.

Hubertelie.com

Source :

https://hubertelie.com/u_phi_scien-fr-110-000-u-nouveau-paradigme-science.html

Plus d’infos sur le sujet de la censure :

https://alternationtotale.wordpress.com/censure-esprit-de-negation-contre-la-verite/

Censure versus référencement naturel.

GAFAM-DIABLE, esprit du Mensonge contre l’Esprit de la Vérité.

Sur le même sujet : https://alternationtotale.wordpress.com/2020/06/22/les-tres-graves-questions-fondamentales-qui-se-posent-de-nos-jours-combat-final/

[…] Dans un monde de référencement naturel, si par exemple je parle du jardin, ce n’est pas une très grande originalité (comme par exemple dans mon cas parler de Dieu ou de science, sujets dont parlent toute une foule de personnes sur internet), et, sauf si justement j’aborde la question du jardin (ou dans mon cas de Dieu ou du Jardin d’Eden sous un angle vraiment original, je dois m’attendre à être noyé dans la grande masse de tous ceux qui parlent du jardin, de leurs jardins, de leurs plantes, etc..

https://hubertelie.com/u_phi_scien-fr-110-000-u-nouveau-paradigme-science.html

Si donc je dis grosso modo la même chose que les autres (et ça, c’est aux algorithmes et aux robots de cravacher pour le vérifier), je serais moins visible, et c’est normal, puisque je n’ai aucune originalité, aucune spécificité. Nous serions donc beaucoup à dire la même chose, donc à partager la visibilité sur le même créneau. Le problème de la répétition de la même information, comme tout problème, s’élimine de lui-même de cette façon.

Et dans ce cas, ce n’est pas parce que tel « professeur », « spécialiste« , « expert », etc., ou telle ou telle « star » des médias, tel « vénérable » membre de tel ou tel aréopage, de tel ou tel sérail ou obédience, tel ou tel sanhédrin ou membre de telle ou telle synagogue, loge maçonnique, temple ou église, etc., etc., etc., se positionne sur le même créneau, qu’il doit dans les algorithmes ou les résultats de recherche avoir la priorité sur tous les autres qui parlent du sujet.

Toutes les voix, de la plus petite à la plus grande, doivent compter exactement de la même manière! Car toutes les voix ont la même importance au yeux de DIEU, le vrai, car la sagesse n’est pas forcément où l’on pense, et ne vient pas obligatoirement d’où on l’attend.

La sagesse peut venir de la bouche d’un enfant, comme avec Naaman le syrien au temps du prophète Elisée (2Rois 5: 1-27) :

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/08/05/2-rois-5-elisee-petite-fille-naaman-prophete-samarie/

Ou comme Jésus lui-même à l’âge de 12 ans l’a montré au temple de Jérusalem (Luc 2: 41-52) :

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/08/07/luc-2-jesus-douze-ans-temple-interrogeant-les-docteurs/

Et, avec Dieu, tout est possible, la sagesse peut même venir de la bouche d’une simple ânesse ou d’un simple âne (Nombres 22: 26-35) :

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/08/05/nombres-22-lanesse-vit-lange-de-yahve/

La sagesse peut même venir des pierres, comme Jésus l’a dit en son temps  (Luc 19: 40) :

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/08/05/luc-19-les-pierres-crieront/

A plus forte raison donc d’un « goy » sorti du fin fond de la brousse africaine : 

https://alternationtotale.wordpress.com/hubertelie-celui-qui-parle/

Voilà dont pourquoi toutes les voix doivent compter de la même manière. Si donc le « notable » veut se distinguer, eh bien qu’il dise simplement quelque chose de vraiment notable. Qu’il n’écrase se pas les autres par ses diplômes ou ses titres pompeux qui ne sont que du néant devant DIEU, par sa notoriété qui n’est que vanité et poursuite du vent, comme le dit l’Ecclésiaste, le Sage. Qu’il soit donc simplement original, créatif, qu’il ait une vraie spécificité, et alors le référencement naturel tel que je le décris, fera le reste.

S’il est seul sur un créneau, et si son originalité vient à se savoir, et plait à des gens, ils la chercheront, la rechercheront, et la trouveront. On ne doit pas forcer les gens par quelque manipulation que ce soit à devenir des moutons de Panurge qui courent vers une originalité, certes (et à plus forte raison si ce n’est pas le cas), mais qui est mauvaise. Les gens doivent donc être libres de leurs jugements, et je vous assure que le mauvais aura du mal à s’imposer.

Car les gens préféreront toujours ce qui est bien, juste, véridique. Les esprits du mal le savent justement, d’où toutes leurs ingéniosités à influencer les gens par la publicité mensongère, la manipulation mentale, la manipulation des masses, des opinions, et maintenant carrément le contrôle mental, le contrôle MK Ultra, pour ne pas dire la possession démoniaque.

Si donc je parle de DIEU mais avec des spécificités qui ne sont que les miennes (et j’espère que ma manière de parler de Dieu ici et à plus forte raison dans toutes les pages et documents PDF de ce site est vraiment originale et unique en son genre), si je parle des aspects du jardin dont les autres ne parlent pas, je serai visible sur ces spécificités.

Je dois l’être, visible, si le système est conçu en sorte à informer de l’existence des spécificités, et non pas sur le monopole sur les sujets dont tout le monde parle, ou même pire, qui sont imposés à tout le monde (problème de la pensée unique et de la novlangue qui lui est intimement liée).

Autrement dit, c’est la différence, la créativité et l’originalité qui doivent être mises en valeur et nécessiter de la publicité, et non pas la pensée unique. En effet, par nature, par définition, la création, l’innovation, la différence ou la spécificité est ignorée du plus grand nombre. Si elle était connue de tous, ce ne serait plus une création, une innovation, une différence ou une spécificité, cela va de soi.

Si donc je suis le seul ou le premier à parler d’un concept comme par exemple « Univers TOTAL« , à associer donc les mots « Univers » et « TOTAL » écrit majuscule, à associer bien d’autres mots et concepts, que personne n’associe, comme par exemple « Dieu », « Diable », « Jésus », « Bible », « Anges », « Démons » (et jusque là il n’y a pas d’originalité, car plein de gens parlent de ces sujets et depuis longtemps), « Science » (et là l’originalité commence, car il y a encore moins de 20 ans, peu de gens associaient Dieu et Science ou osaient le faire,

car tout était fait justement pour dissocier ces mots, pour faire croire que Dieu ou Diable n’ont rien à faire en sciences, et la preuve, il n’en est pas encore question dans les sciences officielles), « Univers », « TOTAL », « Etre », « Alpha« , « Oméga », « Ensemble », « Elément », « Ordinal », « Cardinal », « Information », « Nombre », « Générescence » (un néologisme), « Alternation » (un autre néologisme), « Négation », etc., etc., etc., cela sera ma spécificité et ma signature jusqu’à ce que tout le monde se mettent à associer ces mots et à exprimer les idées qui sont les miennes.

Et c’est justement le but: qu’elles soient CONNUES! (Science de l’Univers TOTAL)

Et si je veux de nouveau me spécifier, je dois inventer et créer du nouveau. Sinon, si mon but était juste que les concepts précités et beaucoup d’autres qu’il serait très long d’énumérer tous, soient connus, eh bien il aura été atteint quand les concepts seront devenus de notoriété publique. Ce sera pour moi alors mission accomplie, j’aurais fait avancer le débat, la connaissance ce qui est le but.

Le monde des GAFAM et la Bête immonde de nom de code 666

Un monde de référencement naturel est donc un monde de créativité, où toutes les idées naissent et son jugées par les autres. Je devrais donc être connu au nom du principe du référencement naturel que je viens de décrire, ou ne plus être considéré comme original et unique si les idées se généralisent, ce qui est très loin d’être encore le cas malgré les années que j’y travaille durement.

Je n’aurais pas besoin des Google pour être connu, si j’ai des spécificités à proposer aux autres, à moins que les Google servent justement à faire connaître les spécificités. Ce serait alors leurs spécificités à eux, ce qu’au départ étaient censés être les moteurs de recherche sur internet, je le rappelle.

Or justement ce n’est pas ainsi que fonctionne le référencement dans le monde des Google, bien au contraire! Le référencement est donc contrôlé par les « gros », et surtout Google, qui est devenu le « roi du monde » du référencement, celui qui décide qui doit être vu ou pas, et à quelles conditions. Le référencement est donc très vite devenu autre chose, un business, un marché.

Le référencement de celui qui achète les mots clefs (quelle aberration un monde où l’on achète des mots), le référencement donc du plus offrant en sonnantes et trébuchantes, argent qui est l’une des « valeurs » clefs de ce système luciférien. Et aussi le référencement en priorité de ceux qui fonctionnent avec ce système et le déréférencement de ceux qui dérangent le système. Si l’on aime la vérité, la voilà.

Les « normes » sont sans cesse modifiées pour tuer les petits qui n’ont pas les moyens et le budget de suivre la cadence. A peine on a péniblement et avec les petits moyens fait une mise à jour de sa plate-forme pour qu’elle soit conforme aux « normes » courantes, elles changent et ont doit encore tout remettre en chantier. Mais y a pas qu’ça à foutre!

Il faut, hélas, de nos jours avoir les moyens de suivre cette cadence infernale, sans parler du fait de la censure. Et justement ce système est fait en sorte qu’il y ait une sélection par les moyens financiers, et le fait est aussi que la vérité est plutôt du côté des « petits » que des gros. Donc en éliminant les « petits » sur la base du budget ou des moyens financiers, ces diables font d’une pierre deux coups, ils éliminent bien souvent la vérité aussi!

Exactement comme pour les petits paysans, les artisans, les petits commerçants, etc.. En règle générale, la qualité et le naturel est plutôt chez eux, et la mer… bref le manque de qualité et l’artificiel est chez les gros. Donc en tuant les petits, ils font d’une pierre deux coups, ils tuent aussi la qualité et le naturel du même coup!

C’est la même logique donc, et en fait cette logique est générale, elle est transposable à beaucoup de domaines. D’une manière générale, le bien est plutôt du côté des petits (et j’expliquerai bientôt le sens du « plutôt », pour ne pas tomber non plus dans le piège du manichéisme, du dualisme ou de la vision du monde en « Blanc ou Noir », c’est-à-dire en terme de « Soit Blanc, soit Noir ») et le mal est plutôt du côté des gros. Donc quand les gros éliminent les petits, ils éliminent aussi le bien avec, c’est-à-dire ce qui statistiquement contient plus de bien que de mal. Ainsi le niveau global de bien diminue et le niveau de mal augmente. (…)

.

Suite ici. Les méchantes élites contre le gentil peuple, discernement et responsabilité personnelle : 

https://alternationtotale.wordpress.com/2020/08/06/mechantes-elites-gentil-peuple-discernement/

Extrait de la page Hubertelie.com :

https://hubertelie.com/u_phi_scien-fr-110-000-u-nouveau-paradigme-science.html

Site « Alternation », guide de lecture :

https://alternationtotale.wordpress.com/plan-du-site-alternation/

Il n’y a que dans un univers comme le nôtre que la question se pose de savoir si telle ou telle chose existe ou non !

L’Univers est l’OBJET de la science, elle est censée étudier l’Univers et tous ses aspects nous faire les faire comprendre. L’Univers est l’OBJET que la science doit commencer par définir très correctement.. Mais, très étrangement, c’est l’OBJET scientifique le plus mal défini par la science actuelle, et en particulier par la physique qui est en première ligne dès qu’on parle d’Univers!

Le LHC ("Large Hadron Collider" ou "Grand Collisionneur de Hadrons") du CERN.

Gigantesque expérience de physique pour répondre à de nombreuses questions qui se posent à la physique moderne. Parmi ces questions, il y a en une qui préoccupe les physiciens depuis des décennies:

… le "Boson de Higgs" existe-t-il?

Voilà justement le genre de questions que l’on se pose quand la science ne repose pas sur son paradigme normal: l’Univers TOTAL.

Dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTE les choses, toute chose existe et le contraire de toute chose aussi! Toutes les situations existent, toutes les combinaisons existent, toute les configurations existent et tous les cas de figure existent, toutes les choses possibles et imaginables existent, de même que toutes les choses apparemment impossibles ou inimaginables.

Il n’y a que dans un univers particulier (comme le nôtre par exemple) que la question se pose de savoir si telle ou telle chose existe ou non. Mais dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses, ce genre de questions ne se posent plus, en raison de sa définition même! C’est là tout le nœud de la question du Nouveau Paradigme pour la Science.

Maintenant donc, l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses, est le Paradigme de toute la Science, la Base pour étudier et comprendre TOUT. Et à l’inverse, tout ce qui est étudier permet de comprendre une seule chose: l’Univers TOTAL. L’Univers TOTAL est la Clef, que ce soit pour:

· traiter de la Théorie univserselle des ensembles (le nom technique de la Science de l’Univers TOTAL),

· traiter de la nouvelle méthodologie scientifique (Théorématique),

· traiter de la nouvelle notion ontologique d’ensemble (le Langage de l’Etre),

· traiter l’importante question d’EXISTENCE et de NEGATION (pour montrer le paradoxe de la négation d’existence),

· traiter de la nouvelle notion d’Egalité (l’Identité et l’Equivalence),

· traiter de la nouvelle notion de nombre (nombres cycliques),

· traiter de la nouvelle logique scientifique (La Logique Alternative),

· introduire la nouvelle Informatique (la Machine qu’est l’Univers TOTAL),

· traiter de la très nouvelle notion de Générescence (fondamentale pour comprendre la nature, le fonctionnement et le sens de l’Univers),

· poser le nouveau modèle de l’Univers (Univers FRACTAL ou Univers GENERESCENT),

· traiter de la nouvelle cosmologie (la cosmologie fractale),

· poser les bases de la nouvelle physique et science de la matière (la Théorie physique des ensembles),

· introduire la Physique Quantique de l’Univers TOTAL (la base d’une vraie Physique du TOUT),

· introduire la nouvelle science cognitive et la nouvelle psychologie (Univers TOTAL et Cerveau),

· analyser les problèmes politiques et sociaux (Univers TOTAL et Société),

· traiter de la question de Dieu (Univers TOTAL et Dieu) ou pour élucider le grand mystère de la Négation (qui est enfin toute la lumière sur la question du Diable),

· etc., etc., etc.

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Le vrai principe de non-contradiction est la Loi de Séparation et d’Union des contraires.

La Logique Alternative et la Loi d’Alternation

La Logique Alternative, la version binaire en tout cas, est comme par exemple le courant alternatif. Elle est une logique oscillatoire, ondulatoire, périodique, cyclique, dynamique! C’est donc une logique où la vérité alterne comme en courant alternatif. La Logique Alternative est la Logique qu’il faut pour faire la physique ou la technologie, c’est la logique de l’Univers, de la Réalité!

Un seul mot clef pour cette logique: Alter! Un seul verbe: ALTERNER! Une seule opération: Alternation. Dans cette logique, les rôles alternent, permutent. Ce qui est vrai pour une alternative donnée est vrai aussi pour toutes les alternatives, par alternation ou permutation des rôles, par symétrie des rôles dans le cas de la logique binaire. On raisonne en terme d’ Equivalence, les rôles sont toujours équivalents, les alternatives sont équivalentes. Ceci constitue la Loi d’Alternation, une des formes les plus puissantes du Théorème de l’Existence.

A propos justement de Théorème de l’Existence, l’Alternation, qui n’est donc qu’une autre expression de ce théorème, dit ceci: il n’y a pas plus de raison qu’une chose A existe dans l’Univers et pas une autre chose B. Il n’y a aucune raison qu’il y ait cette préférence, cette ségrégation, ce déséquilibre en faveur de A et au détriment de B.

De même, il n’y a pas plus de raison qu’une chose soit vraie dans l’Univers et pas son contraire! Et plus généralement, il n’y a pas plus de raison qu’une chose soit vraie et pas les autres alternatives. Par exemple, il n’y a pas plus de raison que l’énoncé "0 ≠ 1" soit une vérité dans l’Univers, et que l’énonce contraire "0 = 1" ne traduise pas lui aussi une autre vérité de l’Univers!

La négation des existences, des vérités, des possibilités et des alternatives, signifie tout simplement qu’on ne raisonne pas dans l’Univers TOTAL, l’Univers FRACTAL. Dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses, "Toute chose existe et le contraire de toute chose aussi", "Toute chose est vraie et le contraire de toute chose aussi", "Toute chose est possible et le contraire de toute chose aussi". La Logique Alternative n’est donc qu’une traduction du Théorème de l’Existence, le Théorème de l’Univers TOTAL, le Théorème de Dieu

Le Principe de Non-Contradiction en Logique Alternative

Une plaque est un objet alternatif rien que du simple fait
de posséder deux faces contraires qui sont le Recto et le Verso,
qui en logique binaire peuvent s’interpréter comme Vrai et Faux.
Elle est encore plus alternative si les deux faces sont de couleurs contraires Blanche et Noire.
Et elle encore, encore plus alternative si elle tourne,
nous présentant alternativement la face Blanche et Noire.
Le dynamisme peut alors simplement se décrire ainsi:
"Si Blanche alors Noire, et si Noire alors Blanche". ou : Blanche <=> Noire
Et à la question concernant la plaque en situation dynamique: "Quelle est la couleur de la plaque?"
on doit répondre Grise ou Blanche ET Noire, ce qui évidemment peut s’interpréter comme Vrai ET Faux.
Cette situation n’est en rien contradictoire, mais la contradiction est au contraire du côté de la logique
qui dans ses principes ou axiomes déclare impossible ce genre de situation.
Cette logique est très peu adéquats pour traiter de l’Univers et de ses réalités.

Comme dit au début, contrairement à ce que beaucoup pensaient, refuser le Principe de non-contradiction ne signifie pas du tout l’effrondement de la logique, ou accepter la contradiction en science! Car ce principe a été faussement nommé "Principe de non-contradiction", alors qu’en réalité il est plutôt un Principe d’Impossibilité, surtout comme on l’a utilisé en science jusqu’ici. Le vrai principe de non-contradiction est la Loi de Séparation et d’Union des contraires.

Le vrai "Principe de non-contradiction" ne doit pas être un Principe d’Impossibilité du genre: "Il est impossible que…"
ou un Principe de Négation, de négation de l’existence de choses, du genre: "Ceci ne peut pas être…"
Il ne se formule pas termes de négation (A et Non-A), mais en terme de contraire (A et Contraire de A).
L’image ci-dessus montrant une situation sur une autoroute illustre parfaitement
le "Principe de non-contradiction" dans le paradigme de l’Univers TOTAL:
la Loi de Séparation des contraires, qui est aussi la Loi d’Union des contraires!
Les contraires sont en effet séparés SUR l’autoroute et en même temps ils sont unis PAR l’autoroute,
qui joue ici le rôle de l’Univers TOTAL, l’Ensemble dans lequel toute chose existe ainsi que le contraire de toute chose.
Le principe de non-contradiction doit simplement être un principe de bon fonctionnement.
Et dans le paradigme de l’Univers TOTAL, une contradiction ou un paradoxe est tout simplement un dysfonctionnement, comme par exemple un accident entre une voiture et une autre qui aurait pris l’autoroute à contre-sens.
Il ne s’agit donc pas d’une impossibilité absolue ou une fausseté que les contraires coexistent dans un certain même système, mais d’une situation que l’on ne veut pas ici ou là, en mettant les interdictions adéquates.
La collision entre les contraires que l’on ne veut pas sur autoroute
est par exemple au contraire recherchée dans un crash-test ou dans un accélérateur de particules…

https://hubertelie.com/u_set_scien-fr-230-000-logique-fractale-alternative.html

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Connecteur du Christ (Alter) : le Diable, mon Ennemi juré, est l’Autre façon d’être Moi.

Le paradigme de la Logique Alternative est donc le paradigme de l’Univers TOTAL, de la Générescence et de la Structure fractale, de l’Equivalence et du Cycle.

Le nom de cette logique vient du mot Alternation, mot qui lui-même vient du mot clef "Autre" ou "Alter" en latin, appelé le "Connecteur du Christ", d’après la célèbre phrase des évangiles: "Aimez-vous les uns les autres" ou "Aimez-vous les uns les alters" (Jean 13: 34), ou encore "Tu aimeras ton prochain comme toi-même", autrement dit: "Tu aimeras ton alter comme toi-même" (Matthieu 22: 39).

Ainsi, dit Dieu: "Le Diable, mon Ennemi juré, est l’Autre façon d’être Moi, ma face opposée, ma face mauvaise, le Non-Dieu, etc., mais c’est l’Autre façon d’être Dieu. Malgré le gouffre qui nous sépare, nous sommes équivalents. Moi je le sais mais lui ne le sait plus, il est devenu Fou, il incarne la Folie, les Ténèbres"

"Dire que je le hais totalement, ce n’est pas éprouver une haine absolue comme lui éprouve à mon égard, mais c’est dire que j’ai pour lui un amour plus petit que 1/Lhorizon 3 ou que 1/Lhorizon 1000. Et dire que je le détruirai pour toujours ICI, c’est dire que je lui accorderai une nouvelle vie ICI après un nombre d’années de Lhorizon 1000000, ou Lhorizon 10000000000000 ou plus…"

"Mais un jour il redeviendra Dieu, et c’est lui qui défendra la Divinité… Et moi je deviendrai lui, le Fou, celui qui nuit à la Divinité… Et il ne me haïra pas de manière absolue, mais il m’accordera à moi aussi la chance de redevenir Dieu, après Lhorizon qu’il veut… Et ainsi alternativement"

C’est cela la logique avec le mot Alter, la Logique Alternative. C’est une autre manière de NIER les choses, de dire "NON", qui est relative, qui est très différente de l’actuel manière de dire "NON", qui, elle, est absolue, car c’est celle du Diable….

Avec "Alter" ou le mot "Autre", on dit par exemple: "Ce qui n’existe pas d’une manière ici existe toujours d’une AUTRE manière ici, et ce qui n’existe pas ici d’une certaine manière existe toujours de cette manière dans un AUTRE contexte de l’Univers TOTAL, etc. Ce qui n’est pas vrai d’une manière ici maintenant est vrai d’une AUTRE manière ici maintenant. Et celà a existé ou existera de cette manière ici un AUTRE temps, et existe déjà de cette manière maintenant dans un AUTRE contexte de l’Univers TOTAL, etc.

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l’Univers TOTAL, c’est quoi ?

Cliquer pour accéder à toutes les Vidéos de l’Univers TOTAL le Nouveau Paradigme

La notion d’Ensemble et d’Elément est de la plus haute importance,c’est la notion la plus fondamentale, la notion universelle, c’est le langage même de la pensée,
donc le langage qui s’impose à la science, le langage de toute science digne de ce nom!

La notion d’Ensemble et d’Elément est la clef de la compréhension et de l’étude de l’Univers.
Le mot clef et le nom commun le plus général
qui s’impose pour le langage des ensembles est le mot chose (en anglais thing).

Au sens le plus universel et le plus naturel de la notion d’ensemble et d’élément, un ensemble est tout simplement une chose constituée d’autres choses appelées ses éléments. En ce sens universel, toute chose est donc un ensemble, puisque, à défaut d’avoir des constituants plus petits (et ce cas ne se présente que pour l’Alpha, l’Elément Suprême dont nous parlerons plus loin), il est constitué au moins de lui-même.

Et la Chose constituée par toutes les choses est donc l’Ensemble de toutes les choses. Et c’est cet Ensemble Suprême que nous appelons par définition l’Univers TOTAL, noté U.

L’Univers TOTAL est donc par définition l’Ensemble de toutes les choses, l’Ensemble Plein, que nous appelons aussi l’Oméga.

De par sa définition même, l’Univers TOTAL est UNIQUE, et ce point est capital. C’est lui en fait qui va jouer tous les rôles, à commencer par celui d’Elément, et nous allons comprendre comment, c’est d’une simplicité inouïe.

Comme il est lui-même une chose, il est donc un élément de l’Ensemble qu’il est, il est un élément de lui-même (U ∈ U), c’est l’auto-appartenance de l’Univers TOTAL.

L’Univers TOTAL n’est pas un élément ordinaire, un élément quelconque, puisqu’il est aussi l’Ensemble Plein, l’Oméga, l’UNIQUE. De ce fait, il est L’Elément, L’UNIQUE Elément, L’Elément de toutes les choses, et ce second point est aussi extrêmement important, oui à savoir l’Elément de toutes les choses!

Cela veut dire simplement que l’Univers TOTAL est l’UNIQUE Elément qui contitue toutes les choses, il est l’Elément Suprême, l’Elément fondamental.

Toute chose est constituée de cet unique Constituant élémentaire. En tant qu’Elément Suprême ou Constituant élémentaire, l’Univers TOTAL est appelé l’Alpha.
Il est donc la plus petite chose (puisqu’il constitue toutes les autres), il est le plus petit ensemble, et c’est la définition de l’Ensemble Vide, le ZERO!

L’Alpha constitue toutes les choses en ce sens qu’il crée toutes les choses par simple itération de lui-même,
en se répétant tout simplement: U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, UUUUUU, UUUUUUU, UUUUUUUU, …

La manière la plus simple en effet de créer une nouvelle chose avec une chose donnée est de la répéter. Avec un alphabet d’une seule lettre, A par exemple, qui est donc le premier mot de cet alphabet, la seule manière de créer tous les autres mots de l’alphabet est de répéter simplement la lettre.

La liste des mots de l’alphabet est donc: A, AA,AAA, AAAA, AAAAA, AAAAAA, AAAAAAA, …

Avec un seul chiffre (qui est donc forcément le 0, le premier des nombres entiers naturels), la seule manière de former tous les nombres est simplement de répéter le chiffre de base:
0, 00, 000, 0000, 0000, 00000, 000000, 0000000, 00000000, ….

C’est le système numérique le plus simple qu’on puisse imagniner, le système UNAIRE. C’est la définition la plus simple et le plus fondamentale des nombres entiers naturels:
0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, ….

C’est dans cette situation UNAIRE que se trouve l’Univers TOTAL, U du fait même de son Unicité!

Il est donc l’Elément de toutes les choses, le Constituant unique qui constitue toutes les choses par simple itération,
il est l’Unique Lettre de l’alphabet universel qui forme tous les mots de l’alphabet, et tous les mots de l’alphabet de l’Univers TOTAL sont donc toutes les choses:

U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, UUUUUU, UUUUUUU, UUUUUUUU, …

Du coup, cette lettre U a le sens du 0 puisque c’est aussi le système numérique le plus simple:
0, 00, 000, 0000, 0000, 00000, 000000, 0000000, 00000000, ….,
le définition donc des nombres: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, ….
Ce début de liste est donc le début de l’infinité de TOUTES les choses de l’Univers TOTAL.

Il est l’Ensemble de toutes les choses, donc toute cette liste, l’Oméga donc, et il est l’Elément de toutes les choses, donc donc l’unique constituant des éléments de la liste,
à savoir U, l’Alpha, le ZERO donc. Toute la Théorie universelle des ensembles est là!

C’est aussi simple que cela la Science de l’Univers, oui de l’Univers TOTAL. Le reste consiste à développer, à détailler, à expliquer, car tout reste à comprendre!

Les objets U, UU, UUU, UUUU, UUUUU, UUUUUU, UUUUUUU, UUUUUUUU, … sont appelés les générescences ou les informations unaires.

En effet, d’un point de vue informatique, les générescences sont les informations écrites avec une seule information de base , le 0 (d’où le qualificatif UNAIRE), au lieu de deux informations de base pour le système BINAIRE, le 0 et le 1.

Les générescences sont donc tout simplement aussi la définition de la notion de NOMBRE! Toute chose est donc une générescence, une information unaire, un NOMBRE, et là on entre en plein dans Informatique de l’Univers TOTAL.

Toute la Science consiste simplement à étudier et à comprendre les extraordinaires propriétés des générescences et des informations unaires.

Voir par exemple les documents comme:
Générescence et Structure FRACTALE;
L’Univers TOTAL : la Grande Information, la Grande Machine !;
Physique Quantique de l’Univers TOTAL, la Physique du TOUT;
La Division par Zéro fait entrer la Science et la Technologie dans une Nouvelle Dimension;
– Etc.

Mais le plus rapide est de suivre cette science dans l’exposé qui en est fait dans les vidéos ci-après…

L’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga (PDF).

Les derniers développements de la Théorie universelle des ensembles et de la Physique Quantique de l’Univers TOTAL.

Un exposé de Cosmo-Ingénierie ou Cosmo-Technologie, la technologie de création des univers. De très importantes explications sur la Loi du XERY et sur l’Unergie.

De la Théorie des Univers à la Théorie universelle des ensembles

Un livre au format PDF exposant la Théorie des Univers,
l’ancêtre de la Théorie universelle des ensembles et de la Science de l’Univers TOTAL.

A l’origine, c’était une théorie axiomatique des ensembles
qui avait pour but d’apporter de vraies solutions aux paradoxes de la théorie des ensembles, car les solutions axiomatiques actuelles (Wikipédia) à ces paradoxes sont en fait de pseudo-solutions, qui ne résolvent pas le problème de fond, qui est simplement le Problème de la Négation

Pour plus de détails, voir :
La Négation Absolue: la vraie cause de tous les Paradoxes,
Les Paradoxes de la théorie des ensembles,
Le Mystère de la Négation: la clef de la compréhension de la Psyché et du Monde).

Mais la Théorie des Univers révéla que derrière ces paradoxes de la théorie des ensembles se cachent en réalité les problèmes des paradigmes de l’ensembles des sciences actuelles et de ce monde tout entier.

Ceux-ci ne sont que des symptômes très révélateurs du Problème très général de la Négation. La Théorie des Univers évolua ensuite vers la Théorie universelle des ensembles ou Science de l’Univers TOTAL, qui est un changement complet de paradigme, à commencer par la méthodologie de la théorie des ensembles, qui n’est plus les actuelles axiomatiques mais la nouvelle Théorématique.

Avant 2003, la Théorie universelle des ensembles s’appelait la Théorie des Univers, une théorie des ensembles faite selon tout le formalisme des paradigmes scientifiques actuels (pour pour plus de détails, télécharger au format PDF le document La Théorie des Univers, l’ancêtre de la Théorie universelle des ensembles et de la Science de l’Univers TOTAL, un document qui sera utile, même si vous n’êtes pas un initié aux formalismes classiques des théorie des ensembles, ne serait-ce que pour comprendre l’histoire et les racines de la Science de l’Univers TOTAL). Mais depuis 2003, la Théorie des Univers est donc devenue la Théorie universelle des ensembles, la Science de l’Univers TOTAL telle que vous la trouvez dans ce site.

Partout dans ce site, les raisonnements s’articulent autour de la notion d’ensemble et d’élément, que ce soit pour:

· introduire le nouveau paradigme de la science (l’Univers TOTAL),

· traiter de la nouvelle méthodologie scientifique (Théorématique),

· traiter de la nouvelle notion ontologique d’ensemble (le Langage de l’Etre),

· traiter l’importante question d’EXISTENCE et de NEGATION (pour montrer le paradoxe de la négation d’existence),

· traiter de la nouvelle notion d’Egalité (l’Identité et l’Equivalence),

· traiter de la nouvelle notion de nombre (nombres cycliques),

· traiter de la nouvelle logique scientifique (La Logique Alternative),

· introduire la nouvelle Informatique (la Machine qu’est l’Univers TOTAL),

· traiter de la très nouvelle notion de Générescence ou Information Unaire (fondamentale pour comprendre la nature, le fonctionnement et le sens de l’Univers),

· poser le nouveau modèle de l’Univers (Univers FRACTAL ou Univers GENERESCENT),

· traiter de la nouvelle cosmologie (la cosmologie fractale),

· poser les bases de la nouvelle physique et science de la matière (la Théorie physique des ensembles),

· introduire la Physique Quantique de l’Univers TOTAL (la base d’une vraie Physique du TOUT),

· introduire la nouvelle science cognitive et la nouvelle psychologie (Univers TOTAL et Cerveau),

· analyser les problèmes politiques et sociaux (Univers TOTAL et Société),

· traiter de la question de Dieu (Univers TOTAL et Dieu) ou pour élucider le grand mystère de la Négation (qui est enfin toute la lumière sur la question du Diable),

· etc., etc., etc.

La Théorie universelle des ensembles ou Science de l’Univers TOTAL adressée au public universitaire

Dans la droite ligne du livre précédent, ceci est un livre au format PDF présentant la Théorie universelle des ensembles,
ou Science de l’Univers TOTAL au public universitaire.

On peut considérer ce livre comme une thèse pour l’Université. Voici deux documents annexes:
Générescence et Algèbre de l’Univers TOTAL;
Générescence, Suites, Opérateurs, Hyperopérateurs, Entiers Infinis

Présentation de la Science de l’Univers TOTAL (pour tout public)

Présentation en une quarantaine de pages de la Science de l’Univers TOTAL pour tout public

Document annexe:
Correspondance avec David Lopez sur le harcèlement en réseau,
les armes électroniques et électromagnétiques secrètes et le vampirisme énergétique
;
dans ce dernier document, la Science de l’Univers TOTAL est présentée d’une manière encore plus simple,
le strict minimum nécessaire pour comprendre la thématique de ce document: l’importante question du harcèlement en réseau et du vamprisme énergétique.

L’actuelle mauvaise conception d’Univers NON-TOTAL (et la nouvelle conception : l’Univers TOTAL)

https://hubertelie.com/u_phi_scien-fr-130-000-paradoxe-negation-theoreme-existence.html#neg_abs

Problème de la Négation, Paradoxe de la NON-Existence, Théorème de l’Existence

Le Théorème de l’Existence: le Théorème de l’Univers TOTAL, le Théorème de DIEU!

Sommaire de cette page :

L’actuelle mauvaise conception d’Univers NON-TOTAL et la nouvelle conception, l’Univers TOTAL

Sommaire du sous-titre

L’idée que « Certaines choses n’existent pas » dans l’Univers, admise depuis toujours comme une évidence, est pourtant FAUSSE!

Cette vidéo développe le thème suivant: L’Oméga: l’Ensemble, la Réalité TOTALE.

 

La Science de l’Univers TOTAL est techniquement une théorie des ensembles
nommée la Théorie universelle des ensembles, la théorie des ensembles la plus générale qui soit.
Sa notion d’ensemble est la plus générale et la plus universelle qui soit,
celle qui s’applique partout et à toutes les choses, à tous les domaines,
parce que justement son mot clef de base est le mot le plus général et le plus universel qui soit,
à savoir le très important mot « CHOSE« , « THING » en anglais.
Une « chose » est « tout ce dont on parle« ,
le mot « chose » est tout simplement le « nom commun le plus général« .
Autrement dit, les mots « humain« , « arbre« , « étoile« , « atome« , « proton« , « neutron« , « électron« ,
« galaxie« , « pays« , « monde« , « idée« , « information« ,
« nombre« , « science« , « conscience« , « objet« , « chose« , etc.
sont des « noms communs« .
Un nom commun désigne collectivement toutes les « choses »
qui possèdent une propriété commune désignée par ce nom commun.
Le nom commun « humain » par exemple désigne toutes les « choses » qui ont la propriété d' »humain« ,
le nom commun « étoile » désigne toutes les « choses » qui ont la propriété d' »étoile« , etc.
Et maintenant, le simple question est de savoir que désigne le nom commun « chose« ?
Et là, la réponse est simplissime: il désigne toutes les « choses » qui ont la propriété… de « chose« !
Avec ce mot clef donc, on atteint le maximum, on indique la proriété la plus générale qui soit!
Le mot « chose » est donc le « nom commun le plus général »
le « nom commun » par défaut en l’absence de tout autre:
« une chose est une chose avant d’être toute autre chose« …
avant d’être par exemple un « humain« , « arbre« , « étoile« , l' »amour« , ou autres.
Ces autres noms communs précisent simplement le nom commun « chose« .

C’est donc dire toute l’importance de ce mot clef « CHOSE » pour bien démarrer la science
et comprendre enfin correctement l’Univers comme les sciences actuelles ne le faisaient pas jusqu’ici.
Ces sciences sont, hélas, très mal fondées, elles reposent sur de très mauvaises bases,
ce qui conduit dans les meilleurs des cas à de graves erreurs sur l’étude et la compréhension de l’Univers,
et dans les pires des cas tout simplement à des mensonges sur l’Univers!
En particulier, les théories des ensembles actuelles sont FAUSSES,
par exemple toutes les théories des ensembles que vous pouvez lire sur l’encyclopédie Wikipédia.
Non pas vraiment que ces fausses théories ou que la fausseté scientifique vienne de Wikipédia,
mais parce que Wikipédia ne fait que reprendre les théories et les sciences actuelles,
avec tout ce qu’elles ont de juste mais aussi, hélas, bien plus souvent de FAUX,
en particulier quand il s’agit de la compréhension de l’Univers et des choses.

Les actuelles théories des ensembles sont donc FAUSSES, elles soulèvent de faux problèmes
les vrais problèmes étant dus au fait que les sciences de ce monde reposent sur de mauvaises bases.
Elles ont une très mauvaise conception des « choses »
justement parce qu’elles ne démarrent pas avec le très important mot clef « CHOSE »
comme nous sommes en train de le voir ici.
Ce mot clef est très étroitement lié à la notion d’Univers TOTAL,
qui est la bonne conception de l’Univers, comme on va le comprendre.
Mais l’Univers (surtout quand on l’écrit avec « U majuscule« )
tel que la science le conçoit actuellement est NON TOTAL,
ce qui veut dire que l’on conçoit que certaines choses n’existent pas dans l’Univers.
Oui, si l’on parle seulement de NOTRE univers ou d’un univers particulier,
qui n’est qu’un parmi une infinité d’univers dans l’Univers TOTAL.
Mais l’idée que certaines choses n’existent pas dans l’Univers est très FAUSSE
si justement l’on parle de l’Univers TOTAL que le mot clef « CHOSE » permet de découvrir.
Cette idée est pourtant très admise, elle est un axiome implicite dans toutes les sciences actuelles,
d’où leurs méthodologies pour faire la part entre ce qui existe dans l’Univers et ce qui n’existerait pas.

Quand par exemple les physiciens se demandaient si la chose nommée le boson de Higgs existe ou pas,
cela repose sur l’idée implicite selon laquelle cette chose pouvait ne pas exister dans l’Univers.
D’où la très grande importance de préciser maintenant
si l’on parlait seulement de NOTRE univers
(auquel cas la question a un sens, comme le fait de se demander si le kangourou existe ou non en France
ou si la Tour Eiffel existe ou non à Pagouda au Togo,
ou encore si oui ou non les éléphants roses existent dans NOTRE galaxie, etc.).
Oui, cela a toujours un sens de se demander si une chose donnée existe ou non dans un certain contexte donné.
Mais cela n’a pas de sens (c’est une très grave FAUTE scientifique!)
de se demander si la chose existe ou non dans l’Univers TOTAL,
car là elle existe toujours, et c’est ce qu’il faut comprendre à partir de maintenant!

Les physicienss sont sur le point de découvrir que le boson de Higgs existe
mais sont encore très loin de comprendre qu’il ne faut plus se poser ce genre de questions d’existence!
Sauf évidemment si la question est de savoir si la chose existe ou non dans NOTRE univers,
ce qui est une toute autre affaire que de se demander si elle existe ou non dans absolu,
c’est-à-dire tout simplement si elle existe ou non dans l’Univers TOTAL!
Là, cette question est absurde et la Négation d’existence est FAUSSE, Paradoxale,
car justement l’Univers TOTAL est l’ensemble dans lequel toute chose existe!
Ce théorème élémentaire de l’Univers TOTAL
(que j’appelle le Théorème de l’Existence ou la Loi de l’Univers TOTAL)
est ce que nous allons comprendre en profondeur dans ce document avec le mot clef « CHOSE« .
Les sciences actuelles, avec leur idée selon laquelle certaines choses n’existent pas dans l’Univers
reposent sur la Négation de cette vérité fondamentale de l’Univers TOTAL.
C’est tout le Problème de la Négation entamé ici et developpé dans d’autres documents comme:
La Négation Absolue: la vraie cause de tous les Paradoxes;
Le Mystère de la Négation: la clef de la compréhension de la Psyché et du Monde.

Avec la Théorie universelle des ensembles et le mot clef « CHOSE« , la science démarre enfin de la bonne façon.
La célèbre variable X est désormais un mot d’une lettre qui veut dire: « CHOSE« .
Dire « un x« , c’est donc dire « une chose« , et dire « les x« , c’est donc dire « les choses« , etc.

A partir de ce mot clef « CHOSE » ou « X« ,
toutes les notions de la nouvelle théorie des ensembles sont définies très simplement.
Par exemple, on n’a jamais su définir correctement la notion d’ensemble!
Dans les théories traditionnelles des ensembles on la pose simplement comme notion première
alors qu’en fait c’est la notion de « CHOSE » qui est la vraie notion première.
La très importante notion d’ensemble vient alors comme une notion seconde
qui coule de source avec le mot clef « CHOSE« .
En effet, un « ensemble » est par définition
« une chose contituée d’une ou plusieurs choses appelées ses éléments« .
Très simple, non? Très évident, non? Très naturel, non? Très universel, non?
C’est cela les bases de Théorie universelle des ensembles.
Pouquoi toujours faire très compliqué là où les choses sont si SIMPLES?

A défaut de connaître les éléments plus petits qui font un ensemble donné
(les choses plus petites qui sont les constituants élémentaires d’une chose donnée donc),
une chose est constituée d’elle-même, elle est sont élément trivial
au sens de cette notion universelle d’ensemble.
Cette notion s’applique à tous les ensembles:
mathématiques, physiques, chimiques, biologiques, informatiques, etc.
Par exemple, l’ensemble N des entiers naturels
est l’ensemble constitué par les choses appelées « entiers naturels: 0, 1, 2, 3, 4, …« .
Et même, pour être plus précis, comme l’expliquent de nombreux documents comme par exemple
La Division par Zéro fait entrer la Science et la Technologie dans une Nouvelle Dimension,
les entiers naturels sont tout simplement les assemblages:
0, 00, 000, 0000, 00000, 000000, 0000000, 00000000, … notés 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …
Ce type d’assemblages faits d’un seul constituant élémentaire, ici 0,
est ce que j’appelle les générescences ou les informations unaires,
qui sont d’une importance capitale dans la compréhension de l’Univers!

 

Pour tout dire, TOUTE chose et absolument TOUT dans l’Univers est formée ainsi,
par simple répétition d’UN SEUL élément de base, noté ici 0, mais que je note aussi U.
En effet, U est le plus petit élément (et alors il est plutôt appelé 0 ou Alpha)
et il est aussi le plus grand ensemble (et alors il est appelé U ou Oméga).
TOUT, de l’échelle de l’Infiniment petit (échelle Alpha ou échelle 0 ou échelle numérique)
à l’Infiniment grand (échelle Oméga ou échelle infini ou échelle cosmique)
est constitué d’un seul constituant élémentaire, 0 donc,
comme l’explique plus amplement par exemple le document Générescence et Structure FRACTALE,
mais aussi le document La Structure Fractale : la clef de la compréhension de l’Univers.

Les générescences ou informations unaires
sont les différents ensembles que l’on peut physiquement former avec un seul élément de base.
Et ces ensembles ainsi formés (les entiers naturels donc)
constituent à leur tour un plus grand ensemble qui est tout simplement le fameux ensemble des entiers naturels.
Tout est une affaire de constituer une chose donnée avec des choses plus élémentaires.
C’est ainsi aussi qu’un humain est un ensemble constitué d’une tête,
d’un thorax, de bras, de jambes, etc.
Et quelle que soit la chose dont on parle, TOUT est numérique à l’échelle la plus fondamentale de l’Univers.
TOUTE chose est fondamentalement de l’informations pure, faite d’une seule information de base.
Autrement dit, TOUT est fondamentalement un nombre entier naturel!
Informatiquement et numériquemement parlant, le Théorème de l’Existence revient à dire simplement
que TOUTE chose existe car tous les nombres entiers existent, toutes les informations existent.
Mais l’analyse du Théorème telle que nous la faisons ici repose seulement sur le mot CHOSE,
et lui seul suffit pour aboutir à cette très grande vérité de l’Univers, à savoir que toute chose existe!

Bref, c’est la notion d’ensemble dont il est question dans la Théorie universelle des ensembles
est la seule vraie notion d’ensemble, la bonne, l’unique, l’universelle:
« un ensemble est une chose contituée d’une ou plusieurs choses appelées ses éléments« .
Et l’Univers est justement « la chose constituée par TOUTES les choses« ,
donc « la chose dont TOUTES les choses sont les éléments« .
Autrement dit, il est l’Ensemble de toutes les choses.
La notion d’Univers ainsi définie est ce que nous appelons Univers TOTAL
par opposition à toutes les conceptions habituelle de l’Univers.
Il est aussi appelé l’Oméga.

Et la notion d' »EXISTENCE » est maintenant aussi
une notion scientifiquement bien définie et très simplement:
« EXISTER dans un ensemble donné
c’est tout simplement être un élément de cet ensemble« .
En ce sens scientifique donc, toute chose existe
dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses.
Ce n’est pas un principe arbitraire, c’est un très simple théorème
(le Théorème de l’Existence ou la Loi de la Réalité TOTALE)
qui découle de la définition de l’Univers TOTAL.
Cet ensemble est le domaine d’existence le plus large qui soit,
il est donc la Réalité TOTALE.

L’exact opposé de l’Univers TOTAL est le Néant TOTAL
ou l’Ensemble Vide, appelé l’Alpha.
C’est l’ensemble qui n’a aucun élément,
donc « la chose qui n’est constituée d’aucune chose« ,
et par conséquent « la chose qui est une non-chose« !
Oui, la chose très spéciale qui sert à dire « non-chose« !
Tout le Problème de la Négation et la grande importance de la relativiser se trouve-là.
Vu que que « toute chose est évidemment une chose« ,
la « non-chose » est simplement une chose très spéciale qui sert à dire « non-chose« .
C’est la question de l’Ensemble Vide qui est juste l’ensemble très spécial qui sert à dire « non-ensemble« .
C’est la question du Zéro qui est juste le nombre très spécial qui sert à dire « non-nombre« ,
à exprimer l’absence de nombre ou de quantité.
En informatique, c’est le caractère très spécial (appelé « espace« ) qui représente l’absence de caractère.
C’est cela la Négation, qui doit donc juste être relative et non pas absolue,
comme elle l’était jusqu’à maintenant dans tous les domaines et en science en particulier.
La Négation relative (appelée l’Alternation) parfaitement conforme à l’Univers TOTAL et à sa logique.
Elle sert juste à exprimer le contraire de l’Univers, qui est simplement un autre attribut du même Univers.
Elle sert à dire: « Quand l’un augmente, l’autre diminue, et vice-versa »
ou: « Quand l’un est Plein, l’autre est Vide, et vice-versa »,
et plus généralement: « Quand X n’existe pas d’un côté de l’Univers TOTAL,
il existe forcément de l’autre côté de l’Univers TOTAL, et vice-versa ».
Quand la Négation est ainsi (c’est-à-dire relative), elle s’appelle l’Alternation, et elle est bonne.
Sinon, elle est absolue, elle est mauvaise, car elle nie l’Univers TOTAL
(pour en savoir plus, voir La Théorie universelle des ensembles).

 

On conçoit donc depuis la nuit des temps que Certaines choses existent et que d’autres n’existent pas.
Autrement dit, Certaines choses n’existeraient pas dans l’Univers.
Mais cette idée, que nous appelons l’Axiome de Non-Existence, qui semble être une vérité évidente,
est pourtant FAUSSE, elle est un paradoxe, elle pèche en effet contre la notion même d’Univers.
On peut nier une existence dans un contexte donné de l’Univers,
comme par exemple la France, notre monde, notre système solaire, notre galaxie, etc.
La négation que l’on fait est alors seulement relative, c’est-à-dire limitée à ce contexte.
Mais on ne doit pas nier une existence à l’échelle de l’Univers TOUT entier!
La négation que l’on fait est absolue au lieu d’être seulement absolue,
et l’Univers que l’on conçoit ainsi n’est pas TOTAL.
Or justement, si on peut dire d’une chose qu’elle est TOTALE, qu’elle est le TOUT, absolument TOUT,
c’est bien l’Univers, le TOUT donc, le TOTAL, l’ABSOLU!
C’est sa définition, la seule, la bonne, à savoir donc: l’Ensemble de toutes les choses!
Une conception de l’Univers qui n’est celle-là est mauvaise, paradoxale!

On a toujours considéré comme très évident le fait de séparer les choses en deux catégories: d’une part celles qui existent et d’autre part celles qui n’existent pas. Les choses qui existent sont évidemment celles qui constituent l’Univers et font partie de lui, tandis que celles qui n’existent pas ne constituent pas l’Univers et ne font pas partie de lui.

L’idée que « Certaines choses n’existent pas dans l’Univers » est ce que nous appelons l’Axiome de la Non-Existence ou Axiome de la Négation absolue ou simplement Axiome de Négation. C’est le plus fondamental, le plus implicite et le plus caché de tous axiomes de la philosophie et de la science. Cette idée est tout simplement FAUSSE, c’est un Paradoxe, le Vrai Paradoxe! C’est même plus qu’un simple paradoxe, une simple erreur de logique ou de raisonnement, car il s’agit phénomène qui opère dans les profondeurs de nos psychés, qui fausse la logique, la science et la vérité: le Phénomène de la Négation (voir Le Mystère de la Négation: la clef de la compréhension de la Psyché et du Monde)!

Voici maintenant la simple vérité: ce qu’il faut appeler l’Univers est l’Ensemble de toutes les choses. Cette très simple conception de l’Univers est ce que nous appelons l’Univers TOTAL. Donc, « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses« . Evidemment! Cette vérité simple et limpide est ce que nous appelons le Théorème de l’Existence.

Selon le contexte E où nous sommes, nous pouvons percevoir l’existence de certaines chose et d’autres. Les choses qui n’existent pas sont alors simplement la face cachée de l’Univers TTAL, très exactement comme la face cachée de la Lune pour nous terriens. Juste cachées, mais elles existent dans l’absolu, c’est-à-dire dans l’Univers TOTAL! C’est pourquoi donc toute négation d’existence doit être relative et non pas absolue.

Des explications détaillées seront données sur le Théorème de l’Existence, le très théorème important théorème de la Science de l’Univers TOTAL, sur ses corollaires et diverses implications. Il sera analysé et approfondi sous différents angles. Et une de ses implications immédiates est évidente: il est une simple réponse à la question de l’existence de DIEU. Non seulement cela, le DIEU en question n’est autre que l’Univers TOTAL, ce très miraculeux Ensemble suprême. Il n’est pas du tout une simple collection hétéroclites des choses, mais il est une Structure (la Structure Générescente et Fractale), la Grande Machine, le Grand Orgnaisme, etc. Bref, c’est l’Univers-DIEU!

Axiome de Non-Existence: le Déni de l’Univers TOTAL, la racine de la négation de l’existence de Dieu!

Nous appelons donc Axiome de Non-Existence ou Axiome de Négation cette idée courante depuis la nuit des temps selon laquelle « Certaines choses n’existent pas dans l’Univers ». A vrai dire, on n’a jamais jugé nécessaire en science (ou même en philosophie) de formuler explicitement un tel axiome, car cela semble être l’évidence même, une vérité triviale!

On peut formuler l’Axiome de Non-Existence de nombreuses façons équivalentes, comme par exemple les idées courantes suivantes:
Axiome d’Impossibilité : « Certaines choses sont impossibles dans l’Univers ».
Axiome de la Non-Véracité : « Certaines choses ne sont pas vraies dans l’Univers ».
Axiome de la Non-Réalité : « Certaines choses ne sont pas des réalités dans l’Univers » .
– Etc.

Par exemple, il y a 2400 ans, le philosophe Aristote a explicitement formulé un principe d’une très grande importance dans la logique scientifique jusqu’à nos jours, le Principe de non-contradiction, qui dit: « Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose » (Aristote, Métaphysique, 1005 b 19-20).

On note que ce principe explicitement formulé repose lui-même sur un axiome, quant à lui implicite, selon lequel « Certaines choses sont impossibles dans l’Univers ». Si cet Axiome d’Impossibilité n’était pas implicitement admis comme une vérité triviale et incontestable, Aritoste n’aurait pas formulé une phrase du genre: « Il est impossible que… ».

Cet Axiome est tout simplement l’expression du Déni de l’Univers TOTAL, il équivaut à dire que l’Univers TOTAL n’existe pas ou est impossible. La raison est très simple: dès qu’on parle de l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses, il s’en suit immédiatement le Théorème de l’Existence qui dit que « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses« ! Ce théorème est simplement tout le contraire de l’Axiome de Non-Existence et tous ses corollaires comme par exemple l’Axiome d’Impossibilité. La négation de l’existence de Dieu , ou tout simplement l’incapacité depuis toujours pour la science de définir la notion de Dieu et de l’étudier, se cache dans cet Axiome de Non-Existence! Autrement dit, la science ne peut pas démontrer une chose qu’elle a déjà niée dans ses bases les plus profondes!

Existence relative, Existence subjective et Existence absolue

Depuis la nuit des temps, on concevait l’Univers comme étant l’Ensemble de toutes les choses qui EXISTENT, ce qui semble très normal et très naturel à première vue. Mais cela sous-entend que certaines choses n’existeraient pas, et c’est là où commence le problème! Le problème de la notion d’existence, et surtout le problème de la négation d’existence.

Le problème de la notion d’existence est principalement de deux natures: la relativité et la subjectivité, qu’il faut opposer à la notion d’existence absolue, qui elle ne pose aucun problème! Cette notion d’existence absolue est très étroitement associée à la notion d’Univers TOTAL et au Théorème de l’Existence, comme on va le voir. La relativité et la subjectivité de l’existence ne sont pas des problèmes en soi, si l’on prend toutes les précautions nécessaires quand on utilise la notion d’existence. Mais elles deviennent de graves problèmes avec la négation, car ce sont ces deux aspects de la notion d’existence qui offrent tout un boulevard à la négation d’existence. Explications…

—> Relativité de l’existence ou Existence relative:

La notion d’existence dépend du contexte spatio-temporel dans lequel l’observateur (celui qui parle d’existence) se trouve. Plus généralement, cela dépend de l’ensemble auquel appartiennent les choses dont on parle de l’existence, et donc l’ensemble dans lequel on peut les trouver.

 

La chose a existe dans le contexte A mais pas dans le contexte B,
(elle existe dans le contexte A – B, constitué de tous les éléments de A, sauf ceux qui sont aussi des éléments de B).
La chose b existe dans le contexte B mais pas dans le contexte A,
(elle existe dans le contexte B – A, constitué de tous les éléments de B, sauf ceux qui sont aussi des éléments de A).
La chose d existe à la fois dans le contexte A et B (dans D qui est l’Intersection de A et B).
Les trois choses a, b et d existent dans le contexte C (qui est la Réunion de A et B).
La chose e n’existe dans aucun des contextes précédents, mais existe dans le contexte E.
Et toutes les choses existent dans le contexte U, l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses,
qui est la Réunion de tous les contextes d’existence.
C’est le Théorème de l’Existence

Par exemple, la Tour Eiffel existe à Paris ou en France mais pas à Pagouda ou au Togo. Mais dans tous les cas, elle existe sur la Terre, un contexte spatial plus large que la France et le Togo. Elle n’existait pas sur Terre il y a quatre siècles, et peut-être n’existera plus dans quatre siècles… Mais dans tous les cas elle existe dans le contexte temporel de 1000 ans par exemple qui couvre ces deux périodes. La phrase « La Tour Eiffel existe » est donc vraie dans un contexte spatio-temporel et fausse dans un autre. Mais elle toujours vraie dans un contexte spatio-temporel plus large.

Plus le contexte spatio-temporel est large, plus la notion d’existence concernée est absolue. Et la notion absolue d’existence porte signifie que l’on voit la notion d’existence non plus à l’échelle d’un lieu limité donné et d’un temps limité donné, mais que l’on voit la notion à l’échelle de l’Espace tout entier, du Temps tout entier, qui sont des composants de l’Univers. Et plus généralement, la notion absolue d’existence porte sur tout Sous-Ensemble composant le grand Ensemble qu’est l’Univers, que ce soit l’Espace, le Temps, l’Engergie, la Matière, ou autre. Bref, la notion d’existence est absolue quand elle porte sur l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses!

Si donc l’on définit l’Univers comme étant seulement l’Ensemble de toutes les choses qui EXISTENT (définition qui semble apparemment naturelle), on s’expose au risque de la relativité de la notion d’existence. On est alors obligé de constater par exemple que selon un contexte spatio-temporel donné la Tour Eiffel fait partie de l’Univers et selon un autre elle ne fait pas partie de l’Univers… Autrement dit, l’Univers ainsi défini ne peut qu’être relatif donc NON-TOTAL. Cela conduit à dire que Certaines choses n’existent pas alors qu’elles existent bel et bien dans l’absolu, c’est-à-dire dans l’Univers TOTAL. Mais seulement elles n’existent pas dans l’Univers relatif dans lequel on se trouve.

Il faut donc élargir au maximum le contexte spatio-temporel pour ne pas tomber dans ce piège de l’Univers relatif. Cela signifie alors que l’Univers est simplement défini comme étant l’Ensemble de toutes les choses. On supprime ainsi le problème de la relativité de la notion d’existence. Car la notion d’existence doit toujours être absolue, ce qui signifie que la négation d’existence doit, quant à elle, toujours être relative, ce qui n’est pas le cas jusqu’ici, et c’est là le problème.

La relativité, c’est bien, mais il faut faire attention pour qu’elle ne devienne pas du relativisme, c’est-à-dire la négation de l’absolu, qui s’exprime souvent par cette formule: « Tout est relatif », pour dire donc « Rien n’est absolu »… Mais si « Rien n’est absolu », alors cette déclaration elle-même n’a rien d’absolu, alors que vaut-elle? Le relativisme est paradoxal, et ce n’est rien d’autre que le paradoxe qu’est la négation absolue. Mais la relativité, la vraie (et pas le relativisme), n’est pas incompatible avec l’absoluité, c’est-à-dire l’Univers TOTAL et toutes les vérités qui le concernent.

—> Subjectivité de l’existence ou Existence subjective:

Dans un certain même contexte spatio-temporel, la notion d’existence dépend de l’observateur lui-même (celui qui parle d’existence), de sa nature propre, de ses facultés de perception de l’existence des choses. De manière plus générale encore, la subjecivité de l’existence c’est le problème pour une chose A d’être informée de l’existence d’une chose B. C’est le point de vue informatique ou informationnel de la question. Dans un langage de la physique, c’est tout simplement le problème de l’interaction entre les choses, comme par exemple l’interaction électromagnétique, l’interaction gravitationnelle, etc. Nous percevons l’existence des choses parce que nous interagissons avec elles. Par conséquent, si nous n’interagissons pas avec une chose, nous sommes enclins à nier à tort son existence…

 

La perception de l’existence des choses est subjective.
Elle dépend du contexte, de la nature, de la propriété, des facultés des choses concernées.
Ce qui existe pour l’un n’existe pas forcément pour l’autre, et vice-versa.
Ici, le clou N perçoit l’existence de l’aimant M
ou d’une propriété magnétique venant de la cloison en carton C vers lequel il est attiré.
Mais le morceau de bois W quant à lui ignore royalement l’existence de M ou de cette propriété magnétique de C,
car il ne subit aucune attraction de la part de M ou de C.

Deux observateurs à Paris ou en France, l’un aveugle et sourd et l’autre ayant sa vision et son audition, ne vont pas percevoir de la même manière l’existence de la Tour Eiffel, bien qu’étant dans un même contexte spatio-temporel, celui de la Tour Eiffel.

Plus généralement encore, un aimant et un humain ne vont pas percevoir l’existence de la Tour Eiffel de la même manière. L’humain peut voir la Tour, la toucher, etc., mais l’aimant saura que la Tour existe par qu’il est attiré vers la Tour en raison du magnétisme. Et l’aimant et un morceau de bois (qui n’a aucune propriété magnétique) ne vont pas du tout percevoir l’existence de la Tour en fer de la même manière. Si on appelle « Dieu » la Tour Effeil, l’aimant sensible à l’existence de la Tour est comme un « croyant » tandis que le morceau de bois insensible à l’existence de la Tour est comme un « athée ».

Si donc l’on définit l’Univers comme étant l’Ensemble de toutes les choses qui EXISTENT, cet Univers ne peut qu’être subjectif. Le sentiment que Certaines choses n’existent pas signifie simplement qu’on est incapable de percevoir l’existence de ces choses. Elles n’existent pas dans l’Univers subjectif dans lequel on se trouve. Et une fois encore, comme pour la relativité de l’existence, l’élimination de la subjectivité de la notion d’existence passe par la notion d’Univers TOTAL, c’est-à-dire l’Univers défini simplement comme étant l’Ensemble de toutes les choses, sans aucune référence (implicite ou explicite, directe ou indirecte) à la notion d’existence.

Dans ce cas, on fonctionne avec une notion absolue d’existence, ce qui veut dire simplement que la notion d’existence ou d’être (du verbe ETRE) et la notion de chose deviennent la seule et même notion.

Théorème de l’Existence: le Théorème de l’Univers TOTAL, le Théorème de DIEU!

 

C’est en 1879 que le logicien Frege a introduit de puissants outils de logique:
le quantificateur existentiel (que Peano nota «  » en 1894), et qui se lit « Il EXISTE« ,
et le quantificateur universel (que Gentzen nota «  » en 1934),
et qui se lit: « TOUT » ou « POUR TOUT » ou « QUEL QUE SOIT« .
Ce sont de magnifiques outils, très bien nommés,
qui définissent de la meilleure des façons l’Existence et l’Univers!
Le quantificateur universel, qui signifie simplement TOUT,
à lui tout seul définit l’Univers, le TOUT, l’Univers TOTAL, U!

La formule ∀X (X ∈ U) se lit:
« Quel que soit X, X est un élément de U » ou « Quel que soit X, X appartient à U« ,
ou plus simplement «  TOUT X est un élément de U » ou « TOUT X appartient à U« .

Dans le Langage universel des ensembles,
la célèbre variable X est un mot à part entière qui se lit: Chose.
Cette formule dit donc simplement que « Toute chose est un élément de l’ensemble U« .
Cette formule est donc avant tout une simple définition de cet ensemble,
autrement dit une simple définition de l’Ensemble de toutes les choses,
oui une simple définition de ce que nous appelons l’Univers TOTAL, le Grand TOUT!

Au sens scientifique et même mathématique
(donc rigoureux, clair, net, précis, sans aucune spéculation philosophique),
la notion d’existence est tout simplement la notion d’appartenance à un ensemble.
Cette notion d’existence est celle du quantificateur existentiel.
EXISTER dans un ensemble c’est être un élément de cet ensemble.
Et être un élément d’un ensemble donné c’est EXISTER dans cet ensemble.
C’est la notion d’existence la plus générale qui soit, elle est universelle, ABSOLUE!

C’est cette notion scientifique d’existence qui sert à exprimer le Théorème de l’Existence.
Ce n’est pas une conjecture, une hypothèse, mais un théorème, car il est démontré d’office!
En effet, il est tout simplement l’expression de la définition de l’Univers TOTAL, du TOUT!
Il dit simplement: « Toute chose existe dans l’Ensemble de toutes les choses« ,
autrement dit: « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL« .
Donc « Dieu existe dans l’Univers TOTAL« .
Et le Dieu en question n’est autre que l’Univers TOTAL dont nous parlons.

C’est parce que la notion d’existence, telle qu’on l’utilise actuellement en philosophie ou dans le langage courant, est très relative et subjective, qu’on ne peut pas fonder sur elle une définition rigoureuse de l’Univers et énoncer une vérité absolue concernant l’existence des choses, une vérité que l’on peut qualifier de Théorème de l’Existence. Il faut pour cela une notion objective d’existence, une notion scientifique, mathématique d’existence!

Par exemple, en parlant de l’ensemble des nombres entiers naturels : N = {0, 1, 2, 3, 4, 5, …}, on peut dire que le nombre 84 existe dans l’ensemble N. Et on peut dire qu’il existe un nombre premier (les nombres entiers autres que 1, divisibles seulement par 1 et par eux-mêmes: 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, etc.) supérieur à 84, en l’occurrence 89, etc. On comprend alors tout simplement qu’exister dans l’ensemble N, c’est être un élément de cet ensemble.

Plus généralement, étant donné un ensemble quelconque E, par exister dans E, il faut entendre être un élément de E. Et de manière plus générale, exister c’est être un élément d’un certain ensemble donné. Et cette notion d’existence devient très importante et extrêmement puissante quand l’ensemble en question est en particulier l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses!

C’est la notion mathématique d’existence, la notion absolue, parfaite, celle du langage universel des ensembles! C’est elle qu’il faut pour parler d’existence des choses de manière scientifique, objective, et non plus subjective. C’est elle maintenant qu’il faut pour parler de l’existence, que ce soit de l »Univers TOTAL lui-même… ou de DIEU!

La définition simple de l’Univers TOTAL est donc l’Ensemble de toutes les choses. De cette conception et définition de l’Univers il découle immédiatement le Théorème de l’Existence, qui dit très simplement: « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL ». En effet, toute chose est un élément de cet Ensemble suprême.

Seule compte désormais pour nous la notion d’existence définie à partir de l’Univers TOTAL, la notion de la Science de l’Univers TOTAL. Toute autre notion d’existence, scientifique, philosophique, métaphysique, théologique, religieuse ou autre, qui n’est pas définie sur la base de l’Univers TOTAL n’a désormais aucune valeur pour nous… Plus généralement, seules comptent pour nous les notions définies dans le paradigme de l’Univers TOTAL (pour plus de détails, voir Le mot CHOSE: la clef de la Théorématique, de la Théorie universelle des ensembles, de la Science de l’Univers TOTAL, et aussi Comment la Théorématique se déploie à partir du mot CHOSE).

Dans le sens scientifique du verbe exister que nous venons de définir, toute chose existe donc dans l’Ensemble de toutes les choses (l’Univers TOTAL), y compris donc en particulier les nombres entiers naturels dont nous venons de parler. On sait donc déjà que l’Univers TOTAL, que nous appelons U, est un ensemble infini, au moins autant que l’ensemble N des nombres entiers! Car il contient au moins ceux-ci!

 

Dans le Langage universe des ensembles, Dieu par exemple est une chose comme une autre, peu importe ce que l’on entend par « Dieu » et indépendamment du problème de son existence, qui est justement le problème de la notion d’existence, problème lui-même causé par la négation! Voilà pourquoi il faut partir d’une notion beaucoup plus fondamentale et plus générale pour tout définir correctement, à savoir le mot CHOSE. Si le propos scientifique que nous tenons sur Dieu est un propos commun à toutes les choses, nous n’avons pas spécialement besoin de définir le mot « Dieu » avant de tenir ces propos.

Quand par exemple le Théorème de l’Existence dit que « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL« , il en découle en particulier que « Dieu existe dans l’Univers TOTAL« , sans qu’il soit nécessaire de définir le mot « Dieu ». C’est d’autant moins nécessaire que le « Dieu » en question n’est justement autre que l’Univers TOTAL lui-même! C’est là où réside toute la force et toute la puissance de la notion d’Univers TOTAL! Cette chose très particulière à elle seule suffit pour apporter des réponses scientifiques à beaucoup de questions fondamentales. C’était le chaînon manquant dans la science, la chose qui faisait défaut à la science actuelle!

 

Le Théorème de l’Existence, c’est donc aussi le Théorème de Dieu, en ce sens qu’il implique immédiatement l’existence de Dieu! Autrement dit, la question d’Univers TOTAL et la question de Dieu étaient la seule et même question scientifique! La simple solution du premier problème est aussi la solution du second!

La cause de tous les problèmes en science ou ailleurs c’est la négation absolue, synonyme de Déni de l’Univers TOTAL, mais aussi de Déni de Dieu. Ce déni était très sournoisement et très vicieusement caché dans les paradigmes des philosophies et des sciences actuelles. Ce document fait donc la lumière scientifique sur le problème de la négation d’existence, il démontre tout le paradoxe que cette négation est, quand elle est absolue, comme elle l’a été jusqu’ici (voir L’Axiome de Non-Existence: le plus fondamental et le plus vicieux de tous les paradoxes).

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Contexte d’existence, existence absolue et Théorème de l’Existence

Sommaire du sous-titre

Contexte d’existence. L’Univers TOTAL, le Contexte absolu d’existence.
Sur-Contexte et Sous-Contexte.

 

Un ensemble physique appelé ici U (comme Univers) pour illustrer le principe pour tout l’Univers.
Cet ensemble peut être décrit comme étant constitué des trois choses A, B, C.
Ces choses sont alors appelées ses éléments, et on note : U = {A, B, C}.
Mais cet ensemble peut tout aussi bien être décrit comme étant constitué des dix choses : a, b, c, d, e, f, g, h, i, j.
Cet ensemble est alors noté : U = {a, b, c, d, e, f, g, h, i, j}.
Cette souplesse ou finesse est une des caractéritiques des ensembles physiques, les ensembles de la réalité
(par opposition aux ensembles abstraits des théories classiques des ensembles, déconnectés de l’Univers et de la réalité…).
Cette conception est tout simplement la manière naturelle dont chacun de nous conçoit et utilise quotidiennenent la notion d’ensemble.

Nous rappelons juste ici qu’on appelle un ensemble une chose constituée de plusieurs choses appelées ses éléments. Cette définition ne distingue donc pas fondamentalement les notions d’élément, de constituant et de partie, comme on le fait dans les conceptions actuelles des ensembles. Dans la nouvelle conception, emploie le mot élément juste pour parler de parties d’un ensemble considérées comme les plus petites ou comme les parties unitaires (pour plus de détails sur la notion d’ensemble, voir la Théorie universelle des ensembles).

 

Diagramme de Venn illustrant la relation d’Appartenance.
Ici, e est un élément de E, et on note: e ∈ E .
Les différentes manières en Verba d’exprimer l’appartenance de la chose e à l’ensemble E.
Parmi elles, il y a celle-ci : « e exer ihn E » ou « e existe dans E« .

Nous appelons un contexte d’existence tout simplement un ensemble quelconque, c’est-à-dire une chose constituée de plusieurs choses appelées ses éléments (pour plus de détails sur la notion d’ensemble, voir la Théorie universelle des ensembles).

Par exemple, un contexte d’existence, c’est une ville, un pays, une planète, une galaxie, un univers, etc. Mais c’est aussi un corps humain, un caillou, un atome, une particule, etc. Et c’est aussi par exemple l’ensemble des nombres entiers, une figure géométrique, etc. Bref, tout ensemble, toute chose constituée d’autres choses.

On appelle Univers TOTAL (ou simplement Univers) la chose constituée de toutes les choses, c’est-à-dire tout simplement l’ensemble de toutes les choses. C’est le plus grand contexte d’existence, et on le note U.

Si E est un ensemble (donc un contexte d’existence) et si e est un élément de E, alors on dit simplement que e existe dans le contexte E ou simplement que e existe dans E.

Cette notion d’existence n’est plus une notion philosophique subjective, mais une notion mathématique objective, une notion bien définie dans le langage des ensembles. On dit que l’existence dans le contexte E est relative à E ou simplement relative. Et si le contexte est U (l’Univers TOTAL), alors cette existence est dite absolue.

Et maintenant, pour un contexte E donné, on appelle un sur-contexte de E tout ensemble E’ dont E est une partie ou élément. Dans ce cas alors, on dit aussi que E est un sous-contexte de E’.

Par exemple l’Europe est un sur contexte de la France et la France est un sous-contexte de l’Europe. C’est tout simplement la notion d’ensemble, de sur-ensemble et de sous-ensemble, sauf qu’ici on voit un ensemble comme un contexte d’existence de ses éléments.

Abordons maintenant un aspect très puissant de la notion de contexte d’existence, une notion de la plus haute importante, car non seulement il constitue une solution du problème de la Négation, mais il pose aussi les bases de la solution de beaucoup de questions fondamentales, existentielles, comme les questions relatives au Néant, à l’Au-delà, à l’Au-delà. Il s’agit maintenant de donner une définition scientifique claire et nette de ces notions. C’est le paradigme de l’Univers TOTAL et sa structure fractale qui apporte aujourd’hui toutes les lumières.

L’Univers TOTAL a une structure générescente et fractale Le propre d’une structure fractale, c’est que toute partie E est toujours un sous-contexte d’un contexte ET qui est un grand-modèle de E.

Par exemple, le Triangle de Siperpinski ci-dessus, qui est une structure fractale, montre qu’un Triangle de Sierpinski se trouve toujours dans un Triangle plus grand. Et trois Triangles de plus petite échelle constitue un Triangle de l’échelle supérieure, et ainsi de suite. Par conséquent le Triangle appelé ici E forme de la même manière avec deux autres Triangles de même échelle un Triangle suprérieur. Et on a la même logique en allant vers l’Infiniment petit.

Anti-Contexte et Anti-Univers. Chose et Anti-Chose

 

On appelle un contexte un ensemble quelconque E,
donc un sous-ensemble de l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses.
On appelle l’anti-contexte de E le complémentaire de E dans U,
l’Ensemble N de toutes les choses qui n’existent pas dans E,
c’est-à-dire tout le restant de l’Univers TOTAL par rapport à E, noté U – E ou simplement -E.
Une chose n qui n’existe pas dans un contexte E de l’Univers TOTAL
existe toujours dans son anti-contexte U – E.
Dans tous les cas, la chose existe toujours dans l’Univers TOTAL (Théorème de l’Existence).

Pour un contexte d’existence E donné, on appelle non-contexte de E ou le néant de E tout le restant de l’Univers TOTAL par rapport à E, c’est-à-dire l’ensemble constitué de toutes les choses de l’Univers TOTAL sauf celles qui constituent E. Il est noté U – E ou Non-E.

Et en particulier, si E est un ensemble quantique ou ontologique, c’est-à-dire défini par un nom commun e permettant de dire de tout élément X de E que « X est un e » ou « E est l’ensemble de tous les e« , alors le non-contexte Non-E est l’ensemble quantique défini par le nom commun non-e. Autrement dit, Non-E est l’ensemble de tous les non-e de l’Univers TOTAL.

Par exemple, le nom commun « humain » défini l’ensemble ontologique qui l’ensemble de tous les humains, qu’on notera ici H par exemple. De tout élément X de H, on dit donc « X est un humain« . L’ensemble H est donc un contexte, et son non-contexte, U – H ou Non-H, est l’ensemble constitué par toutes les choses de l’Univers TOTAL qui ne sont pas des humains, donc qui sont des non-humains. C’est dons l’Univers TOTAL moins tous les humains ou l’Univers TOTAL amputé de sa partie constituée par les humains. Donc de tout élément X de U – H ou Non-H, on dit: « X est un non-humain« .

De la même façon, si l’on appelle P l’ensemble de tous les protons de l’Univers TOTAL, donc l’ensemble ensemble quantique ou ontologique défini par le nom commun « proton« , le non-contexte de P, à savoir U – P ou Non-P, est l’ensemble formé par toutes les choses de l’Univers TOTAL qui ne sont pas des protons, donc qui sont des non-protons. C’est donc l’Univers TOTAL sauf les protons.

Il est très important de souligner que la négation qui intervient dans cette définition de la notion de non-contexte ou de « non-e » (ou e est un nom commun) est à manier avec beaucoup de précaution (comme toutes les fois où il est question de négation ou du mot « NON« ). Elle ne doit pas être absolue mais seulement relative sous peine d’être coupable de paradoxe de type Paradoxe Sorite. En effet, l’Univers TOTAL a une structure fractale, il est le domaine même de l’Equivalence. Par conséquent, les choses ne sont pas tranchées comme cela se produit dans le paradigme de l’Identité ou de la négation absolue.

Une chose et la non-chose correspondante ne peuvent pas être identiques, certes, mais elles peuvent être équivalentes! Elles peuvent être deux façons contraires de dire la même chose, comme par exemple le Zéro et l’Infini, le Vide et le Plein, etc. Et plus simplement encore, 1 par exemple est non-nul, c’est-à-dire non-0. Et pourtant on l’équivalence 0 = 1 dans le paradigme de l’Univers TOTAL, qui est le paradigme du Cycle (voir Logique Alternative, Logique Cyclique, Logique FRACTALE et Nombres Cycliques, Algèbre Fractale, Algèbre Universelle).

Un cas particulier très important de la notion de non-contexte est quand l’ensemble E est l’Univers TOTAL, U. Celui-ci est l’Ensemble de toutes les choses, donc l’ensemble quantique (ou ontologique) défini par le nom commun « chose« . Le non-contexte de U est donc U – U ou Non-U ou Non-Univers, ce qui signifie l’ensemble de toutes les choses de l’Univers TOTAL sauf toutes les choses! Ou encore l’Univers TOTAL sauf l’Univers TOTAL, ou encore l’Univers TOTAL amputé de l’Univers TOTAL, ou encore l’Univers TOTAL vidé de toutes les choses, de tous ses éléments. C’est tout simplement la définition de l’Ensemble Vide, que nous notons Ø. C’est aussi la simple définition du Néant. Il se définit donc avec le nom commun non-chose.

C’est ici que l’on voit l’importance de ne pas raisonner avec une négation absolue mais seulement relative, sinon on est dans le paradoxe de la non-chose.

La notion de non-contexte et de non-e vue plus haut est une notion de Logique alternative binaire, ce qui signifie que l’Univers TOTAL est vu comme deux sous-ensembles opposés, le Plein et le Vide, l’Univers et le Non-Univers (ou Néant).

Mais l’Univers TOTAL a une structure fractale, ce qui implique que même le Vide ou le Néant n’est qu’une autre version de l’Univers TOTAL. Il ne s’agit donc pas d’un Vide ou d’un Néant au sens de la négation absolue, mais d’une négation seulement relative. Le Vide est tout simplement une version de l’Univers prise comme commencement, une version dont on ne considère pas des propres éléments. C’est en ce sens relatif que ceux-ci sont des non-choses, par opposition donc aux choses, quand on veut raisonner en Logique alternative binaire.

Mais quand on veut considérer les éléments de l’Univers choisi pour signifier le Vide, on passe alors en Logique alternative trinaire. On raisonne alors en termes d’Univers (+U), de Vide (Ø ou 0) et d’Anti-Univers (-U). Et l’Anti-Univers est précisément la version de l’Univers FRACTALE qui est pour le Vide ce que lui-même est pour l’Univers. Autrement dit, le Vide du Vide. Tous les éléments du Vide sont appelés les anti-choses.

Pour un ensemble E donné, anti-contexte de E (au sens de la logique trinaire) est la version de E qui joue dans le Vide ou Néant exactement le même rôle que celui joué par E dans +U (ou U). On la note -E.

D’une manière générale, si X est élément quelconque de U, la version de X qui se trouve dans Ø (qui est donc une non-chose) est appelée l’anti-chose de X.

Le Théorème de l’Existence et ses implications

Il est clair que de par sa définition même, « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL« . C’est ce qui est appelé le Théorème de l’Existence.

Le Théorème de l’Existence interdit simplement de séparer les notions de chose et d’existence quand on se place dans l’Univers TOTAL, le plus grand contexte d’existence. EXISTER de manière absolue, c’est tout simplement être une chose. On a le droit de séparer les deux notions seulement quand on se place dans un contexte d’existence restreint E qui n’est pas l’Univers TOTAL U. Alors seulement dans ce cas-là, être une chose ce n’est pas nécessairement exister dans ce contexte. Autrement dit, on peut tout à fait être une chose et ne pas exister dans le contexte E en question. Mais si le contexte est l’Univers TOTAL U, alors les deux notions chose et existence deviennent synonymes. Alors être une chose c’est exister dans U, et vice-versa. C’est tout simplement ce que veut dire le Théorème de l’Existence.

 

La chose a existe dans le contexte A mais pas dans le contexte B,
(elle existe dans le contexte A – B, constitué de tous les éléments de A, sauf ceux qui sont aussi des éléments de B).
La chose b existe dans le contexte B mais pas dans le contexte A,
(elle existe dans le contexte B – A, constitué de tous les éléments de B, sauf ceux qui sont aussi des éléments de A).
La chose d existe à la fois dans le contexte A et B (dans D qui est l’Intersection de A et B).
Les trois choses a, b et d existent dans le contexte C (qui est la Réunion de A et B).
La chose e n’existe dans aucun des contextes précédents, mais existe dans le contexte E.
Et toutes les choses existent dans le contexte U, l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses,
qui est la Réunion de tous les contextes d’existence (c’est le Théorème de l’Existence).

Avec le théorème de l’Auto-appartenance et de Structure fractale, le Théorème de l’Existence est l’une des lois les plus fondamentales de de l’Univers TOTAL. En disant que « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL », il exprime aussi une loi phénoménale de la physique, de la biologie, de la sociologie, etc. Il nous dit en toute simplicité d’abord que tout type d’univers existe dans l’Univers TOTAL, tout type de monde qu’on puisse imaginer existe, toutes les situations existent, toutes les congurations possibles et imaginables (ou plutôt inimaginables) existent! Tous les objets qu’on puisse concevoir existent, et tout ce qui nous est inconvevable aussi! Tout type de matière connue et inconnue existe, toutes les espèces d’êtres existent, etc.

On n’a pas à se demander par exemple si le boson de Higgs existe ou non dans l’Univers TOTAL, mais seulement à se demander s’il existe dans NOTRE univers! Si on le trouve dans NOTRE univers, tant mieux, sinon c’est qu’il est ailleurs, il nous faut changer de nature ou nous placer dans d’autres conditions pour le trouver. Et c’est justement la Science de l’Univers TOTAL qui nous ouvre de nouveaux horizons, qui nous offre de nouvelles possibilités, etc., qui nous permettra demain de « changer de nature », de nous placer dans de nouvelles conditions, bref de faire ce qui était impossible jusqu’ici avec les paradigmes actuels. C’est tout cela que veut dire le Théorème de l’Existence.

Négation absolue et Négation relative

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La Négation absolue ou Négation. Le paradoxe de la Non-Chose et le Paradoxe du Non-Univers
L’Univers FRACTAL: Toute la lumière sur la Négation et le Néant. Sub-Néant et Trans-Néant

La notion d’existence relative (celle dans un contexte quelconque E) et d’existence absolue (celle dans U) ont toute leur importance surtout quand on NIE l’existence d’une chose X en disant: « X n’existe pas« . Il importe alors de savoir de quel contexte est concerné par cette négation.

De même que nous parlons de contexte d’existence, de même nous parlons donc aussi de contexte de négation. Une négation d’existence qui ne précise pas son contexte de négation sous-entend automatiquement que ce contexte est l’Univers TOTAL. C’est alors une négation absolue, ce qui est très mauvais!

Il importe d’abord de souligner que la négation ou le fait de NIER est l’acte d’une psyché, d’une conscience. Nous ne parlons donc pas du connecteur de négation en soi (le mot NON, qui souvent exprime simplement la notion de contraire, ce qui est une toute autre affaire), ou du fait qu’une chose puisse ne pas exister dans un contexte donné. Mais nous parlons de l’acte d’une psyché qui use de ce connecteur pour nier des existences.

Nous entendons par négation absolue, ou simplement négation, le fait de dire qu’une chose « n’existe pas » (ou « non-existe« ) dans l’Univers, « n’est pas réelle » (c’est-à-dire ne fait pas partie de la réalité, de l’Univers), « n’est pas vraie » dans l’Univers, « n’est pas possible » dans l’Univers, etc.

Si en disant qu’une chose n’existe pas on sous-entend que le contexte de négation est un ensemble donné (comme par exemple la France, notre monde ou notre galaxie) ou un univers qui n’est pas l’Univers TOTAL, alors il ne s’agit pas d’une négation absolue. Du point de la négation absolue, quand on dit qu’une certaine chose n’existe pas, elle n’existe pas un point c’est tout! Une personne qui nie de cette façon ne relativise ou ne nuance en rien sa négation, elle ne laisse aucune alternative à sa négation, aucune possibilité que le contraire de ce qu’elle dit puisse être vrai aussi dans l’Univers! Une personne qui nie de manière absolue l’existence d’une chose, nie le fait que « Toute chose existe » (qui est le Théorème de l’Existence), donc nie simplement l’Univers TOTAL. Comme on le montrera un peu plus loin très techniquement, la négation absolue est paradoxale, elle est simplement psychopathologique (voir aussi plus haut la discussion sur le problème de la relativité et de la subjectivité de la notion d’existence)!

La négation relative ou Alternation. La Loi d’Alternation, un très puissant corollaire du Théorème de l’Existence!

Nous appelons négation relative ou alternation le fait de limiter la négation à un contexte E donné de l’Univers TOTAL. Autrement dit, les expressions comme « n’existe pas« , « n’est pas réel« , « n’est pas vrai« , « n’est pas possible« , etc., s’appliquent seulement à un certain contexte E donné de l’Univers TOTAL et non pas à cet Univers tout entier.

Quand on dit qu’une chose n’existe pas, on veut dire par exemple qu’elle n’existe pas à Paris, sur terre, dans notre galaxie ou dans NOTRE univers (un parmi une infinité d’autres!). On ne dit pas que cette chose n’existe pas dans l’Univers TOTAL.

 

La négation relative ou Alternation.
La chose e existe dans le contexte E.
La chose n n’existe pas dans E mais existe dans le contexte N qui est U – E,
contexte constitué de toutes les choses de U sauf celles de E,
autrement dit tout le restant de l’Univers par rapport à E.
Les contextes E et N ou tout autre contexte qui n’est pas U tout entier
sont des contextes d’existence relative; on peut nier une existence dans ces contextes.
Tandis que U est le contexte d’existence absolue; on n’a pas le droit d’y nier une existence,
sinon alors il s’agit d’une négation absolue, une négation paradoxale, pathologique.

Le mot alternation vient d’abord du mot latin alter, qui veut dire « autre« , ensuite de la notion d’alternative (c’est-à-dire « une des possibilités parmi plusieurs »), et enfin du mot alternatif (comme dans courant alternatif, du verbe alterner). Toutes ces notions se rejoignent dans une seule que nous appelons alternation. Celle-ci (qui donne naissance à la notion de logique alternative), est très étroitement associée au paradigme de l’Equivalence, du Cycle et de la générescence et structure fractale, alors que la négation (absolue) (qui donne naissance à celle de logique négative), est très étroitement associée au paradigme de l’Identité, le paradigme actuel, très faible et très pauvre pour faire la Science de l’Unvers!

L’alternation n’est qu’une autre manière d’exprimer ce que dit le Théorème de l’Existence, et plus exactement c’est un corollaire du théorème. En effet, la négation relative qu’est l’alternation consiste à dire qu’une chose qui n’existe pas dans un contexte donné de l’Univers TOTAL existe toujours dans un autre contexte de l’Univers TOTAL. Et la chose qui n’existe pas d’une certaine manière dans l’Univers TOTAL existe toujours d’une autre manière dans l’Univers TOTAL. La chose existe toujours sous une forme ou sous une autre. C’est ce que nous entendons par ALTERNER, qui signifie donc, « changer de contexte« , « changer de forme« , « tourner dans l’Univers« , « participer à la grande rotation des existences« , à la « grande permutation« . Il n’y a que dans un contexte donné dans l’Univers TOTAL ou sous une forme donnée, qu’une chose n’existe pas. Mais « Rien ne se perd à l’échelle de l’Univers TOTAL, aucune chose n’y manque », mais « Tout alterne ». C’est ce que nous appelons la Loi d’Alternation, une simple autre manière donc d’exprimer l’idée du Théorème de l’Existence, à savoir que « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL ».

L’alternation fait la place dans l’Univers TOTAL à toutes les alternatives! Pour une chose donnée de l’Univers TOTAL, son contraire existe aussi dans l’Univers TOTAL. Parce que le Jour existe, la Nuit existe aussi et vice-versa; parce que le Bien existe, le Mal existe aussi; parce que la Vérité existe, le Mensonge existe aussi, etc.

Plus généralement, pour une chose donnée, toutes les alternatives à cette chose existent, toutes les variantes ou variations de la chose existent. Si quelque part dans l’Univers TOTAL il existe des chats qui ont quatre pattes, à un autre endroit de l’Univers TOTAL on est sûr qu’il existe des chats qui ont cinq pattes, six pattes, sept pattes, etc. Ce sont les variations de l’espèce chat. Et si dans un monde dans l’Univers TOTAL il y a des humains dont la taille ne dépasse jamais 4 mètres, on sait que dans un certain autre monde de l’Univers TOTAL il y a aussi des humains de plus de 4, 6, 7 mètres, et même des géants de 100 mètres de haut! Si nous appartenons à l’espèce d’humain qui ne dépasse jamais 4 mètres de taille, on n’a pas besoin de rencontrer ces géants dans notre monde pour savoir qu’ils existent dans l’Univers TOTAL, tout comme ils n’ont pas besoin de nous rencontrer dans leur monde pour savoir qu’on existe et qu’on est des pygmées comparés à eux. Que ce soit eux ou nous, il suffit de savoir simplement que « Toute chose existe dans l’Univers TOTAL », c’est tout. Le Théorème de l’Existence est ce que tous les habitants de l’Univers TOTAL partagent, c’est la loi universelle.

L’Axiome de Non-Existence: le plus fondamental et le plus vicieux de tous les paradoxes

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Les quantificateurs Existentiel et Universel: ils mettent en lumière le Paradoxe de la Non-Existence

 

Rappelons que nous appelons Axiome de Non-Existence ou Axiome de Négation
l’idée courante selon laquelle « Certaines choses n’existent pas dans l’Univers ».
Cet axiome caché, qui a toujours gouverné la psyché humaine jusqu’ici, est pourtant FAUX.
C’est le Paradoxe le plus fondamental, le plus subtil et le plus vicieux qui soit!
Cette idée revient à dire techniquement, avec le quantificateur existentiel:
« IL EXISTE des choses qui n’existent pas » ou: « IL EXISTE au moins une chose qui n’existe pas« .
Tout paradoxe qu’on peut rencontrer dans tout domaine n’est qu’une forme de ce paradoxe fondamental.
Le contraire parfait de l’Axiome de Non-Existence est le Théorème de l’Existence
qui dit quant à lui: « Toute chose existe« .
Lui est un théorème tout simplement parce que,
que ce soit pour dire: « Certaines choses n’existent pas » (cet Axiome donc)
ou au contraire pour dire: « Toute chose existe » (le Théorème que nous découvrons),
on travaille obligatoirement dans l’Ensemble de toutes les choses,
parce que l’on emploie le mot CHOSE, le nom commun le plus général qui soit.
Et le théorème exprime tout simplement l’idée que toute chose existe dans cet Ensemble,
au sens mathématique et absolu de la notion d’existence, tout simplement.
C’est exactement comme on dirait que le nombre entier 7 existe dans l’ensemble des entiers naturels.
Dire que « Tout entier naturel existe dans l’ensemble des entiers naturels »
est une vérité triviale découlant immédiatement de la définition de cet ensemble.
En revanche dire: « IL EXISTE des entiers naturels qui n’existent pas dans l’ensemble dans entiers naturels »
est évidemment un paradoxe, d’autant plus grand qu’il contredit cette vérité triviale.
C’est exactement la situation ici entre l’Axiome de Non-Existence et le Théorème de l’Existence.
L’un est le Paradoxe le plus fondamental qui soit, qui contredit la Vérité la plus fondamentale qui soit,
celle qui porte sur l’Ensemble de toutes les choses,
celle qui dit simplement que « Toute chose existe dans l’Ensemble de toutes les choses« !

L’idée apparemment très normale de séparer l’ensemble de toutes les choses (U) en deux catégories: d’une part les choses qui existent (E) et d’autre part les choses qui n’existent pas (N) est paradoxale. Autrement dit, l’idée très classique selon laquelle certaines choses puissent ne pas exister (dans l’absolu, entendons-nous bien) est un paradoxe. Montrons-le maintenant plus techniquement.

Deux outils de logique de grande importance sont:
– le quantificateur existentiel, l’expression: « IL EXISTE« , actuellement noté « « .
– le quantificateur universel, le mot: « TOUT« , actuellement noté « « .

Puisque nous travaillons dans l’ensemble de toutes les choses, qu’on sépare en deux, les choses qui existent et les choses qui n’existent pas, le mot clef fondamental qui sera utilisé avec les quantificateurs est le mot CHOSE Pour plus de détails sur ce mot clef CHOSE dans la Science de l’Univers TOTAL, voir:
La notion de CHOSE: la variable universelle, le terme le plus général de la Théorie universelle des ensembles;
Le mot CHOSE: la clef de la Théorématique, de la Science de l’Univers TOTAL.
Et pour aller encore plus loin, télécharger le très éclairant livre PDF: La Théorie des Univers: l’ancêtre de la Théorie Universelle des Ensembles. Tous les problèmes des sciences actuelles fondées sur la Négation sont analysés ainsi que la nécessité de bâtir toute la science sur le mot clef CHOSE, ce qui revient simplement à travailler maintenant dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses.

Plus simplement, avec les quantificateurs, la variable X est à lire « chose« . Ainsi, « ∃X » est à lire : « IL EXISTE au moins une chose » ou simplement « IL EXISTE une chose« . Du simple fait d’utiliser le quantificateur existentiel avec le mot clef chose, la notion d’existence de ce quantificateur existentiel est absolue. En effet, « IL EXISTE une chose » signifie: « IL EXISTE un élément de l’ensemble de toutes les choses » ou simplement: « IL EXISTE un élément de l’Univers TOTAL« .

De même pour quantificateur universel, « ∀X » est à lire : « TOUTE chose« . C’est avec l’Univers TOTAL que ce quantificateur universel prend tout son sens et acquiert toute sa puissance! En effet, cette expression « TOUTE chose » à elle seule signifie l’Univers TOTAL, et cela se résume simplement par le seul mot TOUT. C’est le sens même du quantificateur universel, mais aussi la simple définition de l’Univers (raison même d’ailleurs pour laquelle ce quantificateur a été si bien nommé « quantificateur UNIVERSEL »), de sorte que normalement, quand on parle de l' »Univers », il n’aurait jamais dû être nécessaire de préciser « TOTAL » comme je le fais. Mais hélas, parce que cette évidence très simple a échappé en ce monde, même aux plus grands logiciens qui manipulent chaque jour les quantificateurs (et en particulier le quantificateur UNIVERSEL), il est nécessaire aujourd’hui de préciser « Univers TOTAL » pour donner au mot « Univers » tout son sens, à savoir le mot: « TOUT« , oui « TOUTE chose« , l' »Ensemble de TOUTES les choses« , quoi.

Techniquement, cet Univers, noté U, est par définition l’ensemble qui vérifie la formule: « ∀X(X ∈ U)« . Cette formule est à lire « TOUTE chose est élément de U » ou : « QUELLE QUE SOIT la chose, cette chose est un élément de U« . Autrement dit, U est l’ensemble dont toute chose est un élément, donc l’ensemble de toutes les choses.

Indiquons maintenant quelques règles élémentaires de logique des quantificateurs, qui permettent plus facilement de comprendre la suite.

Un énoncé de quantification simple est fait de deux parties: la tête (qui est le quantificateur et la variable) et le corps de l’énoncé. Par exemple, « ∀X(X ∈ U) » est un énoncé de quantificateur universel simple. Sa tête est « ∀X » et son corps est « (X ∈ U)« .

Et il faut juste savoir que pour dire le contraire (ou plus exactement la négation) d’un énoncé de quantification simple, il suffit de transformer le quantificateur en l’autre quantificateur puis de transformer le corps en son contraire (ou négation).

Par exemple, le contraire de: « ∀X(X ∈ U) » est: « ∃X(X ∉ U)« . On voit que le quantificateur universel « ∀X » est remplacé par le quantificateur existentiel « ∃X« , et que le corps « (X ∈ U) » ou « X est élément de U », est remplacé par son contraire « (X ∉ U) » ou « X n’est pas élément de U ». En d’autres termes, nier l’idée que « TOUTE chose est un élément de U » c’est dire : « IL EXISTE au moins une chose qui n’est pas un élément de U« , ou encore: « IL EXISTE au moins une chose qui n’est pas un élément de l’ensemble de toutes les choses« , ou plus simplement encore: « IL EXISTE au moins une chose qui n’est pas une chose« … Voyez-vous déjà le paradoxe de ce second énoncé? Si oui, alors vous avez déjà compris que son contraire est le Théorème, à savoir « TOUTE chose est un élément de U« , c’est-à-dire « TOUTE chose est un élément de l’ensemble de toutes les choses« , qui est un théorème trivial, puisqu’il dit simplement… »TOUTE chose est une chose« . Plus véridique qu’un théorème qui revient à dire cela, c’est difficile à trouver…

L’intérêt de la preuve qui vient d’être donnée pour le Théorème de l’Existence est qu’elle ne nécessite même pas la notion d’existence« , qui est la notion la plus philosophique dans toute l’affaire, la notion ontologique, métaphysique, que nous sommes tout simplement en train d’arracher du domaine de la philosophie (classique) pour la transformer maintenant en une notion scientifique, mathématique. Ou tout au moins elle est maintenant une notion de philosophie dite « analytique », la philosophie dont les notions sont scientifiquement fondées ou dont les notions sont objectives, par opposition à la « vieille philosophie » dite quelques fois aussi « continentale », qui est plus subjective voire plus spéculative, en tout cas tout sauf une science exacte…

Pour information, c’est aux logiciens logiciens Frege, Gentzen et Peano que l’on doit les quantificateurs existentiel et universel, et avec d’autres logiciens comme par exemple Russell, on peut les considérer comme les pères de la « philosophie analytique », la « philosophie scientifique » si l’on veut, celle avec laquelle prend fin la subjectivité des notions (comme par exemple la notion d’existence), et commence la rigueur, la conception scientifique de la chose philosophique.

Mais ceci dit, loin de moins l’intention d’entrer dans ces querelles d’école stériles à mon sens. Je dis cela simplement pour faire comprendre que, que ce soit dans telle ou telle école de pensée, scientifique ou philosophique, j’ai une sainte horreur (et le mot est faible…) des notions qui ne sont pas rigoureusement définies ou faussement rigoureuses, comme c’est, hélas, le cas dans la logique, les mathématiques et les sciences actuelles, et à plus forte raison en philosophie ou ailleurs. Tout devient une science exacte et rigourousement fondé (y compris des notions comme DIEU par exemple dont la question de son existence est directement concernée par le Théorème de l’Existence) quand on travaille maintenant dans le Paradigme de l’Univers TOTAL.

Parler par exemple de « quantificateur existentiel » (en logique ou en mathématiques) sans comprendre que la notion d’existence contenue dans le nom de cet outil n’a tout son sens qu’avec l’Univers TOTAL, parler de « quantificateur universel » sans comprendre que c’est avec l’Univers TOTAL que ce quantificateur prend tout son sens, et, pour les physiciens, parler de l’Univers (qui est l’objet même de l’étude de cette science) sans commencer par le définir correctement comme étant l’Ensemble de toutes les choses, etc., ne sont que quelques exemples du grand manque de rigueur des sciences actuelles, y compris donc aussi les mathématiques, réputées pourtant comme étant la plus exacte des sciences.

Le plus grave en fait n’est pas tant le manque rigueur mais ce que cache ce manque de rigueur (ou cette pseudo rigueur scientifique dont on se targue tant), oui le plus grave est la Négation de l’Univers TOTAL, qui est le plus subtil Paradoxe (pour ne pas dire dire simplement Mensonge) scientifique de tous les temps, le plus vicieux et le plus caché de tous les temps! En fait, on a fait la science juste assez pour construire des ordinateurs, les TGV ou la bombe atomique, mais pas assez pour découvrir l’Univers TOTAL et ses extraordinaires secrets que ce site met en évidence de document en document. On n’a pas voulu faire la science assez pour découvrir le visage de DIEU et ne plus se poser la question de son existence, qui ne se pose donc plus avec l’Univers TOTAL et le Théorème de l’Existence. Car le DIEU en question que l’on a tout fait pour éviter en science, le voilà, oui l’Univers-DIEU!

La preuve du Théorème de l’Existence que nous venons de donner n’a en fait donc pas nécessité la notion d’existence, mais est tout simplement une conséquence immédiate de la définition de l’Univers TOTAL, à savoir l’Ensemble de toutes les choses. Ce théorème revient alors à dire simplement que « Toute chose existe dans l’ensemble de toutes les choses« , ou plus simplement encore, en n’employant que le langage des ensembles: « Toute chose est un élément l’ensemble de toutes les choses« . Une vérité aussi limpide n’est même pas un théorème mais une simple définition de cet Ensemble, à savoir l’Univers TOTAL. Sous cette forme, le théorème est appelé la Loi de l’Univers TOTAL ou la Loi de la Réalité TOTALE, comme cette loi est amplement expliquée dans cette vidéo présentée au-début.

Si donc ce Théorème de l’Existence (qui est donc une conséquence directe de la définition de l’Univers TOTAL) est déjà clair pour vous, alors vous comprenez aussi le paradoxe qu’est l’énoncé contraire de ce théorème, à savoir l’idée admise depuis la nuit des temps que « Certaines choses n’existent pas », autrement dit: « Certaines choses n’existent pas dans l’absolu » ou encore plus précisément: « Certaines choses n’existent pas dans l’Univers ». Cette idée est donc le Paradoxe de la Négation d’Existence. Voyons maintenant plus techniquement encore la question avec l’usage du quantificateur existentiel et de la notion d’existence. Cela nous aidera à comprendre simplement plus profondément la LOGIQUE des choses…

Paradoxe de la NON-Existence: « IL EXISTE au moins une chose qui n’existe pas »

Et maintenant, rappelons qu’en disant que « Certaines choses n’existent pas » on divise ainsi l’ensemble de toutes les choses (noté donc U) en deux sous-ensembles: E, qui est l’ensemble des choses qui existent et N, qui est l’ensemble des choses qui n’existent pas. Considérons alors les deux énoncés suivants:

– Enoncé A : « TOUTE chose est un élément de E« , ou simplement « TOUTE chose existe« , qui s’écrit techniquement: « ∀X(X ∈ E)« .
Comme cet énoncé est une quantification universelle simple, son contraire (comme on l’a expliqué plus haut) est une quantification existentielle où il faut remplacer le corps par son contraire.
Ce qui donne l’énoncé suivant:

– Enoncé B : « IL EXISTE au moins une chose qui n’est pas un élément de E« , ou simplement: « IL EXISTE au moins une chose qui n’existe pas« .
Cet énoncé s’écrit techniquement: « ∃X(X ∉ E) »

Une chose est évidente: quelque chose ne tourne pas rond dans l’énoncé B, à savoir « IL EXISTE au moins une chose qui N’EXISTE PAS« . En effet, la fin de l’énoncé nie ce que dit son début, sauf justement si la négation contenue dans la fin de l’énoncé est relative et non pas absolue. Sinon, ceci est tout simplement un paradoxe! Cet énoncé est faux, donc c’est son contraire A qui est vrai. Son contraire est le Théorème de l’Existence.

Autrement dit encore, la notion d’existence dans le quantificateur existentiel au début de la phrase est absolue, c’est-à-dire elle sous-entend qu’on parle de l’existence dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses. Quand donc nous disons: « IL EXISTE au moins une chose…« , cela signifie : « IL EXISTE au moins une chose dans l’ensemble de toutes les choses…« , ou: « IL EXISTE au moins une chose dans l’Univers TOTAL…« . La fin de la phrase (le corps de la quantification existentielle) a alors simplement pour but de préciser une propriété d’une telle chose ou de ces choses qui existent dans l’Univers TOTAL. Si la fin de la phrase revient à dire que ces choses ont la propriété de ne pas exister dans dans l’Univers TOTAL, alors on a bel et bien un paradoxe, ce qui est le cas justement.

En effet, si la négation d’existence de la fin de l’énoncé « … N’EXISTE PAS » est elle aussi absolue, cette phrase revient alors à dire: « IL EXISTE au moins une chose dans l’ensemble de toutes les choses qui N’EXISTE PAS dans l’ensemble de toutes les choses » ou: « IL EXISTE au moins un élément de l’Univers TOTAL qui N’EST PAS un élément de l’Univers TOTAL » ou encore plus simplement: « IL EXISTE au moins une chose qui N’EST PAS une chose« , etc. C’est donc un Paradoxe, sauf si la fin de la phrase est une négation juste relative, c’est-à-dire si elle a juste pour but de dire que les choses dont on parle n’existent pas dans un certain contexte donné de l’Univers TOTAL, en France, dans notre système solaire, dans notre galaxie dans notre univers, dans notre groupe d’univers, etc. Là la pharse n’est plus paradoxe, car après tout, tout ce qui existe dans dans l’Univers TOTAL n’existe pas en France par exemple. Les kapokiers ou les arbres produisant les fruits de néré existent dans l’Univers TOTAL (en l’occurrence au Togo entre autres) mais n’existent pas en France, en tout cas pas à l’échelle ordinaire de l’observation de la réalité en France, car si l’on prend en compte la Structure FRACTALE de l’Univers TOTAL, c’est une autre affaire… Des peuvent en effet, ne pas exister dans un contexte donné à l’échelle ordininaire de la réalité mais pourtant exister à d’autres échelles.

Dans tous les cas, il faut toujours relativiser la Négation (et plus particulièrement la négation d’existence), c’est-à-dire il faut la limiter à un contexte donné de l’Univers TOTAL, à une échelle donnée, à un plan d’existence donné, etc. Sinon la négation devient absolue et donc paradoxale, ce que veut dire le Théorème de l’Existence. C’est ainsi que toute la pensée actuelle, toutes les sciences actuelles et leurs méthologies reposent sur un axiome implicite qui est l’Axiome de NON-Existence, l’idée vieille comme ce monde selon laquelle « Certaines choses n’existent pas« , entendant par-là qu’elles n’existent pas dans l’absolu, c’est-à-dire donc dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses.

C’est en raison de cet axiome caché que par exemple les physiciens se sont posés pendant des décennies la question de savoir si la chose nommée le boson de Higgs existe, et pour répondre entre autres à cette question d’existence ils ont mis au point une gigantesque expérience avec l’accélérateur de particules géant le LHC.

 

Le LHC (« Large Hadron Collider » ou « Grand Collisionneur de Hadrons ») du CERN.
Gigantesque expérience de physique pour répondre à de nombreuses questions
qui se posent à la physique moderne.
Parmi ces questions, il y a en une qui préoccupe les physiciens depuis des décennies:
le « Boson de Higgs » (surnommé la « Particule Dieu ») existe-t-il?
Voilà justement le genre de questions que l’on se pose
quand la science ne repose pas sur son paradigme normal: l’Univers TOTAL.
Dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTE les choses,
toute chose existe et le contraire de toute chose aussi!
Toutes les situations existent, toutes les combinaisons existent,
toute les configurations existent et tous les cas de figure existent,
toutes les choses possibles et imaginables existent,
de même que toutes les choses apparemment impossibles ou inimaginables.
Il n’y a que dans un univers particulier (comme le nôtre par exemple)
que la question se pose de savoir si telle ou telle chose existe ou non.
Mais dans l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses,
ce genre de questions ne se posent plus…
Et nier dans l’absolu l’existence de la moindre petite chose
est dans le meilleur des cas un paradoxe scientifique ou une erreur.
Et dans le pire des cas c’est tout simplement un mensonge scientifique…

Voilà maintenant les physiciens en train de crier à la « révolution scientifique » ou la « grande victoire de la recherche » juste parce qu’ils… découvrent que le boson de Higgs existe! Ils veulent que le monde les félicite pour leur « énorme découverte » alors qu’ils méritent juste qu’on leur jette des tomates pourries parce qu’ils ne fondent pas leur physique sur l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses! La science aurait progressé infiniment plus vite avec le bon paradigme et on serait entré dans une nouvelle dimension depuis fort longtemps. Et aussi, la recherche (en particulier la recherche utlisant des fonds publics) aurait coûté beaucoup moins cher au contribuable, car on aurait évité beaucoup d’expérimentations inutiles et l’argent aurait été investi dans des projets scientifiques beaucoup plus utiles.

En effet, c’est vraiment lamentable pour la science et pour le monde de dépenser tant d’argent pour faire des expériences comme celle avec le LHC juste pour répondre à des questions du genre de savoir si le boson de Higgs existe, alors qu’une simple bonne définition de l’Univers fait l’affaire, sans coûter le moindre centime à qui que ce soit, privé ou public!

Pour ce qui est des mathématiques, il faut savoir maintenant que tous les fameux paradoxes de la théorie des ensembles comme par exemple ce qu’on peut lire sur cette page de Wikipédia sur la théorie des ensembles sont de faux paradoxes, le vrai paradoxe étant en réalité la Négation de l’Univers TOTAL. Tous les paradoxes scientifiques et dans tous les domaine sont des conséquences de ce paradoxe fondamental qu’est le Paradoxe de la NON-Existence, l’idée très fausse selon laquelle « Certaines choses n’existeraient pas » (voir aussi La Négation Absolue: la vraie cause de tous les Paradoxes).

Tout ce qui revient à dire que quelque chose est impossible dans l’absolu est FAUX, c’est une forme de ce Paradoxe de la NON-Existence. Comme par exemple la fameuse dite impossibilité pour une chose matérielle ou de l’énergie de voyager à une vitesse supérieure à celle de la lumière, un dogme de la théorie de la relativité et de l’ensemble de la physique actuelle. Là encore, les physiciens sont en train de se rendre compte de leur erreur, on est en train de crier au scoop d’avoir mis en défaut ce dogme de la relativité, alors que cela fait de nombreuses années que je parle à ce site du Théorème de l’Existence!

C’est ainsi l’hypocrisie de la science actuelle. On enfonce pendant des décennies, des siècles voire des millénaires des dogmes et des credos dans tous les esprits, tous revenant à NIER l’Univers TOTAL, des doctrines scientifiques fallacieuses qu’il ne faut surtout pas remettre en question. Et quand on ne peut plus les nier, les mêmes qui hier prêchaient le catéchisme de Négation se transforment en héros d’avoir prouvé que ces dogmes étaient faux. C’est ainsi qu’il ne fallait surtout pas toucher aux dogmes de la relativité, toucher au sacro-saint Einstein (que du reste j’apprécie, ce n’est pas lui qui est vraiment en cause mais ceux qui transforment les principes et axiomes en religion scientifique), et maintenant c’est la course de vitesse pour savoir qui va décrocher le prochain Prix Nobel pour avoir détrôné Einstein… en démontrant qu’il est POSSIBLE de dépasser la vitesse de Lumière. Mensonges et hypocrises donc…

Un autre mensonge scientifique vieux comme les mathématiques (et lui aussi reposant sur la Négation de l’Univers TOTAL) est qu’il est impossible de diviser par 0. Encore une impossibilité qui est une forme du Paradoxe de la NON-Existence (pour plus de détails sur cet autre mensonge qui fait un grand tort aux mathématiques, à la physique et à l’ensembles des sciences, car il a empêché de découvrir la puissante science de l’Alpha et et de l’Oméga ou la Science du Cycle, voir La Division par Zéro fait entrer la Science et la Technologie dans une Nouvelle Dimension).

Le Théorème de l’Existence règle une bonne fois pour toutes les questions relatives à l’existence, à la possibilité des choses, oui les questions de savoir si telle chose existe dans l’absolu, est possible dans l’absolu, est une réalité ou non dans l’absolu, etc. Comme par exemple aussi la question de l’existence de l’au-delà; les questions de l’existence d’autres mondes et d’autres formes vies ailleurs que sur terre ou dans notre univers; la question de l’existence des anges dont parle la Bible, de la réalité des miracles du Christ ou de la Bible, de l’existence de la vie après la mort; la possibilité de la vie éternelle dont le Christ et les évangiles parlent, etc.

Je vous laisse maintenant imaginer le retard épouvantable des sciences dans la compréhension de l’Univers et dans leurs réponses aux questions fondamentales de l’existence et de la vie, toutes les portes extraordinaires que les sciences se sont fermées depuis des siècles et des millénaires, juste parce qu’elles fonctionnent avec la Négation l’Univers TOTAL, avec l’idée selon laquelle « Certaines chose n’existeraient pas dans l’Univers », ne seraient pas possibles, ne seraient pas des réalités, seraient des mythes, des légendes, etc.! Avec un tel sombre palmarès et avec le recul, les sciences actuelles apparaissent comme des sciences de Négation, du Négationnisme très savant, plutôt que sciences de recherche de la vérité sur l’Univers.

Si l’on fonctionne avec le Paradigme de l’Univers TOTAL et le Théorème de l’Existence on ne nie plus rien dans l’absolu, on dit une bonne fois pour toutes que tout est POSSIBLE dans l’Univers TOTAL, l’Univers-DIEU. C’est la seule façon de ne plus se tromper et surtout de faire une science qui dit toujours la vérité, toute la vérité et rien que la vérité…

L’Univers TOTAL, l’Univers et l’Anti-Univers, l’Univers et le Non-Univers, l’Univers et l’Onivers

Le Paradoxe de la Négation (absolue) ayant été démontré et par conséquent démontré le Théorème de l’Existence, nous pouvons terminer à présent en ayant une compréhension plus fine et plus précise de l’Univers TOTAL et de sa logique. Nous avons compris que la Négation doit être toujours relative, que toute chose existe dans l’Univers TOTAL, y compris si les choses dont on parle sont les non-choses ou les choses définies comme étant « les choses qui n’existent pas« . Même celles-là existent aussi! Et pourtant ces choses se nomment: « les choses qui n’existent pas« . Cela ne veut donc pas dire que les choses en questions n’existent pas mais simplement elles sont paradoxales. Comme toute chose existe dans l’Univers TOTAL et le contraire de toute chose aussi, les choses paradoxales existe aussi: la contradiction existe, la paradoxe existe, l’erreur existe, l’accident existe, la catastrophe existe, le mal existe, le mensonge existe, etc. Il ne faut donc plus confondre « X n’existe pas » et « X est paradoxal« . Ou encore, il ne faut donc plus confondre « X n’existe pas » et « X est une chose négative » (ou « X est une chose mauvaise« ).

 

La Négation de l’Univers TOTAL est la Racine des choses négatives
au sens absolu du mot « négatif » à savoir « mauvais« .
Voilà donc toute la lumière le Problème de la Négation.
Elle est la racine des non-choses, ce qui ne veut pas dire qu’elles ne sont pas des choses,
mais simplement qu’elles sont la négation des choses, les choses négatives.

 

L’Univers TOTAL est fondamentalement POSITIF,
les choses NORMALES sont donc POSITIVES, ce sont les choses de l’Alternation.
C’est donc précisément à ces choses positives que les non-choses sont la négation.

Voilà qui permet d’avoir une toute autre compréhension de la question d’existence et du problème de la négation. Une grande Lumière sur la compréhension de l’Univers et des choses, du monde, de la vie. Les choses de l’Alternation sont des choses existentielles (comme dans « quantificateur existentiel »), les choses positives. Et les choses de la Négation sont les choses non-existentielles, les choses négatives. Logique, non?

Par conséquent, « les choses qui n’existent pas » sont des choses qui existent dans l’absolu (car la Négation doit être relative sous peine de paradoxe, sauf si l’on veut incarner le paradoxe, le mensonge…), sauf qu’elles sont… négatives! On les appelle donc les non-choses ou même les anti-choses, pour dire qu’elles sont opposées aux choses positives, exactement comme les nombres négatifs (comme par exemple « -5« ) sont opposés aux nombres positifs (comme par exemple « +5« ).

 

L’Univers, le Plein, l’Existence, l’Oméga; et l’Onivers, le Vide, le Néant, l’Alpha.
Ici nous avons beaucoup grossi l’Onivers à l’intérieur de l’Univers et l’Univers à l’intérieur de l’Onivers, etc.
afin de pouvoir voir quelque chose et comprendre la structure FRACTALE des Univers et des Onivers,
structure qui forme un seul ensemble qui est l’Univers TOTAL, l’Univers FRACTAL
(pour plus de détails voir La Structure Fractale : la clef de la compréhension de l’Univers).
Le schéma n’est donc pas l’échelle, car en fait l’Univers et l’Onivers
sont dans un rapport 1/ω l’un dans l’autre, où ω est un nombre entier Infini,
et ceci selon la nouvelle conception de l’Infini, la conception du paradigme du Cycle.
Cela veut dire que dans l’Univers l’Onivers est réduit à un Point, l’Alpha,
qui est donc justement le Vide (Ø), le Néant, le Zéro dans l’Univers.
Et à l’inverse, dans l’Onivers l’Univers est réduit lui aussi à un Point, l’Alpha,
qui est le Vide (Ø), le Néant, le Zéro dans l’Onivers.

Voici une autre manière de voir la question illustrée avec un carré de 9 cases:

 

Il faut alors simplement imaginer qu’au lieu des 9 cases numérotées de 0 à 8,
on a toute l’infinité des nombres entiers naturels, qui sont au nombre de ω.
Dans l’Univers (représenté ici par le carré vert)
l’Onivers (représenté par le carré rouge 0 du milieu) représente 1/9.
Avec un carré de ω cases sa proportion serait donc 1/ω, qui vaut 0,
ce qui signifie physiquement que l’Onivers est réduit à un Point.
Mais on ne travaille plus avec la Négation absolue mais relative,
ce qui implique que les notions de « Vide« , de « Zéro« , de « Point« , etc.
ne sont pas les notions absolues et très négatives actuelles,
à savoir que le « Vide » n’est que « Vide« ,
que le « Zéro » n’est que « Zéro » (donc n’est aucune quantité, même infinirésimale)
ou encore que le « Point » n’a aucune dimension, surface, volume, etc.
Ce sont ces conceptions absolues et négatives (qui vont de pair avec la Négation absolue)
qui sont justement la cause de tous les paradoxes dont nous avons amplement parlé.

Vu à sa propre échelle, l’Onivers est tout un monde,
aussi grand et vaste que l’Univers TOTAL,
sauf que c’est l’Univers des choses négatives
(ici représentées par les petits carrés rouges).
Là, c’est le contraire, l’Univers (l’Univers TOTAL donc)
est réduit à « Zéro« , le « Point » vert au milieu du carré rouge
(pour plus d’explications, voir les Fractales d’Eden).

 

Cette structure pourrait faire dire qu’il y a une symétrie entre l’Univers (TOTAL) et l’Onivers,
ce qui est vrai mais seulement relativement parlant, mais pas absolument parlant.
En effet, n’oublions pas que si l’Univers TOTAL (ou l’Univers) est opposé à l’Onivers,
l’Univers TOTAL est la réunion de l’Univers et de l’Onivers,
ce qui s’exprime par l’équivalence: U = U + O.
Tout se passe dans l’Univers TOTAL,
c’est une version de lui-même en lui-même qui est opposée à l’Onivers.

Une autre façon de comprendre cela est de se pencher sur l’algèbre de l’Oméga (ω),
qui est l’Algèbre de l’Univers TOTAL ou Algèbre du Cycle.
Une des équivalences fondamentales de cette algèbre est: ω = ω + ω,
ce qui veut dire que l’Infini est le nombre entier qui est son propre double.
Zéro (0), une façon de parler de l’Onivers,
possède évidemment aussi cette propriété d’être son propre double: 0 = 0 + 0.
Mais en fait c’est dans l’Infini, l’ensemble de tous les nombres entiers que tout se passe.
ω est justement cet ensemble de tous les nombres entiers,
et ω n’est rien d’autre que le nom numérique du seul et même Univers TOTAL.
Tout est fondamentalement la propriété de l’Univers TOTAL,
et les propriétés du 0 (le nom numérique de l’Onivers donc)
ne sont donc que les propriétés d’un élément spécial de l’Univers TOTAL, l’Alpha,
qui est l’une (très importante mais néanmoins l’une) des facettes de l’Oméga qu’il est.
Autrement dit, le Zéro ou l’Onivers
est un élément spécial de l’Univers TOTAL qui sert à exprimer la Négation de l’Univers TOTAL,
parce que cette Négation doit aussi exister dans l’Univers TOTAL pour qu’il soit vraiment TOTAL.

Ainsi donc, l’Univers TOTAL et l’Onivers (le Néant TOTAL)
ne sont pas symétriques dans l’absolu, autant qu’on puisse dire que
0 tout seul d’un côté et l’ensemble de tous les entiers naturels (ou ω) de l’autre
ne sont pas symétriques, ils ne le sont que relativement parlant.
Cette « symétrie » veut simplement dire qu’il y a tout dans l’Univers TOTAL
tandis que l’Onivers est l’ensemble dans lequel TOUT manque.
Il existe dans cet ensemble la négation ou le manque de chaque chose dans l’Univers TOTAL.
Autrement dit, pour chaque chose X de l’Univers TOTAL,
il existe une chose dans l’Onivers, non-X,
qui est l’incarnation du fait que la chose est absente de l’Onivers.
Si X est dit « blanc » (parce qu’il existe dans l’Univers TOTAL),
alors non-X sera dit « noir », ce qui est le « trou » correspandant à X.
Et si X est dit « vert » (si l’on préfère plutôt la logique « vert-rouge »),
alors non-X sera dit « rouge », ce qui est donc le « trou » correspondant à X.

 

Dans l’Univers TOTAL l’Onivers
est l’ensemble de tous les mondes de Négation, comme justement présentement la Terre.
Pour de très importantes explications sur les onivers ou néants ou les « enfers« ,
et pour comprendre ce que cela signifie sociologiquement,
voir le document PDF: Prière de Zorobabel dans la Meuse
(cliquez ici pour trouver toutes les requêtes à l’Univers TOTAL).

En un sens restreint, on appelle Univers ou Existence l’Ensemble des choses positives de l’Univers TOTAL, les univers positifs, les mondes positifs, bref l’ensemble de toutes les choses de l’Alternation. L’Univers est noté U ou Ω. C’est l’ensemble que nous avons noté E au début du document et dans les démonstrations du sous-titre précédent. Tout simplement, l’Univers ou l’Existence est l’ensemble des univers ou des mondes où l’Univers TOTAL est pleinement affirmé, qui sont en harmonie avec l’Univers TOTAL, qui fonctionnent selon ses lois, la logique, etc.. Les choses de tels mondes sont pour cela positives. Ce n’est pas le cas de la Terre actuellement, sinon, cela se saurait!

En effet, il n’aurait été nécessaire d’introduire le Paradigme de l’Univers TOTAL, de le démontrer (de démontrer son Théorème), de mettre le doigt sur le Problème de la Négation, etc. On appelle Onivers ou Néant ou Vide ou Non-Univers ou encore Anti-Univers l’ensemble des univers ou des mondes où l’Univers TOTAL est nié, qui ne fonctionnent pas selons ses lois, sa logique, etc. Nous les appelons aussi les mondes de Négation (par opposition aux mondes d’Alternation) ce qui est justement le cas de la Terre actuellement. L’Onivers est noté O ou Ø. C’est l’ensemble que nous avons noté E au début du document et dans les démonstrations du sous-titre précédent.

On voit donc que: U = E ∪ O, où U désigne l’Univers TOTAL.
On a aussi: E ∩ O = Ø.

Si l’on raisonne avec la Négation absolue (ce qu’il ne faut plus justement faire), la notion de « Vide » est elle aussi absolue, et dans ce cas elle est mauvaise, paradoxale, comme la Négation. Avec la Négation absolue, la notion d’égalité dans ces écritures est l’Identité. Alors on ne peut pas conclure que O = Ø et donc que U = E, cette dernière égalité étant l’expression du Théorème de l’Existence.

Mais le Théorème est amplement démontré, ce qui veut dire que la Négation doit être relative. Elle est alors l’Alternation, et la notion d’égalité qui lui est associée est l’Equivalence (pour plus de détails, voir Identité et Equivalence, Négation et Alternation et Logique Alternative, Logique Cyclique, Logique FRACTALE). Et surtout, la structure FRACTALE de l’Univers TOTAL expliquée plus haut montre comment l’Onivers est le Point, le Vide (Ø), le Zéro dans l’Univers TOTAL.

Voir aussi…

L’Univers TOTAL, le nouveau Paradigme de la Science

L’Univers TOTAL, le fondement de la VRAIE Science, la Science de toutes choses

Source : https://www.hubertelie.com/u_phi_scien-fr-110-000-u-nouveau-paradigme-science.html

Dernière mise à jour : 22/03/2022


Sommaire :

Nouveau Paradigme pour la science et pour le monde

Science de l’Univers TOTAL, de la Réalité TOTALE, de l’Etre TOTAL. Science de Dieu

paradigme-alternation

La Science de l’Univers TOTAL est un Nouveau Paradigme pour la science et pour le monde. Mais qu’est-ce qu’un paradigme? Nous en parlerons en seconde partie. Et que doit être une vraie science? Parlons-en maintenant.

L’une des plus grandes découvertes de ma vie est d’avoir compris pourquoi les sciences actuelles, sous leurs manteaux de « sciences », sont en réalité une religion qui ne dit pas son nom, à savoir le scientisme! A l’ère de la religion du Covidisme, cette vérité commence à être évidente pour beaucoup, mais la plupart de ceux qui commencent à comprendre la face cachée de ce monde sont infiniment loin d’avoir compris le fond du problème, la question du Paradigme, Dieu l’Univers TOTAL d’un côté, et la Négation de l’Univers TOTAL et donc de Dieu de l’autre (nous y reviendrons en seconde partie). Les sciences actuelles sont carrément dans le paradigme de Négation, et pour elles la messe est dite, si je puis me permettre ce jeu de mots.

Et pour ce qui est du côté religieux ou spirituel, aussi étonnant que cela puisse paraître, ils s’en sortent mieux en matière de connexion à l’Univers TOTAL que les scientifiques! Et pourtant le concept d’Univers TOTAL est plus près des scientifiques que des religieux ou des croyants, comme ceux-ci auraient tendance à le penser. En effet, dès qu’on parle d’Univers, de nombres (voir par exemple Générescences, Nombres entiers variables et Structure de corps omégacyclique), d’atomes, de matière, d’ondes, d’énergie, etc., les religieux ou les croyants auront tendance à dire: « Ça c’est pour les matheux et les scientifiques, c’est pas notre affaire ». Mais dès que, même dans un discours avec des termes scientifiques, comme justement le discours que je tiens ici et dans tous mes écrits, les scientifiques croisent le mot Dieu, ou pire, Jésus, les anges, ou rencontrent le mot « Bible » ou un verset de la Bible, ils s’enfuient en courant ou jettent cela vite à la poubelle, en disant: « Ça, ça n’a rien à voir avec la science, c’est de la religion ou de la pseudo-science dans le meilleur des cas. »

En matière d’intolérance ou du peu d’ouverture pour le paradigme d’en face, les scientifiques sont les pires, car justement aussi, contrairement à tout ce qui a été dit jusqu’ici ou l’ont faire croire, leurs paradigmes sont plus faux ou plus mauvais que les paradigmes de la religion ou de la spiritualité. Les croyants ou les religieux acceptent bien volontiers les vérités scientifiques et accommodent facilement leur foi avec ces vérités. En revanche, les scientifiques en règle générale (en France en tout cas, dans les pays anglo-saxons c’est un peu différent) sont allergiques ou voient avec un certain mépris les vérités religieuses, notamment la plus fondamentale d’entre elles, qui est la vérité selon laquelle Dieu existe.

Et pourtant donc (et je le répète), aussi curieux que cela puisse paraître et contrairement à tout ce qui a été dit jusqu’ici, c’est en langage scientifique que la notion de Dieu se définit, infiniment plus facilement qu’en langage religieux ou même philosophique. Par exemple, considérons l’image suivante et essayons de comprendre ce qu’elle veut nous dire et qui n’a jamais été dit comme il fallait le dire:

DivisionParZero-MensongeParadigmeNegation

A la vue de cette image, la plupart des scientifiques et notamment les mathématiciens, diront qu’on a tenté une opération « impossible » ou « interdite« , à savoir la division par 0 ou ici « 1/0 » et la machine ou le logiciel affiche simplement un message d’erreur qui est la « vérité » mathématique selon laquelle cette opération est impossible ou n’est pas définie. En tant qu’ancien enseignant de mathématiques et sciences physiques, j’ai enseigné longtemps à mes élèves cette « vérité » ainsi que d’autres « vérités » jugées « évidentes », avant de comprendre pourquoi cette opération « 1/0 » est non seulement tout à fait possible, mais la réponse est d’une simplicité biblique:

DivisionParZero-ParadigmeEquivalenceCycle

Même dans le paradigme scientifique traditionnel, l’opération « 1/0 » a bel et bien un résultat, sauf que ce résultat n’est pas un nombre fini, mais un nombre infini. Cela fait très longtemps que les mathématiciens ont compris que si l’on divise 1 par un nombre x qui tend vers 0, alors le résultat 1/x tend vers l’infini. Ce qui permet de deviner à l’avance que si l’on s’y prend bien pour définir un meilleur cadre arithmétique ou algébrique que les cadres classiques, l’opération « 1/0« , qui est la valeur de « 1/x » quand x vaut exactement 0, est un nombre infini, qu’on peut appeler par exemple ω, qui est la lettre grecque Oméga. Et par symétrie, le 0 sera appelé Alpha. Donc diviser Un par Alpha donne Oméga, et à l’inverse diviser Un par Oméga donne Alpha.

Et cela fait longtemps que les mathématiciens ont développé des théories des nombres (comme par exemple les nombres surréels de John Conway, ou encore l’analyse non-standard d’Abraham Robinson, et bien d’autres) qui font voire qu’il existe en fait une infinité de nombres zéros, appelés aussi généralement des « infiniments petits » ou « infinitésimaux », et une infinité correspondante de nombres infinis, appelés généralement des « infiniments grands » ou simplement des « infinis ». Georg Cantor dès 1882 avait déjà découvert qu’il existe toute une hiérarchie infinie de nombres infinis, appelés aussi des cardinaux transfinis. Sur la base de ceux-ci, beaucoup (comme par exemple John Conway le grand mathématicien récemment décédé du Covid, dit-on) ont imaginé des méthodes pour associer à ces nombres infinis des nombres zéros correspondant, de sorte qu’à un nombre zéro x on associe un nombre infini y, qui est 1/x, et qu’à un nombre infini y on associe un nombre zéro x, qui est 1/y. Rien que cela suffit pour dire que non seulement l’opération « 1/0 » est possible, mais on n’a qu’une infinité d’embarras de donner un sens à cette opération. Autrement dit, on a une infinité de solutions possibles, donc c’est FAUX et archi FAUX de continuer à dire que cette opération est « impossible ».

Cependant, quand on dit que « 1/0 » est « impossible », c’est parce qu’il reste un ultime petit problème à résoudre et que les mathématiciens n’arrivaient pas à résoudre, en raisonnant dans la logique scientifique habituelle. Cette logique classique est ce que je nomme aussi la logique de Négation ou la logique de l’Identité. Mais il existe tout à fait une autre logique scientifique, plus puissante et bien plus générale que la logique classique, et que je nomme la logique d’Alternation, mais aussi la logique d’Equivalence ou de Cycle. On connaît bel et bien cette autre logique, que l’on utilise par exemple dans ce qu’on appelle la congruence ou l’arithmétique modulaire. C’est le type d’arithmétique qui sert par exemple en cryptographie. Très étrangement, on se contente de la limiter à des domaines techniques de ce genre, mais quand il s’agit de l’utiliser de manière très générale pour faire des mathématiques ou des sciences bien plus puissantes et plus véridiques, dans lesquelles la division par 0 devient vraiment un jeu d’enfant et surtout dans laquelle définir le concept de Dieu est d’une simplicité biblique, là c’est carrément niet! On fait croire que c’est impossible et on continue de dire:

division-par-0-calculatrice-windows-10

A ce point c’est carrément un mensonge scientifique, car, au pire, afficher un symbole signifiant l’infini est vraiment un moindre mal, et bien véridique que ce message d’impossibilité.

L’ultime petit problème qui restait donc à résoudre et que la logique du Cycle permet de résoudre avec une simplicité enfantine, c’est la division par le 0 absolu, celui qu’on appelle techniquement l’élément neutre de l’addition (ce qui signifie simplement qu’il vérifie: 0 + x = x + 0 = x, pour tout nombre x), et qui est aussi l’élément absorbant de la multiplication (ce qui signifie qu’il vérifie: 0 × x = x × 0 = 0, pour tout nombre x).

C’est le vrai et ultime Zéro ou Alpha, le Zéro absolu ou Alpha absolu, que j’appelle aussi l’Omicron et que je note o. Son inverse, 1/o, c’est l’infini absolu, l’ultime Infini, l’Infini absolu, l’Oméga absolu, que je note Ω.

C’est vraiment le 0 absolu, l’Omicron o donc, qui pose un petit problème du fait de sa propriété algébrique d’élément neutre de l’addition et qui entraine sa propriété d’élément absorbant de la multiplication. Mais précisément aussi, c’est lui qui demande de raisonner avec la logique de Cycle, et alors le problème est résolu, et la solution est aussi simple, belle que très surprenante.

differents-cycles

En effet, l’image ci-dessus illustre différents cycles. Le cycle 0 s’écrit: « o = o« . Le cycle 1 s’écrit: « o = 1 » (après un tour de longueur 1 on revient à o). Le cycle 2 s’écrit: « o = 2 » (après un tour de longueur 2 on revient à o). Le cycle 12 s’écrit: « o = 12 » (après un tour de longueur 12 on revient à o), et ainsi de suite. Et le cycle ω s’écrit: « o = ω » (après un tour de longueur ω on revient à o). Mais c’est le cycle Ω qui nous intéresse spécialement, car c’est le cycle de l’infini absolu, qui est associé justement au zéro absolu, qui est le o qui sert à exprimer tous les cycles. Et ce cycle ultime s’écrit: « o = Ω« . Mais par ailleurs on a dit que Ω est par définition « 1/o« . Donc dire « o = Ω » c’est dire « o = 1/o » ou « 1/o = o« , qui est le résultat cherché, et qui signifie que de même qu’on a: « 1 × o = o« , de même aussi on a: « 1/o = o« .

Structure-cyclofractale-et-omegacyclique-des-nombres_b

Pour plus de détails, voir:
Générescences, Nombres entiers variables et Structure de corps omégacyclique

Ce résultat est l’ultime résultat de l’opération 1/o, le résultat absolu, que je nomme la division omégacyclique par 0, et « omégacyclique » pour dire qu’on fait la division dans le Cycle Oméga. Ce résultat paraît contre intuitif, du fait de toutes les idées qu’on se fait sur le zéro. Et pourtant il dit une chose extrêmement simple et très intuitive: 1/zéro est par définition l’infini. Mais avec le cycle infini, à l’infini on revient à zéro, donc 1/zéro revient à zéro.

Effectuez désormais les calculs arithmétiques et algébriques le plus naturellement du monde, additionnez, soustrayez, multipliez et divisez les nombres sans plus aucun souci avec la prétendue « impossibilité » de diviser par 0, en appliquant simplement le théorème suivant: « zéro additionné à ou soustrait de tout nombre x donne x. Et tout nombre x multiplié ou divisé par zéro donne zéro« . Autrement dit, plus techniquement: « zéro est l’élément neutre de l’addition et de la soustraction, et il est l’élément absorbant de la multiplication et de la division« . Tout cela s’exprime par les formules suivantes:
x + o = o + x = x;
x – o = x, et: o – x = -x;
x × o = o × x = o;
x / o = o, et: o / x = o.

Voici donc les quatre opérations fondamentales de l’arithmétique concernant le zéro revues à la lumière du Nouveau Paradigme.

Une petite précision s’impose avec la ligne:
x × o = o × x = o, quand x vaut l’infini absolu Ω,

et avec la ligne:
x / o = o, et: o / x = o, quand x vaut le zéro absolu o.

Autrement dit avec:
Ω × o = o × Ω = o, et: o / o = o.

Car les opérations: o / o, ou o × Ω, ou Ω / Ω, etc., habituellement notées: 0 / 0, ou 0 × ∞, ou ∞ / ∞, etc., font partie de celles que l’on qualifie couramment de « formes indéterminées« . Ce qui signifie simplement que le résultat des opérations de ces types n’est pas un nombre unique mais est un ensemble de nombres, et même carrément toute l’infinité des nombres. Car on fonctionne avec un paradigme de calcul qui dit qu’une opération donnée ou une fonction pour une certaine valeur donnée est soit non-définie, comme par exemple justement la division par zéro ou 1 / 0, ou comme aussi le logarithme de zéro, etc., soit, si l’opération est définie ou si la fonction est définie pour la valeur en question, le résultat doit être unique. Autrement dit, un calcul soit ne donne aucun résultat défini soit ne donne qu’un seul.

Mais ce paradigme (qui n’est qu’une autre manière de voir le paradigme de la Négation) est très limitatif, il affaiblit considérablement la puissance du concept même de calcul. Tous les calculs donnant un autre type de résultat que ce type restreint, ce qu’est l’immense majorité des calculs en fait, se traduisent par des « impossibilités ». La division par zéro en est un exemple magistral, de même que les dites « formes indéterminées« .

Autrement dit, on dit que ces calculs sont « impossibles », « non-définis », etc., alors qu’ils sont tout à fait possibles (oui tout est possible en fait!) mais c’est juste que leurs résultats sont interdits, ce qui n’est pas du tout la même chose!

Le fait est que, en matière de nombres ou de calculs, tout peut être exprimé par un nombre, par un résultat, même les situations d' »impossibilité », car toute situation d' »impossibilité » signifie simplement qu’on se heurte à la limite des concepts existants, et que de nouveaux concepts doivent être créés pour solutionner le problème, et ces concepts peuvent toujours être créés! Quelques exemples historiques en sciences:

A une époque, on calculait avec les nombres entiers naturels: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …, et plus généralement avec seulement des nombres positifs, et on ignorait donc la notion de nombres négatifs. Dans ces conditions, additionner deux nombres positifs x et y, « x + y« , par exemple « 3 + 5« , donne toujours un autre nombre positif, ici 8 pour l’exemple, donc le calcul est toujours possible, pas de souci donc. Mais avec l’opération de soustraction commencent les soucis, car par exemple « 5 – 3 » donne le nombre positif 2, mais avec « 3 – 5 » ça coince, car soustraire un nombre plus grand d’un nombre plus petit semble « impossible ». Depuis la nuit des temps en effet, les gens ont vite remarqué que si l’on a 5 boeufs, on peut donner 3 boeufs à quelqu’un, et il restera 2 boeufs. Mais si l’on a 3 boeufs, on ne peut pas donner 5 boeufs à quelqu’un. C’est tout simplement « impossible« , ce qui, mathématiquement se traduit par l’idée que l’opération: « 3 – 5 » est « impossible ». Mais cette « impossibilité » signifie simplement qu’on a besoin de créer des nombres négatifs pour être la solution ou le résultat de ce type de soustraction.

Comme autre exemple, on a remarqué avec les nombres réels que certaines équations du second degré à une inconnue n’avaient pas de solutions qui soient des nombres réels, ce qui veut dire « impossibles » à résoudre dans les nombres réels. Mais là aussi cette « impossibilité » signifiait qu’on avait besoin de créer un nouveau type de nombres pour étendre les nombres réels, et ces nouveaux nombres sont ce qu’on appelle les nombres complexes.

Mais étrangement, on ne semble pas avoir compris que cette logique est absolument générale: chaque fois que l’on se heurte à des « impossibilités », cela signifie que quelque chose de nouveau doit être créé!

Et pourtant cela fait des lustres que l’on coince avec la question de la division par zéro, des « formes indéterminées« , etc., mais on ne trouve pas la solution. La raison est en fait qu’on ne veut pas la solution, c’est tout! On a décidé de fonctionner avec les paradigmes de la Négation, les paradigmes du Diable, et puis voilà! Mais introduisons maintenant le Nouveau Paradigme, le Paradigme de l’Univers TOTAL, le Paradigme de Dieu. Dans ce Paradigme de l’Alpha et l’Oméga, on a donné plus haut tous les cas de figures des opérations d’addition, de soustraction, de multiplication et de division avec le zéro o, l’Omicron donc:

x + o = o + x = x;
x – o = x, et: o – x = -x;
x × o = o × x = o;
x / o = o, et: o / x = o.

L’infini absolu Ω se trouve dans ces calculs, et pourtant il n’y apparaît pas explicitement. La raison est tout simplement le Cycle Oméga ou « o = Ω » c’est dire « o = 1/o« . En effet, le calcul: x / o = o, avec les calculs intermédiaires, donne ceci: x / o = x ×Ω = o, étant entendu que par définition: « 1/o = Ω« .

Et maintenant, plus spécialement, pour les opérations de types « formes indéterminées« : o / o, ou o × Ω, ou Ω / Ω, etc., leur résultat est donc aussi le zéro o ou l’Omicron, mais plus précisément leur résultat est un nombre très spécial, que je nomme l’unix, noté unix. Et soit dit en passant, il s’agit de la lettre russe « tsè » comme dans « tsar« …

L’unix est un exemple de nombre variable, tels qu’ils sont définis dans le document PDF: Générescences, Nombres entiers variables et Structure de corps omégacyclique. Un nombre variable x, comme son nom l’indique, et comme toute variable (notion très fondamentale en mathématiques et sciences, et qui s’oppose à la notion de constante ou de nombre constant), est un nombre auquel est associé un ensemble de nombres appelés ses valeurs ou ses constantes. On peut éventuellement privilégier une de ces valeurs ou constantes qui sera la valeur par défaut de la variable.

Et comme premier exemple, qu’est le classique ensemble N des nombres entiers naturels: N = {0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …} sinon simplement un nombre entier variable dont les valeurs ou les constantes sont ses éléments? La manière habituelle d’utiliser ce nombre entier variable est de se donner la lettre minuscule n par exemple et de l’appeler une variable, que l’on fait varier en disant: « n = 0« , « n = 1« , « n = 2« , etc. On aurait pu définir la variable n comme le nombre entier naturel vérifiant: n = {0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …}. Un nombre multiple donc, qui a une infinité de valeurs, au lieu d’une seule, comme par exemple 7.

Et comme second exemple, résoudre l’équation: « x3 + 2x2 – 13x + 10 = 0« , dans l’ensemble des réels, c’est trouver tous les nombres réels vérifiant cette propriété, et il y en a trois, qui sont: -5, 1, 2. Et classiquement, on écrira: S = {-5, 1, 2}, pour dire que c’est l’ensemble des solutions de l’équation. Mais de faire appel à une lettre redondante S pour dire cela, on aurait pu simplement dire: x = {-5, 1, 2}, pour dire que l’inconnue x qui sert à définir et à résoudre cette équation, est aussi un nombre réel variable, dont les trois valeurs sont: -5, 1, 2.

Ainsi donc, un nombre n’est pas nécessairement une seule constante, et que sont par exemple les fameux nombres complexes, sinon des nombres définis par deux constantes réelles? Les notions de vecteurs, de matrice, etc., ne sont rien d’autre que des nombres variables ou des multinombres ou nombres multiples.

Je n’ai rien dit d’extraordinaire, qui ne soit pas familier aux mathématiciens. Les concepts ou les outils existent pour résoudre presque tous les problèmes classiques, donner un sens à toutes les opérations ou calculs. Et pourtant, étrangement, on continue de parler d' »impossibilité » de « diviser par zéro« , de « formes indéterminées« , etc., alors que tout cela demande juste la notion de nombres variables, une logique de cycle et d’équivalence, qui sont d’une simplicité biblique, et c’est le cas de le dire!

La notion de « forme indéterminée » n’est rien d’autre qu’une autre manière de dire « indéterminée d’un polynôme« , « inconnue d’une équation« , « ensemble des solutions d’une équation« , « ensemble de nombres constants« , « nombre variable« , « nombre multiple« , « multinombre« , etc.. Autrement dit, au lieu d’avoir une seule valeur ou un seul résultat du calcul ou de l’opération ou une seule solution à l’équation, on en a plusieurs, et éventuellement même toute une infinité, ou même toute l’infinité des valeurs.

En l’occurrence, les dites « formes indéterminées » qui interviennent dans les quatre opérations arithmétiques de base impliquant le zéro absolu o, l’Omicron donc, sont juste différentes manière de parler d’un certain nombre variable spécial que je nomme l’unix unix. On a donc:
x / o = x × Ω =  unix.

Cette variable unix est par définition celle qui prend pour valeurs tous les nombres réels, finis ou infinis. Sa valeur par défaut est le zéro absolu o, l’Omicron o. Dire donc: x / o = x × Ω = o, c’est donner le résultat par défaut, qui est aussi la valeur par défaut de la variable unix. C’est juste la précision qu’il fallait donner pour que cette question de la division par zéro soit résolue de manière complète.

La propriété spécifique de l’Unix unix, est que toute opération faite avec l’Unix donne comme résultat l’Unix, puisqu’il est toute chose, et donc est tout résultat. Autrement dit, il est la variable universelle, absolue, qui prend absolument toute chose comme valeur. Donc dans toute opération où apparaît l’Unix, on peut mettre directement comme résultat l’Unix, pour dire que le résultat est toute chose que l’on veut. Et si l’on veut des résultats plus spécifiques, on travaille avec des variables plus restreintes, qui ne sont pas absolues. Ou alors on donne tout simplement à l’Unix sa valeur par défaut, qui est donc l’Omicron o, qui est une constante quant à lui.

Il importe de souligner que dans ces formules et théorèmes nouveaux le zéro concerné est le nouveau zéro, le zéro absolu o. C’est d’ailleurs précisément ces propriétés arithmétiques qui le caractérisent et qui font dire qu’on a affaire au zéro absolu. Si au moins l’une d’entre elles n’est pas vérifiée, et notamment les propriétés de la division, ou si l’on dit que c’est « impossible », que c’est « non défini », etc., alors il ne s’agit plus du zéro absolu. Ou alors on parle d’un FAUX zéro absolu, ce qui est le cas jusqu’à présent en algèbre.

On pensait qu’un nombre x multiplié par son inverse 1/x doit obligatoirement donner 1. Mais ceci n’était vrai que pour les nombres que nous qualifions d’uni-inversibles.

Tous les zéros et tous les infinis qui ne sont pas absolus (et il y en a toute une infinité!) sont uni-inversibles et avec eux il n’y a aucun souci avec la division, car ils se comportent comme n’importe quel nombre non nul, bien que pouvant être nuls! Les zéros uni-inversibles sont les nombres qualifiés d’infiniment petits par exemple dans la théorie des nombres surréels de John Conway, ou encore dans l’analyse non-standard d’Abraham Robinson, et bien d’autres théories du même genre, qui ont toutes ceci de commun que les zéros et les infinis se calculent exactement comme n’importe quel nombre non nul! Les zéros sont alors en général qualifiés de quantités infiniment petites.

Toutes les fois en mathématique qu’on emploie des idées du genre: « x tend vers 0« , ou toutes les fois qu’on utilise la lettre « epsilon » ou ε, ou que l’on emploie une quantité epsilonique, ce qui signifie une quantité qui « tend vers 0 mais sans être 0« , ou encore toutes les fois qu’on emploie quantité accompagnée d’idées comme « arbitrairement petit« , ou « aussi petit que l’on veut« , etc., il s’agit en fait d’un zéro uni-inversible, c’est-à-dire un infiniment petit.

A l’inverse, toutes les fois qu’on emploie des idées du genre: « x tend vers l’infini« , ou toutes les fois qu’on utilise la lettre « oméga » ou ω, ou que l’on emploie une quantité accompagnée d’idées comme « arbitrairement grand« , ou « aussi grand que l’on veut« , etc., ce qui signifie une quantité qui « tend vers l’infini mais sans être l’infini absolu« , il s’agit en fait d’un infini uni-inversible, c’est-à-dire un infiniment grand.

L’inverse d’un infiniment grand est un infiniment petit, et vice-versa, et la multiplication d’un infiniment grand par l’infiniment petit donne 1 dans ce cas, ce qui est très logique puisque précisément ils sont uni-inversibles. Et il y a une infinité d’infiniment grands et donc d’infiniment petits correspondants, et vice-versa. Je qualifie de tels zéros et de tels infinis, qui sont uni-inversibles, de fractals, car ils jouent un rôle fondamental dans les structures fractales, ou un même modèle se répète à toutes les échelles, de l’infiniment petit à l’infiniment grand:

FractaleOmega

L’arithmétique des infiniment petits et des infiniment grands, les zéros et les infinis uni-inversibles donc, est simple et banale, aucun problème de division par 0 puisque ces zéros ne sont pas absolus, ils se comportent comme n’importe quel « nombre non nul », bien qu’étant nuls en pratique! Pour comprendre, il suffit par exemple d’essayer d’écrire le nombre 10-10 000 000 000, qui consiste à aligner dix milliards de 0 et terminer par 1, puis mettre une virgule après le premier 0. Donc: 0.00000000000000….00000000000001, avec donc dix milliards de zéros dans cette écriture. Ce nombre est pratiquement 0, sans être le 0 absolu. Et pourtant il est infiniment grand encore comparé à 1/G, où G désigne le nombre de Graham!

nombre-graham-wiki-hubertelie

Voilà concrètement un exemple de nombre infiniment grand, qui est pratiquement infini, mais sans être l’infini absolu. Son inverse 1/G est donc concrètement un infiniment petit, qui est pratiquement zéro mais sans être le zéro absolu. Et ce qui est remarquable avec les nombres infiniment grands, c’est qu’ils permettent très facilement de définir des nombres infiniment plus grands encore, et donc aussi des nombres infiniment plus petits! Par exemple GG est infiniment grand comparé au géant G, lui-même déjà infiniment grand!

En matière de grandeur, GG n’a vraiment plus rien à voir avec G, qui est du grand néant comparé à lui! Pour cette raison, en matière de petitesse, 1/(GG) n’a plus rien à voir avec 1/G, qui est un infini comparé à lui! Et la logique se poursuit indéfiniment.

Il est clair donc qu’il existe un véritable horizon de nombres au-delà duquel on entre dans un tout autre univers de nombres intermédiaires sur la route du zéro absolu et de l’infini absolu, mais où le zéro et l’infini ne se comportent plus comme les propriétés habituelles du zéro et de l’infini, mais où pourtant la division par 0 ne pose aucun problème! Bienvenu donc dans le royaume des zéros et des infinis uni-inversibles, les zéros et les infinis fractals:

zero-un-infini

La question est maintenant: quelles sont les propriétés qui expriment le terminus de ce processus d’arithmétique fractale, la clôture de cette logique? Ces propriétés sont précisément celles du zéro absolu mentionnées plus haut, la grande nouveauté étant la division omégacyclique par 0, à savoir donc ceci : 

x × o = o × x = o;
x / o = o, et: o / x = o.

A cet horizon absolu, le zéro n’est plus fractal mais devient cyclique, car la propriété d’absoluité s’exprime par l’idée que l’infini absolu rejoint le zéro absolu, le Grand Oméga rejoint le Grand Alpha (« Grand » par sa petitesse…).

Sans cette propriété du Cycle Oméga qui met fin à l’uni-inversibilité, on tomberait dans un « paradoxe » en disant que le zéro absolu est lui aussi uni-inversible! Et c’est ce paradoxe qui n’en est pas un mais est juste dû à une fausseté de paradigme scientifique (en l’occurrence le refus de passer à la logique de l’Equivalence et du Cycle, ou à la logique d’Alternation) qui passe pour une « impossibilité » de diviser par zéro:

division-par-0-calculatrice-windows-10

Mais en réalité, même la division 1/o (la division par le zéro absolu ou l’Alpha) est possible, et cela donne l’Oméga ou Ω, donc: 1/o = Ω. Sauf qu’au terminus, à l’horizon infini absolu donc, l’Oméga rejoint l’Alpha, pour boucler le grand Cycle Oméga, le Cycle Divin, le Cycle de Dieu l’Univers TOTAL l’Alpha et l’Oméga, ce qui s’écrit: o = Ω ou: Ω = o.

Autrement dit, le zéro absolu est lui aussi bel et bien uni-inversible, comme tous les autres nombres non nuls, et son uni-inverse est l’infini absolu. Mais le Cycle Oméga faisant, cet uni-inverse rejoint le zéro absolu, ce qui est une sorte de « grand reset » des nombres, avec lequel le Cycle des nombres recommence à zéro, exactement comme à minuit ou 24h on revient à 0h, et plus exactement à o h, puisque le zéro en logique de cycle est le zéro absolu. Non pas que 24 et o sont confondus, mais juste qu’un cycle recommence, Cycle 24 qui s’écrit: o = 24 ou: 24 = o.

Quand il s’agit donc du grand Cycle Oméga, l’égalité: o = Ω ou: Ω = o, devient: o = 1/o ou: 1/o = o, ce qui consiste simplement à remplacer l’Oméga ou Ω par sa définition 1/o = Ω, qui est aussi l’expression de l’uni-inversibilité de l’Alpha. Au final, cela donne que l’inverse de l’Alpha c’est lui-même, et je parle alors de l’oni-inversibilité.

Et l’Alpha o et l’Oméga Ω sont les deux nombres oni-inversibles, tous les autres étant uni-inversibles.

Et l’oni-inversibilité signifie un nombre qui multiplié par son inverse donne le 0 absolu ou o au lieu de 1, car dans cette opération finale le 1, qui est bel et bien dans le calcul, s’est transformé en le o, tout simplement parce que l’Oméga, qui est bel et bien dans le calcul, s’est transformé en l’Alpha. Exactement comme aussi dans le calcul en 24, le 24h, qui est bel bien dans le calcul, se transforme en 0h, parce que le cycle reprend à 0.

C’est donc juste ça qu’il faut faire à partir de maintenant. Si l’on divise par un zéro qui n’est pas absolu, le résultat est l’infini correspondant, et il n’y a aucun souci. Mais si le zéro est absolu, le résultat sera systématiquement ce zéro absolu, exactement comme le fait de multiplier un nombre par le zéro absolu donne systématiquement le zéro absolu. On calculait jusqu’ici ainsi avec la multiplication par zéro, et cela ne posait aucun problème. Il suffit donc d’en faire autant avec la division par zéro, et il n’y aura aucun problème. Dans un contexte de calcul où on n’a pas à distinguer un zéro non absolu avec le zéro absolu, le zéro sera juste noté 0 comme d’habitude. Mais dans un contexte où le zéro absolu cohabite avec des zéros non absolus, dans ces contextes le zéro absolu sera noté o.

Les choses sont maintenant claires, mais pour éviter toute difficulté psychologique que ce résultat « 1/o = o » peut encore éventuellement poser, il ne faut pas voir ici 1/zéro comme une opération, mais comme une définition de l’infini. Ou à la rigueur comme l’opération qui définit l’infini. Et l’opération « 1/zéro = zéro » ou « 1/o = o » exprime simplement le cycle infini, qui consiste à dire qu’à l’infini on rejoint zéro.

Autrement dit, la vérité dans l’Univers TOTAL qui dit que si l’on part d’un point appelé zéro et si l’on va suffisamment loin vers l’infini, on finira toujours par se retrouver au point zéro!

En son temps Einstein, avec sa relativité, disait que si l’on avait une bonne vue, une vue parfaite, et si l’on regardait suffisamment loin devant soi, on verrait notre propre nuque! Et bien entendu on suppose qu’il n’y a aucun obstacle sur le parcours de notre vue, que la vue est bien dégagée donc. Einstein voulait par cette expérience de pensée montrer que la trajectoire de la lumière est courbe dans l’Univers, même si sur de petites distances elle paraît bien droite! Lui ne parlait que de notre petit univers, l’univers connu, qu’il appelait « Dieu« , quand il dit par exemple: « Dieu ne joue pas aux dés ».

Mais quant à moi je parle de l’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, le Grand Dieu, le Dieu Absolu, le Dieu Ultime, l’Unique. Le petit « Dieu » qu’est notre univers peut jouer aux dés, autrement dit des choses peuvent être imprévisibles pour nous, si nous sommes aussi limités que notre petit univers ou tout au plus aussi grand que lui. C’est de cette imprévisibilité qu’il est question en physique quantique, comme par exemple avec le célèbre principe d’indétermination de Heisenberg. C’est ce qui a fait dire qu’Einstein avait tort en s’opposant aux paradigmes de la physique quantique actuelle, qui choquaient son intuition, et notamment la vision qu’il avait de cet univers, qu’il appelait « Dieu ».

Mais avec l’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, le Grand Dieu, le Dieu Absolu, le Dieu Ultime, l’Unique, dont je parle à présent, c’est complètement une toute autre affaire! Sa définition est qu’il est l’Ensemble de toutes les choses, de tous les êtres. Il est donc l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, le premier et le dernier, le Grand TOUT (voir Apocalypse 1: 8; 21: 6; 22: 13)! Toute chose existe dans l’Univers TOTAL, de par sa définition même, ce qui veut dire aussi que tout devient vrai avec lui, tout est possible! Avec lui donc c’est la fin de toute imprévisibilité, car tout est déterminé, tout est présent, actuel! Lui effectivement ne joue pas aux dés, en ce sens que tous les résultats que peuvent donner les lancers des dés sont présents devant lui, et en lui, il se connaît lui-même et les connaît tous! En cela Einstein avait raison, et aussi son idée qu’en regardant suffisamment loin devant soi on verra sa propre nuque. Dans le langage de la relativité cela veut dire que notre univers est courbe, la lumière (notre notion de lumière) revient à son point de départ en ayant fait le tour de l’Univers.

Mais dans la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu, cela signifie simplement que l’Univers TOTAL est un Cycle, tout d’ailleurs dans cet Univers TOTAL est une affaire de cycles! Et le Cycle Infini Absolu dont je parle n’est autre que le Cycle synonyme de l’Univers TOTAL lui-même. C’est ce que veut dire « o = Ω« , mais aussi l’apparemment étrange résultat de division « 1/o = o« , qui est juste une autre manière de dire la même chose. Bref, arrêtons là pour les explications techniques. Pour plus d’explications voir le livre PDF L’Univers TOTAL l’Alpha et l’Oméga, mais aussi Générescences, Nombres entiers variables et Structure de corps omégacyclique.

Nous avons démontré que l’idée selon laquelle Dieu n’a rien à voir avec la science est aussi FAUSSE que de dire que la division par 0 est impossible! Car les deux questions sont en réalité la même question. Contrairement donc à tout ce qui a été dit dit jusqu’ici en ce monde, c’est en langage scientifique que la question de Dieu s’exprime le mieux, et non pas en langage de religion ou de croyance. La conséquence de cela est que les religieux ou les croyants qui disaient simplement que Dieu existe ont infiniment plus raison et disaient plus de vérité scientifique que les scientifiques qui nient les vérités religieuses, notamment celle de l’existence de Dieu.

Toutefois, tous les croyants ou religieux ne sont pas obligatoirement connectés au Divin (au vrai) car beaucoup de croyants sont connectés à la Négation, c’est-à-dire au Diable. J’ai donné l’exemple de l’actuel pape, mais je pourrais en dire autant de beaucoup de rabbins talmudistes et/ou kabbalistes, de beaucoup d’imams, etc.

Avant d’aller plus loin dans mon propos, je dois faire observer une déplorable réalité, c’est que vous pouvez critiquer les religions, dire des vérités qui dérangent concernant le catholicisme, le christianisme en général, aller même jusqu’à vilipender l’islam, mettre tous les musulmans dans le même sac en les traitant tous de « radicalisés », d' »intégristes » et même de « terroristes ». Ça passe. C’est l’un des sports préférés d’Eric Zemmour, qui en fait même pratiquement son programme d’élection présidentielle.

Pour lui le problème de la France et du monde n’est pas l’agenda mondialiste, ce n’est pas la religion du Covidisme, les injection des Pfizer et autres qui sont en train de faire des hécatombes dans le plus grand silence médiatique sur le sujet des conséquences de ces prétendus « vaccins » mais vrai élément d’un plan à la fois de transhumanisme et de génocide de l’humanité. Pire que la Shoah donc, oui la Shoah des Shoah, annoncée depuis belle lurettes sur des fresques, comme celles de l’aéroport de Denver ou de Bank of America.

Et d’une:

Et de deux:

Et de trois:

C’est clair, non? Et je vous fais grâce des inscriptions sur les Georgia Guidestones. Si vous connaissez les grands classiques de ce qu’ils appellent le « complotisme » quand les premiers alerteurs en parlent bien des années avant les autres, mais « complotisme » qui a la curieuse habitude de se concrétiser à la longue… Si bien qu’à la question; « C’est quoi un complotiste », la simple réponse est: « C’est une personne qui, hélas, a raison des années avant les autres, quand il alerte sur les plans du Diable et de ses incarnations sur terre ».

Mais même en pleine dictature satanitaire, oh pardon, « sanitaire », en plein Covidisme donc, le plus grand problème de la France et du monde, ce sont les musulmans, l’immigration, voyons. Ou fait-il semblant de critiquer le mondialisme quand il débat avec Jacques Attali ou Alain Bauer ou BHL, etc. Mais nous ne sommes pas dupes de leurs manèges entre talmudistes. Taper sur les faibles et les victimes du talmudo-mondialisme au lieu de parler du vrai MAL, détourner les esprits des vrais sujets pendant que l’essentiel se passe ailleurs, quoi de plus « naturel » quand on fait partie du problème?

Français dans les médias ou en public, pour berner les nationalistes naïfs, ou ceux qui trouvent leur compte dans l’idéologie raciste commune. Mais dans la sphère privée c’est d’un tout autre Zemmour qu’il s’agit, observant les traditions talmudistes, faisant porter à ses enfants et même lui-même des noms juifs. Il n’y a pas de mal à ça, mais le problème est quand on refuse aux musulmans ou aux arabes d’en faire autant, claironnant un discours intégrationniste très intégriste (c’est lui en fait l’intégriste et le radical!), se faisant plus français que français, plus gaulois que gaulois, et plus royaliste que le roi. Ce serait crédible si le trait n’était pas trop forcé. Quand c’est trop beau ainsi, cela en devient très louche, et on est en droit de se demander si ce n’est pas trop beau pour être vrai.

Que ce soit Zemmour, Jacques Attali, Alain Bauer (grand franc-maçon devant l’Eternel) ou autres, tout cela, malgré des désaccords qu’il peut y avoir, sert globalement le même agenda talmudo-kabbalo-maçonnico-mondialiste. On notera que je dis à chaque fois « talmudo » et non pas « judéo », car justement, comme je vais amplement le démontrer, le problème n’est pas le judaïsme ou les juifs, mais le Talmud et le talmudisme, ce qui n’est pas la même chose. Je trouve très juste et même très fondamental de dire « judéo-chrétien », mais pas du tout de dire par exemple « judéo-occidental » ou « judéo-mondialiste », mais « talmudo-occidental » ou « talmudo-mondialiste« . D’aucuns ne verraient pas où est la différence, et pourtant elle est énorme!

Voici, en toute beauté divine, le Tanakh ou Bible hébraïque ou Ancien Testament:

On note que c’est écrit:
« The Holy Scriptures » ou « Les Saintes Ecritures ».
Et ce détail a son importance, car ceci n’est pas comparable
à ce qu’on verra par la suite.

Il est formé de trois grandes parties: la Torah (ou La Loi ou le Pentateuque, les cinq premiers livres de la Bible, le premier des cinq étant la Genèse, suivi de l’Exode, du Lévitique, du livre des Nombres et du Deutéronome); le Néviim (ou livre des Prophètes, qui contient par exemple Isaïe, Jérémie, Ezékiel, Daniel, et tous les autres livres prophétiques); le Kethuvim (qui signifie « Les Autres écrits », mais qu’on ne s’y trompe pas, il contient de très importants livres bibliques, comme par exemple les Psaumes de David, quand celui-ci n’est pas rangé dans les prophètes, les livres des Rois, des Chroniques, de Job, des Proverbes, de l’Ecclésiaste, etc.)

Et voici en toute beauté divine aussi la Bible dans son ensemble, deux versions: la KJV ou King James Version, ou Bible du Roi Jacques, un grand classique de traduction biblique, accompagné de la version du Semeur:

On note que c’est souvent écrit aussi:
« The Holy Bible » ou « La Sainte Bible ».
La Bible est une bibliothèque d’environ 70 livres de tailles très variables,
certains d’un seul chapitre, comme par exemple
l’épitre à Philémon ou celle de Jude.
Mais d’autres ont plusieurs dizaines de chapitres,
comme par exemple les cinq livres de la Torah,
les prophéties d’Isaïe, de Jérémie ou d’Ezékiel.
Tout ça donc en un seul livre, qui peut prendre une forme très compacte.
N’importe quel humain lambda peut avoir son exemplaire de la Bible,
on peut l’emporter partout avec soi, le lire, se connecter au Divin, à la pensée divine.
Même si on peut avoir besoin d’aide pour mieux comprendre
certaines parties difficiles la Bible, comme les prophéties ou l’Apocalypse,
une très grande partie du texte biblique est très accessible à tous,
comme par exemple l’enseignement de Jésus dans les évangiles,
les épitres de Paul, etc., sans parler des psaumes ou des livres historiques.
C’est Dieu et l’Esprit de Dieu qui nous parle,
sans avoir besoin de rabbins, de prêtres ou d’intermédiaires pour comprendre.
Je dis cela bien sûr en préparant à faire la différence
entre la Bible et le Talmud ou la littérature talmudique…

Malgré la taille relativement réduite de la Bible, tout le Tanakh ou Ancien Testament est contenu dans la Bible et en est la première partie, avec les subdivisions de cette première partie mentionnées plus haut. La seconde partie est le Nouveau Testament, qui commence par les quatre évangiles: Matthieu, Marc, Luc, Jean, suivi du livre des Actes des Apôtres, suivi des 14 Epitres (ou Lettres) de l’apôtre Paul, l’Apôtre des nations. L’épitre aux Romains, les deux aux Corinthiens, celle aux Galates, aux Ephésiens, etc., et un épitre très spécial qui est celle aux Hébreux. Après quelque autres épitres dont celles de l’apôtre Pierre, le Nouveau Testament se conclut par le majestueux, puissant et très profond livre de la Révélation, plus communément connu sous le nom de livre de l’Apocalypse. Du grec « Apocalupsis » qui signifie en fait « Révélation » ou « Dévoilement », et ça veux dire ce que ça veut dire!

C’est par exemple dans le livre de l’Apocalypse uniquement que, dans toute la Bible, on trouve la fameuse formule divine: « Je SUIS l’Alpha et l’Oméga« . Beaucoup la récitent comme une belle formule biblique, mais sans comprendre son sens profond, à savoir qu’elle est la formule de toute une science, la Science de Dieu (voir le livre PDF L’Univers TOTAL l’Alpha et l’Oméga, mais aussi Générescences, Nombres entiers variables et Structure de corps omégacyclique).

Les français sont invités à accorder une attention particulière à l’épitre aux Galates, qui est comme un écrit prophétique pour eux, indiquant aussi le rôle qu’ils joueraient dans les temps eschatologiques, les temps de changement de monde ou de civilisation. Ce n’est pas un hasard si la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu se passe maintenant en langue français, après l’hébreu et l’araméen pour le Tanakh et le grec koïnè pour le Nouveau Testament. Et pas étonnant non plus que les talmudo-kabbalo-mondialistes mettent particulièrement leurs grappins sur la France et les pays francophones clefs, comme la Belgique (dont la partie wallonne est francophone), la Suisse (romande), le Québec, etc., sans parler de l’Afrique francophone. La France surtout donc, le fief des Attali, des BHL, des Zemmour et autres, et Zemmour dont ils veulent faire le Zelensky français (allusion à l’Ukraine donc), même si Macron fait déjà bien le boulot…

Les kabbalistes, les maîtres de l’ésotérisme et de l’occultisme talmudistes, savent donc le destin divin de la France (enfin, des Gaulois, des Francs, connectés spirituellement aux Galates…), La question de la judéité biblique et divine opposée à la judéité talmudique est l’une des questions clefs de l’épitre aux Galates (Galates chapitres 1 à 3), de même que des révélations sur le nouvel Israël, l’Israël de Dieu (Galates 6: 16), sur la « Jérusalem de maintenant », comparée à Agar la servante égyptienne d’Abraham et Sara, la mère d’Ismaël l’ancêtre des arabo-musulmans. Et tout cela opposé à la « Jérusalem d’en haut », la Mère de tous les enfants de Dieu, la Mère universelle (Galates 4: 26). Bref, toutes les grandes thématiques qui secouent le paysage français depuis un bon moment, sont abordées dans cette épître aux Galates, en langage prophétique ou codé. Les kabbalistes, ce qui veut dire aussi les maîtres francs-maçons du Grand Orient, tels les Alain Bauer, comprennent ces codes, et entendent détourner la France de son destin divin pour servir l’esprit du Talmud et l’agenda talmudo-kabbalo-mondialiste. Sans ces données on ne peut pas vraiment comprendre tout ce qui se joue sur la scène française et mondiales. Il n’y a pas de hasard, tout obéit à des logiques cachées que la plupart des gens ignorent complètement. Pour comprendre le monde, il faut ouvrir la Bible, et essayer de comprendre ce qui se cache dans le Talmud, que voici:

Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce n’est du « Holy Talmud »…
Ils peuvent bien sûr écrire « Holly » ou « Saint » dessus,
cela ne changera rien au fait qu’honnêtement, vraiment,
ce n’est pas de la pensée de Dieu.
Il y a 2000 ans, Jésus, en citant un texte d’Isaïe,
rapportant lui-même des propos de Dieu ou de l’Ange de Dieu, disait:
« Ce peuple m’honore des lèvres [c’est Dieu qui parle donc] mais son coeur est fort éloigné de moi.
C’est en vain qu’ils me rendent un culte,
car ils enseignent comme doctrines des commandements d’hommes« .
(Matthieu 15: 8, 9)
C’est déjà grave de remplacer la Parole de Dieu par celle des hommes.
Mais la chose est plus grave, car en fait,
la Parole de Dieu a été remplacée par la Parole du Diable.
Cette parole du Diable ne se déclare pas comme tel, bien sûr,
mais dit être attachée à la Torah, au Tanakh, etc.
Et l’illusion est maintenant que le talmudisme
repose sur la Torah, le Tanakh, bref l’Ancien Testament.
Mais il n’y a pas pire ennemi d’une chose qu’un faux défenseur de la chose!
Car avec un ennemi déclaré de la chose, on sait à quoi s’en tenir.
Mais avec avec un faux défenseur de la chose, on tombe dans le piège.

Evidemment ce que je dis d’eux peut être retourné par eux contre moi.
En effet, je dis cela en parlant des talmudistes et de leur fausse défense du Tanakh,
et de ce fait en disant que je suis un authentique défenseur
du Tanakh et de toute la Bible, comme Jésus à son époque.
Je dis donc être un philosémite, aime et défenseur de l’essence juive, la vraie.
Car je suis une âme juive, celle d’Elie, dans une peau de Kushite (peau noire),
parce qu’un des secrets bien gardé de la Torah, notamment de la Genèse,
et qui concerne la bénédiction des trois fils de Noé: Sem, Japhet et Cham
(habituellement on dit: Sem, Cham et Japhet, mais Sem est l’aîné, et Cham le troisième),
est que le « maudit » au début et à qui il ne fut pas permis de s’exprimer
sera le béni à la fin, qui conclura les débats, avec la pleine révélation divine.
Ce n’est pas Cham qui fut maudit à cause de la faute sur Noé,
mais son fils pervers Canaan, car en fait sa faute est attribuée à son père (Genèse 9: 20-29).
Pour cette raison Cham ne fut pas mentionné dans les bénédictions de Sem et Japhet
que Noé, revenu de son ivresse, prononça en Genèse 9: 20-29.
Les noirs africains ne sont pas descendants de Canaan (fort heureusement…)
mais de Kush ou Koush, un des fils de Cham (Genèse 10: 1-7).
C’est ce qui fit dire que Dieu aurait maudit les africains,
ce qui expliquerait la domination qu’ils sont subie dans l’histoire
aussi bien des descendants de Sem que de ceux de Japhet.

Mais en fait ils n’ont pas été maudits, mais n’ont pas été explicitement bénis non plus…
Il ne faut pas oublier que Cham a eu deux autres fils, Misraïm et Put ou Pout,
et les Egyptiens et leur grande civilisation du Nil sur le continent Africain,
sont des descendants de Misraïm ou Mitsraïm ou Mizraïm (Genèse 10: 6).
Et soit dit en passant, un rite d’initiation maçonnique est celui de Memphis-Misraïm,
et l’ésotérisme talmudo-kabbalo-maçonnique « Pyramidophile »
n’a pas choisi cette appellation très Egyptienne pour rien…
Le patriarche Abraham se rendit en Egypte
à un moment critique de sa vie (Genèse 12: 10-20).
Et c’est bien en Egypte que Joseph, le fils préféré de Jacob,
vendu par jalousie par ses frères à des madianites,
fut conduit et Dieu fit de lui un premier-ministre d’Egypte (Genèse 37: 1-36; 41: 1-57).
Et Jacob ou Israël et sa famille allèrent s’installer en Egypte
où le peuple d’Israël s’est accru pendant des siècles (Genèse 12: 10-20; 46: 1-27).

Même Jésus a passé une partie importante de sa vie de jeunesse en Egypte (Matthieu 2: 13-23).
Décidemment donc, l’Egypte ou le continent Africain
est le passage obligé de tous ceux qui ont une grande mission divine… Hum…hum…
Le moins qu’on puisse dire donc, c’est que, mis à part Canaan,
la descendance de Cham joue un rôle divin secret.
Leur statut final a été gardé silencieux, cela se révélerait en troisième lieu,
quand les bénédictions de Sem et Japhet, les deux aînés, se seront exprimés.
Personne n’attendrait rien de bon sortir de l’Afrique noire,
et pourtant c’est bien Kush (l’Afrique noire) qui aura le mot de la fin,
et cela les rabbins talmudistes et kabbalistes l’ont compris et le disent.
Le rabbin Haïm Dynovisz par exemple enseigne que la royauté viendra de Kush…
Mais est-ce que les tamudistes vont comprendre
que c’est finalement Kush qui leur permettrait de renouer avec leur essence divine qu’ils ont niée,
autrement dit de se réconcilier avec Jésus de Nazareth le Roi des Juifs,
leur Roi qu’ils ont livré aux romains, leur Messie, le vrai, qu’ils ont crucifié?
La question a été soigneusement posée au conditionnel, quand j’ai dit: « …leur permettrait… ».
L’avenir apportera la réponse…

Alors suis-je philosémite ou antisémite?
Vous avez 7 secondes pour répondre: tic…tac…tic…tac…tic…tac…tic…
Je les entends déjà m’appliquer à moi-même le principe que j’ai énoncé plus haut,
à savoir que le Talmud est un faux ami de la Torah et du Tanakh en général,
et qu’un faux ami est pire qu’un ennemi déclaré, avec qui on sait à quoi s’en tenir.
Ils peuvent donc eux aussi m’accuser d’être un faux défenseur de l’essence juive,
donc un « antisémite » pire donc que ceux qui se déclarent directement ennemis des juifs.
Et vous, lecteur-lectrice, sachant que je dis que le Talmud est un faux ami de la Torah et du Tanakh,
suis-je philosémite ou antisémite?

Ci-dessus donc la photo du Talmud, après celui du Tanakh et de la Bible. Toute une bibliothèque donc, plus importante pour les talmudistes que le Tanakh, comme les rabbins talmudistes le disent eux-mêmes. En l’occurrence j’ai entendu le rabbin Haïm Dynovisz le dire dans l’un de ses enseignements. Il dit que la Torah donnée à Moïse ou « Moshé Rabbinou » au Sinaï est la Torah écrite, et elle est de dimension masculine. Mais des siècles plus tard « Hachem » a donné à Rabbi Akiva la Torah orale, qui, elle, est de dimension féminine. Autrement dit, les fondements du Talmud et de la Kabbale furent donnés à Akiva. Et il termine en disant à ses élèves que pour eux, juifs, cette Torah orale est beaucoup plus importante que la Torah écrite. Voici donc tout simplement le Talmud et la Kabbale placés bien au-dessus du Tanakh! On pouvait difficilement mieux le dire que ce qu’a dit le rabbin Dynovisz. Et c’est justement ce que Jésus leur a reproché il y a 2000 ans en Matthieu 15: 3-9.

Le Talmud est censée à la base être un recueil d’interprétations, d’enseignements et de commentaires sur le Tanakh. Mais c’est justement aussi ça le problème, à savoir que le Tanakh est compris à travers le prisme du Talmud, donc, concrètement, c’est ça qui remplace le Tanakh. Et quand on a vu cette impressionnante bibliothèque qu’est le Talmud, là où la Bible toute entière (le Tanakh compris donc) est juste un simple et lumineux et « Holy » Livre, on a compris aussi pourquoi il y a 2000 ans Jésus a dit aux pharisiens, les prédécesseurs des rabbins talmudistes: « Pourquoi avez-vous annulé la Parole de Dieu au profit de votre tradition? » (voir Matthieu 15: 3-9). Je dirais la même chose ainsi: « Pourquoi avez-vous noyé le blé de la Parole de Dieu dans votre immense champ de l’ivraie talmudique, ou dans votre océan de traditions talmudiques?« .

Mais le pire n’est pas le volume, car, bien sûr, on peut avoir toute une bibliothèque de vérités et de lumière divine. Le problème de fond est donc l’idéologie qui occupe cette impressionnante bibliothèque talmudique! C’est l’idéologie qui de tout temps a eu pour conséquence de tuer des prophètes à cause de la vérité qu’ils disaient et qui dérangeaient les tenants de cette idéologie. C’est celle-ci qui a eu pour conséquence de ne pas reconnaître le Messie annoncé par les prophètes, de le tuer. Et c’est l’idéologie qui est la racine du fameux Nouvel Ordre Mondial dont souffre les nations et les peuples du monde. Tout cela nuit donc à l’essence juive, la vraie, que j’explique partout ailleurs sous l’angle des sujets traités, et que je vais expliquer ici aussi sous l’angle de la question de paradigme. Car il se trouve aussi que le vrai Paradigme de la science, et pour Israël, et pour la France et le monde, oui le vrai Paradigme scientifique pour comprendre l’Univers et les choses, c’est le Paradigme contenu dans le Tanakh (ou Bible hébraique ou Ancien Testament), dans le Nouveau Testament, et tout cela c’est l’essence juive, la vraie essence juive, tandis que le Talmud est une très grave déviation par rapport à la Torah et à l’ensemble du Tanakh.

Le judaïsme talmudique ou rabbinique, doit simplement être appelé le talmudisme, tout comme il faut distinguer le catholicisme du christianisme en général. D’autant plus que le judaïsme biblique a disparu depuis 2000 ans, après la destruction du temple de Jérusalem par les romains en l’an 70 après Jésus Christ et la grande diaspora juive qui en est résultée et que Jésus a annoncée (Matthieu 23: 37-39; 24: 1-21; Luc: 21: 20-24). Et justement il faut comprendre les vraies raisons des exils juifs et des diasporas, qui sont toujours les mêmes, depuis le temps des prophètes (voir Jérémie 25: 1-12). C’est ce que les talmudistes se gardent bien de dire, la posture éternelle de victimes de l’antisémitisme étant tellement plus commode. C’est toujours la faute des autres, les méchants, ce sont toujours les autres, c’est vieux comme ce monde de mensonges.

Et justement, même si nous en reparlerons plus tard, disons tout de suite avant d’entrer dans l’exposé concernant l’essence juive, qu’il y a deux antisémitismes. Le premier est biblique, il est associé à la Torah, au Tanakh. Il vient de peuples dont le paradigme en matière de spiritualité était le polythéisme, le culte des idoles, les pratiques de satanisme, de magie, de sorcellerie, de spiritisme, etc. Tout ce que YHWH ou Yahvé le vrai Dieu, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, le Dieu Unique, condamne depuis les Dix Commandements et la Torah donnée à Moïse (Exode 20: 1-17), tout au long du Tanakh (revoir Jérémie 25: 1-12), et même tout au long du Nouveau Testament (voir Actes 15: 23-29; 2Corithiens 6: 14-16; 1Jean 5: 20, 21). Le Dieu de la Bible, la connaissance de ce Dieu et ses valeurs très élevées comparées à celles des idoles (ce qui veut dire les démons ou le Diable) sont l’essence juive. Dieu ordonnait à Israël de se tenir pur, séparé des nations idolâtriques, de leurs valeurs et pratiques dégénérées. Pour cette raison, les nations haïssaient l’essence juive, et donc haïssaient les juifs qui les portaient.

Mais chaque fois que les juifs étaient fidèles à leur essence, ils étaient bénis par Dieu, et l’hostilité des autres peuples ne parvenait pas à les vaincre et à leur faire perdre leur héritage divin, notamment la terre promise. Car Dieu les protégeait et combattait pour eux.

C’est cela l’antisémitisme biblique, pour ce qu’ils sont, pour YHWH ou Yahvé leur Dieu, pour leurs valeurs, les juifs étaient haïs par des nations, attaqués même dans des guerres mais Dieu combattait pour eux, le roi David par exemple (l’auteur de la plus grande partie des psaumes) étant connu comme un vaillant guerrier. Mais dans le même temps aussi, l’essence juive rayonnait, et le règne de Salomon le fils de David fut un âge d’or pour la civilisation juive. Des rois et des reines venaient de loin honorer le Dieu des juifs à Jérusalem. Et quand après cet âge d’or Israël péchait contre son essence et pratiquait des choses mauvaises, et que Dieu le punissait en permettant qu’ils subissent des défaites dans ses combats, ou même qu’ils soient en exil ou dominés par des nations, quand ils se repentaient Dieu les secourait de nouveau et plus généralement de toutes les tentatives des peuples ou des personnes hostiles de les exterminer. Ces tentatives relevaient aussi de l’antisémitisme biblique.

Mais un autre antisémitisme s’installa progressivement aussi et prenait le relai, qui est l’antisémitisme talmudique. Le Talmud, au départ essentiellement une interprétation du Tanakh, un enseignement oral et des commentaires, devient à la longue une tradition très déviante qui a supplanté le Tanakh, la révélation divine. Au temps de Jésus, la situation était telle qu’il a dit ceci en Matthieu 15: 3-9:

Alors des pharisiens et des scribes vinrent de Jérusalem auprès de Jésus, et dirent: Pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens? Car ils ne se lavent pas les mains, quand ils prennent leurs repas. Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition? Car Dieu a dit: Honore ton père et ta mère; et: Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort. Mais vous, vous dites: Celui qui dira à son père ou à sa mère: Ce dont j’aurais pu t’assister est une offrande à Dieu, n’est pas tenu d’honorer son père ou sa mère. Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition. Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé sur vous, quand il a dit: ‘Ce peuple m’honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi’. C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.

Oui la Parole de Dieu fut progressivement supplantée par cette tradition des hommes qu’est le Talmud, qui veut dire un enseignement inspiré par le Diable, pour détruire, neutraliser, noyer ou rendre inerte la Parole de Dieu, le Tanakh donc. C’est cette déviance talmudique, ou pire, cette pensée qui n’est plus divine mais démoniaque (sans parler de la Kabbale, la gnose ou l’ésotérisme juif, qui au départ n’était pas acceptée par nombre d’enseignants juifs, car ils la voyaient comme la sorcellerie ou de la magie, mais qui s’est ensuite amplement greffée sur l’enseignement talmudique, au point d’être pratiquement indissociable du Talmud), qui a entre entre pour conséquences de faire rater le Machiah il y a 2000 ans. Le Machiah, Jésus donc, leur expliquait le problème et sa gravité, comme le montre la citation ci-dessus. Et au final il a été crucifié.

Comme Jésus l’a dit aux pharisiens et aux sadducéens les prédécesseurs des rabbins talmudistes actuels, ils décorent les tombes des prophètes et des justes en disant que s’ils avaient vécu au temps des prophètes, ils ne se seraient pas joints à ceux qui les persécutaient ou même tuaient certains. Et pourtant, dit-il, c’est bien ce qu’ils s’apprêtaient à lui faire, se montrant les successeurs de ceux à qui ils croyaient ne pas ressembler (Matthieu 23: 29-31).

Cet esprit du Talmud, qui fait tuer des prophètes, qui fait crucifier le Messie, est le mal d’Israël, la racine de tous ses maux, de ses souffrances, de ses exils, de ses diasporas. Et au-delà, c’est le mal du monde, c’est lui qui a fait que les juifs étaient souvent si mal acceptés dans leurs diasporas. Il est la cause du second antisémitisme, talmudique donc, qui n’est plus du tout la même chose que l’antisémitisme biblique. C’est l’esprit du Talmud qui apporte la malédiction sur le peuple juifs, qui fait payer un lourd tribu à des hommes, des femmes et des enfants, juste parce qu’ils sont juifs. Mais les incarnations de cet esprit du Tamud qui domine désormais le peuple juif depuis des siècle ou même des millénaires, au lieu de se repentir et de revenir simplement à la Torah, au Tanakh, au Nouveau Testament (et en plus à la lumière de la Science de Dieu maintenant, qui est l’apothéose de l’essence juive), ces démons nés humains au sein du peuple juif prennent littéralement le peuple juif dans son ensemble, sur la base de l’appartenance à la race juive, en faisant de l’accusation d’antisémitisme leur arme redoutable non seulement pour se victimiser et détourner du vrai problème, mais pour lapider ou crucifier tous ceux qui, comme Jésus ou les prophètes, disent la vérité qui les dérange.

Le vrai antisémitisme, celui biblique a progressivement disparu depuis 2000 ans, au fur et à mesure du rayonnement de l’essence juive dans le monde, et notamment de Jésus Christ. Ce rayonnement fut tel que même au temps des prophètes des rois et des empereurs se sont convertis au judaïsme biblique ou sont devenus des philosémites, ce qui veut dire des gens qui aiment l’essence juive, la culture juive, ou tout simplement les juifs.

Ce qui reste de l’ancien antisémitisme, l’antisémitisme biblique donc, on le rencontre généralement dans les idéologies lucifériennes (j’entends par là les idéologies de fausse lumière, de faux amour, tel le New Age et autres), des idéologies gnostiques ou ésotériques que je regroupe globalement sous le nom de religion de Caïn. Sans haïr nécessairement non plus les juifs pour leur race, et sans même qu’on puisse parler vraiment de « haine », ils ont par contre une vraie aversion pour Yahvé et pour le Tanakh ou Ancien Testament.

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Ils accusent YHWH d’être le « Démiurge », d’être sanguinaire, un « assoiffé de sang », qui ordonne le massacre de peuples, hommes, femmes et enfants, qui demande un sacrifice à gogo des animaux au temple, et même qui ordonnerait aux juifs de lui sacrifier leurs enfants. Il s’agit donc d’idéologies anti-YHWH (ou anti-Yahvé), anti-Tanakh (ou anti-Ancien-Testament. On reviendra sur tout cela, qu’on réfutera, car dans le meilleur des cas il s’agit d’une incompréhension de la Bible et de sa logique, et dans le pire une inimitié contre le vrai Dieu, et donc une adoration plus ou moins consciente du Diable, du Serpent d’Eden, comme les peuples idolâtriques d’autres fois. La religion de Caïn est alors un néopaganisme, comme les personnes de ces idéologies le montrent souvent.

Force est constater aussi que ces idéologies anti-YHWH ou anti-Tanakh ne semblent pas déranger outre mesure les talmudistes, pour la bonne et simple raison que, malgré les apparences, ils sont eux-mêmes des anti-YHWH ou anti-Tanakh, au moins parce que les principaux rabbins sur Youtube enseignent ouvertement que le Talmud est plus important pour eux que la Torah.

La Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu est enfin la Science qui fait la lumière sur toutes les choses, et toutes les questions, et notamment sur Dieu et le Diable, sur les anges et les démons. Le Tanakh ou Bible hébraïque, couramment appelé l’Ancien Testament, la première partie de la Bible, la seconde partie étant le Nouveau Testament. Nous vivons tout simplement à l’ère du Troisième Testament, qui est donc la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu. L’Ancien Testament (ou Tanakh ou Premier Testament), le Nouveau Testament (ou Deuxième Testament), la Science de Dieu (ou Troisième Testament en cours d’écriture), autrement dit donc la Bible et sa suite qu’est la Science de l’Univers TOTAL, sont la révélation divine.

Le Tanakh est donc la vraie révélation divine qu’il ne faut plus confondre avec le Talmud et la Kabbale, qui est une déviance, une hérésie contre le vrai Dieu, le Dieu de Moïse et de la Torah, le Dieu des prophètes. Le Tanakh est l’essence juive, la vraie essence juive, qui a été dénaturée par le Talmud et la Kabbale, qui jettent l’opprobre sur le Tanakh, sur le Dieu de la Torah et sur son ancien peuple élu, le peuple israélite (celui des 12 tribus d’Israël) et son importante composante qu’est le peuple juif (qui au sens propre désigne en fait les 2 tribus de Juda et de Benjamin, une partie des 12 tribus, qui ont formé la Judée dont la capitale est Jérusalem).

Les gens croient (et le mensonge est très savamment entretenu, notamment par la tradition talmudique et rabbinique) que la culture juive ou israélienne telle qu’on la connaît aujourd’hui est la continuité de l’essence juive incarnée par le Tanakh ou la Torah. Or depuis au moins 2000 ans les choses ont profondément changé, pas dans le bon sens, hélas. C’est à cette grave déviance que Jésus de Nazareth et ensuite ses apôtres (des juifs donc) se sont trouvé confrontés, et avant eux les prophètes, depuis Elie de Tishbé (1Rois chapitres 17 à 20) face à la très grave hérésie introduite par les prophètes de Baal ou de Béelzébuth, et même avant lui, depuis le début même, avec Moïse face par exemple à la corruption qu’est le culte du Veau D’Or (Exode 32).

Toutes ces déviances donc ou corruptions de l’Esprit de la Torah (ou Loi de Dieu) ou du Tanakh (ou Bible hébraïque, l’Ancien Testament donc), sont la genèse du Talmud et de la Kabbale.

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Dans l’intérêt d’Israël et du peuple juif, et au-delà pour l’intérêt du monde entier, pour que cessent les malédictions, les malheurs et les souffrances, il est maintenant de la plus haute importance de distinguer le TALMUD du TANAKH. Nous sommes en train d’expliquer pourquoi.

Le Tanakh, ou Bible hébraïque, couramment appelé l’Ancien Testament, ou Ancienne Alliance, est la première partie de la Bible, la Première Alliance inaugurée par Moïse. La seconde partie de la Bible est appelée le Nouveau Testament ou la Nouvelle Alliance, qu’il faut plutôt appeler la Seconde Alliance, puisqu’en ce troisième millénaire commence l’ère de la Troisième Alliance, qui est donc la nouvelle Nouvelle Alliance, ou le nouveau Nouveau Testament,
qui est la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu.

Techniquement parlant, c’est la Théorie universelle des ensembles, ce qui veut dire la Science des ensembles au sens le plus universel et large du mot ensemble. Toute chose est un ensemble, le corps humain par exemple est un ensemble, fait d’une tête, de bras, de jambes, de thorax, etc. Et la tête elle-même est un ensemble fait d’un crâne, d’un cerveau dans le crâne, d’yeux, d’oreilles, d’une bouche, etc., et chaque partie ou élément de l’ensemble que l’on peut considérer
est à son tour un ensemble fait d’autres chose, et ainsi de suite à l’infini.

Si l’on veut détailler tous les éléments qui forment juste l’ensemble qu’est un corps humain, ce qui veut dire aussi détailler les sous-ensembles, les sous-sous-ensembles, etc., même l’éternité ne suffirait pas, car en réalité cet ensemble est infini.

Il ne faut pas croire la science actuelle quand elle dit que la structure de la matière s’arrête à ce qu’elle appelle les « particules élémentaires« , à savoir les protons, les neutrons, les électrons, les quarks, les neutrinos, etc. En réalité, si l’on se rendait à leur échelle, on s’apercevrait qu’un simple électron et même un simple photon est tout un ensemble formé d’autres choses, elles-mêmes des ensembles formés d’autres éléments, et ainsi de suite.

Cette structure qui continue à l’infini est ce qu’on appelle une structure fractale
(voir La Structure Fractale: la clef de la compréhension de l’Univers).

En réalité donc, la moindre petite particule est tout un univers!

Plus on va vers l’infiniment petit dans la matière, ou vers l’échelle Alpha ou zéro absolu ou Omicron o, plus on zoome dans la matière donc, et ce zoom nous fait entrer dans tout un nouvel univers, puis un autre, puis un autre, etc. A l’inverse, plus on va vers l’infiniment grand dans la matière, ou vers l’échelle Oméga ou l’infini absolu, plus on dézoome et donc notre immense terre va devenir un point et « disparaître », puis c’est tout notre système solaire qui deviendra un point et « disparaître », puis c’est toute notre galaxie qui deviendra un point et « disparaître », puis c’est tout notre univers connu qui va devenir une particule parmi toute une infinité d’autres particules.

Chaque type de particule est un type différent d’univers. Cela signifie simplement que ce que nous appelons « particules » ou « points« , c’est en réalité des univers, des mondes de mondes! Et tous ces mondes sont peuplés d’êtres et entités complètement différentes de tout ce que nous connaissons ou pouvons imaginer.

Et dans notre voyage on découvre aussi une vérité extraordinaire: malgré toutes les apparences, la matière telle qu’on la connaît, et qui nous apparaît comme « solide » par ici, « liquide » par là, « gazeuse » par là encore, ou « plasmatique » ailleurs encore, tout ça n’est qu’apparence et le fruit de nos perceptions, l’illusion de nos sens, la résultante de nos limitations. Car en réalité tout n’est qu' »énergie« , tout est « onde« , tout est immatériel, tout est esprit:

C’est la vérité même que je vous dis-là, et la très grande vérité que j’ajoute à cela à nous qui vivons au troisième millénaire, à l’ère dite de l’information, du numérique, c’est que tout à la base n’est que de l’information pure, tout est numérique! Autrement dit, tout n’est donc qu’une affaire de nombres, de NOMBRES!

Donc ce que nous appelons « énergie« , « onde« , immatérielesprit, etc., c’est l’information, c’est numérique, c’est le nombre! Tout est donc fondamentalement nombre et relations entre les nombres! Tout n’est que des 0, qui assemblés en nombre infini forment des 1, et en répétant le processus de formation du 1 on a: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, …

Et plus on tend vers l’infini absolu Oméga ou Ω, plus les nombres, qui sont des ensembles, sont des structure de plus en plus complexes, de plus en plus riches en combinaisons, en relations, en configurations, en propriétés, etc. Et parmi ces propriétés, il y a par exemple le fait d’avoir la sensation de matière « solide », « liquide », « gazeuse », etc. On va appeler telles propriétés les « ondes », telles autres les « esprits », les « énergies », les « âmes », etc. Mais à la base ce sont des nombres et relations entre les nombres, et les relations sont elles-mêmes des nombres particuliers.

Bref, tout et absolument tout est information, est numérique, est nombre!

Et les ensembles sont les nombres et les nombres sont les ensembles. Qui comprend donc enfin les secrets des nombres ou des ensembles, comprend enfin les secrets de TOUT, autrement dit les secrets de DIEU!

Voilà donc pourquoi aussi dans les sciences de ce monde il y a de grands mensonges sur les nombres, sur le zéro, sur l’infini, sur la division par 0 (la prétendue « impossibilité » de diviser par zéro), sur l’ensemble plein (la prétendue « impossibilité » de l’ensemble de tous les ensembles), et sur bien d’autres notions absolues, en mathématiques mais aussi dans les autres disciplines scientifiques.

C’est l’Esprit de la Vérité, autrement dit l’Ange de l’Information et notamment de l’Information Divine, bref c’est l’Ange de la Science (et notamment de la Science de Dieu), qui peut révéler ces vérités absolues dans un monde où elles sont cachées ou étouffées ou niées, et où Dieu doit les révéler par des humains spéciaux, hier les prophètes, puis Jésus, les apôtres, et votre serviteur au troisième millénaire, l’ère de l’information, du numérique, oui l’ère du NOMBRE!

C’est mon ère, l’ère de mon Paradigme, le Paradigme de Dieu.

Car l’Ange de l’Information (Divine), l’Ange de la Science (Divine), c’est tout simplement aussi l’Ange de la Révélation ou de l’Apocalypse (le mot grec « Apocalupsis » traduit par « Apocalypse » signifie fondamentalement « Révélation » ou « Dévoilement« ). C’est donc l’Ange de la Connaissance de Dieu, de la Connaissance Biblique, l’Ange de la Torah, du Tanakh, du Nouveau Testament.

Cela signifie tout simplement qu’à des époques particulières, l’Esprit de Dieu ou Information de Dieu ou Energie de Dieu, etc., habite certains humains pour accomplir une mission de faire progresser la connaissance de Dieu.

Moïse en son temps fut un important exemple, Dieu donna la Torah par lui au mont Sinaï (voir Exode 3: 1-15). Mais en réalité, chaque fois qu’il est dit que Dieu fait ceci ou cela c’est un ange de Dieu qui le fait, qui accomplit une mission. C’est donc un ange de Dieu qui parlait à Moïse dans le buisson, c’est lui qui envoie Moïse en Egypte délivrer Israël de l’esclavage, c’est lui qui accompagne Israël dans sa sortie d’Egypte pour le mener en Terre promise. La mission de cet ange spécial, qui incarne spécialement Dieu et est très près des affaires du Messie ou Machiah, s’arrêta là, aux portes de la Terre promise.

Voilà aussi pourquoi Moïse n’entra pas en Terre promise, Dieu (ou plutôt l’ange de Dieu) s’arrangea pour que Moïse n’y entre pas, et de ne pas entrer est très important sur le plan symbolique. Cela signifie entre autres que cette étape de la Terre promise n’est pas une fin en soi, mais c’est juste une étape intermédiaire pour atteindre le vrai but, à savoir faire revenir les enfants de Dieu de tous les peuples dans le Paradis perdu, dans la nouvelle « Terre Promise », et qui est aussi la « Nouvelle Terre » promise (Apocalypse 21: 1-7).

Tout cela devait se passer en au moins trois étapes, trois Testaments, et l’étape avec Moïse n’était que la première, celle du Tanakh. Moïse n’est pas donc entré en Terre promise, l’ange de Dieu la lui a fait voir de loin. Puis l’ange lui dit de « mourir » sans laisser de tombe connue, ce qui indique que ce Moïse représentait devait réapparaître sous différentes formes, à chaque fois mener la suite du programme commencé avec Israël sorti d’Egypte.

Moïse appartient à une catégorie spéciale de prophètes appelée les « Elie« . Et en ces prophètes s’incarne un ange spécial bien connu et qui est Gabriel. Autrement dit, le nom d’ange des Elie c’est Gabriel, un secret que je vous dévoile à présent.
Et Gabriel, le plus angélique des humains et le plus humain des anges, est l’Ange de l’Information, de la Révélation et de la Science Divine.

Que ce soit sous sa forme d’ange Gabriel ou sous sa forme d’humain Elie, cet envoyé de Dieu incarne spécialement YHWH ou Yahvé, et justement le nom « Elie » ou « Eliyah » signifie « Mon Dieu, c’est Yahvé ». On ne peut pas dire que l’on connaît vraiment Moïse si l’on ne comprend pas que c’est un Elie, car un Elie, dont l’Identité absolue ou Âme est « Mon Dieu, c’est Yahvé » ou « Mon Dieu c’est ‘JE SUIS' », ou « Mon Dieu c’est ‘JE SUIS l’Alpha et l’Oméga' », ou encore « Mon Dieu c’est ‘JE SUIS l’Etre TOTAL, qui EST, qui ETAIT et qui SERA' ».

C’est cela donc l’identité absolue ou la définition et la devise d’existence des Elie. Et un Elie ne s’appelle pas forcément Elie mais peut s’appeler Moïse, ou Elie, ou Jean, ou Hubert…

Et à chaque apparition d’un Elie il y a aussi une apparition d’un Elisée, qui est le type d’envoyé étroitement associé à l’Elie en question, pour prendre la suite de sa mission et la parachever. Moïse était donc un Elie, raison pour laquelle lors de la transfiguration de Jésus, Moïse lui est apparu avec Elie (voir Matthieu 17: 1-13), et quand les disciples intrigués ont demandé à Jésus pourquoi les enseignants juifs disaient que Jésus ne pouvait pas être le Messie ou Machiah, car il fallait qu’Elie apparaisse d’abord, Jésus leur a répondu qu’en fait Elie était venu, mais ils ne l’ont pas reconnu, mais ont fait de lui ce qu’ils voulaient.

Les disciples ont compris alors que Jésus parlait de Jean-Baptiste son précurseur immédiat, celui dont, l’ange Gabriel, en annonçant sa naissance à son père le prêtre ou cohen Zacharie, lui a dit que son fils, qu’il devait appeler Jean, serait rempli d’Esprit Saint dès la matrice de sa mère, et marcherait avec l’Esprit et la puissance d’Elie, pour ramener le peuple égaré dans les voies de leurs pères.

Puis Gabriel s’en alla vers Marie la fiancée de Joseph et vierge à l’époque, pour lui annoncer que l’Esprit Saint la « couvrirait de son ombre », elle sera enceinte et enfantera un fils qu’elle doit appeler Jésus, qui sera grand et sera appelé le Fils du Très-Haut, et sera le Salut d’Israël. L’idée que l’Esprit Saint la « couvrirait de son ombre » est une expression de pudeur divine pour dire qu’elle aura le privilège d’engendrer le Fils de Dieu, donc de jouer le rôle de Femme de Dieu puisqu’elle sera la Mère du Fils de Dieu.

Cela serait très choquant à l’époque et même encore aujourd’hui
de dire les choses de manière directe. Mais en son temps, celui que Jésus appelait l’« Esprit de la Vérité » en Jean 16: 12, 13,dévoilerait tout, la pensée ou la science divine. Cet « Esprit de la Vérité » n’est rien d’autre que l’Elie du temps de la fin, du troisième millénaire, celui précisément annoncé aussi en Malaki 4: 4-6 (3:22-24 selon d’autres versions). Beaucoup de chrétiens pensent que Jésus en Jean 16: 7-15 parle de l’Esprit Saint que par ailleurs il a promis de leur envoyer à la Pentecôte qui arrivait. Mais Jésus disait quelque chose de plus profond, de quelqu’un qui devait venir plus tard, qui serait spécialement habité par l’Esprit de Dieu, comme ce fut le cas de Moïse, d’Elie, de Jean-Baptiste, avant lui.

C’est cet envoyé spécial aussi qui est le « septième ange » qui sonne la trompette finale, dont il est question en Apocalypse 10: 1-7, et en Apocalypse 11: 15, et dont il est dit qu’avec cette trompette sera accomplie le secret ou « mystère » de Dieu
annoncé de tout temps par ses serviteurs les prophètes.

Je vous aurai vraiment décodé la Parole de Dieu, les choses cachées de Dieu,
tant dans le Tanakh ou Ancien Testament que dans le Nouveau Testament. Et c’est la Vérité que vous devez maintenant connaître enfin, et si je ne vous la disais pas, ou avais peur de la dire car difficile à accepter ou peur de la dire pour ne pas être traité de « malade mental », d' »antisémite« , de « complotiste« , de « sectaire« , ou que sais-je encore dans ce monde du Diable, du Nahash, du Serpent d’Eden, oui si je ne vous disais pas cette vérité, je serais coupable de mensonge.

J’accepte volontiers d’être faillible comme tout humain (je ne prétends pas être infaillible, dans un monde où la perfection n’existe pas), de commettre des erreurs ici ou là, des inexactitudes, des approximations, etc. Mais malgré tous les risques que cela peut comporter, je m’efforce de dire toujours la vérité, de ne jamais me laisser aller à un mensonge, sauf peut-être ce qu’on appelle un « pieux mensonge », comme par exemple, en Egypte, où les égyptiens risquaient de le tuer pour lui prendre sa femme Sarah, le patriarche Abraham a caché le fait qu’elle est sa femme, disant que c’était sa soeur. Ce qui était en partie vrai, puisque, effectivement, Sarah était une demi-soeur d’Abraham.

Comme autre exemple, le roi David, en danger chez les philistins, fit semblant d’être un fou, alors qu’il avait parfaitement la raison. Il existe donc une forme de « mensonge stratégique » qui n’est pas vraiment un mensonge. Mentir à un menteur n’est pas un mensonge, tout comme voler un voleur n’est pas un vol, ou faire du mal à un malfaiteur n’est pas faire du mal, mais c’est faire du bien, ou tuer un tueur volontaire et assumé qui tue par méchanceté, oui, tuer un diable ou un démon, ce n’est pas commettre un crime, bien au contraire! Il s’agit d’une Loi de la Science de Dieu, qui s’appelle la Loi de la Double Négation, c’est-à-dire la Loi de la Négation de la Négation, qui dit que la Négation de la Négation n’est pas une Négation mais une Affirmation.

On retrouve en algèbre une forme bien connue de cette loi: « (-) × (-) = (+)« , autrement dit la négativation d’un nombre négatif n’est pas un nombre négatif, mais positif! Quand donc l’action apparemment négative que l’on fait a pour but de contrer quelque chose de négatif, d’éviter quelque chose de négatif, etc., il ne s’agit pas alors d’une action négative, mais bien au contraire d’une action positive! Si par exemple des malfaiteurs cherchent à tuer vos enfants, que vous avez mis à l’abri, et que les malfaiteurs vous demandent de révéler où ils sont cachés, vous pouvez dire que vous ne savez pas, ou dire n’importe quel « mensonge » pour protéger vos enfants et leur éviter le mal qui les menace. Il ne s’agit pas alors d’un mensonge mais d’un acte d’amour, un acte divin.

Myriam ou Marie la soeur de Moïse, a fait preuve d’un tel « mensonge stratégique » pour protéger son petit frère qui était alors un bébé, à une époque où le Pharaon a ordonné de tuer tous les petits garçons israélites, car les égyptiens commençaient à avoir peur du peuple d’Israël esclave en Egypte, peuple que Dieu bénissait et rendait de plus en plus nombreux et puissants. Pour sauver Moïse, ses parents le cachèrent dans une petite arche déposée sur le Nil, et ils confièrent la tâche à Myriam de surveiller l’arche pour voir ce que deviendrait l’enfant. Mais Dieu fit que l’arche arrive à un endroit où se baignait la fille de Pharaon entre autres. Elle se fit apporter l’arche, et elle vit le petit hébreu, et comprit que c’est ce que ses parents ont fait en désespoir de cause pour essayer de le soustraire décrétée par Pharaon envers les petits garçons hébreux. Elle fut touchée par le bébé et décida de l’adopter comme son enfant. Myriam, qui observait la scène de loin eut l’idée géniale ou l’inspiration divine d’aller vers la princesse d’Egypte et lui demander si elle voudrait qu’elle aille lui trouver une nourrice parmi les femmes israélites, pour lui élever son enfant. La princesse accepta et même paya pour la nourrice, et alors Myriam alla appeler comme nourrice la propre mère de la l’enfant, qui fut ainsi élevé finalement par sa propre mère. Voici un magnifique exemple d’un « mensonge » qui n’en est pas un, mais est le bien.

Et de manière générale, cette Loi de la Négation de la Négation exige aussi qu’on ne dise pas la vérité à un être qui n’est pas en droit de la connaître, ce qui est le cas d’un être qui veut la vérité mais pour faire le mal, pour retourner donc cette vérité contre nous et nous nuire. Cela devient alors un droit divin de lui mentir, car il ne mérite rien de divin, car la vérité est divine, et ne la méritent que ceux qui sont divins, ou ceux que cette vérité aiderait à devenir divins, ou si le but est que la vérité les condamne, etc. Mis à part ces cas donc, si l’être en question veut la vérité pour faire du mal, alors il ne la mérite pas, mais mérite le mensonge, ou tout au moins le silence. Ce que je dis là est la pure vérité divine, je peux commettre des erreurs, mais je ne permettrait pas de mentir, sauf s’il s’agit de mensonges stratégiques, face à des êtres mal intentionné.

J’ai des raisons de craindre de dire les vérités que je dis au sujet du Talmud par exemple, car pour avoir dit les vérités qui dérangent des gens mauvais, des incarnations du Diable, des prophètes ont été tués, Jésus a été crucifié, des apôtres ou disciples ont été lapidés, comme par exemple le martyr Etienne:

Oui, Etienne face à l’inquisition talmudique.

De nos jours, il suffit de dire des vérités qui dérangent le plus, pour être taxé d' »antisémite« , être crucifié comme Jésus ou lapidé comme Etienne.

Mais revenons à nos révélation sur… justement l’Ange de la Révélation et de la Science Divines. Autrement dit, notamment sur l’ange Gabriel. Avec Mikaël, c’est l’un des rares anges explicitement nommés dans la Bible, car c’est le plus humain des anges et le plus angélique des humains, il est très près des affaires humaines, il est au service de Mikaël, qui est la figure angélique du Messie. C’est pourquoi aussi c’est lui qui annonce au prophète Daniel les détails chronologiques concernant l’époque de la venue du Messie (voir Daniel chapitres 9 et 10). Et donc c’est lui qui annonce à Zacharie la naissance de son fils Jean, qui sera un Elie, et ensuite annonce à Marie que l’Esprit de Dieu la « couvrirait de son ombre », qu’elle deviendrait enceinte et enfanterait le Fils de Dieu, qui doit être appelé Jésus (voir Luc 1: 11-38).

Mais pour le Talmud, incarné à l’époque par les pharisiens entre autres, Marie serait une « prostituée », ou une « fiancée infidèle », et son fils Jésus ou Yéshoua était un « fils bâtard ». Ils l’ont crucifié donc, mais n’empêche qu’il était bel et bien le Messie annoncé par les prophètes, oui le Machiah qu’attendent encore les talmudistes. Vu que d’après entre autres les indications chronologiques données par Gabriel à Daniel le Messie aurait dû apparaître à l’époque révélée par l’ange, et que 2000 ans après il n’est pas encore venu selon le Talmud, certains ne l’attendent même plus et enseignent que Le Messie, c’est eux-mêmes, tout bonnement, autrement dit, c’est Israël.

Et enfin, quand en Apocalypse 1: 1 et 22: 16 Jésus dit: « J’ai envoyé mon ange« , il parle de Gabriel l’Ange de la Révélation et de la Science. Avec la Science de l’Univers TOTAL, la Science de Dieu, la Révélation entre dans une nouvelle dimension (Apocalypse 10: 5-7).

Les Elie apparaissent à des moments critiques de l’histoire, où les voies de Dieu sont perdues, et où il faut soit remettre sur la bonne voie, soit introduire un Nouveau Paradigme en matière de Dieu, soit les deux. Le nom « Elie » signifie donc: « Mon Dieu, c’est Yahvé ». Elisée ou Elishah signifie « Dieu est Salut ». Et un nom synonyme d’Elisée ou Elishah est « Yoshoua » ou Josué, ou « Yéshoua » ou « Jésus« .

Ces noms signifient quant à eux « Yahvé est Salut« , ou « YHWH est Salut », ce qui signifie la même chose qu’Elisée ou Elishah, sauf qu’au lieu de dire « Dieu » ou « Elohim » ou « El » en forme abrégée, on dit « Yahvé » ou en forme abrégée: « Yah » ou « Jah », ou « Yoh » ou « Joh », ou « Yeh » ou « Jéh », etc., en fonction de la déclinaison de voyelles que l’on donne au tétragramme hébreu « YHWH », qui est quatre consonnes hébraïques représentant le nom de Dieu:

C’est à la prononciation de ce tétragramme consonantique de l’hébreu biblique que l’on intercale oralement les voyelles nécessaires pour prononcer le nom, et ces voyelles elles-mêmes vont dépendre du nom, du sens du nom dans lequel le nom de Dieu fait partie.

A l’époque du Tanakh ou de la Torah dans son application normale, le nom de Dieu était couramment prononcé, mais devait l’être de manière respectueuse, digne, comme l’exigeaient les trois premiers commandements de la Loi.

Toute personne pure et digne prononçait ce nom sans conséquences.

Mais les choses se gâtaient quand les gens impurs ou indignes prononçaient ce saint nom. Autrement dit, quand l’Esprit du Talmud ou de la Kabbale commençait à opérer clairement. Avec le temps donc, le nom ne se prononçait plus, entre autres pour deux raisons: d’abord les gens craignaient d’être trop impurs pour prononcer le saint nom de Dieu. Et ensuite les gens habités par l’Esprit du Talmud, par le Diable donc, ont occulté le nom de Dieu, pour en faire donc un objet occulte, de Kabbale et de sorcellerie.

Le nom est alors remplacé en pratique par « Hachem », qui veut dire simplement « Le Nom ». C’est pour cela qu’on entendra souvent les rabbins talmudistes dire « Hachem« , « Hachem« , « Hachem« , … Cependant, tout le monde continua à prononcer les différents noms contenant le nom divin « YHWH », comme par exemple « Eliyah » ou « Elie », « Yehshayahou » ou « Isaïe », « Yehshoua » ou « Jésus », etc., autrement dit toutes les déclinaison du noms de Dieu, YHWH ou Yahvé. Et on n’est même plus sûr que la prononciation classique « Yahvé » soit l’original. Mais la prononciation originale est quelque chose comme « Yahouwah« .

Et dans les traductions bibliques françaises, chaque fois qu’on verra le mot « Eternel », il faut savoir que cela remplace le nom divin « YHWH » ou « Yahouwah » ou « Yahvé » si l’on préfère.

La Bible était en fait une pré-Science de Dieu, ou une Préscience de Dieu, en ce sens qu’il s’agissait d’une Science préliminaire. Elle avait les allures d’un livre de religion et non de science, et tout a été fait ici bas pour qu’on ne voit la Bible qu’ainsi. Or, depuis la Genèse à la Révélation ou Apocalypse, la Bible porte une science, qui est donc la Science de Dieu. Et ce qu’on a appelé « sciences » dans ce monde sont en fait les sciences de Négation, en l’occurrence de Négation de l’Univers TOTAL.

Au troisième millénaire, à l’ère de l’information et du numérique donc, mon ère, la question de Dieu n’est plus une question de religion ou de croyance, mais de science exacte. Le langage scientifique universel dans lequel la Science de Dieu s’exprime, est le langage des ensembles, car toute chose est un ensemble, formé d’autres choses appelées ses éléments.

Nous avons vu que l’analyse d’un corps humain en terme d’ensemble et éléments révèle une structure ensembliste sans fin, qui est une structure fractale. Et les ensembles sont les nombres et les nombres sont les ensembles, les deux notions ne sont que deux manières différentes de dire la même chose. Et toute chose est un ensemble, toute chose est un nombre.

Soit dit en passant la théorie des ensembles fut introduite en 1882 par Georg Cantor, un juif, comme aussi Einstein était juif, etc. Et tout ça n’est pas du tout un hasard. En effet, la notion de « prophète » ou « porte-parole de Dieu » devait progressivement se transformer en la notion de scientifique de l’Univers TOTAL ou scientifique de Dieu.

En langage des ensembles, l’Univers TOTAL est par définition l’Ensemble de toutes les choses et de tous les êtres. C’est le Grand TOUT, la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga. C’est la définition scientifique de la notion de Dieu. Et comme déjà vu, l’ultime Alpha est l’Omicron, le zéro absolu. C’est donc le terminus de l’infiniment petit. Et l’ultime Oméga est l’infini absolu, le terminus de l’infiniment grand.

Et au terminus, à l’échelle absolue donc, l’infiniment petit et l’infiniment grand se rejoignent, autrement dit, l’Alpha et l’Oméga se rejoignent en un seul Etre, Unique, appelé Dieu.

Il est donc l’Unique Ensemble, l’Unique Etre, il est toute chose et tout être. Je l’appelle aussi l’Unix unix, et sa propriété scientifique est expliquée plus haut.

Le temps est venu de comprendre que ce qui dans la Bible est appelé l’Esprit de Dieu, c’est tout simplement la notion d’Information, et plus exactement d’Information unaire, par opposition à l’information binaire:

Tout et absolument tout est donc fondamentalement de l’information unaire,
de l’infiniment petit (Alpha) à l’infiniment grand (Oméga).

Comme déjà dit, tout à la base n’est que nombres et relations entre les nombres:

Quand on va vers l’infiniment petit ou l’infiniment grand, à un moment on finira par quitter la notion même de matière telle qu’on la connaît, on passe par d’autres types de « matière », d' »êtres », d’autres formes de vies, certains êtres étant positifs et on va les appeler des « anges » et d’autres êtres étant négatifs et on va les appeler des « démons ».

Par « positifs » il faut comprendre qu’ils sont connectés à l’Univers TOTAL ou de Dieu, et fonctionnent avec ses lois universelles, les lois de l’existence, de la vie. Et par « négatifs il faut comprendre qu’ils sont déconnectés à l’Univers TOTAL ou de Dieu, et fonctionnent avec des lois contraires aux lois universelles. Ils dysfonctionnent donc, ils sont des bugs dans l’Univers TOTAL. Il y a ainsi des univers dysfonctionnels, des mondes dysfonctionnels,
des êtres dysfonctionnels, qui sont donc les démons, visibles ou invisibles.

L’esprit du Talmud ou cette déviation ou tendance était incarnée par les fameux pharisiens et les sadducéens s’imposait déjà il y a 2000 au temps de Jésus qui s’opposait à ça (voir Matthieu 15: 3-9), a plus que jamais pris le dessus après l’assassinat de Jésus le Messie ou Christ. Il fut accusé par les déviants d’être un « ennemi du peuple juif », qui est l’ancêtre de l’accusation d’antisémitisme, avec laquelle on met fréquemment à mort de nos jours, on crucifie les prophètes des temps modernes. On brûle ainsi au bûcher tous ceux et toutes celles qui disent les vérités qui dérangent le système satanique, le système talmudo-kabbalo-maçonnico-mondialiste. Et les déviants en sont la racine, autrement dit ceux qui se sont écartés de l’Esprit de la Torah et du Tanakh. Peu avant son exécution Jésus se lamenta sur Jérusalem, la ville qui tue les prophètes et qui lapide ceux qui sont envoyés vers elle par Dieu. Mais (petite lueur d’un mince espoir de retour futur à la normale) il énonça aussi la condition pour mettre fin à cette malédiction (Matthieu 23: 37-39).

Moïse et les prophètes, à l’ère de l’Ancien Testament, ont apporté la pré-Science de Dieu ou Préscience de Dieu, ont commencé à introduire la lumière divine, la vraie compréhension du monde, de l’Univers et des choses, dans tous ses aspects et dimensions connues et inconnues, dans tous ses aspects visibles et invisibles, manifestes ou cachés. Par pré-Science de Dieu ou Préscience de Dieu j’entends une connaissance scientifique mais qui n’a pas encore un format ou une méthodologie scientifique, comme c’est le cas maintenant avec la Science de l’Univers TOTAL, qui est la Théorie universelle des ensembles, dont le langage et la méthodologie est le langage des ensembles, introduit par Dieu par Georg Cantor en 1882, et soit dit en passant Cantor, comme Einstein et bien d’autres, étaient des juifs. Comme par exemple aussi Emmy Noether, une mathématicienne juive.

Leurs missions à eux tous étaient, dans la discrétion divine et divine discrétion (les voies de Dieu dans le monde arrivent en règle très générale très modestement, comme un certain Jésus de Nazareth qui n’avait rien d’impressionnant selon les critères humains, et qui pourtant va bouleverser le monde par les idées puissantes qu’il va introduire), oui leurs missions à tous étaient de préparer le terrain pour que la connaissance ou révélation divine s’exprime en langage scientifique et non plus en langage religieux, comme au temps de la pré-Science de Dieu ou Préscience de Dieu (l’ère du Premier et du Deuxième Testament, l’ère de la Bible donc).

Après donc Moïse et et les prophètes, Jésus et ses apôtres ont, avec le Nouveau Testament, continué cette pré-Science de Dieu ou Préscience de Dieu, qui, au moment venu qui est le moment présent, est en train de se manifester comme la Théorie universelle des ensembles, ou Science de l’Univers TOTAL, ou Science de Dieu. C’est le Nouveau Paradigme introduit par votre serviteur, qui n’a pour l’instant l’air de rien, qui est comme un tout petit zéro o qui bataille dans cet Onivers O, comme un tout petit germe ou semence (soit dit en passant Nazareth signifie « Germe » ou « Semence » ou de manière générale une chose au départ insignifiante ou même méprisable, mais appelée à devenir grande et majestueuse).

C’est ce qu’était Jésus de Nazareth le Messie annoncé dans le célèbre texte d’Isaïe 53, mais aussi le prophète Michée ou Mika en Michée 5: 2-3. Le peuple d’Israël tout entier était un germe (ou semence) de Dieu, un nouveau paradigme (pour le dire autrement) pour ensemencer le monde, et produire à la fin un résultat grandiose, l’Oméga. Même si aux étapes intermédiaires le germe déconne très gravement, comme Macron, comme aussi Trudeau au Canada, ou Zelenski en Ukraine etc., et plus généralement comme tous les nazillons partout dans le monde au service de leurs maîtres talmudo-kabbalo-maçonnico-mondialistes. Il convient de distinguer tous ces phénomènes qui sont des émanations ou des conséquences du Talmud ou de la Kabbale, avec Yahvé le Dieu de Moïse, de la Torah (la vraie), du Tanakh, qu’ils ont abandonné depuis des lustres, comme leurs prédécesseurs ont commencé à le faire avec Moïse dans l’épisode du Veau d’Or entre autres.

Malgré toutes ces perversions la Loi de Dieu ou Torah donnée à Moïse n’a pas échoué, ni les promesses faites à Abraham, Isaac et Jacob (le patriarche Jacob renommé par la suite Israël, le père des 12 tribus d’Israël), oui l’agenda divin n’a pas échoué, loin de là! Car, avec Dieu, c’est dans les échecs apparents que se produisent les conditions de la vraie réussite.

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La mise à mort de « Jésus de Nazareth le Roi des Juifs » apparaissait comme un échec du Messie, puisqu’il n’aurait pas instauré la royauté ou la délivrance du joug romain auquel le peuple juif aspirait et même du joug des empires du monde successifs (l’empire grec avant les romains, et l’empire médo-perse avant les grecs, et l’empire babylonien avant les médo-perses) depuis près de 6 siècles, depuis la chute de la royauté davidique à Jérusalem. En effet, malgré les redressements de Dieu via des prophètes successifs, les déviances des juifs se sont aggravées, de sorte que Dieu lui-même a puni le peuple en mettant fin à la royauté par les babyloniens, l’empire de Nabouchodonosor à l’époque, autour du sixième siècle avant Jésus-Christ. Le peuple fut alors déporté en exil à Babylone, exil pendant lequel, soit dit en passant, naquit le Talmud de Babylone, l’autre Talmud étant celui de Jérusalem.

Tout cela donc à cause des élites royales et religieuses juives pour être plus précis, qui conduisaient le peuple à la perdition. Comme justement au temps de Jésus livré à l’empire romain, car les vérités qu’il disait en vue de redresser leur peuple de la mauvaise voie, dérangeaient l’élite religieuse, les pharisiens et les sadducéens entre autres, l’élite royale ayant disparu depuis des siècles. Ils attendaient le Roi sauveur et libérateur, mais le problème est que celui-ci devait correspondre à leurs critères et interprétations talmudiques et kabbalistes au lieu de correspondre à ce que disait vraiment la Torah et tout l’ensemble du Tanakh (ou Bible hébraïque ou Ancien Testament).

Ils ne voyaient donc pas en Jésus de Nazareth le Messie ou Roi libérateur annoncé, mais un « imposteur » et même pire, un « ennemi du peuple juif » (un « antisémite » donc), parce qu’il condamnait leurs traditions talmudiques (Matthieu 15: 3-9). Ils le livrèrent au gouverneur romain Pilate pour être crucifié, et celui leur demandait: « Devrais-je crucifier votre roi?« . Mais eux répondaient: « Nous n’avons de roi que César » (Jean 19: 8-22). Sous leur insistance pour qu’il soit crucifié, et après une tentative vaine de Pilate, de sauver Jésus (parce qu’il ne voyait en lui aucun motif valant la peine de mort) en crucifiant à sa place un bandit juif nommé Barabbas, précédemment arrêté pour crime, ils réclamèrent la libération de Barabbas, qui, lui, combattait physiquement le pouvoir romain, en usant de violence, en plus de ne pas incarner les valeurs divines. Mais pour l’élite juive, celui-ci avait plus de valeur pour eux que ce Jésus de Nazareth qui se disait leur roi mais prêchait l’amour du prochain, et en plus un royaume divin futur. Mais eux voulaient un royaume terrestre immédiat.

Voyant qu’il n’arrivait pas à les convaincre, et sous le chantage perfide qui lui était adressé disant que s’il libérait Jésus, il se constituait « ennemi de César » et coupable de « haute trahison » de ne pas exécuter quiconque se faisait roi à la place de César, Pilate céda, pour préserver son propre pouvoir… Mais il a insisté pour mettre comme motif de condamnation à mort: « Jésus de Nazareth le Roi des Juifs ». Cependant l’élite religieuse juive voyait cela d’un mauvais œil. Ils insistèrent pour que Pilate écrive le motif: « Il a dit: ‘Je suis le Roi des Juifs' », voyant la gravité et la portée de ce que les générations futures leur reprochent d’avoir livré leur Roi. Mais Pilate refusa de changer le motif, disant qu’il assumait ce qu’il a écrit.

Sans le savoir ou en le sachant, les élites talmudiques par cette grave faute renié la royauté divine et se sont installés sur le trône de César, pour gouverner désormais le monde du Diable, depuis cette époque donc, depuis 2000 ans. Le résultat de cela de nos jours, c’est le très maléfique Nouvel Ordre Mondial, c’est beaucoup de souffrances des peuples et de sacrifices humains pour atteindre les buts de ce Nouvel Ordre Mondial satanique.

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Tout ce qui depuis 2000 ans au moins se passera dans l’histoire en relation avec Israël, depuis donc le sacrifie de « Jésus de Nazareth le Roi des Juifs », le Fils Dieu, le Messie, qui fut livré par des juifs à l’empire romain pour être mis à mort, sera à l’image de ce qui se passait entre autres au temps du prophète Jérémie (Jérémie 7: 30-32), quand le peuple égaré par ses dirigeants sacrifiait ses enfants dans la vallée de Hinnom à l’idole (ou démon) Moloch, et ceux pour avoir les faveurs de cette idole.

Choses que pratiquaient les cananéens que Dieu chassa de la terre promise à Israël. C’est justement à cause de ces pratiques immondes aux yeux de Dieu, pires que celles du culte du Veau d’Or ou du culte rendu à Baal ou Béelzébuth, que Dieu chassa les cananéens pour donner leur terre à Israël, en ordonnant à son peuple élu de surtout pas imiter ces pratiques abominables, sous peine de subir tôt ou tard les même sort que les cananéens. Or c’est bien ce qu’Israël égaré par ses dirigeants ont fini par faire.

Le crime sur « Jésus de Nazareth le Roi des Juifs » jusqu’ici sans repentance collective, résume tous ces crimes de sacrifices de juifs par des juifs, pour avoir les faveurs d’une idole, qu’elle s’appelle Moloch, César, Lucifer ou autres. La Shoah s’inscrit dans ce type de crimes contre Dieu et ses enfants, juifs et non juifs, porteurs de l’essence juive de tous les temps. Et c’est encore exactement cela qui se passe de nos jours avec la religion du Covidisme, où une fois encore, à commencer par des juifs d’en bas, ce sont des enfants de Dieu qui sont sacrifiés à coups d’injections de Pfizer et autres, soi-disant pour les protéger du Covid, que les mêmes ont fabriqué par « gains de fonction » dans leurs laboratoires P3 ou P4 à travers le monde entier.

La situation de nos jours est d’autant plus grave que s’ils font ça des juifs, oui si une fois encore Israël paie le lourd tribu en premier, alors que dire des autres nations que les talmudistes appellent les « goyim »?

Plus que jamais ceux-ci ne sont que du bétail sacrifié pour accomplir l’agenda talmudo-mondialiste. Il ne s’agit pas de sacrifice divin au temple de Jérusalem
préfigurant le sacrifice du Messie pour sauver l’humanité du péché originel
et des conséquences de ce péché (Genèse 3: 1-24). Mais comme pour Jésus, il s’agit du sacrifice à César, à Lucifer, à Béelzébuth, à Divoc, etc.
(voir Le Covid, le Divoc, le démon kabbaliste Dibbouk et la religion du Covidisme)

La Shoah en fait fait donc partie du sacrifice des juifs d’en bas pour faire réussir les juifs d’en haut, les élites talmudo-mondialistes, incarnées de nos jours par des gens comme Jacques Attali, parmi les plus connus en francophonie.

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J’ai observé que depuis cette scène très révélatrice,
qui a fait beaucoup de bruit et qui a été désastreuse pour l’image de Jacques Attali,
il a pris soin d’être souvent très ostensiblement masqué dans ses apparitions publiques…

Il fallait le souligner aussi…

Mais cela ne change pas, bien sûr, le fond du problème concernant l’idéologie talmudo-mondialiste et l’agenda qu’il porte. Personnellement je n’attendais pas de lui qu’il porte un masque pour s’étouffer, comme on l’entend dans cette vidéo peiner à respirer et à parler avec cette muselière.
J’attendais simplement de ne pas imposer le masque et de laisser le monde entier respirer… Et encore mieux, de laisser tomber l’idéologie et l’agenda talmudo-mondialiste, et d’accomplir l’agenda divin, celui du Tanakh, des prophètes, de Jésus Christ, des apôtres.

Avec ces personnes incarnant la grave déviation qu’est le Talmud et la Kabbale, avec les démons nés humains, tout simplement tout est inversé, le bien devient le mal, et le mal devient le bien. Au lieu d’incarner la Loi, la Torah, la vraie, celle du vrai Dieu, de porter l’essence juive et la morale divine portées par les prophètes, l’amour divin porté par Jésus, les apôtres, etc., c’est tout le contraire qu’ils incarnent, portant plus que jamais un opprobre sur le Dieu du Tanakh. Les victimes et esclaves d’autrefois deviennent les bourreaux et esclavagistes d’aujourd’hui, les rôles de Pharaon et du peuple en esclavage sont complètement inversés. Si vous avez les yeux ouverts par Dieu et dites la vérité qui dérange ces successeurs des adorateurs du Veau d’Or, de Mamon, de Béelzébuth, ou ces successeurs des pharisiens, ils vous accusent d' »antisémite », comme ils ont accusé Jésus et des prophètes avant nous. Et cette accusation fait partie de celles qui valent d’être crucifié ou brûlé sur le bûcher.

Ils ont décidé depuis 2000 ans d’incarner plus que jamais les adversaires du vrai Dieu, de se faire « Dieu » et les « maîtres du monde », et de faire du vrai Dieu le Diable. Autrement dit, le « bien » c’est tout ce qu’eux déclarent comme tel, et le « mal » c’est tout ce qui n’est pas d’accord avec eux. Ils ont fait le pari de faire échouer le programme divin, le vrai agenda divin annoncé par Dieu aux prophètes, à Jésus, aux apôtres, à moi…, mais d’accomplir LEUR agenda talmudo-maçonnico-mondialiste, leur sionisme talmudique, le sionisme de la guerre, qui n’est que leurs aspirations déviantes et leurs intérêts ethnocentriques, qui n’a plus grand chose à voir avec le vrai sionisme, le sionisme biblique, le sionisme de paix du monde (car il ne faut pas oublier que le nom de la ville de Jérusalem signifie « Ville de Paix », et le moins qu’on puisse dire ce n’est pas du tout ce qu’est la Jérusalem des sionistes talmudiques), la ville qui devait être le centre du monde, mais au sens positif du terme, le lieu d’union et d’unification des peuples dans la paix et l’amour divin, tel que par exemple le prophète Isaïe l’a exprimé en Isaïe 2: 1-4, et qu’on le lit en Hébreux 12: 22-24.

On est très loin de ce sionisme divin, celui de Jésus Christ, mais on est en présence d’un sionisme cauchemardesque pour tous les peuples, à commencer par Israël lui-même, qui paie un lourd tribu. Car, même si les palestiniens sont massacrés par et pour ce sionisme, il y a aussi beaucoup de sang innocent versé du côté juif, beaucoup de cris et de douleurs, sans parler de la peur. Ce n’est pas du tout cela que le grand prophète Isaïe a vu en vision et l’a exprimé dans beaucoup de ses prophéties messianiques. Comme quand il parle du temps où les rames seront transformées en outils agricoles (Isaïe 2: 1-4), ou quand le loup habitera avec l’agneau, la vache avec l’ours, le petit enfant avec le serpent venimeux, etc. (Isaïe 11: 1-9). Ce sionisme divin et ces temps messianiques seront bien sûr accomplis, car la Parole de Dieu ne peut échouer, même si le Talmud a fait tout ce qu’il fallait pour la faire échouer! Ce n’est donc surtout pas le talmudisme qui accomplira toutes ces prophéties magnifiques pour Israël et pour le monde, mais le Tanakh, le Nouveau Testament, la Science de Dieu, bref, tous ceux qui hier, aujourd’hui et demain ont porté l’essence juive ou l’Esprit du Tanakh et l’Esprit du Nouveau Testament (bref l’Esprit de la Bible), la portent et la porteront toujours, pendant toute l’éternité. Ce sont les Moïse, les Elie, les Isaïe, les Jean-Baptiste, Jésus, les apôtres, nous leurs successeurs, et toutes celles et ceux qui seront nos successeurs.

Il y a encore 2000 ans, beaucoup de ceux qui ont tué Jésus le Messie étaient sincères, ils croyaient que c’était un imposteur qui se faisait passer pour le Messie annoncé par les prophètes. Mas au fil du temps, beaucoup ont compris leur grave erreur et ont changé, un grand exemple étant Saul de Tarse, un pharisien qui persécutait les disciples de Jésus Christ. Mais lors de l’une de ses croisades meurtrières il a été frappé par la lumière et l’amour du Christ et les écailles talmudiques lui sont littéralement tombées des yeux (Actes chapitre 8 et 9)!

2000 ans après, ces écailles talmudiques se sont encore épaissies, rendant plus difficiles que les yeux enténébrés voient la lumière du Christ. Il faut dire aussi que le christianisme a lui aussi dévié depuis, et il n’a plus grand chose à voir avec le christianisme originel. Et donc, même si un talmudiste voulait devenir chrétien, la question est de savoir quelle version du christianisme embrasser. S’il embrasse le catholicisme, il se sera guéri de la peste pour embrasser le choléra. Je suis très désolé de dire cela pour mes frères et soeurs catholiques, mais je me dois de dire la vérité, simplement, non pas pour les condamner ou condamner leur foi (car bien évidemment mieux vaut en avoir que pas du tout!), mais simplement pour leur indiquer une voie meilleure. Si notre ami talmudiste candidat à découvrir Yéshoua de Nazareth le vrai Messie ou Machiah venu depuis 2000 ans mais qu’il ont raté, embrasse une forme ou une autre de l’évangélisme, ce sera un moindre mal, sans doute. Mais il (ou elle, car il ne faut pas oublier les femmes, bien sûr!) se sera guéri(e) du choléra pour s’abonner à la diarrhée… C’est un moindre mal, certes, mais il y a mieux.

Avant l’avènement de la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu, il ou elle devrait faire avec cette diarrhée évangélique, en attendant mieux, mais la bonne nouvelle est que ce mieux est maintenant dans le monde depuis 20 ans. En ce troisième millénaire donc, et ce 10 mars 2022 où je mets à jour la présente page et écris les présentes lignes, je propose donc aux prisonniers du talmudisme, mais aussi du christianisme déviant, et aussi du maçonnisme, et aussi de l’athéisme, etc., de passer directement à la Science de l’Univers TOTAL, la Science de Dieu. Il ne s’agit plus de religion ou de croyance, mais de Science!

C’est l’époque où les enfants de Dieu de tous les horizons iront de plus en plus vers la lumière divine, leur lumière, leur Paradigme perdu et retrouvé, ce qui veut dire aussi que le Diable et des enfants s’enfonceront de plus en plus dans les ténèbres, le mal, la méchanceté. A noter que tout le monde peut changer, même le Diable, s’il le veut, et donc que ce n’est pas parce qu’ils sont de cette nature démoniaque et qu’ils sont condamnés à ne pas changer qu’ils s’enfoncent dans les ténèbres. Mais c’est surtout parce qu’ILS NE VEULENT PAS changer, qu’ils se dirigent tout droit vers l’abîme et l’enfer. Il leur faudra passer par l’épreuve du feu pour apprendre l’amour qu’ils n’ont pas voulu apprendre, à savoir donc que DIEU l’Univers TOTAL, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga, est TOUT, il est UN, et TOUT est UN. Par conséquent, la mal fait à l’autre est fait à soi-même.

Dans ce monde du Diable ou du Serpent d’Eden, on ne perçoit plus que nous sommes tous à la base d’essence divine, tous créés à l’image de Dieu, comme le dit la Genèse. On a le sentiment que nous sommes absolument séparés les uns des autres, alors que cette séparation n’est qu’une illusion, nécessaire pour la diversité. Les êtres les plus séparés de Dieu et donc qui ont le plus oublié leur essence divine originelle, sont précisément ceux qui se conçoivent séparés des autres, et ne voient en les autres que des êtres à leur service. La séparation à outrance que par exemple le Talmud fait entre juifs et goyim (non-juifs) qui ne sont bons que pour servir les juifs, est un exemple même de cette logique de séparation, la logique du Diable ou le Serpent d’Eden, qui est tout l’opposé de la logique d’union et d’amour du prochain enseignée par Jésus Christ. Comme il l’a montré aussi dans la parabole de Luc 16: 19-31, il faut pour les plus déconnectés du Divin un passage en enfer pour comprendre qu’en fait les êtres ne sont pas si séparés qu’on le pense. Si l’on voit un être dans le besoin (et il n’est pas obligé d’être de la même race que soi, d’être juif, car il peut être samaritain, palestinien, arabe, noir, « édomite » ou occidental, etc.) et que l’on a le moyen de l’aider mais que l’on ne le fait pas, jugeant qu’il n’est pas nous, alors comme cet homme riche de la parole de Jésus mentionnée, on comprendra pourquoi il était nous. On verra son visage devenir notre visage, on lui demandera de nous donner un peu d’eau pour nous rafraîchir et nous soulager de la chaleur des flammes, mais il ne nous aidera pas. On comprendra alors pourquoi, en refusant de l’aider quand il vivait son enfer, c’est nous-même qu’on avait refusé d’aider.

C’est donc le moment de comprendre, car après ce sera trop tard. Il y a ceux qui comprendront, changeront, et il y a ceux s’enfonceront encore dans les ténèbres, avec leurs agendas si loin du Divin. Beaucoup ont compris leur péché depuis longtemps, mais ont choisi la voie de la fuite en avant dans leur stature d’adversaires de Dieu, persuadés que par leur Kabbale, leurs pratiques occultes, ils réussiront éternellement à faire échouer l’agenda divin, qui signifie donc aussi leur propre fin et le début de leur enfer! Ce faisant, ils sont condamnés à réussir leur maléfique agenda du Nouvel Ordre Mondial, sinon ils sont foutus! Ils ont fait le pari de réussir à tenir tête au vrai Dieu, le pari que d’avoir crucifié le Messie c’est d’avoir crucifié Dieu, qui est donc mort, et c’est Satan qu’ils glorifient désormais. Mais ils commencent à s’apercevoir de leur très grave erreur, et sentent les prémices de la fin de leur système. Ils ont alors un plan forgé depuis un moment aussi, et qui se résume en ces mots:

« Soit on réussit notre plan, et on devient les maîtres du monde pour toujours, ayant mis Dieu échec et mat, soit on échoue, mais alors on fait tout péter, tout sauter, dans un suicide collectif, dans une troisième guerre mondiale, nucléaire. Ainsi, la terre, complètement vitrifiée, ne sera pas à nous, certes, mais pas à Dieu et aux enfants de Dieu non plus.« 

C’est tout simplement dans cette phase que ces démons nés humains et leur père Satan le Diable déchu des sphères célestes (voir absolument Apocalypse 12: 7-12 pour bien comprendre la chose) sont en train de rentrer avec la crise en Ukraine par exemple, qui a commencé le 24 février 2022. Bien sûr ils accusent la Russie d’avoir agressé l’Ukraine, alors qu’en réalité c’est la Russie qui est agressée depuis un long moment, qui était en train d’être encerclée et étouffée graduellement dans les anneaux du Serpent de l’OTAN. Et OTAN que l’on associe bien sûr, aux Etats-Unis, son membre clef, et ses alliés européens. Mais les américains et les européens, le bloc dit « occidental » de manière générale, même si un continent comme l’Australie peut être compté dans ce bloc, ont un maître, qui est Israël. C’est lui qui opère directement ou indirectement, très habilement, par proxy ou par procuration.

Et s’il y a des tensions avec la Russie, notamment de Poutine, c’est précisément parce que Poutine n’obéit pas assez au « maître du monde », officiellement donc les Etats-Unis et l’OTAN, mais en réalité à Israël le maître caché de tout ce beau monde. Poutine joue aux rebelles, au moins un peu, et clairement plus qu’un peu, maintenant dans cette affaire de l’Ukraine. Comme en Syrie entre autres, Poutine contrarie clairement leurs plans, leur Nouvel Ordre Mondial, en tout cas leurs versions. Car la Russie et plus encore la Chine, ont leurs propres conception du Nouvel Ordre Mondial, multipolaire, alors que le Nouvel Ordre Mondial d’inspiration talmudique est unipolaire et sans partage de pouvoir. Dans leurs expansions talmudo-mondialistes, vers l’hégémonie elle-même dictée par le Talmud, ils ont semé le chaos un peu partout, en Irak, en Egypte, en Lybie, en Syrie, sans parler avant cela du chaos en Europe de l’Est, de la destructions de civilisations ou d’anciens blocs étatiques. Et ce que l’on ne dit pas, c’est qu’ils sont la cause de l’effondrement de l’ex-URSS, qui a été pour ainsi dire dynamitée par eux, car c’est plus facile pour le Serpent OTANESQUE de digérer les petits morceaux résultant des explosions que d’engloutir les trop gros blocs. C’est la politique du Diviser pour mieux régner dans toute sa splendeur. La Pologne, la Bosnie, le Kosovo, la Tchéquie, la Slovaquie, les états baltes et nombre de pays de l’ancien bloc de l’URSS, excepté ceux qui sont directement frontaliers avec la Russie, ont été pour ainsi dire digérés par le Léviathan occidental ayant pour maître le pays du Talmud.

L’Ukraine était une avant-dernière étape d’encerclement du très gros morceau qu’est la Russie, qui avait vocation à terme à subir le même sort que toutes les autres républiques de l’ancien bloc de l’URSS. Le processus de digestion de l’énorme Russie était bien en route avec Gorbatchov, Eltsine, et, honnêtement, on peut dire qu’avec Poutine ils ont rencontré un os sur le chemin, difficile à avaler. Ou plutôt, l’os ou le porc-épic avalé leur fait des trous dans l’estomac, et ils sont obligés de le recracher, ce qui veut dire l’isoler à présent sur la scène internationale. Le Poutine Bashing roule à fond en Occident, tous les tambours de la peur, toutes les trompettes de la religion du Covidisme, la nouvelle progéniture maléfique du Talmudisme, qui hier encore sonnaient dans toutes les oreilles, se sont tout à coup transformés en boucans, brouhahas, tapages diurnes et nocturnes, tintamarres anti-Poutine, qui fédère les membres de la religion du Covidisme qui se mue manifestement en religion de l’Ukrainisme. Sans être forcément pro-Poutine ou anti-Zelensky, nous sommes une fois encore obligés de trouver dégueue et nauséabonde cette nouvelle propagande d’inspiration officiellement euro-américaine ou américano-européenne. Ou encore CIA-OTANESQUE. Ou encore signée par ce qu’on appelle l' »Etat-Profond ». Mais soulevez tout ça et vous trouverez le Talmud là-dessous.

C’est très malheureux à dire, mais si vous ne comprenez rien à la géopolitique; si vous êtes complètement nul en matière de politique nationale et internationale; si vous êtes de celles ou de ceux qui ne pigent rien à tout ce qui se passe dans ce monde; si vous êtes complètement paumé(e) quant à savoir où est la vérité, ou est le mensonge, qui ment, qui dit vrai, quel est le camp du bien, le camp du mal, etc., alors il y a une astuce très simple, très rarement prise en défaut, qui marche presque toujours, et qui permet de commencer à voir clair dans tout ce bazar: il suffit simplement de regarder ou d’écouter des gens comme BHL (ou Bernard-Henri Lévy), Patrick Cohen, Raphaël Enthoven, etc. Je pourrais ajouter Jacques Attali, mais il est un serpent trop futé pour se livrer aussi grossièrement, pour être aussi hystérique que ces caporaux ou sergents des médias, ces chiens aboyeurs du système talmudo-mondialiste. Pas besoin de les écouter pendant des heures (sauf si vous êtes maso ou ne savez pas quoi faire d’intéressant de votre vie ou de vos journées), mais écoutez-les juste pendant quelques minutes, et cherchez à découvrir contre qui ils gueulent ou aboient, et dites-vous alors que c’est probablement quelqu’un de bien, ou en tout cas qui a raison au moins quelque part de faire ce qu’il fait et qui les met en colère. Ecoutez ce que leur cible dit, et vous pouvez conclure que c’est plus près de la vérité que ce que dit le camp adverse.

Depuis le 11 septembre 2001, et plus récemment avec leurs sirènes du Covidisme, leurs propagandes de serpents sont de moins en moins crédibles, les yeux s’ouvrent et les gens voient de plus en plus dans leurs jeux. Ils sentent que leur Nouvel Ordre Mondial chancelle, et ça les inquiète beaucoup, pour ne pas dire que certains d’entre eux flanchent et commencent à paniquer quelque peu. D’autant plus que les plus avertis d’entre eux comprennent ce qui se passent dans une autre dimension, et qui commence sérieusement à ressembler à ce que les prophètes, Jésus, les apôtres, ont annoncé les concernant pour la fin temps, les temps eschatologiques, apocalyptiques.

Eux-mêmes ne comprenaient pas trop tout ce qui se cache derrière le langage symbolique de la Bible. Maintenant ils commencent à comprendre, et savent qu’ils sont condamnés par Dieu. Ils ont le choix entre se repentir ou poursuivre leur lutte suicidaire contre Dieu, Jésus et les anges de Dieu. Mais le problème est que pour beaucoup d’entre eux ils sont allés trop loin dans le MAL pour qu’ils puissent faire marche arrière. Alors ils choisissent l’option de la fuite en avant, mais comprennent que leur chance de gagner contre Dieu est de plus en plus mince.

Et alors aussi la stratégie qui se dessine de plus en plus clairement chez eux est celle d’entraîner le monde entier dans leur suicide collectif, sachant qu’ils n’ont plus rien à perdre, ayant presque tout perdu. Leur Nouvel Ordre Mondial est pire que le IIIème Reich des nazis, c’est même carrément le IVème Reich en fait! C’est vrai que l’histoire ne se répète pas mais bégaie beaucoup. C’est l’entrée en guerre de la Russie aux côtés des Alliés qui a eu raison des nazis pendant la seconde guerre mondiale. Aujourd’hui le nazisme a changé de camp, il est dans le camps de ceux qui se présentent comme « démocrates » ou donneurs de leçons aux autres. Un Joe Biden par exemple et surtout l' »Etat-Profond » derrière lui, sont plus à craindre qu’un Donald Trump qu’ils vilipendent. Et là où on parle d' »Etat-Profond » on peut presque mettre comme synonyme le Talmud, car c’est toujours lui qui est dans les profondeurs cachées des « Etats-Profonds ».

Et un Emmanuel Macron, avec toujours le même « Etat-Profond » derrière lui, est bien plus dangereux pour la France et pour le monde que Poutine avec son missile Satan 2! Ce sont eux qui excitent justement Poutine par leurs provocations progressives, le poussent dans ses retranchements, en plantant leurs bases agressives jusqu’à très près de ses frontières, à quelque minutes de tirs de missiles nucléaires de Moscou. N’importe quel humain normal ainsi cerné finira par montrer ses muscles et ses dents, et dire « STOP! » aux agresseurs, ici l’OTAN et tout ce qu’il représente, le bras armée de l’Occident donc, ce qui veut dire le bras armé caché du pays du Talmud. C’est l’OURS agressé et aculé qui montre ses muscles, ses griffes et des dents qu’on accuse d’être le méchant, et le Serpent sournois et agresseur passe pour le « gentil ». Sans être forcément pro-Poutine, mais simplement juste, honnête devant Dieu, on est obligé de faire ce constat. Et ce que je dis est aussi une prière adressée à Dieu de stopper le Serpent ou Nahash, car moi non plus et au nom de tous les enfants de Dieu, je n’ai pas envie de prendre le missile Satan 2 de Poutine sur la tête, lol.

Et justement aussi, l' »Etat-Profond » a prévu que si ses plans échouent, il provoque la troisième guerre mondiale nucléaire, pour entraîner donc le monde dans leur suicide, comme les nazis pendant la seconde guerre mondiale. Le Diable et les siens, sachant que Dieu leur réserve l’Enfer ou le Lac de Feu depuis des millénaires (Matthieu 13: 36-43; Apocalypse 20: 1-3, 7-10; 21: 8), veulent tout simplement entraîner le monde entier en Enfer. Eux, que ce soit le feu de l’Enfer que Dieu leur réserve, ou le Feu des bombes atomiques, n’ont vraiment plus rien à perdre.

Ce sont donc les enfants de Dieu qui ont tout à perdre dans un holocauste nucléaire généralisé. En compagnie de ces démons en Enfer, ce sont les enfants de Dieu qui seront pour eux de la fraîcheur, exactement comme l’homme riche de la parabole qui s’est retrouvé en Enfer, demandait à Abraham au Paradis avec le pauvre Lazare, d’envoyer Lazare en Enfer lui porter un peu d’eau pour le soulager de ses souffrances. C’est exactement pour une raison spirituelle semblable que Satan et les siens ont pour ultime plan de provoquer une troisième guerre mondiale nucléaire dans laquelle tout le monde y passerait.

Voilà donc pourquoi aussi on entend leur discours belliqueux sur les médias, demander à l’OTAN d’entrer en guerre contre la Russie, etc. Et même bien avant la crise en Ukraine, au moment des élections présidentielles américaines en 2016, le discours d’Hillary Clinton qui disputait la Maison Blanche avec Trump, était très belliqueux envers la Russie, sans parler des accusations d’ingérence russe dans les élections américaines. Il est clair que si c’est Hillary Clinton qui était élue, le monde serait déjà entré en troisième guerre mondiale depuis! C’est ce qu’ils essaient de faire depuis l’élection frauduleuse de Joe Biden, réelection volée à Trump par l' »Etat Profond » (là aussi il n’est nullement nécessaire d’être pro-Trump ou anti-Biden, pour dire la vérité à dire), mais les gens bien informés savent qu’avant de partir de la Maison Blanche, ou même pendant tout son mandat, Trump a placé des hommes et femmes à des postes clefs, pour rendre difficile l’entrée des USA dans une troisième guerre mondiale suicidaire pour l’espèce humaine. Les élites de l' »Etat Profond », qui sont bien plus sataniques que ceux du camp d’en face, ne craignent pas le suicide pour cette raison-là justement. Ce sont les plus grands adeptes du sacrifice satanique, le sacrifice à Satan donc, et plus ils en sacrifient mieux ils se portent.

La question du « Tanakh VS Talmud« , ou du « Judaïsme Biblique VS Judaïsme Talmudique« , éclaire beaucoup de monde et beaucoup de sujets. Le genre de vérités qu’il est difficile à dire sans être, comme Jésus il y a 2000 ans, taxé d' »antisémite ». 

Revenons sur cette très importante question d’antisémitisme déjà analysée pour la compléter. Nous avons dit qu’il existe deux antisémitismes complètement opposés en ce qui concerne leurs causes. Et ces deux antisémitismes vont de paire avec deux judaïsmes, ce qui veut dire que les deux ont pour cause le Tanakh d’un côté et le Talmud de l’autre. L’un est ce que les juifs subissaient en raison de leur essence qui est YHWH le vrai Dieu, et l’autre est la conséquence de leur négation de cette essence justement, d’avoir renié YHWH. C’est alors de nos jours une accusation rapidement dégainée contre toute personne disant la vérité qui dérange. C’est un prétexte et un bouclier contre toute critique qui pointe là où ça fait mal, pour museler ceux qui critiquent et même les empêcher de penser et même oser juste s’interroger. Rien que de se poser des questions légitimes est déjà de l' »antisémitisme ».

Cette notion est devenue une véritable digue dressée contre la vérité. Mais par la puissance de YHWH, de Jésus et des anges de YHWH cette digue dressée par le MAL pour se protéger sautera et est même en train de sauter sous l’assaut des prophètes modernes, à l’ère d’internet, à l’ère d’Elie l’Esprit de la Vérité. Le Serpent d’Eden, le Nahash, a beau censurer à gogo sur Youtube, il a beau muer de Facebook à Meta, faire tomber sa peau de GAFAM pour revêtir une nouvelle peau de MAAMA, rien n’y fera, il sera bel et bien lié, enchaîné et jeté dans l’abîme par les anges de Dieu (voir Apocalypse 20: 1-3, 7-10).

Car c’est le Jour du Jugement et de la Révélation finale. Et soit dit en passant les anges de Dieu ou les enfants de Dieu n’ont plus de nos jours besoin d’être de « race juive » pour être ce qu’ils sont. Car Dieu n’a pas de race, toutes les races étant sa création, tous les peuples étant ses enfants, message et changement de paradigme que Jésus et ses apôtres ont apporté il y a 2000 ans. Il est vraiment temps pour les talmudistes de comprendre cette vérité élémentaire. Car on est face donc à des gens qui se sont accaparé la judéité pour en faire une arme de destruction massive, ou en tout d’accusation massive… En cela, ils prennent littéralement en otage les autres juifs.

Le premier antisémitisme est donc biblique, historique, et il va avec le judaïsme biblique, le vrai judaïsme, le judaïsme historique, qui est synonyme du Tanakh ou Bible hébraïque ou Ancien Testament. Cet antisémitisme est le fait pour le peuple juif ou peuple élu de Dieu, d’être haï par les nations ou les autres peuples, en raison de leur essence juive, de leur relation avec le vrai Dieu, le Dieu Unique. Les israélites et les juifs en particulier étaient haïs pour leur incarnation des valeurs divines, très élevées par rapport aux valeurs décadentes des nations, à cause de leurs adorations des idoles, ce qui signifie leurs adorations des démons, du Diable. Mais avec le rayonnement de la Bible dans le monde, notamment depuis 2000 ans et un certain Jésus de Nazareth, largement accepté et aimé par les nations non juives, avec donc le rayonnement de l’essence juive, cet antisémitisme biblique, historique, a pratiquement disparu. Les seuls chez qui on peut encore le rencontrer, ce sont en général les racistes ou les ultra-nationalistes, qui ne détestent pas que les juifs, mais souvent aussi les arabes, les noirs, et les étrangers en général. Cette détestation paradoxalement s’accompagne avec le fait qu’ils peuvent être catholiques, occultant le fait que Jésus à qui ils disent être attachés était un juif.

Le second antisémitisme qui progressivement depuis 2000 ans a pris le relai du premier, va avec le judaïsme talmudique ou rabbinique, et il s’agit donc de l’antisémitisme talmudique. Là ce n’est pas l’essence juive qui est détestée, ni la race juive, mais ce que beaucoup, par ignorance ou mensonge bien entretenu, prennent pour l’essence juive, la culture juive, la mentalité juive, etc., et qui en fait est l’esprit du Talmud. C’est le mal inhérent à cet esprit, que l’on ressent avec des gens comme Jacques Attali, BHL (ou Bernard-Henri Levy), Patrick Cohen, Eric Zemmour, et j’en passe des meilleurs. Cet esprit du mal, qui n’est pas en fait celui de la race juive, bien au contraire, mais incarné par des gens déchus dans ce peuple, réellement des anges déchus, des démons nés humains.

Et en matière de démon né humain, d’incarnation même de la déchéance, du MAL, de l’inhumain, de la négation même de l’humain, et à plus forte raison du Divin, je viens, ce 21 mars 2022, de découvrir ou plutôt de conscientiser un cas, un spécimen, pire même que tous ceux que je mentionne jusqu’ici. Il s’appelle Yuval Noah Harari!

Il est présenté comme un « historien écrivain » israélien… J’y reviendrai pour dire ce qu’il est en réalité, quand j’aurai présenté l’idéologie de cette espèce d’individus et parlé aussi de l’espèce que c’est.

Ou plutôt, si je laissais le rabbin Haïm Dynovisz le dire:

Vidéo: « Attention! Des ‘faux humains’ sont parmi nous »
La vidéo originale ne semble plus accessible sur Youtube,
mais le lien ci-dessus donne un extrait éloquent des propos du rabbin.

Voilà qui est bien dit! C’est bel et bien la vérité que de faux humains sont parmi nous, et depuis fort longtemps. Et c’est même dit dans l’Apocalypse depuis 2000 ans, à savoir que Satan et ses démons sont déchus sur terre, et circulent dans le genre humain sous forme humaine, et ce pour le plus grand malheur de l’humanité (voir Apocalypse 12: 7-12)!

Sur ce point donc, je suis d’accord à 100% avec vous rabbin, Talmud ou pas Talmud. Car entre nous, nous avons aujourd’hui des discussions concernant le Tanakh opposé au Talmud, sur la question de la vraie révélation divine, du vrai judaïsme, etc. Mais avec des individus comme Yuval Noah Harari, c’est une toute autre question, qui est précisément celle de la distinction entre les vrais humains et les faux humains, que j’appelle (et pas que moi d’ailleurs) les démons nés humains!

L’apparence peut être très trompeuse, et pourtant c’est un exemple d’individu sans âme, et ce n’est même pas moi qui le dis, il le dit lui-même! Il suffit juste de l’écouter. Je mets toutefois en garde les vrais humains, qui ont une âme donc, qu’il y a un risque d’écouter sans « protection » spirituelle ce genre de phénomènes, ennemis de l’humanité, ennemis de l’espèce humaine, de tout ce qui caractérise l’humain au sens le plus noble du terme, l’humain « adamique » comme le dirait le rabbin, l’humain créé à l’image de Dieu (Genèse 1: 26, 27). Ce genre de créatures qui n’ont d’humain que les apparences, n’ont pour but que la destruction des humains, la destruction ou le vampirisme de leurs âmes, bref la Négation de Dieu et des humains.

Celui-ci est un spécimen de totale déconnexion de l’Univers TOTAL! Grave! Quand c’est à ce point, on ne peut plus rien faire pour eux, pas de salut possible, même avec le plus grand amour et la plus grande indulgence christique. La seule façon de « sauver » ce genre d’individus, de la même trempe que les Klaus Schwab ou les Laurent Alexandre (à côté même les Attali ou même les BHL passent pour des « agneaux », et pourtant Dieu sait les démons que c’est!), oui la seule façon de les « sauver » c’est de les recycler dans le lac de feu (Matthieu 13: 24-30, 36-43; Apocalypse 21: 8).

Car c’est précisément le genre d' »intellectuel » ou d' »intelligence » qui sont les incarnations mêmes de l’anti-intelligence, et j’entends par là qu’ils sont « intelligents », certes, et même très « intelligents », mais il s’agit de l’intelligence négative, l’intelligence du Diable, de Lucifer, aux antipodes même de l’Intelligence Divine et de la Divine Intelligence. Il dit entre autres que c’est l’homme qui a créé Dieu, l’âme, le libre-arbitre, les anges, les démons, le bien, le mal, l’amour, la haine, le paradis, l’enfer, etc. Bref, autrement dit, tout ça n’existe pas, mais ne sont que le fruit de l’imagination de l’homme.

Et il enseigne tous ces blasphèmes contre Dieu, la Torah, le Tanakh, le Machiah, la Bible, etc., à l’université de Jérusalem. Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Diable, le non-Dieu, la Négation de Dieu, l’anti-Dieu, l’anti-Torah, l’anti-Tanakh, l’anti-Bible, l’anti-Révélation, l’anti-Science (de Dieu), l’anti-Machiah ou l’anti-Messie ou l’anti-Christ, oui l’Antichrist, a installé son trône dans la ville sainte d’autrefois, où Dieu avait son trône!

Il n’est pas étonnant que quand on a livré à l’empire du Diable le vrai Messie, le Fils de Dieu et Roi des Juifs, pour être crucifié, on a ainsi fait du lieu de ce crime suprême le lieu du trône du Diable! On en a fait la Jérusalem du maléfique Nouvel Ordre Mondial, des Rothschild, des Harari, des Attali, des BHL, etc., bref de tous les fils et filles de la perdition, de l’Antichrist! N’en parlons même plus de Tel-Aviv et autres.

Que dire, sinon de faire réparation sans tarder, de mettre à l’écart le Talmud pour remettre au centre le Tanakh, la Bible? Cela veut dire reconnaître enfin, officiellement et solennellement Jésus de Nazareth comme étant le vrai Messie, pour qu’il revienne dans cette ville et dans le monde par la même occasion (voir ce qu’il a dit en Matthieu 23: 37-39, peu avant son assassinat)! Pour que donc la Jérusalem terrestre reflète la gloire de la Jérusalem céleste (Galates 4: 26; Hébreux 12: 12-24; Apocalypse 21: 1-4). Le travail sera énorme pour que le flux divin revienne de nouveau dans cette ville, pour que l’Esprit Saint (ou le Rouah Akkadosh), l’Esprit de Dieu, l’Esprit de la Vérité (Jean 16: 7-15) habite de nouveau dans cette ville, comme au temps des prophètes, et mieux encore qu’en ce temps-là! Car le programme divin en cours d’exécution est que Lucifer, Satan le Diable, Béelzébuth, le Nahash, soit définitivement mis hors d’état de nuire (Apocalypse 20: 1-3, 7-10), lui et toute sa progéniture (Matthieu 13: 24-30, 36-43; 23: 33; 25: 41; Apocalypse 12: 7-12; 19: 19-21; 20: 1-15; 21: 8).

Et quand Harari dit « homme » (oui que c’est l’homme qui a inventé Dieu), bien sûr il ne parle pas d’individus comme lui, mais des humains comme Abraham, comme Sarah, comme Isaac, comme Rebecca, comme Jacob ou Israël, comme Léa, comme Rachel, comme Moïse, comme Myriam ou Marie, comme Isaïe, comme Jérémie, comme Elie, comme Elisée, comme Zacharie, comme Jean, comme Jésus, comme Matthieu, comme Paul, etc., comme Newton, comme Euler, comme Cantor, comme Spinoza, comme Gödel, comme Einstein, ou comme moi. Car, figurez-vous, ces grands scientifiques, penseurs, croyaient en Dieu, parlaient de l’âme, du libre-arbitre, et ce n’était pas des débiles, qui n’ont pas réfléchi, pensé. Ils n’ont pas attendu cette progéniture de Lucifer, du Nahash, pour réfléchir. Il n’a que 46 ans, mais il a déjà débité les pires poisons, venins et pourritures de l’Univers! Ça me gêne même d’appeler « individu » cette chose, de la même veine que Laurent Alexandre, Klaus Schwab et d’autres. Mais bon, je lui accorde d’être au moins un individu… et c’est donné, hein?

Quand il dit donc « humain » ou « homme » il ne s’inclut pas lui-même, puisqu’il nie tous les attributs qui font qu’un humain est un humain, à savoir par exemple qu’il a une âme, qu’il est d’essence divine, qu’il a un sens de la spiritualité ou de la relation avec une transcendance, en l’occurrence l’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga. Par « hommes » ou « humains » il entend donc des êtres comme nous, qui parlons de Dieu, de l’âme, des anges, du libre-arbitre, de la liberté, de l’amour, etc. Pour lui, on est des « ignorants », on est « bête », mais lui et ceux de son acabit, eux ils « savent », ils sont « intelligents », ils ont des QI de 10 puissance 666, mais nous ont n’a même pas des QI de 6!

Venons-en au fait que cet individu est présenté comme « historien ». Mais en fait, lui et son espèce de Serpent d’Eden n’étudient pas l’histoire mais nous font chuter, perdre notre EDEN, effacent NOTRE vraie histoire:

Puis ils fabriquent l’histoire, nous imposent LEUR histoire, celle des serpents et des progénitures de serpents. Ils créent LEUR réalité ou ligne de temps et nous l’imposent comme l’unique réalité. Ils ne veulent surtout pas que nos lignes de temps se séparent, nous retournant dans le Paradigme perdu, le Paradis perdu, et eux s’enfonçant plus que jamais dans un univers de pire Négation et négativité, dans le lac de Feu:

Dans le même ordre d’idées, quand ce genre d’individus sont appelés des « écrivains », il faut comprendre qu’ils incarnent l’anti-écriture même, les antipodes même de l’Ecriture, autrement dit l’expression de la Vérité Divine, comme la Torah, et au-delà le Tanakh, et au-delà toute la Bible, et au-delà la Science de Dieu. Eux donc exposent leur pensée de Diable! C’est précisément ce genre d' »intellectuels » très toxiques qui de tout temps faussent aussi la science, lui insufflent ou lui inspirent les mauvais paradigmes, ceux de la Négation.

Pour lui donc et pour ceux de son espèce, nous ne serions que des « robots biologiques » car ils SONT des robots biologiques, des êtres sans âmes, et ils veulent nous forcer à être comme eux, ils veulent se faire nos modèles, donc nos « dieux », et ils le disent en plus textuellement ainsi, ils ne s’en cachent même plus! Quand donc ils nient l’existence de l’âme, il faut comprendre qu’ils n’ont pas d’âme mais aussi qu’ils entendent vampiriser nos âmes, ou qu’on les leur vendent de plein gré. Et quand ils nient Dieu c’est pour se faire des « dieux »!

Ils nient le Diable justement parce qu’ils l’incarnent! Quand vous avez vu et entendu un spécimen de ce genre vous avez vu et entendu un démon né humain, il n’est plus nécessaire de vous demander s’ils existent ou non, de dire que la question est une question de croyance. Ils sont la fin de la croyance justement, en ce sens que quand on les voit enfin et qu’on les reconnaît pour ce qu’ils sont, on est en présence du FAIT, et non plus d’une croyance!

Et quand on voit l’enfer qu’est déjà ce monde, à cause d’eux et de leur existence, quand on voit en plus le pire enfer qu’ils créent chaque jour avec leur maléfique Nouvel Ordre Mondial, avec leur religion du Covidisme, leur transhumanisme et sans parler de leur capacité à embraser le monde entier dans le feu nucléaire, on ne se demande plus si l’enfer existe! Qu’il ne dise donc pas que c’est l' »homme » qui crée l’enfer ou le paradis dans son imagination, que l’enfer n’existerait pas! Il faut vraiment être un Diable pour vouloir convaincre des gens qui sont en enfer et veulent en échapper, que l’enfer n’existe pas!

Avec eux donc c’est le paradoxe complet! C’est le paradoxe d’une personne dont vous sonnez à la porte et qui vous ouvre et vous dit: « Je suis absent! Vous croyez me voir, mais ce n’est pas moi que vous voyez, mais mon absence… » C’est le paradoxe de la personne qui vous montre un poignard et qui vous dit: « Ce que voyez n’est pas un poignard ». C’est donc le serpent, que vous avez devant vous, qui présente toutes les caractéristiques d’un serpent, mais qui vous convainc et même vous hypnotise en disant que les serpents n’existent pas, que c’est votre imagination qui les crée. Pas étonnant qu’ils nient l’Enfer, car alors c’est pour espérer échapper à l’Enfer, la seule chose qu’ils méritent! En niant, c’est en fait qu’ils entendent déprogrammer votre esprit créateur (car notre esprit est créateur, il est puissant!) pour ne pas les expédier en enfer ou ne pas le leur créer.

Les démons nés humains existent dans tous les peuples et races, bien sûr, sauf que tous les peuples n’ont pas eu ce privilège d’être le peuple élu de Dieu. Quand donc le mal commun à tous les humains depuis le péché originel, à cause d’un ange déchu, Lucifer ou Satan, alias le Serpent d’Eden ou Nahash en hébreu (Genèse 3: 1-24), se double du péché d’avoir renié Dieu, et donc d’être un ange de Dieu qui a été déchu, cela donne une situation particulière qui n’est plus comparable à celle des autres peuples, ou à la tare commune d’être des pécheurs. Pour le dire autrement (et c’est très subtil ce que je vais dire) un statut comparable à celle d’ange déchu, donc comparable au statut du Serpent d’Eden, du Diable, de Lucifer, de Satan, n’a plus de commune mesure avec celle d’humains pécheurs! Car il s’agit alors d’un statut comparable à celle d’un adversaire de Dieu, qui combat Dieu, ses anges, ses envoyés, ses prophètes, le plus grand d’entre eux jusqu’ici étant le Fils de Dieu ou Messie ou sauveur du monde des conséquences du péché originel, etc. Autrement dit, le Fils de Dieu qui est venu neutraliser le Diable et les conséquences de son oeuvre de perdition de l’humanité, le Paradis ou Paradigme perdu, qu’il s’agit de retrouver.

Et il est très facile de le vérifier dans le monde: la très grande puissance ou le grand pouvoir de ces élites juives ayant renié Dieu, sa Loi ou Torah (la vraie), le Tanakh, etc., est à la mesure du pouvoir divin d’autrefois qu’ils avaient du fait de leur relation spéciale avec Dieu, d’avoir été le peuple élu de Dieu. Pour le dire autrement, un ange très puissant, quand il est déchu, devient un démon très puissant! Sans cela, le fait qu’un si petit peuple puisse à ce point dominer le monde, des continents comme l’Amérique, l’Europe, l’Asie, l’Afrique, etc., serait complètement incompréhensible. C’est simplement « paranormal »! Il faut mettre Dieu et Diable dans l’équation, et alors tout devient clair, rationnel.

Voilà pourquoi aussi pourquoi depuis que les sciences de ce monde sont ce qu’elles sont, et notamment depuis 2000 ans, tout a été fait pour que les questions de Dieu et du Diable, et des anges et des démons, ne soient jamais éclairées scientifiquement, avec un paradigme scientifique adéquat, mais soit reléguée au domaine de la religion et de la croyance. Il suffit juste du Paradigme de l’Univers TOTAL pour que toutes les questions, sans aucune exception, y compris donc la question de Dieu et du Diable, puissent être traitées scientifiquement. Et la notion de Dieu est justement l’Univers TOTAL en question, et la notion du Diable est celle de la Négation de l’Univers TOTAL. Autrement dit le fait d’être déconnecté de l’Univers TOTAL, des lois universelles, de fonctionner avec des lois anti-universelles, anti-existence, anti-vie.

Un diable ou un démon n’est rien d’autre qu’un esprit de négation de l’Univers TOTAL, ou une incarnation de la Négation, un esprit négatif donc, ou une entité négative. Une fois donc que l’on fait une Science qui fonctionne avec le concept d’Univers TOTAL, de Réalité TOTALE, d’Etre TOTAL, tout devient définissable scientifiquement. Il n’y a donc plus de questions « paranormales« , c’est-à-dire qui échappent à l’analyse scientifique. Pour le dire autrement encore, la science qui a trouvé le moyen de diviser par zéro sait aussi traiter de toutes les questions.

Toutes les questions prétendues impossibles à traiter scientifiquement sont corrélées, elles se ramènent à un seul problème fondamental. Par conséquent, trouver le moyen de résoudre n’importe laquelle de ces questions c’est avoir trouvé le moyen de les résoudre toutes, tout comme le bon fil d’une pelote qu’on tire et on fait dénouer toute la pelote. Quand on a donc trouvé le secret de la division par zéro, on a trouvé le secret de résolution de toutes les impossibilités scientifiques. Et en l’occurrence le problème de la division par zéro, celui des paradoxes de la théorie des ensembles, la question de l’existence de Dieu, du Diable, des anges et démons, etc., sont le problème des paradigmes de Négation, notamment de l’Univers TOTAL, qui est la définition scientifique de Dieu. . Tout a été donc fait pour que les sciences ne reposent jamais sur le Paradigme de l’Univers TOTAL, car alors aussi le problème de la Négation est résolu, et toutes impossibilités scientifiques tombent. Les démons, les esprits de Négation, les entités négatives, visibles ou invisibles, ne peuvent plus se cacher et tout s’éclaire enfin au grand jour.

Il y a donc des gens qui connaissent ces secrets fondamentaux, les secrets de l’Univers TOTAL, mais les cachent dans des domaines de connaissances initiatiques (Kabbale, Franc-maçonnerie, sociétés secrètes, etc.), autrement dit les enferment dans une science ésotérique ou occulte, au lieu de rendre tout cela accessible à tous dans la science exotérique, c’est-à-dire officielle. Et le secret que tout a été fait pour cacher en science, c’est donc le concept d’Univers TOTAL, le concept scientifique de Dieu donc.

La Bible est le livre qui, dans son premier livre et qui est aussi le premier livre de la Torah, énonce la plus grande vérité qui devait aussi être celle de la science, en disant: « Au commencement Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1: 1). L’idée clef ici est celle de Dieu, autrement dit celle de l’existence d’un Etre Suprême. Et le dernier livre de la Bible, l’Apocalypse, enfonce le clou en parlant de l’Etre qui dit: « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin » (Apocalypse 1: 8; 21: 6; 22: 13).

Rien que cette seconde déclaration biblique (en fait de Dieu rapportée dans la Bible par le porte-parole, ici Jean) est la solution de la division par zéro! Cette formule « Je suis l’Alpha et l’Oméga » est tout simplement ce que résume l’égalité: o = Ω ou: Ω = o, autrement dit, avec la division par zéro: o = 1/o ou: 1/o = o. Il est donc clair que si les esprits initiés qui gouvernent ce monde de mensonges ne voulaient pas de la division par zéro en sciences, ce n’est surtout pas qu’elle était impossible, mais simplement parce qu’elle conduisait directement à la compréhension de Dieu en sciences!

La plus grande vérité scientifique est en réalité DIEU! Moïse, l’hébreu, à qui Dieu donna la Torah, et Torah qui commence par cette déclaration aussi simple qu’extraordinaire: « Au commencement Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1: 1), est en réalité le rapporteur de la plus grande vérité scientifique, à savoir DIEU! Il est donc le plus grand scientifique du monde, ou en tout cas plus grand que les scientifiques égyptiens, babyloniens, médo-perses, grecs, romains, etc., et les scientifiques de notre temps, Einstein y compris!

Car Einstein parlait de Dieu, qui pour lui, comme pour son mentor Spinoza (tous les deux juifs au passage), désignait la nature, autrement dit l’univers connu. Mais le tort d’Einstein est de rester prisonnier des paradigmes scientifiques classiques, et tout génie qu’il était, n’a pas su définir scientifiquement la notion de Dieu, qui est tout simplement la notion d’Univers TOTAL, l’Ensemble de toutes les choses et de tous les êtres, l’Etre TOTAL, l’Alpha et l’Oméga. Autrement dit le Grand TOUT, qui est INFINI (en l’occurrence l’infini absolu Oméga ou Ω, et qui est à la fois aussi le zéro absolu Alpha ou o. L’univers ou la nature dont Einstein (ou aussi Spinoza) parlait dans sa théorie de la relativité et qu’il appelait « Dieu » est seulement NOTRE univers ou l’univers connu, et pas l’Univers INFINI Absolu Oméga dont je parle et que j’appelle DIEU aussi.

L’idée d’Einstein ou de Spinoza de donner une définition métaphysique de Dieu, c’est-à-dire en marge de la physique officielle, ou, officiellement donc, Dieu n’a rien à y faire, oui l’idée d’Einstein de parler de Dieu en marge de sa physique, était déjà pas si mal. Il fallait juste aller jusqu’au bout de l’idée et donner à la notion d’Univers une définition absolue, qui ne souffre d’aucune limitation, et alors Dieu aurait eu depuis longtemps sa place en sciences! Autrement dit, il fallait introduire en sciences l’Univers TOTAL. Déjà que la communauté scientifique était sceptique face à la théorie de la relativité à ses débuts, et sachant que les sciences sont posées dans des paradigmes de manière à exclure toute idée de Dieu, il est clair que si Einstein avait attaqué avec une théorie comme la Science de l’Univers TOTAL que je fais et disant que l’Univers TOTAL est la définition scientifique de l’idée biblique de Dieu, il aurait essuyé toutes les foudres des esprits de Négation, sa qualité de scientifique n’irait pas loin, on l’accuserait de « pseudo science » ou de déguiser un enseignement de la Torah, de la Kabbale, en théorie scientifique!

Mais quand il a convaincu le monde avec sa théorie de la relativité restreinte, puis avec sa théorie de la relativité générale, et a acquis une grande notoriété mondiale, au lieu de chercher la théorie des champs unitaires qui est une tentative d’une théorie plus grande que la relativité et surtout plus unificatrice, qui ne conduisit nulle part et même l’a usé et fatigue jusqu’à la fin de sa vie, il lui fallait comprendre à ce moment-là ce qui clochait et rendait impossible sa tentative d’Unification de la physique, et qui est que les paradigmes scientifiques actuels étaient les paradigmes de Négation. Il avait atteint la limite de ces paradigmes, car il est absolument impossible de faire une Science Unificatrice avec la logique de Négation, qui par nature même interdit l’Unification! Il fallait alors changer de paradigme et introduire un Nouveau Paradigme, la notion d’Univers TOTAL! Et alors sa théorie de la relativité qu’il a appelée « générale », apparaîtrait clairement comme étant encore trop restreinte! Sa nouvelle théorie aura alors été nommée par exemple théorie de la relativité absolument générale, ou simplement la Théorie de l’Absoluité, ou encore la Théorie de l’Universalité, etc. Autrement dit simplement, il aurait découvert à sa manière ce que j’appelle aujourd’hui la Science de l’Univers TOTAL.

Le problème qui se pose est que la science actuelle telle qu’elle fonctionne et avec les paradigmes qui sont les siens, est très verrouillée contre la notion d’Univers TOTAL ou toute notion qui lui est synonyme, comme par exemple aussi la notion d’Ensemble de tous les ensembles, qui est apparue dans la théorie des ensembles introduite par Georg Cantor.

Cette notion d’Ensemble de tous les ensembles n’est qu’une autre manière de parler de la notion d’Ensemble de toutes les choses, qui est la définition que je donne à l’Univers TOTAL. Mais justement aussi, cette notion d’Ensemble de tous les ensembles a été rejetée car, comme d’autres notions suprêmes de son genre, elle causerait des paradoxes, les fameux paradoxes de la théorie des ensembles. Or ce n’est pas cette notion d’Ensemble de tous les ensembles et les notions semblables qui causent les paradoxes, mais les paradigmes de Négation, impropres pour traiter des notions absolues de ce genre. Quand c’est ainsi, de deux choses l’une: on change les paradigmes pour passer des courantes logique de Négation à ce que je nomme la logique d’Alternation, et alors il n’y a plus de paradoxes, et ces notions absolues, qui sont en réalité toutes autant de manières différentes de définir Dieu en sciences, peuvent être traitées scientifiquement. Ou alors on tient à garder les logiques de Négation, et ces notions absolues doivent être exclues en sciences, pour éviter des paradoxes. Mais alors, on doit exclure en sciences ces notions absolues, qui doivent faire partie d’une science digne de ce nom, sinon elle est lacunaire dans le meilleur des cas, et mensongères dans le pire des cas. La science actuelle a choisi cette seconde option.

Par exemple, la question de la division par zéro concerne justement une notion absolue, en l’occurrence l’infini absolu Ω. L’existence de cet infini absolu Ω cause un paradoxe en algèbre, notamment en théorie des corps. Cette théorie dit que tout élément d’un corps est inversible, sauf l’élément neutre pour la loi additive, qui est non-inversible. En langage des mortels, l' »élément neutre pour la loi additive » est la définition de la notion de « zéro« , en l’occurrence le zéro absolu. Et ce théorème de la théorie des corps dit simplement qu’il est impossible de diviser par zéro. Mais ce qui n’est pas dit, c’est qu’en réalité par « impossible » il faut comprendre qu’il est impossible de diviser par zéro sans changer complètement de logique scientifique, revoir les principes de logique sur lesquels les sciences actuelles reposent, comme par exemple ce qu’on a appelé le fameux principe de non-contradiction d’Aristote. Mais on a fait dire à ce principe ce qu’il ne disait pas, par exemple lui faire dire qu’une chose ne peut pas avoir deux aspects complètement contraires, comme par exemple être à la fois le zéro absolu (o) et l’infini absolu (Ω), ou être à la fois l’Alpha et l’Oméga.

Le principe de non contradiction tel qu’Aristote a voulu l’exprimer, est de dire qu’une chose ne peut pas à la fois ETRE et ne NE PAS ETRE, ou être à la fois VRAIE et FAUSSE. Oui, mais si l’on fonctionne en logique binaire, où il n’y a que deux valeurs de vérités, le VRAI, qu’on peut comparer à la couleur BLANCHE, ou au nombre 1, et le FAUX, qu’on peut comparer à la couleur NOIRE, ou au nombre 0. D’ailleurs en informatique, le 0 et le 1 servent à représenter les valeurs logiques FAUX et VRAI.

Oui, mais l’exclusion mutuelle des deux valeurs logiques n’est valide que dans une logique binaire, mais ne l’est plus dès qu’on introduit une troisième valeur logique, à plus forte raison quatre, cinq, etc., voire une infinité de valeur! Dans l’Univers TOTAL il y a des couleurs qui ne sont à la fois blanches et noires, et on appelle cela des niveaux de gris. Et il existe des nombres intermédiaires entre 0 et 1. Une logique qui se veut universelle ou absolue (ce qu’est justement ce que j’appelle la logique d’Alternation, et qui correspond grosso modo à ce qu’on appelle couramment une logique polyvalente), se doit d’intégrer toutes les valeurs de vérités intermédiaires entre 0 et 1. La logique binaire, qui ne raisonne qu’en terme de VRAI ou FAUX ou en mode TOUT ou RIEN, est très inadéquate pour exprimer toutes les réalités de l’Univers, toutes les nuances qui existent. Et ça, pas besoin d’être un Einstein pour le comprendre. Or étrangement, la science s’enferme dans une logique binaire, et Einstein lui-même a fait ses théories de la relativité et même toute ses théories dans cette logique binaire. Pas étonnant qu’il ne pouvait pas avec cela faire une théorie unitaire ou unificatrice, puisque ce genre de théories réclament des logiques supérieures.

De la manière dont on utilise le principe de non-contradiction, à savoir qu’une chose ne doit pas posséder des attributs contraires (comme par exemple être à la fois le zéro et l’infini), il s’agit en fait d’un principe de Négation, qui est en fait le principe de la vraie contradiction! C’est ce qui conduit par exemple à dire que la division par zéro est impossible, puisque cette division implique qu’il existe un nombre, en l’occurrence le zéro, qui est à la fois son contraire, l’infini, et même qui est à la fois le 1, le 2, le 3, bref un nombre spécial qui est à la fois tous les autres nombres, autrement dit qui est l’Alpha et l’Oméga! Là, la logique scientifique habituelle, la logique binaire donc, s’effondre, les esprits scientifiques classiques disjonctent complètement, car ils ne peuvent pas concevoir qu’une chose puisse être tout et le contraire de tout! Ils appellent cela un « paradoxe » ou une « contradiction », alors que c’est ainsi que scientifiquement se définit l’Être appelé DIEU! On ne doit pas le limiter dans un seul rôle, car il est l’Etre qui joue tous les rôles, son Rôle est qu’il joue tous les rôles!

Mais les sciences de Négation, faites avec les logiques de Négation, ne peuvent pas supporter cette logique de l’Alpha et l’Oméga qui caractérise l’Etre Suprême! Chaque fois qu’une notion scientifique possède cet attribut de l’absoluité, on le déclare « impossible ».

Mais officieusement, les gardiens des clefs des sciences de ce monde, les initiés, savent pertinemment ce qui se cache derrière ces impossibilité officielles, à savoir tout simplement DIEU. Ils connaissent les pouvoirs de l’absoluité, mais les cachent au grand public, maintenus dans l’ignorance. Car qui possèdent les connaissances que les autres n’ont pas, peuvent dominer les autres. les cercles ésotériques, occultes, comme la Kabbale, la Franc-maçonnerie, les sociétés secrètes, etc;, ne sont rien d’autre que cela. Cacher des vérités sur l’Univers et les choses, sur la vraie nature de la réalité, dans toute sa multidimensionnalité, enfermer les autres dans une réalité restreinte, comme par exemple la réalité tridimensionnelle, la quatrième dimension étant appelée le « temps » comme avec l’espace-temps à quatre dimensions de la théorie de la relativité d’Einstein, etc., c’est ce que font ces initiés, cela leur donne donc beaucoup de pouvoir sur les autres.

On fait croire au monde que la question de Dieu ou du Diable, des anges et des démons, est seulement une affaire de religion ou de la croyance, alors qu’en réalité cela devait être la question scientifique numéro un.

C’est de cette science interdite qu’il est question dans la Torah et dans tout le Tanakh, c’est elle qui se poursuit dans tout le Nouveau Testament, avec Jésus, ses apôtres. C’est sa formule ultime que le livre de l’Apocalypse exprime en disant: « Je suis l’Alpha et l’Oméga« . C’est à Jean, un juif, un disciple de Jésus, que Dieu ou Jésus ressuscité révéla ces vérités dans le livre appelé Apocalypse, mais qui signifie Révélation. Mais ce sont les porteurs de ces vérités absolues, hier les prophètes, puis Jésus et les apôtres, que l’esprit du Talmud et de la Kabbale a toujours combattus. Cet esprit qui s’est donc assis sur le trône du Diable et domine le monde aujourd’hui, pour son plus grand malheur.

Les peuples ressentent cet immense pouvoir de Pharaon, de la nouvelle Egypte, de la nouvelle Rome, etc., qui les écrase et les réduit en esclavage (Apocalypse 13: 1-18), et face auquel ils se sentent impuissants. Ils observent cela tout au long des 2000 ans passés, depuis donc l’assassinat de Jésus Christ. Jésus lui-même annonça l’exil juif consécutif à ce crime contre Dieu, un exil plus grand que celui du temps de Nabouchodonosor de l’empire babylonien (Matthieu 23: 37-39; 24: 1-21).

Mais dans leur diaspora à cause du péché contre le Messie, le secret qu’est le fait d’avoir perdu le pouvoir divin qui s’est transformé en pouvoir diabolique correspondant, autrement dit ce grand pouvoir d’ange déchu, fut très soigneusement caché. Les fautifs ont préféré faire passer leur malédiction (qui vient tout droit de la Torah elle-même, oui Moïse en Deutéronome 30: 15-20 par exemple avait énoncé les graves conséquences qu’aurait leur abandon de la Torah) pour de l’antisémitisme à leur égard, au sens de l’antisémitisme biblique, historique. Or ce n’est plus du tout le cas, mais il s’agit depuis lors de l’antisémitisme talmudique, ils étaient frappés par les conséquences d’avoir abandonné le Tanakh pour le Talmud, d’avoir renié le Messie pour César, d’avoir rejeté le Bien pour le Mal, Dieu pour le Diable.

Mais la posture de « victimes » des peuples à cause de leur essence juive est très commode pour masquer leur culpabilité, et en disant cela je parle des élites juives coupables de pacte ou alliance avec le Diable et coupables d’avoir entraîné le peuple au désastre. Autrement dit ils ont rompu l’Alliance de Dieu conclue avec Israël par l’intermédiaire de Moïse, pour sceller une Alliance avec le Diable, avec Rome ou César, avec Satan le maître de ce monde, et cette alliance a été conclue par l’intermédiaire des guides d’Israël.

A l’époque de Jésus, cette Alliance a été conclue avec le Diable par l’intermédiaire du grand-prêtre ou grand-cohen Caïphe ou Kaïpha. En prenant la décision de sacrifier Jésus qui montait en notoriété à cause des miracles qu’ils faisaient et que les chefs juifs voyaient comme une menace pour leur propre notoriété, il accomplissait une action très mauvaise, un sacrifice du Messie ou Machiah à Satan (voir Jean 11: 47-53). Mais dans le même temps, sans le savoir, en accomplissant cette sombre action, le grand-prêtre ou grand-cohen ou grand-sacrificateur qu’il était a accompli la prophétie divine de sacrifier l’agneau pascal pour le pardon des péchés d’Israël et pour son salut et sa délivrance.

Il faut garder à l’esprit qu’à l’époque le grand temple de Jérusalem n’était pas encore détruit par les romains (ce qui va se passer justement des années après le crime contre le Messie, signe que le temple terrestre avait joué son rôle et n’a plus raison d’être, car remplacé par un temple céleste, plus grand), et les cohens (prêtres ou sacrificateurs) ainsi que le grand-cohen qui était de service pendant l’année officiaient au temple de Jérusalem, selon les rituels prescrits dans la Torah donnée à Moïse. Comme Dieu n’allait pas demander au grand-prêtre de sacrifier Jésus réellement pour Dieu pour accomplir la prophétie, Dieu va faire quelque chose comparable à ce qu’il avait fait au patriarche Abraham en Genèse 22: 1-18, en le mettant à l’épreuve, lui demandant de lui sacrifier son fils unique Isaac. Le but était de voir si Abraham avait de l’amour pour Dieu au point de lui sacrifier son fils unique. En réalité, Dieu sait tout, donc n’avait pas besoin de tester Abraham pour savoir s’il avait de la foi et de l’amour pour Dieu ou pas. Mais si Dieu met à l’épreuve une personne, c’est pour les générations futures, pour qu’elles sachent ce que la personne mise à l’épreuve a fait. En l’occurrence ici Abraham va faire preuve d’une extraordinaire foi en Dieu mais aussi un grand amour pour Dieu, si bien qu’il sera appelé dans le Nouveau Testament le père de la foi (Genèse 15: 6; Romains 4: 1-25). C’est donc pour nous et pour nous servir d’exemple que Dieu éprouva Abraham et bien d’autres personnages bibliques.

Au moment où Abraham s’apprêtait à sacrifier à Dieu son fils unique Isaac, Dieu lui dit de ne faire aucun mal à l’enfant, mais fit apparaître un bélier pris par ses cornes dans un buisson, et demanda à Abraham de sacrifier l’animal à la place de l’enfant. Ceci au passage cloue le bec des tenants de toutes les idéologies lucifériennes que je regroupe sous l’appellation commune de religion de Caïn, qui ont ceci en commun de diaboliser Yahvé (ou YHWH) le Dieu hébreu, de le qualifier de « Démiurge », d’Annunaki ou que sais-je encore. Ils le font passer pour un Dieu « sanguinaire », qui préfère le « méchant » Abel qui sacrifiait les animaux, au détriment du gentil « Caïn » cultivateur et probablement végan. Mais il n’empêche que c’est Caïn qui tua Abel devenant ainsi le premier homicide de l’histoire, selon la Genèse. Force est de constater aussi que ceux de la religion de Caïn, dont le véganisme ou la pseudo-défense des animaux fait souvent partie de leur idéologie, s’émeuvent pour les animaux, mais souvent (pas toujours mais souvent) étrangement ne s’émeuvent pas des sacrifices sataniques, des sacrifices humains, des sacrifices des enfants bref de la pédo-criminalité et du pédo-satanisme (voir aussi Mes enfants sont pris en otage à cause de la Science de l’Univers TOTAL).

Ils citent souvent des textes bibliques comme l’épisode de la simulation du sacrifice d’Isaac demandé par Yahvé à son père Abraham, pour dire que Yahvé demande des sacrifices d’enfants. Or justement l’enfant n’a pas été sacrifié, cette demande a tout un autre sens, mais bien sûr ils ne comprennent pas la logique de la Torah, du Tanakh et de la Bible, ils ne comprennent pas la logique divine. Ils disent que Yahvé serait un Dieu « guerrier » qui massacrerait des peuples innocents pour donner leurs terres de Canaan à Israël. Or justement les peuples combattus par Yahvé sont des peuples qui pratiquement des cultes idolâtriques, ce qui signifient en fait qu’ils adorent les démons, vouent un culte à Satan le Diable, qui est le Serpent d’Eden, en hébreu Nahash. C’est lui donc le Démiurge, qui a fait manger aux humains originels le fruit de l’arbre de la Négation (en l’occurrence la Négation de Dieu l’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga), et qui a de cette façon transformé la terre créée par Dieu en une terre de Négation, qui n’a plus rien à voir avec le paradis originel. Alors là vraiment plus rien à voir!

terre-dechue-univers-negation

Le monde actuel est FAUX, il n’est tout entier que mensonge et illusion, et ce que Dieu est en train de faire depuis des siècles et des millénaires, depuis les prophètes à votre serviteur aujourd’hui qui introduit la Science de l’Univers TOTAL le Nouveau Paradigme, en passant par le Messie, le Sauveur, c’est tout simplement une Nouvelle Genèse, une nouvelle opération de création du monde (voir Apocalypse 21: 1-7).

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Oui le Serpent a fait perdre aux humains l’arbre de vie (Genèse 3: 1-24), et tout ce que Dieu, ses serviteurs, ses anges, font depuis des millénaires, c’est de faire revenir les humains aux arbres de vie, c’est d’ôter toutes les malédictions survenues du fait du Serpent et du péché originel (voir Apocalypse 22: 1, 2), péché qui se reproduit de diverses manières dans l’histoire, comme justement le fait d’abandonner la Torah, la Loi de Dieu, de renier le Tanakh de Dieu au profit du Talmud du Diable, le Serpent d’Eden. Puis ensuite le même péché se poursuit par le fait d’abandonner les évangiles, le Nouveau Testament, et de nos jours de refuser la Science de l’Univers TOTAL l’Alpha et l’Oméga.

C’est toujours donc le Serpent d’Eden, le Dragon de l’Apocalypse (Apocalypse 12: 7-12; 20: 1-3, 7-10) qui depuis le début (la Genèse donc) est la cause de toutes les perditions du monde. C’est donc lui qui a fait perdre le Paradigme et Paradis originel à l’humanité naissante, mais c’est Dieu (Yahvé dans l’Ancien Testament qui s’est révélé en tant que son Fils Yeshoua ou Jésus, dans le Nouveau Testament) qui travaille pour récréer le monde, sauver ses enfants perdus et jeter enfin le Diable et ses enfants dans le Lac de Feu ou Enfer. Mais eux, faisant toujours une inversion accusatoire, font passer le combat de Dieu contre le Diable et ses enfants, comme étant le « mal », donc implicitement font passer le Diable ou le Serpent d’Eden comme étant le bien.

Cette inversion accusatoire est le fondement de toutes les religions de Caïn, les religions du Serpent d’Eden. Le Talmud ou la Kabbale ne se positionnent pas ouvertement comme étant des idéologies de Caïn. Mais très subtilement, c’est ce qu’ils sont. En effet, ce sont les premiers qui ont renié Yahvé le Dieu de leurs ancêtres, en commettant des crimes sur les prophètes, puis Jésus et les apôtres, envoyés par ce Dieu. En reniant le Messie il y a 2000 ans, en le livrant à l’empire romain pour être crucifié, bref en sacrifiant à Satan le Fils de Dieu, c’est eux qui ont inauguré l’inversion accusatoire contre Dieu, très caractéristique des religions de Caïn.

Le Serpent et les siens vont jusqu’à citer Jérémie 7: 30-32 pour appuyer la même thèse d’un Yahvé qui serait « sanguinaire », qui réclamerait des sacrifices d’enfants. Or précisément, quand on lit ce texte, on voit que Dieu condamne Israël d’avoir commis les mêmes péchés que les cananéens qu’il a chassés et leur a donné leurs terres comme héritage. Comme les cananéens donc, le peuple d’Israël sacrifiaient leurs enfants à Moloch, chose que Dieu n’avait pas ordonné et qui ne lui est même pas monté au coeur, dit-il. Ils agissaient par la faute de leurs dirigeants, qui sont les plus grands fautifs, et pas tous les juifs, entendons-nous bien. Et plus généralement les fautifs sont tous les enfants du Diable dans ce peuple. Car les prophètes, Jésus, les apôtres, et beaucoup dans le peuple il y a 2000 ans, et beaucoup dans le peuple d’Israël aujourd’hui, sont des enfants de Dieu, porteurs de l’essence juive.

Pour en revenir au grand-prêtre Caïphe qui a proposé de sacrifier Jésus de Nazareth qui prêchait la vraie pensée de Dieu et dérangeait les enfants du Diable, il parlait en fait par le Diable l’Esprit du Talmud, accomplissait le plan du Diable, qui, depuis la Genèse, est celui qui réclame le sang des enfants de Dieu, à commencer par le sang d’Abel (voir Hébreux 12: 22-24). C’est le Diable le malfaiteur qui depuis toujours prend en otage les enfants de Dieu, demande une rançon qui est leur sang, leur vie, leur énergie vitale, leur unergie, et unergie qui est dans le langage de la Science de l’Univers TOTAL ce que la Bible appelle l’Esprit Saint ou Esprit de Dieu. Et c’est toujours Dieu qui paie la rançon demandée par le Diable, pour sauver ses enfants (voir Job 2: 1-7; Matthieu 26: 26-28; Jean 3: 16; Apocalypse 12: 10-12).

Pour payer la rançon en vie humaine et en sang que réclamait le Diable (le Serpent d’Eden) pour retrouver le paradis perdu, la vie éternelle perdue, Abel, qui a compris la logique, payait au Diable le sang d’animaux. Bien sûr, comme c’est Dieu le responsable suprême, qui assume tout, la Bible dit que c’est à Dieu que les sacrifices sont offerts, alors qu’en fait c’est Dieu qui paie la rançon au Diable pour sauver les enfants de Dieu. Mais c’est Abel qui sera le premier humain à voir sa vie sacrifiée au Diable, et son frère Caïn, qui est de la semence du Serpent, qui par jalousie exécutait le sacrifice.

Dans l’épisode du sacrifice d’Isaac à Dieu par son père Abraham, il est dit là aussi que c’est Dieu qui demandait ce sacrifice à Abraham. Mais en réalité, Dieu voulait montrer par-là qu’il est le Grand Abraham qui offrira comme rançon au Diable la vie de son Fils Unique, pour sauver l’humanité (Jean 3: 16). De même que Dieu évita à Abraham d’exécuter réellement le sacrifice, mais d’offrir un animal à la place, de même aussi ce n’est pas vraiment Dieu qui tue Jésus, son Fils Bien-Aimé, mais bien le Diable! Le grand-prêtre et les autres prêtres et chefs juifs exécutèrent le sacrifice pour Dieu, mais en réalité c’est au Diable qu’ils sont sacrifié Jésus pour leurs propres intérêts et avantages attendus du Diable ou César, notamment le privilège de s’asseoir sur son trône. Lors de la Tentation, le Diable proposa les royaumes du monde et leur gloire à Jésus, s’il accepte de l’adorer. Mais Jésus refusa, signant ainsi implicitement son arrêt de mort (Matthieu 4: 8-11). Face à la même proposition de s’asseoir sur le trône du Diable, les guides juifs ont quant à eux accepté le deal, comme aussi Judas Iscariote l’apôtre de Jésus qui l’a trahi. Les propos étranges du grand-prêtre Caïphe montrent que lui aussi a accepté le deal, et en décrétant le sacrifice de Jésus (Jean 11: 47-53), il accomplissait lui aussi la volonté du Diable, mais du même coup aussi le plan divin d’offrir son Fils Unique en sacrifice au Diable, pour sauver les humains qui auraient foi en Jésus (Jean 3: 16).

C’est toute la subtilité de la logique biblique, la logique divine, que beaucoup ne comprennent pas, et d’autres, les enfants du Diable, le comprennent tout à fait, mais font preuve de mauvaise foi et d’inversion accusatoire, faisant passer Dieu pour le Diable, et eux et leur père le Diable (voir Jean 8: 44) pour Dieu ou des dieux.

Le patriarche Abraham le père d’Isaac était un symbole de Dieu. Et son fils Isaac sera le patriarche suivant, tout comme le propre fils d’Isaac, Jacob, qui sera renommé Israël, sera aussi un patriarche. C’est de ces trois patriarches que vient la formule biblique: « Le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob » (voir Exode 3: 13-15; Matthieu 22: 29-32).

Les juifs qui avaient suivi Jésus et étaient devenus ses apôtres et disciples, montaient en puissance pendant le premier siècle après la mort et la résurrection de Jésus Christ. Et le christianisme se répandait comme une traînée de poudre, et aussi il y avait beaucoup de persécutions des premiers chrétiens, et très souvent à l’instigation des élites juives qui auparavant ont assassiné le Christ (voir Actes chapitres 6 et 7).

Après la mort des apôtres, le christianisme naissant commença lui aussi à dévier, et à devenir progressivement la puissante église catholique, qui gouvernait les empires, à commencer par Rome où elle est devenue la religion de l’empire dès le quatrième siècle, avec la « conversion » de l’empereur Constantin. Les choses quand elles sont vues uniquement au premier degré, on pourrait dire que les juifs talmudistes étaient souvent persécutés dans ces empires catholiques. Mais à y regarder de plus près, avec le regard divin, c’était la logique de sacrifice de juifs par des juifs qui se poursuivait, pour accomplir l’agenda talmudique.

Malgré les apparences donc, c’est le pouvoir talmudique qui montait en puissance, contrôlant le christianisme corrompu, qui est pour le Nouveau Testament ce que le talmudisme était pour l’Ancien Testament.

On avait juste deux formes du même Diable, qui se servait du catholicisme pour nourrir le trône César sur lequel c’est l’Esprit du Talmud qui s’est désormais assis, tout en donnant l’illusion que le pouvoir est chrétien, et que sous ce règne les juifs sont les éternelles victimes de l’antisémitisme, pour cause de leur essence juive. La Shoah fut l’un des exemples de cette stratégie, l’art de créer le problème dont on se plaint, de devenir le bourreau qui est dans la posture de l’éternelle victime à qui tout est permis. Si l’on dévoile le manège ou l’on dit la vérité qui dérange le plus, on se voit aussitôt étiqueter d' »antisémite » animé de sombres intentions.

Et les juifs du bas sont les premières victimes et les otages de cet antisémitisme volontairement nourri par des esprits talmudiques et kabbalistes qui savent très bien ce qu’ils font. Et des gens, qui n’étaient pas spécialement racistes, sentent que quelque chose ne va pas, mais sans pouvoir identifier le vrai problème. Ils sentent de la part de certaines personnalités, avant même d’apprendre qu’elles sont juives, quelque chose de déplaisant. Ils constatent la tyrannie, l’arrogance ou les attitudes méprisantes, ou des attitudes affichées d’être des tout-puissants, des maîtres du monde, etc. Choses que beaucoup découvrent ou ressentent de plus en plus, avec aussi un sentiment d’injustice ou d’inégalité, de favoritisme, de « deux poids deux mesures », etc.

C’est cela l’antisémitisme volontairement fabriqué et entretenu, car il sert un agenda, putôt satanique que divin. Cela se voit de plus clairement à l’ère du Nouvel Ordre Mondial, bâti sur le chaos semé dans beaucoup de pays. C’est encore plus clair à l’ère de la religion du Covidisme, des variants Omicron-Omacron.

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C’est pourquoi je m’empresse de donner cette précision très importante pour relativiser l’importance donnée au personnage en question. La précision est que quand il s’agit du zéro absolu, o, et de l’infini absolu, Ω, on a l’égalité ou l’équivalence: « o = Ω » ou : « Ω = o« , qui est donc l’expression du Cycle Infini absolu, le grand Cycle Oméga, ou le Cycle du Grand Oméga, encore appelé l’Omégacycle.

Ceci pour délivrer le message divin ou le message du Christ donné en Luc 24 : 24-27 selon lequel celui qui veut être le plus grand (le grand Oméga ou Dieu ou Ω) doit apprendre à être le plus petit (le très petit Alpha ou Diable ou o). Il est donc Divin ou l’Oméga ou le plus Grand s’il sait volontairement être l’Alpha ou le grand Zéro ou le Rien ou le Néant. Mais s’il ne cherche qu’à être grand, qu’à être appelé « grand », et ne s’imagine que comme tel, alors aussi le frappe une autre parole du Christ disant que « celui qui s’élève sera abaissé mais celui qui s’humilie sera élevé » (Matthieu 23 : 12). Ce personnage ne cherchant qu’à s’élever (et c’est le cas de beaucoup de son espèce), autrement dit se croyant toujours l’Oméga Ω, il sera donc abaissé, et à vrai dire il montre lui-même qu’il est un grand néant, l’Omicron o. Il n’est donc pour le moment que ça, il n’est que rien, oui le zéro absolu. Fermons cette parenthèse allégorique ou parabolique et revenons à la Science de Dieu pure et universelle, absolue, indépendante des comportements de tel ou tel être dans l’Univers TOTAL, l’Univers-DIEU.

[…]

Source : https://www.hubertelie.com/u_phi_scien-fr-110-000-u-nouveau-paradigme-science.html


 

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