Générescence et champ morphogénique ou égrégore

La notion de champ morphogénique ou égrégore a une définition très simple dans le Nouveau Paradigme scientifique, la Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu

Source: https://www.hubertelie.com/u_set_scien-fr-222-000-generescence-champ-morphogenique-egregore.html


C’est (techniquement) quoi un champ morphogénique ou égrégore?

Un champ morphogénique est ce que nous appelons une générescence ou un ensemble quantique en Science de l’Univers TOTAL. Ces notions ont été amplement développées dans le document Générescence et Structure FRACTALE mais aussi par exemple dans le livre PDF gratuit L’Univers TOTAL, l’Alpha et l’Oméga. Tout est déjà dit, mais tout reste à dire ici, pour comprendre aussi la notion d’égrégore en général, et d’égrégore de Négation en particulier.

Dans notre travail de Science de l’Univers TOTAL ou Science de Dieu, nous avons en effet tendance à réserver le terme « égrégore » pour désigner l’égrégore de Négation ou tout égrégore de Négation, c’est-à-dire un égrégore au sens négatif. Mais pour parler de « champ morphogénique » ou « champ morphique » ou « champ de forme » de manière très générale, nous employons le terme « générescence« . Ce sont différentes manières de voir la même notion, dont nous allons donner à présent ici la définition technique, étape par étape.

C’est en 1882 que le mathématicien de génie Georg Cantor introduisit un nouveau paradigme des mathématiques d’une très grande puissance conceptuelle, et qui est la théorie des ensembles, appelée à l’époque aussi la théorie des agrégats. Et au passage, les mots « agrégat » et « égrégore » ont la même racine latine (on y reviendra plus loin), et cela fait référence à la notion d’ensemble, une très grande notion des mathématiques modernes, que l’on doit donc à Cantor.

— Voir si nécessaire l’article de Wikipédia sur la théorie des ensembles.
Mais si vous voulez vraiment comprendre la très importante notion d’ensemble et d’élément à la lumière du nouveau paradigme scientifique, à savoir la Science de l’Univers TOTAL, voir dans ce site le document:
— La Théorie universelle des ensembles

Dans la première partie nous avons évoqué le grand problème de la Négation, et qui est précisément la Négation de l’Univers TOTAL, la Négation du Paradigme qu’il est. On fonctionne alors avec des paradigmes de la Négation. Voici justement les propos de Négation d’une encyclopédie en ligne bien connue, à savoir Wikipedia, quand on l’interroge pour savoir ce qu’est un champ morphogénique.

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Le champ morphogénétique (ou «champ morphique», «résonance morphique» ou «champ de forme») est une expression qui définit un champ hypothétique qui contiendrait de l’énergie ou de l’information sans être constitué de matière (atome, électrons, etc.). Ces champs seraient déterminants dans le comportement des êtres vivants notamment en ce qu’ils hériteraient d’habitudes de l’espèce par « résonance morphique» et que leurs actions influenceraient lesdits «champs de forme».

Il s’agit d’un concept qui n’est pas scientifiquement validé, donc qui se limite à une croyance.

Les promoteurs de cette croyance, à l’instar de Rupert Sheldrake, établissent une analogie entre cette notion et celle de champ de force, telle qu’elle est définie en physique. Cependant, les champs de forme n’ont aucun support vérifiable ni réfutable, ils échappent donc par définition à toute possibilité d’expérimentation scientifique.

L’idée a été adoptée par diverses pensées pseudo-scientifiques. Les champs de forme ont été popularisés par la spiritualité New Age.
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Et on lit aussi:

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Le concept a été recyclé en 1981 par Rupert Sheldrake dans A New Science of Life: The Hypothesis of Morphic Resonance. Il déplace le concept de champ morphogénétiques à un domaine invisible et transcendant (donc non réfutable), concept qui résonne avec des notions comme l’inconscient collectif de Carl Gustav Jung ou la notion d’égrégore de l’ésotérisme occidental. Rupert Sheldrake distingue les concepts de champ morphique, de résonance morphique ou encore de champ morphogénétique.

« Le terme champ morphique comprend des champs morphogénétiques, comportementaux, sociaux, culturels et mentaux. Les champs morphiques sont formés et stabilisés par résonance morphique de semblables unités morphiques précédentes, qui sont sous l’influence des champs du même type. Ils contiennent par conséquent une sorte de mémoire cumulative et ont tendance à devenir de plus en plus communs. »
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A partir de maintenant, quand vous lirez dans Wikipedia ou dans n’importe quel texte de ce système les mots comme « non scientifiquement validé », ou « pseudo scientifique », ou « controversé », ou « complotiste », ou « conspirationniste », etc., sachez que vous devez creuser le sujet, car on vous cache quelque chose! Ces mots, qui ne sont ni plus ni moins que des mots de Négation, des mots négatifs, ont pour but de vous bloquer, de vous empêcher de chercher plus loin, de vous poser les bonnes questions, de réfléchir tout simplement, d’être vraiment intelligent!

Car c’est dans la même encyclopédie que nous allons par la suite trouver la théorie scientifique, tout à fait validée, en l’occurrence la théorie des ensembles, qui permet de démontrer, d’expliquer et de comprendre de quoi il retourne vraiment dans cette notion de champ morphogénique.

Les concepts comme « non science » (la négation de la science), « non scientifique » (la négation du caractère scientifique), « pseudo science » (utilisé généralement de manière péjorative par le système pour qualifier de fausse science ce qui ne correspond pas aux paradigmes actuels de la science), « pseudo scientifique » (idem que précédemment), qui paraissent si normaux pour la plupart d’entre nous, sont en réalité problématiques, cela NIE l’idée fondamentale du mot « science« , qui vient du latin « scientia« , qui veut dire simplement « savoir« , point final!

L’équivalent grec de ce mot est « gnosis« , qui lui aussi veut dire simplement « connaissance« , point barre! Rien à ajouter donc. Ce qu’on attend d’un savoir ou d’une connaissance, autrement dit simplement, ce qu’on attend d’une information, quelle qu’elle soit, c’est qu’elle soit la vérité, rien de plus.

Mais ce sont les esprits de Négation derrière ce monde qui ont fait du mot science une notion séparée du savoir ou de la connaissance en général. Ils réservent au mot « science » une méthodologie très spéciale d’accès au savoir ou de production de ce savoir, qui est en fait leur savoir à eux, une chose de surcroît élitiste. De cette façon ces esprits de Négation ont pu imposer au monde, y compris à des gens sincères comme Euler, Cantor, Einstein, etc., que ce qui est appelé « science » a plus d’assurance de vérité que tout ce qui n’est pas nommé comme telle, y compris la philosophie par exemple, et à plus forte raison la religion ou la spiritualité.

Or la « science » n’est qu’un autre système de croyances, basé sur des axiomes, des principes, bref des paradigmes tout à fait discutables! En l’occurrence ici des paradigmes de Négation. L’arnaque du Diable (c’est-à-dire l’esprit de Négation) a été parfaite, et cela a bien fonctionné jusqu’ici. Et il faut avoir l’Esprit de Dieu (c’est-à-dire de l’Univers TOTAL) pour découvrir l’arnaque et ramener ces sciences à ce qu’elles sont: à savoir les sciences de Négation, où DIEU (l’Univers TOTAL donc) y brille par son absence! Je ne dis pas cela contre les scientifiques sincères de tous les temps, mais je dis cela contre les esprits de Négation qui ont fait des sciences de ce monde ce qu’elles sont. La vraie Science, qui n’est pas un système de croyances déguisé, est la Science de l’Univers TOTAL.

Mettons donc fin à toutes les arnaques de la Négation, qui ont consisté à séparer la science de la science, c’est-à-dire le savoir du savoir, la connaissance de la connaissance, et à n’appeler « science » qu’une petite partie de la Science!

Le mot grec « gnosis » donne les mots français « gnose« , et il est la racine de mots comme « agnostique« , qui désigne le fait de ne pas connaître, ou « le fait qu’une chose soit inconnaissable » quand notamment cela concerne les questions de Dieu. On trouve aussi la racine « gnosis » dans les mots comme « ignorant« , qui là désigne « une personne qui ne connaît pas« .

A noter que, que quand on parle d' »agnosticisme » par exemple, l’on ne dit pas que la « connaissance » en question (celle sur Dieu donc) ne puisse pas exister dans l’absolu. Car le moins qu’on puisse dire est que Dieu se connaît lui-même (sinon il ne serait pas Dieu justement), d’autant plus si le Dieu en question est le concept « Univers TOTAL » dont nous parlons. Ce Paradigme a été NIÉ ou CACHÉ par les esprits de Négation, ce qui n’a rien à voir avec le fait que Dieu ou son Paradigme serait impossible à trouver. La preuve…

Au troisième millénaire, à l’ère de l' »information » et du « numérique » dans laquelle nous vivons à présent, les mots « savoir » et « connaître » veulent dire simplement « posséder une information« . Et la Science de l’Univers TOTAL démontre à présent que « TOUTE chose et absolument TOUTE chose dans l’Univers TOTAL est fondamentalement de l’information« .

Et la notion la plus fondamentale d' »information » est celle d' »information unaire« , ce qui veut dire une « information » formée par une seule « information élémentaire » ou « information alpha« , qui se répète simplement pour former toutes les autres « informations« . Nous appelons « unit » cette « information élémentaire » ou « information alpha« , qui sera souvent le « zéro » ou « 0« , mais cela peut tout à fait être aussi le « un » ou « 1« , et soit dit en passant cette « information élémentaire » ou « information alpha » n’est autre que l' »Univers TOTAL« , que nous notons « U« . Et chose très importante: il est à la fois le nombre « Zéro » ou « 0 » (et dans ce cas nous l’appelons l' »Alpha« ), le nombre « UN » ou « 1 » (et dans ce cas nous l’appelons l' »UNIT » ou le « QUANTUM« , nous y reviendrons avec la notion d' »ensemble quantique » ou « générescence« ), et le même « Univers TOTAL » est le nombre « INFINI » (et dans ce cas nous l’appelons l' »Oméga« ).

Nous avons donc trois nombres fondamentaux, le « 0« , le « 1 » et le « ω« , respectivement le « Zéro« , le « UN » et l' »INFINI« , ou l' »Alpha« , le « UN » et l' »Oméga« , qui sont les trois facettes d’un seul et même Ensemble, à savoir donc l' »Univers TOTAL » ou l' »Ensemble de TOUTES les choses« , U donc. C’est lui l' »Unique Ensemble« .

En tant que « Zéro » ou « Alpha« , l’Univers TOTAL U joue le rôle de l' »Ensemble Vide » ou le « Vide« , couramment noté  en théorie des ensembles. Nous le notons « O » en Science de l’Univers TOTAL, et l’appelons « Onivers« . Nous y reviendrons car la notion de « vide » ou de « zéro » est une notion très délicate, car elle comporte précisément l’idée de Négation, en l’occurrence la notion de « Néant« , d' »Inexistence« , etc. S’il y a une notion scientifique, mathématique, de logique, une notion numérique, algébrique, ensembliste, etc., et aussi une notion de physique, qui incarne l’idée même de la Négation, c’est bien la notion qui exprime l’idée du nombre 0! Donc toutes les notions comme le « vide« , le « rien« , le « néant« , l' »inexistence » ou la « non existence« , etc. Autrement dit, le 0 est le nombre par excellence qui traduit la notion d' »inexistence » ou de « non existence« , donc l’idée de Négation. Par conséquent, le problème de la Négation dont nous parlons, c’est fondamentalement et techniquement le problème du Zéro.

En tant que l' »INFINI » ou « Oméga« , l’Univers TOTAL U joue le rôle de l' »Ensemble Plein » ou le « Plein » ou le « TOTAL« .

Parce que la théorie des ensembles actuellement et de manière générale les sciences actuelles sont faites avec la logique ou les paradigmes de Négation, cette théorie des ensembles possède un axiome de l’ensemble vide, qui dit: « Il existe un ensemble n’ayant aucun élément« . Cet axiome exprime tout simplement la notion de « vide« , ce qui veut dire aussi du nombre « Zéro » ou « 0« . On peut donc formuler cet axiome ainsi: « Il existe un ensemble ayant 0 élément« .

Quand donc nous parlons des paradigmes de Négation, cela signifie les paradigmes synonymes du « 0« , orientés vers le « 0« , appartenant à l' »Ensemble Vide« . Ce sont les paradigmes caractéristiques des univers ou mondes de l' »Onivers » encore appelé « Univers de Négation » ou « Univers négatif » (ce qui est la définition technique de la notion biblique d' »Enfer« ):

Nature des connaissances ou gnoses ou sciences
dans l’Onivers ou Univers de Négation ou « Enfer »,
ce qui veut dire la partie de l’Univers TOTAL où il est nié,
les univers ou mondes déconnectés donc de l’Univers TOTAL ou DIEU.

Celui-ci est aussi difficile à trouver que le point blanc de Lumière, point justement dont témoignent celles et ceux qui ont fait une EMI ou NDE authentique, c’est-à-dire une expérience de mort imminente.

Ils témoignent traverser un « tunnel » plus ou moins sombre, au bout duquel ils aperçoivent un point de Lumière, qui grandit au fur et à mesure qu’ils s’en approchent. Ils entrent alors dans ce point qui trouve être un portail vers un Monde de Lumière, un monde divin, complètement différent du monde actuel, qui est un monde de Négation, un « néant » donc, un « vide », un « enfer », bref un « onivers ».

Et voici comment les choses sont vues depuis ce Monde de Lumière, qui est un vrai Monde, car connecté à l’Univers TOTAL ou DIEU:

C’est le Monde de la vraie Science, synonyme d’Univers TOTAL. Seule donc la Science de l’Univers TOTAL peut donner à entrevoir cet AU-DELÀ tant nié quand on vit dans l’Onivers ou Univers de Négation, Onivers ou Univers négatif dans lequel se trouve notre univers ou notre monde actuel.

Vu depuis l’Univers TOTAL, c’est au contraire l’Onivers qui est réduit à un point noir, un point de ténèbres, qui est un portail vers l’Onivers ou Enfer, portail que l’on franchit pour chuter dans l’Onivers si l’on pose une action synonyme de Négation de l’Univers TOTAL ou de déconnexion d’avec lui, déconnection donc d’avec l’Univers-DIEU.

C’est ce qui couramment s’appelle devenir un « être déchu« , comme par exemple on parle des « anges déchus« , ce qu’est Satan ou Lucifer, c’est-à-dire un être de l’Onivers (voir Apocalypse 12: 7-12).

Ceci est l’occasion de souligner la grande différence entre la conception de la notion de « Vide » ou de « Zéro » vue de l’Univers TOTAL, et la même notion de « Vide » ou de « Zéro » vue de l’Onivers. Dans l’Onivers, quand on dit que l’Ensemble Vide a « 0 élément« , cela signifie qu’il n’a absolument aucun élément! C’est ce que veut dire l’axiome de l’ensemble vide dans la théorie des ensembles de notre monde.

Par contre, dans un vrai Univers, c’est-à-dire connecté à l’Univers TOTAL,
quand on dit que l’Ensemble Vide a « 0 élément« , cela ne veut pas dire qu’il est « vide » dans l’absolu, mais simplement qu’il n’a pas d’élément POSITIF, il est le lieu d’existence d’éléments NÉGATIFS ou éléments de Négation. Algébriquement ou numériquement, cela signifie l’ensemble de TOUS les nombres « en dessous de 0« , donc l’ensemble de tous les nombres « négatifs« .

Plus précisément encore, par « nombres positifs » (nombres exprimant les « choses positives » de l’Univers TOTAL), il faut comprendre les nombres dont la composante positive l’emporte sur la négative. On peut en effet voir tout nombre réel relatif x (c’est-à-dire un nombre réel pouvant être positif ou négatif) comme étant un couple de la forme: x = (p, n), où p représente sa valeur absolue positive et n sa valeur absolue négative.

Le nombre x sera dit relativement positif ou un nombre relatif positif,
si p > n (la partie positive est supérieure à la négative).

Le nombre x sera dit relativement négatif ou un nombre relatif négatif,
si n > p (la partie négative est supérieure à la positive).

Et e nombre x sera dit relativement 0 ou nul ou un nombre relatif nul,
si p = n (les parties positives et négatives sont égales).

Par exemple, le nombre x = (8, 5)
représente le nombre relatif positif « +3« ,
nombre qui est représenté aussi par x = (17, 14).
Et à l’inverse le nombre x = (5, 8) ou x = (14, 17)
représente le même nombre relatif négatif « -3« .
Et le nombre x = (8, 8) ou x = (17, 17)
représente le nombre relatif nul « 0« .

Tout cela traduit l’idée que dans l’Univers TOTAL, toute chose en règle générale a un aspect positif et un aspect négatif. Un pôle domine l’autre ou les deux sont en équilibre.

Ce que nous expliquons là est la vraie Science, celle reposant sur le Paradigme de l’Univers TOTAL la Réalité TOTALE, l’Etre TOTAL, DIEU. Et à partir de maintenant aussi, quand on vous parlera de « science » ou de « scientifique » dans ce système, ne commettez plus la très grave erreur de croire qu’il n’existerait qu’une seule manière de faire la science, qu’un seul paradigme scientifique, ce qu’on vous a toujours présenté ici-bas comme étant la seule chose à appeler « science », ou la seule méthodologie ou approche à qualifier de « scientifique ». Mais il existe en fait deux paradigmes scientifiques, et ils sont opposés l’un à l’autre.

Le premier est le Paradigme de l’Univers TOTAL, et c’est le seul unique vrai paradigme de la Science. Et le second c’est tous les paradigmes de Négation, c’est-à-dire de Négation de l’Univers TOTAL. Comme expliqué dans la première partie, tous les paradigmes de Négation reposent sur des principes ou axiomes qui sont équivalents à ce qu’on a appelé le « principe de non-contradiction« , qui nous vient de l’antiquité grecque, d’Aristote précisément, le disciple de Platon. Ce qu’on a appelé ainsi, ou plus exactement la manière dont c’est utilisé en logique, mathématiques et sciences jusqu’ici, est en réalité un principe de Négation, en l’occurrence de Négation de l’Univers TOTAL (voir donc le document: Le Principe de Non-Contradiction, le Principe de la Négation de l’Univers TOTAL, et aussi le document: Du monde de Négation au monde d’Alternation).

Quand donc désormais on vous parlera de « science », demandez-vous de quelle « science » ou de quel paradigme on vous parle. Les propos de Wikipedia cités plus haut sont la preuve que la « science » dont il est question est en réalité la science de Négation. Mais nous découvrons à présent la Science d’Alternation, c’est-à-dire la Science de l’Univers TOTAL. C’est dans celle-ci que nous allons maintenant découvrir ce qu’il en retourne vraiment de la notion de champ morphogénique


C’est (techniquement) quoi un champ morphogénique ou égrégore?

Comme évoqué dans la première partie du présent document, le concept d’Univers TOTAL est par définition l’ Ensemble de TOUTES les choses.

La notion d’Univers TOTAL est le plus grand ensemble que l’on puisse scientifiquement définir, c’est le Grand TOUT et il est INFINI!

Et comme nous allons le comprendre aussi, c’est le plus grand champ morphogénique qui soit! Le langage scientifique adéquat pour exprimer cette notion et d’autres, c’est le langage scientifique universel, à savoir donc le langage des ensembles, la très importante notion d’ensemble et d’élément. C’est avec la notion d’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses donc, que ce langage acquiert toute sa puissance, à savoir donc le langage universel des ensembles.

Nous avons à présent l’outil scientifique adéquat pour comprendre la notion de générescence ou ensemble quantique ou champ morphogénique ou agrégat ou égrégore (en parlant de la notion ésotérique ou populaire).

Avant d’aller plus loin, je vais citer un récent article d’AbbyEve intitulé: « Trouver les mots« . Elle dit:

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Les mots ont le pouvoir de façonner l’esprit. Et même de façonner une vie! Des mots bien choisis ont le pouvoir de nous guider à chaque étape de notre vie. Mais des mots « bien » choisis ont aussi le pouvoir de nous détruire, de nous amener dans des voies sans issue, en construisant en nous une logique qui est l’exacte opposée de notre vérité intérieure! C’est tout le concept des manipulateurs, qui ressort souvent dans mes textes. Ou des fausses promesses en politique. Les mots peuvent donc être un poison, idée que j’ai essayé d’illustrer dans les articles précédents.

… C’est bien pour ça que de plus en plus de personnes disent qu’elles ne regardent plus la télévision. Elles en ont marre de se faire imposer une manière de penser, tels produits à acheter, telle guerre à aller faire, telle idéologie du transgenrisme martelée dans chaque épisode de la série du moment, tel politicien corrompu qui vient encore vendre ses promesses mensongères (alors qu’il devrait plutôt aller croupir en prison pour avoir trempé dans des histoires de pédocriminalité), etc.
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Le pouvoir donc des mots, qui peuvent façonner nos esprits, nos vies, positivement comme négativement. Des mots qui peuvent éclairer ou illuminer, ou au contraire enténébrer, plonger dans l’obscurité profonde. Mais nous allons ici nous donner pour but de trouver les mots justes, les mots exacts, les concepts précis, pour éclairer sur le sujet abordé. Nous avons déjà un très important mot, la notion d' »ensemble » ou « agrégat » de manière générale, et en particulier d' »ensemble quantique » ou « générescence« .

Ce qui nous permet d’apporter cette lumière, c’est que nous disposons du bon Paradigme scientifique, à savoir la Science de l’Univers TOTAL. C’est le véritable Cygne Noir dont nous avons parlé en première partie du présent document, mais aussi en première partie du document C’est quoi un égrégore?, un article d’AbbyEve partagé, et que le présent document a pour but de compléter avec des notions plus techniques.

Et dans son article « Trouver les mots« , AbbyEve dit aussi la chose intéressante et importante suivante:

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Un monde, une civilisation, une société, c’est comme une maison: il faut de bonnes fondations! C’est cela un paradigme. Si donc nous voulons un tout Nouveau Monde, il nous faut un tout Nouveau Paradigme.
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Il y a des notions qui peuvent sembler difficiles à comprendre, à appréhender, à saisir, si l’on n’a pas les bons mots pour les exprimer, les bons concepts (de base), et surtout le bon paradigme! C’est le cas de la notion « champ morphogénique« . Nous sommes en train de découvrir ses synonymes, les bons mots que nous offre à présent la Science de l’Univers TOTAL.

Comme déjà dit plus haut, c’est le mot « égrégore » qui est porteur d’une racine qui permet de commencer à comprendre cette apparemment difficile notion de « champ morphogénique » ou « champ morphique ». Le mot « égrégore » a en effet la même racine que le mot « agrégat« , qui vient du latin « aggregatum« , du verbe « aggregare« , signifiant « rassembler« . La notion sous-jacente est donc la notion d' »ensemble« , mais aussi les notions voisines comme « assemblage« , mais aussi les notions comme « union« , « réunion« , etc., et par conséquence aussi les notion comme « formation« .

Le dictionnaire Larousse donne du mot « agrégat » la définition suivante: « Réunion d’éléments matériels juxtaposés, généralement hétérogènes, présentant entre eux une certaine cohésion et formant un tout compact« . Dans son sens basique il s’agit de réunion d’éléments matériels ou physiques. Mais dans son sens le plus large il s’agit de réunion de n’importe quel type d’éléments, y compris donc des éléments mathématiques, comme par exemple les nombres ou les informations. Tous les éléments qui peuvent être agrégés ou réunis pour former un ensemble, matériel ou non, physique ou non, est un agrégat, un ensemble tout simplement.

Cette notion d' »agrégat » nous met donc grandement sur la voie de la bonne compréhension de cette notion d' »égrégore« , et que les initiés désignent souvent aussi de « champ morphogénique » ou « champ morphique » ou « champ de forme« . Appellation qui se veut plus technique, certes, mais qui ne nous permettent pas de deviner ce que cela peut vraiment désigner, alors qu’en fait, le concept scientifique sous-jacent est proprement lumineux, à savoir donc la notion d’ensemble.

Et maintenant, nous appelons « ensemble quantique » ou « générescence » quand l’ensemble en question est formé par la répétition d’un certain nombre, fini ou infini, d’un même modèle m, appelé un quantum, au pluriel quanta. C’est cette logique que l’on a fondamentalement en physique quantique, ainsi nommée pour cette raison justement. Cela vient en effet de ce qu’une quantité est souvent multiple d’une certaine quantité élémentaire, une unité qu’on appelle donc un quantum, au pluriel quanta.

Ainsi par exemple, pour un rayonnement électromagnétique de fréquence ν et de longueur d’onde λ, le quantum m d’énergie vaut: m = hν ou m = hc/λ:

Il s’agit du quantum m d’énergie du photon (ou particule d’onde électromagnétique) associé à cette onde électromagnétique. Cela veut dire que pour cette onde, toute quantité d’énergie E est un multiple de ce quantum m. On a: E = 0m ou E = 0m si l’énergie E est nulle. La prochaine valeur de E est: E = m ou E = 1m. Cela signifie alors qu’on a 1 photon. Pour cette onde, il n’y a pas de valeur de l’énergie E qui vaudrait par exemple 0.5m ou 0.8m, autrement dit il n’y a pas de 0.5 photon ou 0.8 photon. L’énergie E est donc toujours un multiple entier de m, donc: 0 m ou 1 m ou 2 m ou 3 m, etc., ce qui correspond à:0 photon ou 1 photon ou 2 photons ou 3 photons, etc., autrement dit: 0 particule d’onde ou 1 particule d’onde ou 2 particules d’onde ou 3 particules d’onde, etc.. Pour cette onde donc, on a toujours un nombre entier de particules, ce qui veut dire un nombre entier de quanta m d’énergie, quanta qu’on peut donc noter: 0m, 1m, 2m, 3m, 4m, 5m, 6m, 7m, …, ou: 0m, m, mm, mmm, mmmm, mmmmm, mmmmmm, mmmmmmm, …, qui sont donc les différentes valeurs de l’énergie E de cette onde.

Autrement dit, on répète toujours le même modèle m ou le même modèle photon ou encore le même modèle de particule. Ces différents ensembles formés par la répétition un certain nombre entier de fois un même modèle m, est ce que nous appelons un ensemble quantique ou une générescence. Exactement selon la même logique quantique, si nous désignons par e la particule qu’est un électron, les différents ensembles quantiques ou générescences formées par e seront:0e, 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, …, ou: 0e, e, ee, eee, eeee, eeeee, eeeeee, eeeeeee, …, ce qui signifie qu’on aura toujours un nombre entier d’électrons, et jamais 3.56e ou 3.56 électrons par exemple.

Dans la logique des ensembles quantiques ou générescences, on répète donc toujours simplement un certain même modèle m. Si donc le modèle m en question est la notion d’humain, qu’on va noter par: H, on aura toujours: 0H, 1H, 2H, 3H, 4H, 5H, 6H, 7H, …, ou: 0H, H, HH, HHH, HHHH, HHHHH, HHHHHH, HHHHHHH, …, donc toujours un nombre entier d’humains ou du modèle H, et jamais 3.56H ou 3.56 humains par exemple.

C’est donc dire que cette logique des ensembles quantiques ou générescences est la logique fondamentale de notre langage, car c’est la logique universelle des ensembles, elle consiste à désigner les différentes modèles de l’Univers TOTAL par différents noms communs, et pour un certain nom commun m, on ne considère que les multiples entiers de m. Cette logique tire ses origines profondes en physique quantique, et tout fonctionne selon cette logique, même ce qui semble ne pas être le cas!

Par exemple, supposons que m désigne l’unité de mesure appelée le mètre. On a bien sûr des mesures quantiques, c’est-à-dire entières: 0m, 1m, 2m, 3m, 4m, 5m, 6m, 7m, …, ou: 0m, m, mm, mmm, mmmm, mmmmm, mmmmmm, mmmmmmm, …. Et pourrait croire objecter en disant qu’on a par exemple des mesures du genre: 3.56m ou 3.56 mètres, qui ne sont pas donc entières, et qui violeraient la logique quantique. Mais en réalité il n’en est rien. Car cela signifie qu’il existe toujours un certain sous-multiple m’ de m, telle que les mesures 3.56m ou 3.56 mètres, mesurées cette fois-ci en unités m’, deviennent quantiques c’est-à-dire des multiples entiers de m’. Il suffit par exemple ici de prendre pour m’ le millimètre pour que les mesures précédentes deviennent: 3560m’ ou 3560 millimètres.

Autrement dit, pour n’importe quelle unité m, Il existe toujours une certaine unité m’ dans laquelle toutes les mesures avec l’unité m deviennent des mesures dans l’unité m’, et ces dernières mesures sont des ensembles quantiques ou générescences. Ceci permet de dire que: Tout est fondamentalement une générescence ou un ensemble quantique.

En notant par U l’Univers TOTAL, l’Ensemble de TOUTES les choses, la Science de l’Univers TOTAL démontre qu’il est à la fois l’Alpha et l’Oméga, ce qui veut dire à la fois le plus petit de tous les éléments, l’Alpha donc, le plus petit quantum, qui forme tous les éléments de l’Univers TOTAL, et à la fois le plus grand de tous les Ensembles, l’Oméga donc, formé par cette unité élémentaire ou quantum U, l’Alpha. Ce que je viens de dire là signifie que l’Univers TOTAL est FRACTAL, c’est-à-dire qu’il est comme un Océan dont chaque goutte est l’Océan entier.

Ainsi donc, toute chose, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, est formé de U, qui est donc à la fois le plus petit quantum qui soit, et le plus grand ensemble formé par ce quantum

Ceci est un point fondamental de la Science de l’Univers TOTAL, c’est la logique fondamentale de la formation de toutes les choses, de tous les ensembles, et toute chose est un ensemble formé d’autres choses appelées ses éléments. Autrement dit, toute chose est une générescence ou ensemble quantique, formé d’un seul modèle fondamental, U. L’Univers TOTAL est donc à la fois le plus petit de tous les ensembles quantiques, et le plus grand de tous les ensembles quantiques. Autrement dit encore il est le plus petit champ morphogénique, et le plus grand champ morphogénique.


Les agrégats de manière générale et les agrégats de Négation ou égrégores

Dans le document Générescence et Structure FRACTALE , nous disions ceci:

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« En prenant un nombre N absolument quelconque d’exemplaires de n’importe quelle chose A qui sert de modèle, l’ensemble que l’on obtient est une nouvelle version du même modèle A, Et ce, peu importe la manière dont on dispose les éléments dans l’espace, dans le temps ou autre. La seule information qui compte pour dire qu’on a une nouvelle version du modèle A, est le nombre N d’exemplaires de A, appelé un générande »

Par exemple, à la question: « Existe-t-il sur terre des humains qui ont 3 têtes, six bras, six jambes, etc.? », la réponse que nous conduit à donner spontanément nos logiques habituelles est de dire non! De tels humains tricéphales n’existent pas sur terre, dirons-nous. Et pourtant si!

En effet, la générescence nous fait tout simplement comprendre qu’en prenant par exemple 3 exemplaires du modèle Humain, modèle qu’on appellera par exemple H on obtient une nouvelle version du modèle Humain, le modèle HHH ou 3H, qui commence à avoir des caractéristiques que ne possède pas un modèle Humain de base H, mais qui sont les caractéristiques d’un tout nouveau genre d’humain, qui a effectivement 3 têtes, six bras, six jambes, etc. Et avec cela nous devons sérieusement commencer à relativiser la négation selon laquelle cette espèce d’humain n’existe pas sur terre! Avouons plutôt que nous ne voyions pas les choses ainsi…

Nous commençons à découvrir ainsi tout simplement l’un des aspects les plus puissants de la notion de générescence, la notion d’émergence, un des grands secrets de l’Univers TOTAL, comment il crée de nouveaux modèles à partir de modèles déjà créés, ici en multipliant ou en répétant tout simplement le modèle. Cette simple répétition fait apparaître de nouvelles propriétés que ne possède pas un modèle pris seul.

Nous connaissions ce que cela peut constituer de nouveau d’avoir trois humains au lieu d’un, ou plutôt nous pensions tout savoir. Mais en réalité, nous ne connaissions qu’une infime partie des propriétés du modèle HHH, nous vivions beaucoup de phénomènes sur terre, mais sans établir le lien avec l’existence sur terre du modèle HHH. Certaines propriétés et phénomènes apparaissent quand on a exactement trois humains, quand on a HHH donc, d’autres ne se manifestent qu’avec le modèle HHHH ou 4H, etc. Et quand le nombre d’exemplaires est suffisamment grand (un million, un milliard, etc.), il apparaît des phénomènes très nouveaux, très différents des propriétés d’un humain seul!

Et d’autres propriétés et phénomènes encore n’apparaissent que si l’on a atteint un certain nombre d’Units, par exemple avec un million d’humains. Nous vivons sur terre des phénomènes dus au fait que la terre compte au moins un milliard d’individus. Nous connaissons des notions comme celle de marée humaine, l’effet produit par une grande foule d’humains… Mais nous sommes très loin encore de comprendre les secrets de l’Univers, dont la révélation ne fait que commencer avec la Générescence
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Quand on regarde une molécule d’eau, il est très difficile de prévoir touts les phénomènes que les modèles que sont les molécules d’eaux vont engendrer quand elles sont répétées en très grand nombre! A savoir donc, l’eau liquide, la vapeur d’eau, l’eau solide ou neige ou glace, etc. C’est le pouvoir des grands agrégats ou générescences ou ensembles quantiques

L’Univers TOTAL est donc le plus petit agrégat et le plus grand agrégat. Nous venons ainsi de définir la notion d’égrégore dans toute sa généralité. Toute fois, nous parlerons de manière générale d’agrégat ou de générescence ou d’ensemble quantique, et ne réserverons le plus souvent le mot égrégore pour pour parler des agrégats de Négation ou agrégats négatifs, ce qui signifie les agrégats incarnant la négation de l’Univers TOTAL, ou les agrégats déconnectés de l’Univers TOTAL, et donc qui sont en état de Négation de l’Univers TOTAL.


 

 

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Auteur : AbbyEve

J'étudie la Science de l'Univers TOTAL, ma grande Révélation : le Paradis perdu et Retrouvé, le Paradigme de l'ALTERNATION.

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